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Diagnostic partiel de la flore et de la végétation des Niayes et du bassin arachidier au Sénégal: application de méthodes floristique, phytosociologique, ethnobotanique et cartographique / Partial diagnosis of flora and vegetation of the Niayes and Peanut Basin in Senegal: application of floristic, phyotsociologic, ethnobotanic and mapping methods

Faye, El Hadji 13 September 2010 (has links)
Résumé<p>Les recherches menées dans cette thèse ont porté sur la réactualisation des données sur la flore et la végétation de deux grandes zones agro-écologiques du Sénégal (les Niayes et le Bassin arachidier) en utilisant l’approche terroir pour mieux envisager la gestion conservatoire des ressources ligneuses. Dans les zones de savanes et de végétations sub-guinéennes respectivement du Bassin arachidier et des Niayes au Sénégal, 288 relevés ont été réalisés par stratification basée sur les villages ou groupes ethniques (Peul, Sérer et Wolof), les systèmes d’utilisation des terres et la topographie dans 6 terroirs villageois et 25 dans les sites de référence. Dans ces terroirs, la connaissance, la priorisation à la conservation des espèces, leur utilisations, comme préalables à la gestion durable de la biodiversité des agrosystèmes, ont aussi été abordées sur 124 espèces ligneuses par enquête ethnobotanique auprès de 216 répondants équitablement répartis entre les ethnies, âges et genres. Ces informants ont aussi évalué la dynamique des formations végétales suivant leur position sur la toposéquence. Les informations sur la dynamique d’occupation des terres ont été obtenues par la cartographie multi-date à partir de photo-aériennes (1954, 1989) et d’image Google earth 2006. Une expérimentation factorielle à trois facteurs (espèces, hauteur et diamètre de coupe) avec 15 répétitions, a été conduite dans le Bassin arachidier sur la régénération des souches des deux principales Combretaceae de la zone (Combretum glutinosum et Guiera senegalensis). Les données obtenues ont été soumises à des analyses multi et uni-variées. <p>Les résultats phytosociologiques ont montré l’individualisation de onze groupements (G) dont d’une part, deux de savane (G4 et G8), un de forêts secondaires (G10) et deux autres issus des végétations semi-aquatiques (G1 et G5) qui sont les plus proches des situations naturelles, et d’autre part deux de milieux perturbés (G6 et G7) et quatre de milieux cultivés et post-culturaux (G2, G3, G9 et G11). Les premiers groupements sont progressivement envahis par les espèces des milieux perturbés, et les seconds par les espèces rudérales et nitrophiles. La position synsystématique de ces groupements a été donnée. 336 espèces ont été recensées :260 dans les Niayes et 176 dans le Bassin arachidier. La richesse des critères de naturalités des terroirs peuls n’est pas toujours supérieure à celle des autres terroirs dans les deux zones. <p>Les résultats d’enquête montrent une subdivision des espèces en quatre classes de priorité à la sauvegarde. Les plus prioritaires sont à usages multiples. En outre, les résultats ethnobotaniques montrent clairement que les villages des Niayes sont globalement séparés de ceux du Bassin arachidier mais aussi que les villages homologues sont différents. L’évaluation ethnobotanique de la diversité végétale est plus importante dans la zone du Bassin arachidier comparée aux Niayes. Elle augmente avec la densité dans les Niayes comme dans le Bassin arachidier excepté dans le terroir wolof de ce dernier. Les villages du Bassin arachidier ne présentent aucune restriction dans le choix des espèces destinées à satisfaire leurs différents besoins. Ce manque de sélectivité y est total et renseigne sur le niveau de rareté des ressources ligneuses. <p>Les résultats cartographiques montrent que les zones des Niayes et du Bassin arachidier connaissent une transformation importante du paysage essentiellement due au processus de création ou d’agrégation des champs en vigueur partout. Cela s’est fait au détriment des formations végétales :suppression des savanes arborées dans les deux zones, suppression et agrégation des savanes arbustives dans les Niayes, fragmentation et dissection dans le Bassin arachidier. <p>Dans le régime de taillis à courte rotation du Bassin arachidier, il serait plus indiqué de pratiquer une coupe sélective suivant les classes de diamètre et les espèces afin de concilier productivité et durabilité en favorisant le développement des rejets proventifs. <p>Une extension de l’approche terroir dans les autres zones éco-géographiques du pays devrait être testée pour vérifier les tendances obtenues dans ce travail et recenser et suivre les groupements végétaux, les intégrer dans la classification moderne afin de faciliter le suivi de leur évolution spatio-temporelle. Elle permettrait sans doute l’évaluation de la variabilité locale de l’importance des espèces.