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Les orientations stratégiques des organisations d'entrepreneuriat social

Hervieux, Chantal 06 1900 (has links) (PDF)
Les organisations à vocation sociale sont aujourd'hui confrontées à un environnement dynamique et incertain, ce qui mène à l'émergence de l'entrepreneuriat social. L'incertitude provient d'une plus grande concurrence portée par : la diminution des fonds et des subventions disponibles pour les organisations à vocation sociale (Johnson, 2000), l'augmentation du nombre de ces organisations (Eikenberry & Kluver, 2004), ainsi que la concurrence entre les organisations privées et les organisations sans but lucratif (OSBL) pour ces mêmes fonds qui ne sont plus réservés exclusivement aux OSBL (Eikenberry & Kluver, 2004). De plus, les exigences changent et nombreux sont ceux qui souhaitent une plus grande responsabilité et une gestion plus efficiente des fonds (Brouard et al., 2010). Cette situation apporte plus d'incertitude et de concurrence, ce qui pousse les organisations à vocation sociale à s'intéresser aux modes de financement autonomes, à comprendre le modèle du marché et à chercher l'amélioration de leur efficacité (Johnson, 2000). Ces changements mènent à une nouvelle orientation entrepreneuriale des organisations à vocation sociale : celle de l'entrepreneuriat social (ES). Pour la thèse, nous proposons comme objectif principal de répondre à la question suivante : qu'est-ce que l'entrepreneuriat social? Pour répondre à cette question, notre thèse vise à comprendre et expliquer l'entrepreneuriat social en apportant une réponse à nos trois objectifs secondaires : 1) Définir l'entrepreneuriat social et proposer un cadre conceptuel utile pour la recherche. Nous répondons au premier objectif secondaire dans notre article 1, intitulé : The Legitimization of Social Entrepreneurship, article publié dans le Journal of Enterprising Communities. Dans cet article, la question que nous nous posons est : malgré le manque de consensus concernant la définition de l'entrepreneuriat social, est-il possible de dégager une convergence dans les discours des acteurs institutionnels du domaine de l'entrepreneuriat social? 2) Comprendre l'action de l'entrepreneur social par l'étude de son organisation et de son réseau. Pour étudier et répondre à notre deuxième objectif secondaire, nous procédons par une étude de cas en profondeur et de son réseau présenté dans le chapitre : Social Entrepreneurs Actions in Networks ; chapitre publié dans le Handbook of research on Social Entrepreneurship. Dans ce chapitre, nous visons à comprendre l'action de l'entrepreneur social dans son réseau ainsi que l'apport du réseau à l'initiative d'entrepreneuriat social. 3) Mesurer l'orientation stratégique, entrepreneuriale et marchande des initiatives d'entrepreneuriat social et en évaluer les impacts sur la performance. Finalement, nous mesurons l'orientation entrepreneuriale et marchande des organisations de l'entrepreneuriat social, recherche que nous présenterons dans notre troisième article : Comparing Strategic Orientations in Social Entrepreneurship and Service SME, article accepté pour présentation à la 9th Annual NYU-Stern Conference on Social Entrepreneurship et qui sera soumis en premier au Journal of Business Venturing et en deuxième au journal Entrepreneurship Theory and Practice. Dans cet article, en plus d'appliquer l'échelle de mesure de l'orientation entrepreneuriale, nous allons aussi mesurer l'orientation marché des organisations de l'ES, car l'analyse effectuée dans la recherche présentée dans notre article 1 a démontré qu'une organisation socio-économique qui adopte des moyens marchands pour répondre à sa mission sociale se qualifie comme étant une initiative d'ES. De plus, nous comparons les relations entre ces orientations entre les organisations de l'ES et les PME commerciales de services. ______________________________________________________________________________
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La formalisation des pratiques de gestion des ressources humaines dans les entreprises d'économie sociale : une menace aux valeurs du secteur?

