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Le mythe de la belle et la bête ou la métamorphose amoureuse dans "Cupidon et psyché" d'Apulée et "La belle bête" de Marie-Claire Blais

Benoit, Stéphanie January 2010 (has links)
Le mémoire montre comment le mythe de la Belle et la Bête se définit et s'actualise. Dépositaire d'une obsession culturelle, ce récit sacré raconte comment un couple « amoureux » se développe à travers les difficultés rencontrées. La Belle et la Bête qui composent le couple se métamorphosent alors tout autant que leur relation commune pour arriver à résoudre les conflits. Afin de comprendre leur transformation, la mythocritique constitue un des outils d'analyse par lequel l'identification des principaux mythèmes permet d'observer comment le mythe étudié évolue. C'est donc par la construction du récit sacré, dans « Cupidon et Psyché » d'Apulée, et par la déconstruction d'un de ses avatars, la Belle Bête de Marie-Claire Blais, que les éléments structurants sont identifiés, interprétés et comparés. Dans la construction du mythe de la Belle et la Bête, une quête de la légitimation du pouvoir et un désir vital de reconnaissance amènent les protagonistes à sceller leur amour. Bien que le rituel initiatique fasse de la Belle et de la Bête des modèles exemplaires, il n'en demeure pas moins que les bouleversements tendent à ne privilégier qu'un des deux partenaires, et ce, souvent au détriment de l'autre. Ce constat est d'ailleurs flagrant dans le deuxième récit, où le mythe est déconstruit.Le renversement des valeurs, préféré à un accord artificiel entre les époux, conduit alors à des violences purgatrices par lesquelles les personnages s'éjectent de leur propre espace relationnel. Moteur de la métamorphose du mythe étudié, la différenciation sexuelle détermine les rituels amoureux.
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Les Femmes dans La Bête humaine d'Emile Zola

Wijns, Joseph January 1973 (has links)
No description available.
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Les Femmes dans La Bête humaine d'Emile Zola

Wijns, Joseph January 1973 (has links)
No description available.
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LA BÊTE DANS LA LITTÉRATURE FANTASTIQUE

Cally, Jean William 22 November 2007 (has links) (PDF)
La bête fantastique, dans sa dimension carnassière, a admirablement servi l'optique initiale de la littérature fantastique, au début du XIXe siecle : créer la peur. La "peur de la bête", incarnée dans des avatars du prédateur dévorant, a connu ainsi un usage fréquent et varié. Par la suite, au XXe siècle, confronté à un lectorat urbanisé moins sensible à cette peur, le projet du fantastique est devenu davantage intellectuel. La zoologie fantastique a pu alors faire une place conséquente à des bêtes capables, sans dévoiler une gueule menaçante, de bouleverser l'homme par leur étrangeté angoissante et leur subtile invraisemblance. L'ouverture aux littératures et cultures étrangères, principe même de la littérature comparée, nous donne l'occasion de considérer, des oeuvres venues de tous horizons. C'est là une étape indispensable pour une appréhension globale de la bête dans la littérature fantastique
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Transformations hypertextuelles et interprétations littéraires : étude des réécritures contemporaines de « La Belle et la Bête »

Morin, Carolan January 2016 (has links)
Deux cent soixante-quinze années se sont écoulées depuis la parution du conte « La Belle et la Bête » (1740), écrit par Mme de Villeneuve, qui a été repris par Mme Leprince de Beaumont en 1756. La notoriété de ce conte ne s’est jamais démentie. Au début du XXIe siècle, quatre auteurs de langue française ont proposé des réécritures de « La Belle et la Bête ». Dans le cadre de cette thèse, nous analysons ce corpus formé de deux romans (Le Roman de la Belle et la Bête de Bernard Simonay et Là où la mer commence de Dominique Demers), une pièce de théâtre (La Belle et la Bête de Laurent Péan) et deux albums pour enfants (Annabel et la Bête de Dominique Demers et Lisebelle & la Bête de Jean-Pierre Kerloc’h). Nous cherchons à montrer comment ces œuvres ont réactualisé l’histoire de « La Belle et la Bête » en développant les trois grands thèmes qui sont au cœur de ce conte : le monstrueux, le merveilleux et l’intrigue amoureuse.
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La collaboration chez Pierre Perrault : étude comparative de Pour la suite du monde et La bête lumineuse.