<p><p>Abstract<p>Researches carried out in this thesis about updating flora and vegetation data from two major agroecological regions of Senegal (Niayes and Peanut Basin) used village-scale based methodology in order to better consider ligneous resources conservation. In savannas and sub-guinean vegetations of respectively Peanut Basin and Niayes, 288 records were realized upon stratification method based on ethnic groups (Wolof, Peul and Sérer), land use systems and topography in 6 villages and 25 records in the reference sites. In these villages, knowledge, priorisation and uses, prior to sustainable agrobiodiversity management, were also addressed on 124 ligneous species by ethnobotanic survey with 216 respondants equally distributed to ethnic groups, ages and gender. Respondants also addressed vegetation dynamics a long topographic position. Informations on land occupation trends were gained by air-photography cartography and Google earth 2006 image. Factorial experimentation on 3 factors (species, high and diameter of sprouting) with 15 repetitions was implemented on stump regeneration dynamics of the 2 principal Combretaceae in the Peanut Basin region (Combretum glutinosum and Guiera senegalensis). Multivariate and univariate analysis were performed on the data. <p>Phytosociological results showed discrimination of 11 vegetation groups (G). Two of them (G4 and G8) are savannas samples, one secondary forest (G10), two from semi-aquatic vegetation (G1 and G5); in the other hand, two groups of disturbed situations (G6 and G7) and four cultivated and postcultural groups were found (G2, G3, G9 and G11). The first groups were progressively invaded by cultural and poscultural species and the second groups by ruderary and adventitious species. Systematic position of these groups was indicated. 336 species were recorded: 260 in the Niayes and 176 in the Peanut Basin). Richness in wilderness criterion was not always superior in peul villages.<p>Ethnobotanical results showed subdivision of species diversity in 4 classes of conservation priority. Most conservation priority species were multipurpose trees. A clear separation between Niayes villages and Peanut basin ones, and also between counterparts’ villages was found. Ethnobotanical valuation of species was higher in the Peanut Basin area. It grows with human density a part from wolof village of the Peanut basin. Villages of the Groundnut Basin showed no selectivity in the choice of species to meet their different needs. This lack of selectivity is complete and translates woody resources scarcity. <p>Cartographic results show an important landscape transformation in Niayes and Peanut basin areas due to fields creation or aggregation processes running everywhere. This occurred against vegetation formations :attrition of woody savanna in the two zones, attrition and aggregation of shrubby savanna in Niayes area, fragmentation and dissection in Peanut basin. <p>In short term cutting system of the Peanut Basin, it should be better to practise a selective logging method according to species and diameter classes in order to reconcile productivity and sustainability by ensuring stumps’ low-stem resprouting. <p>An extension of terroir approach methodology in other local eco-geographical zones of Senegal should be tested in order to complete the identification and monitoring of the dynamics of plant communities, their integration into modern classification to facilitate the monitoring of their spatio-temporal evolution. It should allow the assessment of species local importance variability.<p><p><p><p> / Doctorat en Sciences agronomiques et ingénierie biologique / info:eu-repo/semantics/nonPublished
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Cree traditional medicine and type 2 diabetes : an ethnobotanical and pharmacological study

Leduc, Charles January 2005 (has links)
Mémoire numérisé par la Direction des bibliothèques de l'Université de Montréal.
