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A comparative study of euphemisms in Chinese, English and French

Liu, Yong Gang January 2008 (has links)
Mémoire numérisé par la Division de la gestion de documents et des archives de l'Université de Montréal.
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A comparative study of euphemisms in Chinese, English and French

Liu, Yong Gang January 2008 (has links)
Mémoire numérisé par la Division de la gestion de documents et des archives de l'Université de Montréal
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L’économiquement correct : analyse du discours euphémique sur la crise dans la presse française et italienne / Economically correct : analysis of euphemistic speech on economic crisis in French and Italian general press

Ruccella, Loredana 01 April 2014 (has links)
Notre recherche trouve sa raison d’être au cours de l’été 2007 lorsque le marché américain des prêts immobiliers hypothécaires - les désormais célèbres prêts subprimes, octroyés aux ménages en situation de difficulté financière et dont la capacité de remboursement était très faible, voire nulle - s’effondre en engendrant une crise très violente qui, en l’espace de quelques mois, s’étend au monde entier et frappe les secteurs les plus divers de la finance jusqu’à atteindre, comme il était prévisible, l’économie réelle. Confrontés à ces faits et inondés par une avalanche de mots identiques, de discours dangereusement uniformes, de solutions uniques étrangement partagées par tout le monde, nous avons été envahis par un sentiment de mécompréhension, de perplexité et de méfiance qui nous a incité à lire entre les lignes, à analyser, filtrer et interpréter l’information qui nous parvenait. Cette activité nous a permis de porter notre réflexion sur l’hypothèse que la presse diffuse un type de discours homogène, unique et standardisé se caractérisant par le recours à certaines techniques discursives permettant de soutenir le modèle économique néolibéral et d’orienter le lecteur vers une perception de la réalité économique façonnée à l’image de celui-ci. Nous appellerons ce discours, discours économiquement correct. Cette hypothèse sera vérifiée suite à l’analyse d’un ensemble d’articles issus des pages économiques de trois quotidiens français et de trois quotidiens italiens d’information générale et d’importance majeure : Le Monde, Libération, Le Figaro, La Stampa, La Repubblica et Il Corriere della Sera. Compte tenu de ces considérations, notre objectif sera celui d’analyser la manière dont la presse traite le problème de la crise et notre domaine de recherche sera celui des pages économiques de la presse générale ; nous serons donc confrontés à l’analyse d’un langage – ou plus exactement, d’un discours – de vulgarisation économique. Dans la première partie de notre travail – conçue comme un état des lieux de la problématique posée – nous introduirons les concepts clés de notre recherche. Nous approcherons donc ici les questions définitionnelles en proposant, dans un premier temps, une description historique retraçant les étapes principales du développement de l’euphémisme du Moyen Âge au XXIe siècle et, dans un deuxième temps, une réflexion autour du concept même d’euphémisme. Nous prêterons également attention à l’évolution du journalisme économique. La deuxième partie de notre travail fera donc l’objet d’une étude dont la problématique s’inscrit dans la volonté de préciser la nature du discours économiquement correct. La troisième partie de notre thèse se présentera comme une réflexion autour du caractère manipulatoire du discours économiquement correct.Dans la quatrième partie, nous élaborerons un outil lexicographique bilingue, répertoriant les substituts potentiellement euphémiques identifiés au cours de notre recherche. / The aim of this work is to study the way in which the euphemization of economic speech, vulgarized by general press, supports the elaboration of a homogeneous and standardized speech characterized by the use of some speech techniques supporting neoliberalism. This speech will be called economically correct. This work is based upon a corpus consisting of a set of articles from the economic pages of the national French and Italian dailies Le Monde, Libération, Le Figaro, La Stampa, La Repubblica et Il Corriere della Sera.
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No limite do diálogo : eufemismo e enunciação em Émile Benveniste