Vachon, Benoit 04 1900 (has links)
Ce mémoire propose une analyse de la collaboration à l’intérieur de projets cinématographiques dans l’œuvre de Pierre Perrault. Comme la collaboration entre cinéaste et participants soulève des questions éthiques, cette recherche étudie deux films pivots dans la carrière de ce cinéaste soit Pour la suite du monde et La bête lumineuse. Tout en contrastant le discours du cinéaste avec celui d’un protagoniste nommé Stéphane-Albert Boulais, cette étude détaille les dynamiques de pouvoir liées à la représentation et analyse l’éthique du créateur. Ce mémoire présente une description complète de la pensée de Pierre Perrault, ainsi que sa pratique tant au niveau du tournage que du montage. Cette étude se consacre à deux terrains cinématographiques pour soulever les pratiques tant au niveau de l’avant, pendant, et après tournage. Ce mémoire se penche ensuite sur Stéphane-Albert Boulais, qui grâce à ses nombreux écrits sur ses expériences cinématographiques, permet de multiplier les regards sur la collaboration. Après une analyse comparative entre les deux terrains cinématographiques, ce mémoire conclut sur une analyse détaillée de l’éthique du créateur à l’intérieur de projets collaboratifs. / This research presents an analysis of collaboration in Pierre Perrault’s film projects. Since collaboration between filmmaker and participants raises ethical issues, this research examines two pivotal films in Perrault’s career: Pour la suite du monde and La bête lumineuse. Contrasting the filmmaker’s discourse with that of Stéphane-Albert Boulais, a protagonist in one of the movies, this study details the power dynamics linked to representation and analyzes the filmmaker’s ethics. This research presents a full description of Pierre Perrault’s approach to filmmaking, as well as his practice in both shooting and editing the movies. It focuses on two film locations to highlight Perrault’s practices before, during and after the shooting of these movies. It then looks at Stéphane-Albert Boulais, whose many writings documenting his filmmaking experiences, provides multiple views on collaboration. Following a comparative study of both film locations, this research concludes with a detailed analysis of Perrault’s ethics within the framework of collaborative projects.
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La collaboration chez Pierre Perrault : étude comparative de Pour la suite du monde et La bête lumineuse

Vachon, Benoit 04 1900 (has links)
No description available.
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La spectroscopie d'ions de recul en Physique Atomique et en Physique Nucléaire: Applications à l'étude des collisions à basse énergie et à la mesure de la corrélation b-v en décroissance b

Fléchard, X. 13 December 2012 (has links) (PDF)
A partir des années 1990, la spectroscopie d'impulsion d'ions de recul s'est imposée comme l'outil idéal pour l'étude des collisions ion-atome et ion -molécule. Le développement de cette technique expérimentale au cours des vingt dernières années est ici détaillé et illustré par des résultats marquants obtenus dans ce domaine au GANIL (CAEN) et au J.R. MacDonald Laboratory (Kansas State University). La spectroscopie d'impulsion d'ions de recul se trouve être également particulièrement bien adaptée à la mesure du paramètre de corrélation angulaire b-v en décroissance b L'expérience LPCTrap, installée au GANIL, est basée sur l'utilisation de cette technique et d'un piège de Paul pour le confinement des noyaux radioactifs. Les mesures précises qui ont été réalisées permettent à la fois de tester certaines hypothèses essentielles du Modèle Standard des particules élémentaires et d'étudier le processus d'ionisation par " shakeoff " de l'électron.
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Figures, traces, énonciation dans La bête faramineuse, Le premier mot et Le chevron de Pierre Bergounioux

Fortin, Mylène January 2009 (has links) (PDF)
La démarche de Pierre Bergounioux, écrivain français contemporain (1949-), témoigne d'une obsession: dire d'où vient ce « je » qui parle, sent et voit; retrouver d'où lui vient cette manière de dire, de sentir, de voir; comme s'il s'agissait chaque fois d'inventer la mémoire du commencement. Cette écriture parait se structurer à partir de failles qui correspondent manifestement à l'origine, zones d'« ombre », angles morts, points aveugles où un réel échappe, demeure en reste de la symbolisation, du langage. Ces rouages de l'écriture construiraient et constitueraient le sujet de l'énonciation tout en témoignant de son surgissement. Afin de porter au jour ce sujet, ce mémoire s'intéresse aux dispositifs de la représentation: Il s'agit de se mettre à l'écoute non pas de ce que les textes disent, mais de ce qu'ils font. Dans la première partie intitulée Mémoire de l'origine, les phénomènes particuliers, les figures ainsi que les motifs récurrents ont été repérés en suivant l'ordre de leur surgissement dans chacun des trois textes à l'étude: La Bête faramineuse (1986), Le Chevron (1996) et Le Premier mot (2001). L'analyse des modes d'articulation des deux deuils présentés dans La Bête... -deuils d'un aïeul et de l'innocence -, a contribué à la mise en évidence du travail de l'imaginaire. Par la suite, la structure particulière du Chevron a permis de voir que l'écriture de Bergounioux est aux prises avec un désir de dire l'origine dont la satisfaction est à la fois nécessaire et impossible, créant une dynamique inépuisable à l'image de celle relative au paysage décrit dans le récit. Enfin, dans Le Premier mot, nous nous sommes intéressés aux effets suscités par la volonté de s'arracher aux déterminismes inhérents à la condition du sujet d'emblée soumis à l'image et au désir d'un autre qui le précède. Les trois ouvrages mettent donc de l'avant un sujet principalement travaillé, voire déterminé par l'imaginaire (La Bête... ), l'espace géographique (Le Chevron) et les ancêtres, les parents (Le Premier mot). L'analyse de ce sujet toujours déjà étranger à lui-même, subordonné aux lois d'un curieux désir qui l'inscrit dans une lignée et l'arrime à l'espèce a permis de dégager des similitudes avec certains phénomènes observés par Freud puis Lacan et qui régissent la vie psychique de l'être parlant. Ces caractéristiques témoignent dirait-on d'un corps particulier qui se trouve construit par et dans l'écriture. Dans la deuxième partie intitulée La trace, ce mémoire cherche à révéler les rouages de ce corps d'écriture, corps invisible, étranger et soumis aux lois du langage, du désir et du temps. Chacun des ouvrages étudiés présente une énonciation qui joue à sa façon de l'inscription temporelle du sujet. Puisqu'il se trouve stratifié, le temps qui s'inscrit dans la conscience donne lieu à des effets particuliers. Par exemple, le travail de mémoire de cette écriture s'accompagne de motifs récurrents, ainsi que de métaphores redondantes qui créent une espèce d'orbite autour de ce qui cherche à se dire. Il nous a semblé que cette dynamique de répétition s'inscrit à la place d'une trace suscitée par l'absence radicale correspondant à l'origine qui, à la fois irréductible et immémoriale, instaure une béance au coeur du sujet. ______________________________________________________________________________ MOTS-CLÉS DE L’AUTEUR : Pierre Bergounioux, Mémoire, Origine, Langage, Désir, Psychanalyse, Énonciation, Temps, Trace mnésique.
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La gloire de la bêtise : régression et superficialité dans les arts depuis la fin des années 1960 / In praise of dumbness : regression and shallowness in the arts since the late 1960s