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JARDINS DE TERRE, JARDINS DE MER À TONGOA (VANUATU) Une anthropologie de la nature domestique dans un milieu affecté par la catastrophe / GARDENS OF EARTH, SEA GARDENS IN TONGOA (VANUATU) An anthropology of the domestic nature in an environment affected by the disaster

Calandra, Maëlle 11 December 2017 (has links)
Fondée sur dix-sept mois d’enquête ethnographique à Tongoa (entre 2013 et 2015), une île du Vanuatu, cette thèse et la réflexion qui la sous-tend portent sur les espaces travaillés, en mer comme sur terre. Elle prend comme fil conducteur les jardins de subsistance et met en évidence les relations qu’entretiennent les habitants de l’île, tant entre eux et avec ces deux types d’espaces, qu’avec les collectifs de non-humains qui peuplent leur monde. L’étude de la nature domestique révèle que la terre et la mer sont pensées dans un cadre commun et montre en quoi elles sont constitutives du mode de vie et des représentations de ceux qui les créent et les exploitent. L’environnement dans lequel évoluent les Man-Tongoa est marqué du sceau de catastrophes, dont la contingence constitue, pour eux, un inéluctable donné de l’existence. Les espaces appropriés sont régulièrement bouleversés, voire temporairement anéantis, par un événement sismique ou climatique de grande ampleur – comme le cyclone Pam, intervenu en mars 2015. L’ethnographie de cet événement et l’étude des différents phénomènes relevant de la catégorie locale de disasta démontrent comment est localement construite la notion de catastrophe lorsque la « tradition », les dénominations chrétiennes et les ONG en proposent des explications parfois incompatibles. / Based on seventeen months of fieldwork carried out between 2013 and 2015 on Tongoa, an island in the archipelago of Vanuatu, the present PhD dissertation and its underlying reflection aim to study domesticated spaces, both on the ground and in the sea. This research explores and follows the logics of subsistence gardens, underlying the relationships cultivated both between islanders and these spaces, and between them and the non-human entities inhabiting their world. Such an approach helps underline how the land and the sea are conceptualised in a common frame of understanding, and shows how both spaces equally build up the way of living and thinking of those who create them and tap into their resources. The environment of the Man-Tongoa bears the weight of potential disasters, whose very contingency is an inescapable given of daily reality. The appropriated spaces are regularly shattered, sometimes even temporarily wrecked, by large-scale seismic or climatic events – as demonstrated by the cyclone Pam, which took place in March 2015. The ethnography of this event and the analysis of the various phenomena pertaining to the local category of disasta demonstrate how the notion of disaster is locally constructed, when “tradition”, Christian denominations, and NGOs offer non mutually intelligible or compatible explanations.
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La subsistance des Pygmées Bakoya à l'épreuve de l'agriculture: dynamique des savoirs ethnobotaniques et des pratiques (Département de la Zadié, Ogooué-Ivindo, Gabon)

Soengas, Beatriz 07 January 2010 (has links) (PDF)
À l'origine chasseurs-cueilleurs semi-nomades, les Pygmées Bakoya vivent aujourd'hui dans des villages en bordure de route où ils cohabitent avec des groupes ethniques non-pygmées (Mwesa, Mahongwe, Kota, Kwele et Bongom). Ce groupe pygmée atypique car sédentaire depuis relativement longtemps et pratiquant désormais une agriculture comparable à celle des agriculteurs non-pygmées auprès desquels ils ont appris à cultiver, offre un cadre intéressant pour l'étude de la dynamique des savoirs naturalistes locaux. L'objet de ma thèse est d'étudier les répercussions que le changement de mode de subsistance des Bakoya a eu sur le corpus de savoir ethnobotanique, en me focalisant sur les plantes utilisées lors d'une activité traditionnelle, la collecte, et sur la principale culture vivrière, le manioc. Pour ce faire, j'ai mené une étude comparative et synchronique parmi les Bakoya d'Imbong et d'Ekata, deux villages contrastés en termes de distance à la ville et montrant aussi des différences socioéconomiques. J'ai analysé de quelle manière les savoirs ethnobotaniques variaient selon l'âge et le sexe parmi les Bakoya des deux villages. Le même protocole de recherche a été mis en place auprès de leurs voisins non-pygmées, permettant ainsi de les comparer aux Bakoya et de voir si les uns et les autres se différencient. La méthodologie employée est une combinaison de méthodes tant qualitatives que quantitatives. D'une part, j'ai réalisé une ethnographie pour décrire les groupes sociaux en présence, leur organisation sociale et leur mode de production. Elle a permis de