Stumpf, Elisa Marchioro January 2017 (has links)
Cette recherche se propose de formuler, à partir de la perspective énonciative développée par Émile Benveniste, une conception d’euphémisme , phénomène linguistique généralement défini comme une forme d’atténuer une expression désagréable. Plus spécifiquement, on cherche à : a) réaliser une lecture de l’ouvrage benvenistien qui met en évidence la dimension anthropologique de sa théorie du langage ; b) analyser comment la problématique de l’euphémisme se présente chez le linguiste et l’associer aux réflexions sur l’énonciation et le dialogue menées par Benveniste ; c) démontrer comment l’euphémisme sert à aborder le rapport entre langue et culture à travers le biais de l’interdiction ; d) proposer une possibilité d’interprétation de l’euphémisme fondée sur la théorie de Benveniste. Pour y parvenir, on réalise une recherche bibliographique sur l’euphémisme qui synthétise les caractéristiques du phénomène communes à des approches diverses et qui atteste l’absence d’une perspective énonciative de traitement de la question. On procède aussi à une lecture des Problèmes de Linguistique Générale I et II et du Vocabulaire des Institutions Indo-Européenes qui compte sur les contributions de lecteurs de l’ouvrage benvenistien, parmi lesquels on détache Ono (2012, 2007), Flores (2017a, 2016, 2013, 2010) et Dessons (2006). Dans notre étude, on constate que l’approche de l’euphémisme chez Benveniste est en rapport avec la question de la blasphémie , du serment et de la performativité. On formule donc que l’euphémisme peut être considéré comme un mécanisme qui dit X et indique comment X atténue Y (le contenu interdit), en évoquant une notion Y donnée sans la désigner lorsqu’il mobilise des aspects non caractéristiques de Y. La caractérisation de la blasphémie et de l’euphémisme nous conduit à développer une réflexion sur comment les deux phénomènes se trouvent à la « limite du ‘dialogue’ » (BENVENISTE, 2006, p. 90). En outre, notre travail cherche à discuter ce que les euphémismes révèlent à propos du rapport entre langue, culture et l’homme, ce qui renforce la possibilité d’aborder les formes singulières par lesquelles l’homme se fait présent dans la langue à travers l’ouverture de la dimension anthropologique chez Benveniste. / A presente pesquisa busca formular, a partir da perspectiva enunciativa tal como desenvolvida por Émile Benveniste, uma concepção de eufemismo, fenômeno linguístico comumente definido como uma forma de atenuar uma expressão desagradável. Mais especificamente, procuramos: a) realizar uma leitura da obra benvenistiana que dê relevo à dimensão antropológica da sua teoria sobre a linguagem; b) analisar como a problemática do eufemismo se faz presente na obra do linguista e relacioná-la com as reflexões sobre enunciação e diálogo tecidas por Benveniste; c) demonstrar como o eufemismo serve para abordar a relação entre língua e cultura por meio do viés da interdição e d) propor uma possibilidade de interpretação do eufemismo com base na teoria de Benveniste. Para tanto, realizamos uma pesquisa de literatura sobre eufemismo, que sintetiza as características do fenômeno comuns a várias abordagens, bem como atesta a ausência de uma perspectiva enunciativa de tratamento da questão. Também foi empreendida uma leitura dos Problemas de Linguística Geral I e II e do Vocabulário das Instituições Indo-Europeias, que conta com as contribuições de leitores da obra benvenistiana, dentre os quais destacamos Ono (2012, 2007), Flores (2017a, 2016, 2013, 2010) e Dessons (2006). Em nosso estudo, constatamos que a abordagem do eufemismo em Benveniste está relacionada com a questão da blasfemia, do juramento e da performatividade. Formulamos, então, que o eufemismo pode ser considerado como um mecanismo que diz X e aponta para como X atenua Y (conteúdo interdito), evocando uma determinada noção Y sem designá-la, ao mobilizar aspectos não característicos de Y. A caracterização da blasfemia e da eufemia levou-nos a desenvolver uma reflexão sobre como ambos os fenômenos se encontram no “limite do ‘diálogo’” (BENVENISTE, 2006, p. 90). Além disso, nosso trabalho procurou discutir sobre o que os eufemismos revelam a respeito da relação entre língua, cultura e homem, o que reforça a possibilidade de abordar as formas singulares pelas quais o homem se faz presente na língua através da abertura da dimensão antropológica da obra de Benveniste.
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No limite do diálogo : eufemismo e enunciação em Émile Benveniste