Labar, Morgan 24 November 2018 (has links)
Depuis la fin des années 1960 se sont développées différentes pratiques artistiques délibérément bêtes, assumant et parfois même revendiquant leur bêtise. Dans une approche ancrée à la fois dans l'histoire culturelle et la théorie esthétique, prenant en compte les paramètres que sont les modalités d'exposition, l'industrie du divertissement et le rôle des collectionneurs, il s'agit de comprendre comment un phénomène à l'origine excentré, marginal et parfois contestataire, est devenu une donnée centrale de la production artistique contemporaine. Le premier mouvement revient sur la tradition de la bêtise en histoire de l'art. Partant de l'expression « bête comme un peintre », y est proposé une relecture du « retour à la peinture» du début 1980 (Figuration Libre, Mülheimer Freiheit à Cologne, bad painting américaine). Le deuxième moment porte sur les mécanismes de diffusion, d'expansion, de légitimation et d'institutionnalisation de l'art bête dans les années 1990 et 2000, abordant notamment les pratiques Martin Kippenberger, Jeff Koons, Paul McCarthy, Mike Kelley, Richard Jackson, Gelitin, Wim Delvoye ou encore Damien Hirst. Le troisième et dernier temps consiste en une généalogie alternative de cette histoire de la bêtise en prenant la Californie comme paradigme. On y développe l'hypothèse qu'à Los Angeles sont en germe, depuis le milieu des années 1960, les formes de bêtise artistique qui s'imposent à l'échelle internationale depuis les années 1990 : l'industrie du divertissement et le culte du succès, de la célébrité et de la richesse, et son contre-point dynamique, son envers dévoyé, le modèle du bad boy made in L.A. / Stupidity (bêtise) can be apprehended as bodily, vulgar, even regressive. Or it can simply be understood as foolish, silly or childish. I investigate all of these strains of "bêtise" in order to demonstrate the key role it has played in shaping aesthetic styles and debates about contemporary art from the late 1960s to the present day. The dissertation thus traces these fluctuations by looking at the shift from the 1960-l 970s, when dumbness, used as a critical tool, occupied a position at the margins of the art world, to the l 980-1990s when "bêtise" began to constitute an autonomous aesthetics mobilized by the art world's biggest stars. What used to be marginal then became preeminent, what used to be popular culture became high art, while lowbrow turned into highbrow. The first part takes a look back at the tradition of stupidity in art history. Viewed from the popular phrase "stupid as a painter", I propose a reevaluation of the so-called "return to painting" in the early 80s (Figuration libre, Bad Painting, Mülheimer Freiheit Grup in Koln) as an initial step. The second section analyses the mechanisms of diffusion, expansion, legitimation and institutionalization of "dumb art" in the 90s and 2000s, focusing on practices of artists like Martin Kippenberger, JeffKoons, Paul McCarthy, Mike Kelley, Gelitin, Wim Delvoye or Damien Hirst. The third and last part is an attempt to write an alternative narrative to this history of stupidity, in which I propose California as a paradigmatic model. The entertainment industry and the cult of success, fame and wealth, and its dynamic counterpoint, its dark side, the made-in-L.A.-bad-boy model played major roles in that process.

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