mettre en lumière les changements sociaux, les transformations économiques de ce groupe : (i) la place importante qu'occupe l'agriculture dans le mode de production koya pour l'autoconsommation mais également pour la vente, (ii) l'abandon d'activités collectives traditionnelles, notamment de chasse, et (iii) des changements dans la nature des relations entre Bakoya et non-Pygmées, les Bakoya étant désormais, selon les cas, moins dépendants des non-Pygmées. D'autre part, j'ai fait appel à des méthodes quantitatives qui ont permis de mettre en lumière de quelle façon les savoirs ethnobotaniques liées aux activités de subsistance sont distribués et transmis. Parmi les résultats obtenus, il apparaît qu'aujourd'hui Bakoya et non-Pygmées partagent les mêmes pratiques agricoles et les mêmes connaissances concernant le manioc. Par contre, il existe des savoirs différenciés concernant les plantes de collecte, les Bakoya étant globalement plus connaisseurs que les non-Pygmées, avec des distinctions plus notables en ce qui concerne la médecine traditionnelle et les arbres employés pour la construction ou la fabrication d'objets utilitaires. Par ailleurs, hommes et femmes, bien qu'ayant des savoirs spécifiques liés aux pratiques qui leur incombent en écho à la division sexuelle du travail, ne sont pas pour autant dépourvus de savoirs liés aux tâches du sexe opposé. Malgré la scolarisation, de façon générale les enfants ont des connaissances importantes concernant les plantes de collecte, mais aussi le manioc. De plus, le changement de mode de subsistance a eu notamment comme conséquence un changement dans le système de valeurs des Bakoya. Dorénavant, après une sédentarisation relativement ancienne et une cohabitation longue avec les non-Pygmées, leurs priorités sont plus tournées vers l'agriculture. Les perceptions liées à la forêt se voient remodelées, en opérant une dichotomie entre le monde du village et celui de la forêt.
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Diagnostic partiel de la flore et de la végétation des Niayes et du Bassin arachidier au Sénégal : application de méthodes floristique, phytosociologique, ethnobotanique et cartographique. Partial diagnosis of flora and vegetation of the Niayes and Peanut Basin in Senegal: application of floristic, phyotsociologic, ethnobotanic and mapping methods.

Faye, Elhadji 13 September 2010 (has links)
Résumé Les recherches menées dans cette thèse ont porté sur la réactualisation des données sur la flore et la végétation de deux grandes zones agro-écologiques du Sénégal (les Niayes et le Bassin arachidier) en utilisant l’approche terroir pour mieux envisager la gestion conservatoire des ressources ligneuses. Dans les zones de savanes et de végétations sub-guinéennes respectivement du Bassin arachidier et des Niayes au Sénégal, 288 relevés ont été réalisés par stratification basée sur les villages ou groupes ethniques (Peul, Sérer et Wolof), les systèmes d’utilisation des terres et la topographie dans 6 terroirs villageois et 25 dans les sites de référence. Dans ces terroirs, la connaissance, la priorisation à la conservation des espèces, leur utilisations, comme préalables à la gestion durable de la biodiversité des agrosystèmes, ont aussi été abordées sur 124 espèces ligneuses par enquête ethnobotanique auprès de 216 répondants équitablement répartis entre les ethnies, âges et genres. Ces informants ont aussi évalué la dynamique des formations végétales suivant leur position sur la toposéquence. Les informations sur la dynamique d’occupation des terres ont été obtenues par la cartographie multi-date à partir de photo-aériennes (1954, 1989) et d’image Google earth 2006. Une expérimentation factorielle à trois facteurs (espèces, hauteur et diamètre de coupe) avec 15 répétitions, a été conduite dans le Bassin arachidier sur la régénération des souches des deux principales Combretaceae de la zone (Combretum glutinosum et Guiera senegalensis). Les données obtenues ont été soumises à des analyses multi et uni-variées. Les résultats phytosociologiques ont montré l’individualisation de onze groupements (G) dont d’une part, deux de savane (G4 et G8), un de forêts secondaires (G10) et deux autres issus des végétations semi-aquatiques (G1 et G5) qui sont les plus proches des situations naturelles, et d’autre part deux de milieux perturbés (G6 et G7) et quatre de milieux cultivés et post-culturaux (G2, G3, G9 et G11). Les premiers groupements sont progressivement envahis par les espèces des milieux perturbés, et les seconds par les espèces rudérales et nitrophiles. La position synsystématique de ces groupements a été donnée. 