Comeau-Vallée, Mariline January 2009 (has links) (PDF)
La gestion des entreprises d'économie sociale, c'est-à-dire des organisations à but non lucratif et des coopératives, est aujourd'hui une préoccupation pour un grand nombre de chercheurs et de praticiens, La réalité actuelle soutient une tendance à la formalisation des pratiques de gestion dans ces organisations. Cette transformation s'accompagne cependant d'une inquiétude vis-à-vis l'idéologie du secteur. Certains craignent effectivement que la formalisation incite les entreprises d'économie sociale à mettre de côté leurs valeurs comme celles de la primauté des personnes, la démocratie et la participation. La présente recherche cherche donc à explorer les pratiques de gestion des ressources humaines, sous l'angle de la formalisation. puis à vérifier si la formalisation et une incidence sur une des valeurs importantes de l'économie sociale, soit la participation des employés. Notre étude s'insère dans un projet de recherche partenariale qui avait comme mandat de faire l'exploration de la gestion des ressources humaines en économie sociale. Pour ce faire un questionnaire portant sur le sujet, a été réalisé en collaboration avec les partenaires impliqués et a été envoyé par voie électronique auprès de la population des entreprises d'économie sociale à Montréal. Pour les fins de ce mémoire. nous nous sommes intéressés à seulement qu'une partie des données du questionnaire, soit celles correspondant aux variables de nos objectifs de recherche. Les principaux résultats de notre recherche démontrent la présence de pratiques de gestion des ressources humaines formeIles dans les entreprises de notre échantillon. Cette formalisation ne signifie pas nécessairement un renoncement aux valeurs de participation. Les entreprises affichent un degré de participation des employés élevé, Qui plus est, les résultats obtenus par le biais de régressions montrent un lien positif entre la formalisation et certains indicateurs de participation. Cette recherche est novatrice dans la mesure où elle dresse une première vue d'ensemble sur les pratiques de gestion des ressources humaines en économie sociale. Elle contribue également au développement des connaissances par le fait qu'elle répond à une problématique actuelle, à savoir l'impact de l'introduction d'une gestion dite formelle sur les valeurs de l'économie sociale. Enfin, les résultats ont une portée pour les praticiens dans la mesure où ils sensibilisent les gestionnaires à l'importance de mettre en place des pratiques de gestion tout en perpétuant les valeurs particulières du secteur. ______________________________________________________________________________ MOTS-CLÉS DE L’AUTEUR : Économie sociale, Organisations à but non lucratif, Coopératives, Gestion des ressources humaines, Pratiques de gestion des ressources humaines. Formalisation, Participation des employés.
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Les bénéfices issus du travail en économie sociale : le point de vue des femmes, cheffes de famille monoparentale, qui sont en emploi au sein d'entreprises d'économie sociale en aide domestique (EÉSAD) de la Gaspésie

Hudon, Marie-Claude January 2006 (has links) (PDF)
Ce mémoire recueille le point de vue de dix (10) femmes, chefs de famille monoparentale, sur les bénéfices qu'elles retirent de leur emploi dans trois (3) entreprises d'économie sociale en aide domestique (EÉSAD) de la Gaspésie. Avec le témoignage de ces mères seules, nous voulons poursuivre la réflexion sur le potentiel du travail d'économie sociale à combattre la pauvreté des femmes. Compte tenu des nombreux obstacles à leur intégration socioprofessionnelle et des contraintes particulières à la région, nous avons cherché à connaître par le biais d'entretiens semi-dirigés quelle était la perception de travailleuses gaspésiennes à l'égard de leur situation en emploi et de leurs conditions de vie. Aussi, depuis la Marche du Pain et des Roses, intervenant(e)s et chercheur(e)s s'interrogent sur la capacité de l'économie sociale à réduire la misère au sein de la population féminine. En ce sens, notre recherche contribue à accroître la compréhension des pratiques et des effets du travail en économie sociale. Avec les informations recueillies auprès de notre groupe de répondantes, nous constatons que les conditions de vie de la majorité d'entre elles se sont améliorées depuis leur embauche dans une EÉSAD. Cependant, les bénéfices de l'emploi se révèlent trop souvent insuffisants. Ainsi, en dépit des gains réalisés, divers facteurs responsables de la pauvreté subsistent, occasionnant des difficultés pour ces femmes. La faiblesse des salaires est un exemple. À travers l'expérience de nos répondantes, nous comprenons que l'économie sociale ne peut à elle seule mettre un frein à l'appauvrissement des femmes. Sur ce plan, les résultats de notre recherche rejoignent les résultats de nombreux autres travaux réalisés sur la question. Ils éclairent aussi le sens et la portée des revendications des groupes de femmes concernant leur conception de l'économie sociale. Soulignons, entre autres, que la situation de nos répondantes confirme que la participation de l'État et de l'entreprise privée s'avère indispensable dans la lutte contre la pauvreté. Enfin, le témoignage de nos répondantes permet d'identifier des lacunes au niveau des pratiques concrètes en économie sociale qui ont déjà fait l'objet de critiques par des chercheur(e)s. À cet égard, le point de vue des femmes, chefs de famille monoparentale, révèle des pistes de solution concernant l'intégration et le maintien en emploi des mères seules. Notons par exemple la flexibilité des horaires qui satisfait aux attentes en matière de conciliation travail-famille. ______________________________________________________________________________ MOTS-CLÉS DE L’AUTEUR : Femmes, Monoparentalité, Économie sociale, Bénéfices, Région, Gaspésie, Entreprise d'économie sociale en aide domestique.
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L'évolution des arrangements institutionnels entre l'État québécois et l'économie sociale : quelques enjeux de la politique de soutien à domicile entre 2003 et 2007