Stumpf, Elisa Marchioro January 2017 (has links)
Cette recherche se propose de formuler, à partir de la perspective énonciative développée par Émile Benveniste, une conception d’euphémisme , phénomène linguistique généralement défini comme une forme d’atténuer une expression désagréable. Plus spécifiquement, on cherche à : a) réaliser une lecture de l’ouvrage benvenistien qui met en évidence la dimension anthropologique de sa théorie du langage ; b) analyser comment la problématique de l’euphémisme se présente chez le linguiste et l’associer aux réflexions sur l’énonciation et le dialogue menées par Benveniste ; c) démontrer comment l’euphémisme sert à aborder le rapport entre langue et culture à travers le biais de l’interdiction ; d) proposer une possibilité d’interprétation de l’euphémisme fondée sur la théorie de Benveniste. Pour y parvenir, on réalise une recherche bibliographique sur l’euphémisme qui synthétise les caractéristiques du phénomène communes à des approches diverses et qui atteste l’absence d’une perspective énonciative de traitement de la question. On procède aussi à une lecture des Problèmes de Linguistique Générale I et II et du Vocabulaire des Institutions Indo-Européenes qui compte sur les contributions de lecteurs de l’ouvrage benvenistien, parmi lesquels on détache Ono (2012, 2007), Flores (2017a, 2016, 2013, 2010) et Dessons (2006). Dans notre étude, on constate que l’approche de l’euphémisme chez Benveniste est en rapport avec la question de la blasphémie , du serment et de la performativité. On formule donc que l’euphémisme peut être considéré comme un mécanisme qui dit X et indique comment X atténue Y (le contenu interdit), en évoquant une notion Y donnée sans la désigner lorsqu’il mobilise des aspects non caractéristiques de Y. La caractérisation de la blasphémie et de l’euphémisme nous conduit à développer une réflexion sur comment les deux phénomènes se trouvent à la « limite du ‘dialogue’ » (BENVENISTE, 2006, p. 90). En outre, notre travail cherche à discuter ce que les euphémismes révèlent à propos du rapport entre langue, culture et l’homme, ce qui renforce la possibilité d’aborder les formes singulières par lesquelles l’homme se fait présent dans la langue à travers l’ouverture de la dimension anthropologique chez Benveniste. / A presente pesquisa busca formular, a partir da perspectiva enunciativa tal como desenvolvida por Émile Benveniste, uma concepção de eufemismo, fenômeno linguístico comumente definido como uma forma de atenuar uma expressão desagradável. Mais especificamente, procuramos: a) realizar uma leitura da obra benvenistiana que dê relevo à dimensão antropológica da sua teoria sobre a linguagem; b) analisar como a problemática do eufemismo se faz presente na obra do linguista e relacioná-la com as reflexões sobre enunciação e diálogo tecidas por Benveniste; c) demonstrar como o eufemismo serve para abordar a relação entre língua e cultura por meio do viés da interdição e d) propor uma possibilidade de interpretação do eufemismo com base na teoria de Benveniste. Para tanto, realizamos uma pesquisa de literatura sobre eufemismo, que sintetiza as características do fenômeno comuns a várias abordagens, bem como atesta a ausência de uma perspectiva enunciativa de tratamento da questão. Também foi empreendida uma leitura dos Problemas de Linguística Geral I e II e do Vocabulário das Instituições Indo-Europeias, que conta com as contribuições de leitores da obra benvenistiana, dentre os quais destacamos Ono (2012, 2007), Flores (2017a, 2016, 2013, 2010) e Dessons (2006). Em nosso estudo, constatamos que a abordagem do eufemismo em Benveniste está relacionada com a questão da blasfemia, do juramento e da performatividade. Formulamos, então, que o eufemismo pode ser considerado como um mecanismo que diz X e aponta para como X atenua Y (conteúdo interdito), evocando uma determinada noção Y sem designá-la, ao mobilizar aspectos não característicos de Y. A caracterização da blasfemia e da eufemia levou-nos a desenvolver uma reflexão sobre como ambos os fenômenos se encontram no “limite do ‘diálogo’” (BENVENISTE, 2006, p. 90). Além disso, nosso trabalho procurou discutir sobre o que os eufemismos revelam a respeito da relação entre língua, cultura e homem, o que reforça a possibilidade de abordar as formas singulares pelas quais o homem se faz presente na língua através da abertura da dimensão antropológica da obra de Benveniste.
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No limite do diálogo : eufemismo e enunciação em Émile Benveniste