336 espèces ont été recensées : 260 dans les Niayes et 176 dans le Bassin arachidier. La richesse des critères de naturalités des terroirs peuls n’est pas toujours supérieure à celle des autres terroirs dans les deux zones. Les résultats d’enquête montrent une subdivision des espèces en quatre classes de priorité à la sauvegarde. Les plus prioritaires sont à usages multiples. En outre, les résultats ethnobotaniques montrent clairement que les villages des Niayes sont globalement séparés de ceux du Bassin arachidier mais aussi que les villages homologues sont différents. L’évaluation ethnobotanique de la diversité végétale est plus importante dans la zone du Bassin arachidier comparée aux Niayes. Elle augmente avec la densité dans les Niayes comme dans le Bassin arachidier excepté dans le terroir wolof de ce dernier. Les villages du Bassin arachidier ne présentent aucune restriction dans le choix des espèces destinées à satisfaire leurs différents besoins. Ce manque de sélectivité y est total et renseigne sur le niveau de rareté des ressources ligneuses. Les résultats cartographiques montrent que les zones des Niayes et du Bassin arachidier connaissent une transformation importante du paysage essentiellement due au processus de création ou d’agrégation des champs en vigueur partout. Cela s’est fait au détriment des formations végétales : suppression des savanes arborées dans les deux zones, suppression et agrégation des savanes arbustives dans les Niayes, fragmentation et dissection dans le Bassin arachidier. Dans le régime de taillis à courte rotation du Bassin arachidier, il serait plus indiqué de pratiquer une coupe sélective suivant les classes de diamètre et les espèces afin de concilier productivité et durabilité en favorisant le développement des rejets proventifs. Une extension de l’approche terroir dans les autres zones éco-géographiques du pays devrait être testée pour vérifier les tendances obtenues dans ce travail et recenser et suivre les groupements végétaux, les intégrer dans la classification moderne afin de faciliter le suivi de leur évolution spatio-temporelle. Elle permettrait sans doute l’évaluation de la variabilité locale de l’importance des espèces. Abstract Researches carried out in this thesis about updating flora and vegetation data from two major agroecological regions of Senegal (Niayes and Peanut Basin) used village-scale based methodology in order to better consider ligneous resources conservation. In savannas and sub-guinean vegetations of respectively Peanut Basin and Niayes, 288 records were realized upon stratification method based on ethnic groups (Wolof, Peul and Sérer), land use systems and topography in 6 villages and 25 records in the reference sites. In these villages, knowledge, priorisation and uses, prior to sustainable agrobiodiversity management, were also addressed on 124 ligneous species by ethnobotanic survey with 216 respondants equally distributed to ethnic groups, ages and gender. Respondants also addressed vegetation dynamics a long topographic position. Informations on land occupation trends were gained by air-photography cartography and Google earth 2006 image. Factorial experimentation on 3 factors (species, high and diameter of sprouting) with 15 repetitions was implemented on stump regeneration dynamics of the 2 principal Combretaceae in the Peanut Basin region (Combretum glutinosum and Guiera senegalensis). Multivariate and univariate analysis were performed on the data. Phytosociological results showed discrimination of 11 vegetation groups (G). Two of them (G4 and G8) are savannas samples, one secondary forest (G10), two from semi-aquatic vegetation (G1 and G5); in the other hand, two groups of disturbed situations (G6 and G7) and four cultivated and postcultural groups were found (G2, G3, G9 and G11). The first groups were progressively invaded by cultural and poscultural species and the second groups by ruderary and adventitious species. Systematic position of these groups was indicated. 336 species were recorded: 260 in the Niayes and 176 in the Peanut Basin). Richness in wilderness criterion was not always superior in peul villages. Ethnobotanical results showed subdivision of species diversity in 4 classes of conservation priority. Most conservation priority species were multipurpose trees. A clear separation between Niayes villages and Peanut basin ones, and also between counterparts’ villages was found. Ethnobotanical valuation of species was higher in the Peanut Basin area. It grows with human density a part from wolof village of the Peanut basin. Villages of the Groundnut Basin showed no selectivity in the choice of species to meet their different needs. This lack of selectivity is complete and translates woody resources scarcity. Cartographic results show an important landscape transformation in Niayes and Peanut basin areas due to fields creation or aggregation processes running everywhere. This occurred against vegetation formations : attrition of woody savanna in the two zones, attrition and aggregation of shrubby savanna in Niayes area, fragmentation and dissection in Peanut basin. In short term cutting system of the Peanut Basin, it should be better to practise a selective logging method according to species and diameter classes in order to reconcile productivity and sustainability by ensuring stumps’ low-stem resprouting. An extension of terroir approach methodology in other local eco-geographical zones of Senegal should be tested in order to complete the identification and monitoring of the dynamics of plant communities, their integration into modern classification to facilitate the monitoring of their spatio-temporal evolution. It should allow the assessment of species local importance variability.