Leclerc, Philippe 01 1900 (has links) (PDF)
Ce mémoire constitue une analyse politique exploratoire, à partir de l'empirie, de l'évolution des arrangements institutionnels entre l'État et les entreprises d'économie sociale œuvrant dans le secteur du soutien à domicile. Dédié aux personnes en perte d'autonomie (personnes âgées et handicapées), le soutien à domicile est un champ d'action régulé par l'État depuis 30 ans, très vivace et très actuel, particulièrement intéressant pour les recherches portant sur les politiques sociales en transformation et qui mettent en scène une panoplie d'acteurs, dont ceux de l'économie sociale. Nous avons voulu soulever les enjeux qui se dessinent dans l'analyse descriptive et la vision des acteurs à propos des changements importants qui se sont déroulés depuis 2003 dans ce domaine. Nous avons posé l'hypothèse que cinq arrangements institutionnels ont donné lieu à une régulation néolibérale. Ainsi, le Consensus convenu en 1996 à propos de l'économie sociale dans les services à domicile n'est pas perçu par les acteurs comme étant encore d'actualité : ses quatre objectifs sont mis à mal, particulièrement au chapitre de la création d'emplois durables et de qualité ainsi que de la non-substitution d'emplois. L'approche gouvernementale de soutien aux EESAD a rétréci. L'élargissement du panier de services octroyés par les EESAD est perçu comme étant légitime et nécessaire par les acteurs et l'analyse des documents démontre que la Réforme Couillard ainsi que les nouvelles politiques du MSSS le permettent. Tous ces nouveaux arrangements institutionnels constituent une sixième période de déploiement de la politique de soutien à domicile, mais qui ne s'avère pas complètement sous l'égide d'une régulation néolibérale : des orientations vont certes en ce sens, mais s'accompagnent d'orientations fortement social-étatistes et de pratiques locales, entre acteurs, d'orientation solidaire. ______________________________________________________________________________ MOTS-CLÉS DE L’AUTEUR : Économie sociale, soutien à domicile, régulation, arrangements institutionnels
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La conciliation des objectifs sociaux, économiques et écologiques d'initiatives locales d'économie sociale

Hamel, Mélanie 01 1900 (has links) (PDF)
À l'aube du troisième millénaire, face aux crises écologiques et à l'intensification des inégalités sociales et économiques, les êtres humains sont appelés à redéfinir leur rapport entre l'économie, la société et la biosphère. La prise en compte des dimensions sociale et écologique dans les activités de production, de consommation et de gestion des activités économiques devient donc un enjeu majeur pour l'ensemble des acteurs concernés et des territoires. Certains d'entre eux valorisent un nouveau mode de développement. Ce dernier est fondé sur des principes de solidarité, de démocratie, d'écologisme, de durabilité, d'ancrage local et d'innovation socioterritoriale. Ainsi, l'émergence de pratiques solidaires et écologiques appelle notre curiosité scientifique et notre perspective pragmatique dans le but d'y extraire des ingrédients qui pourront avoir une certaine utilité sociale, soit pour les praticiens ou les chercheurs. Au Québec, le mouvement de l'économie sociale a le potentiel de porter ce projet de renouvellement des pratiques économiques en vue d'une perspective écologique et solidaire. Ce mémoire présente deux initiatives locales d'économie sociale qui intègrent la dimension écologique au sein de leurs activités. La première, les Services horticoles, Les Pousses urbaines, œuvre dans le secteur de l'environnement (horticulture écologique), et la deuxième, la Société de développement Angus, est un promoteur immobilier à vocation communautaire qui intègre des objectifs écologiques. Ces deux entreprises sont situées dans l'arrondissement Rosemont-La Petite-Patrie, un territoire fécond en matière d'expériences de développement durable. L'objectif de cette recherche est d'examiner les processus par lesquels les initiatives locales d'économie sociale arrivent à concilier les objectifs sociaux, économiques et écologiques qu'elles se sont donnés. Notre démarche de recherche permet de passer en revue les conditions et les moyens qui facilitent la conciliation des objectifs mentionnés, de situer le degré de durabilité des objectifs en fonction de deux groupes d'initiatives du secteur environnemental ou d'un autre secteur de l'économie sociale et, enfin, d'identifier les irritants liés à une bonne intégration de la dimension écologique au sein des deux organisations étudiées. Notre démarche qualitative a été orientée par trois approches théoriques : le développement durable, l'économie sociale et solidaire, et le développement local. Leur articulation a généré des grilles d'analyse qui nous ont permis de tirer des conclusions qui mettent au défi l'ensemble des acteurs, notamment ceux politiques et institutionnels. Il appert que l'État a un rôle majeur à jouer sur le plan du soutien aux missions sociale et écologique des entreprises et de la régulation d'un marché qui externalise les coûts sociaux et environnementaux. Enfin, un des défis majeurs des organisations d'économie sociale est leur capacité de créer de nouveaux arrangements organisationnels et institutionnels en vue d'un mieux vivre ensemble solidaire et écologique. ______________________________________________________________________________ MOTS-CLÉS DE L’AUTEUR : Économie sociale, Économie solidaire, Développement durable, Environnement, Pratiques écologiques, Pratiques solidaires, Développement local, Initiative locale, Montréal.

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