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Of people and plants a botanical ethnography of Nokopo Village, Madang and Morobe Provinces, Papua New Guinea /

Schmid, Christin Kocher. January 1991 (has links)
Originally presented as the author's Thesis (doctoral)--University of Basel, 1990. / Includes bibliographical references (p. 327-336).
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Ethnobotanique et ethnopharmacologie de la flore de Chypre et de l'Est méditerranéen /

Arnold-Apostolidès, Nelly. January 1991 (has links)
Texte remanié de: Th. Etat--Pharmacie--Univ. René Descartes-Paris 5, 1985. / Bibliogr. p. 2186-2201. Index en français, latin et grec.
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Of people and plants a botanical ethnography of Nokopo Village, Madang and Morobe Provinces, Papua New Guinea /

Schmid, Christin Kocher. January 1991 (has links)
Originally presented as the author's Thesis (doctoral)--University of Basel, 1990. / Includes bibliographical references (p. 327-336).
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Ethnoécologie des Mitsogho du Gabon : Ethnobotanique et Ethnozoologie / Ethnoecology of the Mitsogho of Gabon (ethnobotany and ethnozoology)

Mogomba, Guy Serge 15 October 2013 (has links)
Notre étude a porté sur les utilisations socioculturelles de la faune et de la flore chez les Mitsogho du Gabon. Autrement dit, elle met l'homme en relation avec son environnement. Il s'est agi de la mise en évidence de la façon dont les Mitsogho du Gabon conçoivent, conceptualisent et activent leur relation avec le monde non humain visible et invisible, notamment végétal et animal. Nous avons ainsi vu apparaître deux approches contrastées par rapport à une hypothétique relation homme/nature : la première, celle des Sociétés dites « traditionnelles », considère, conformément aux « théories indigènes » (Claude Lévi-Strauss) et à la démonstration d'un Philippe Descola, que l'ensemble des créateurs font partie d'un continuum dont les éléments différenciés se doivent d'entretenir des relations de conciliation et d'échange équitable, où l'être humain particulièrement est défini comme partie intégrante des biotopes et des écosystèmes, la seconde, celle des sociétés industrialisées, repose sur un antagonisme explicite dans les textes fondateurs (la Genèse dans la tradition chrétienne), des religions dites « révélées » qui positionnent les êtres humains comme « maîtres » et « régisseurs » de la création. Une telle attitude est le moteur de toutes politiques dites « de développement » durable ou non. La perspective est diachronique et elle vise à montrer ce qui se passe lorsque deux modes d'être, de penser et d'agir (MEPA) contraires entrent en collision, dans un contexte que nous définissons globalement comme « colonial ». / Our study focused on the sociocultural use of fauna and flora amongst the Mitsogho of Gabon. In other terms, it puts the man in relationship with his environment. It was about demonstrating the way of which the Mitsogho of Gabon conceive, conceptualize and activate their relationship with the visible and invisible world, notably plant and animal. The study showed the emerging of two approaches contrasted in relation to an hypothetical relationship between man and nature : the first approach being the so call "traditional", consider according to the "indigenous" theories (Claude Lévi-Strauss) and to the demonstration of Philippe Descola, that all creatures are part of a continuum of which the differentiated elements must maintain relations of conciliation and equitable exchange, where the human being is particularly defined as integral part of the biotopes and the ecosystems ; the second, the one of the industrialized societies, based on an explicit antagonism in the founding texts (the Genesis in the Christian tradition), of the so call "revealed" religion that positions the human beings as "masters" and "managers" of the creation. Such an attitude is the motor of all policies so call "sustainable development" or not. The perspective is diachronic and it aims to show what happens when two opposite ways of being, of thinking and of acting (MEPA) come into collision, in a context that we define globally as "colonial".
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Etude ethnobotanique, phytochimique et activités biologiques de Nauclea latifolia Smith, une plante médicinale africaine récoltée au Mali / Ethnobotanical, phytochemical and biological activities of Nauclea latifolia Smith, an African medicinal plant harvested in Mali

Badiaga, Mamadou 07 December 2011 (has links)
Nauclea latifolia Smith (Rubiaceae) est une plante aux vertus médicinales beaucoup plus connues en Afrique sub-saharienne dans la pharmacopée traditionnelle pour ses nombreuses activités pharmacologiques. N. latifolia Sm. est un arbre ou arbuste d'espèce soudano-sahélienne ; ses zones d'abondance sont principalement l'Afrique Occidentale et Centrale. Sa large utilisation en médecine traditionnelle , nous a incités à réaliser une enquête ethnobotanique et un screening phytochimique afin de mettre en cohérence les prescriptions et les activités potentielles des constituants chimiques présents. Les principales classes de métabolites secondaires, principalement les alcaloïdes, les flavonoïdes, les tanins, les stérols et terpéniques ont été recherchés dans les feuilles, écorces et racines de la plante. N. latifolia Sm. de par la présence des nombreuses familles chimiques, possède des activités biologiques intéressantes. Les extraits d'alcaloïdes totaux issus des 3 organes de la plante, ont prouvé une activité anticancéreuse. Ces extraits inhibent la prolifération des cellules cancéreuses mammaires MCF-7. Outre l'activité antitumorale, les extraits alcaloïdes de N. latifolia Sm. agissent contre la douleur. Ils inhibent en effet de la douleur après injection de l'acide acétique à 0,6 % chez la souris. Cependant, N. latifolia Sm. se présente comme une plante aux nombreux médicaments. Au regard de ces activités biologiques intéressantes, il convient de mener des investigations intenses pour enrichir la production des Médicaments Traditionnels Améliorés (MTA). / Nauclea latifolia Smith (Rubiaceae) is a plant with curative virtues much more known in Sub-Saharan Africa in the traditional pharmacopoeia for the numerous biological activities. N. latifolia Sm.is a shrub or tree Soudano-Sahelian species ; his zones of abundance are in most cases Western and Central Africa. His wide use in traditional medecine incited us to realize an ethnobotany investigation and a phytochemical screening to put in coherence the prescriptions and the potential activities of the chemical constituents. The main classes of metabolites secondary sectors, maily alkaloids, flavonoids, tannins, sterols and terpenoids, were looked for in the leaves, barks of stems and roots. N. latifolia Sm. all over the presence of its numerous chemical families have interesting pharmacological activities. The extracts of existent complete alkaloids of the 3 organs of the plant, proved an anticancerous activities. These extracts inhibit the proliferation of the mammary cancerous cells MCF-7. Besides, activity antitumorale extracts alkaloids of N. latifolia Sm. act against pain. They inhibit the effect of pain after injection acetic acid in 0,6 % to the mice. However, N. latifolia Sm. comes as a plant in numerous drugs. With regard to the interesting biological activities, it is necessary to lead intense investigation to enrich the production of Traditional Ameliorated Drugs.

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