Stumpf, Elisa Marchioro January 2017 (has links)
Cette recherche se propose de formuler, à partir de la perspective énonciative développée par Émile Benveniste, une conception d’euphémisme , phénomène linguistique généralement défini comme une forme d’atténuer une expression désagréable. Plus spécifiquement, on cherche à : a) réaliser une lecture de l’ouvrage benvenistien qui met en évidence la dimension anthropologique de sa théorie du langage ; b) analyser comment la problématique de l’euphémisme se présente chez le linguiste et l’associer aux réflexions sur l’énonciation et le dialogue menées par Benveniste ; c) démontrer comment l’euphémisme sert à aborder le rapport entre langue et culture à travers le biais de l’interdiction ; d) proposer une possibilité d’interprétation de l’euphémisme fondée sur la théorie de Benveniste. Pour y parvenir, on réalise une recherche bibliographique sur l’euphémisme qui synthétise les caractéristiques du phénomène communes à des approches diverses et qui atteste l’absence d’une perspective énonciative de traitement de la question. On procède aussi à une lecture des Problèmes de Linguistique Générale I et II et du Vocabulaire des Institutions Indo-Européenes qui compte sur les contributions de lecteurs de l’ouvrage benvenistien, parmi lesquels on détache Ono (2012, 2007), Flores (2017a, 2016, 2013, 2010) et Dessons (2006). Dans notre étude, on constate que l’approche de l’euphémisme chez Benveniste est en rapport avec la question de la blasphémie , du serment et de la performativité. On formule donc que l’euphémisme peut être considéré comme un mécanisme qui dit X et indique comment X atténue Y (le contenu interdit), en évoquant une notion Y donnée sans la désigner lorsqu’il mobilise des aspects non caractéristiques de Y. La caractérisation de la blasphémie et de l’euphémisme nous conduit à développer une réflexion sur comment les deux phénomènes se trouvent à la « limite du ‘dialogue’ » (BENVENISTE, 2006, p. 90). En outre, notre travail cherche à discuter ce que les euphémismes révèlent à propos du rapport entre langue, culture et l’homme, ce qui renforce la possibilité d’aborder les formes singulières par lesquelles l’homme se fait présent dans la langue à travers l’ouverture de la dimension anthropologique chez Benveniste. / A presente pesquisa busca formular, a partir da perspectiva enunciativa tal como desenvolvida por Émile Benveniste, uma concepção de eufemismo, fenômeno linguístico comumente definido como uma forma de atenuar uma expressão desagradável. Mais especificamente, procuramos: a) realizar uma leitura da obra benvenistiana que dê relevo à dimensão antropológica da sua teoria sobre a linguagem; b) analisar como a problemática do eufemismo se faz presente na obra do linguista e relacioná-la com as reflexões sobre enunciação e diálogo tecidas por Benveniste; c) demonstrar como o eufemismo serve para abordar a relação entre língua e cultura por meio do viés da interdição e d) propor uma possibilidade de interpretação do eufemismo com base na teoria de Benveniste. Para tanto, realizamos uma pesquisa de literatura sobre eufemismo, que sintetiza as características do fenômeno comuns a várias abordagens, bem como atesta a ausência de uma perspectiva enunciativa de tratamento da questão. Também foi empreendida uma leitura dos Problemas de Linguística Geral I e II e do Vocabulário das Instituições Indo-Europeias, que conta com as contribuições de leitores da obra benvenistiana, dentre os quais destacamos Ono (2012, 2007), Flores (2017a, 2016, 2013, 2010) e Dessons (2006). Em nosso estudo, constatamos que a abordagem do eufemismo em Benveniste está relacionada com a questão da blasfemia, do juramento e da performatividade. Formulamos, então, que o eufemismo pode ser considerado como um mecanismo que diz X e aponta para como X atenua Y (conteúdo interdito), evocando uma determinada noção Y sem designá-la, ao mobilizar aspectos não característicos de Y. A caracterização da blasfemia e da eufemia levou-nos a desenvolver uma reflexão sobre como ambos os fenômenos se encontram no “limite do ‘diálogo’” (BENVENISTE, 2006, p. 90). Além disso, nosso trabalho procurou discutir sobre o que os eufemismos revelam a respeito da relação entre língua, cultura e homem, o que reforça a possibilidade de abordar as formas singulares pelas quais o homem se faz presente na língua através da abertura da dimensão antropológica da obra de Benveniste.
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L’Interdit linguistique en langue espagnole et cultures hispaniques : étude pragma-linguistique de l'euphémisme et du dysphémisme / The Forbidden linguistic in Spanish language and in the Hispanic cultures : pragmalinguistic study of euphemism and dysphemism

Fakhreddine, Mehra 18 December 2015 (has links)
Tout discours obéit à la règle de l’interdit, l’euphémisme représente un moyen de détournement par excellence, permettant d’éviter « les paroles de mauvais augure » pour dire « des paroles de bon augure ». Il joue le rôle d’un « déodorant du langage » comme le disent Jamet et Jobert. Bref, l’euphémisme est à l’opposé d’un langage âpre, le dysphémisme. L’intérêt de ce dernier, n’est pas la rupture avec les associations du mot tabou, mais bien au contraire, dans le fait qu’il s’efforce de les évoquer avec plus d’intensité. Pourtant, l’euphémisme et le dysphémisme, loin de se réduire à des procédés banals qui font l’objet d’une simple substitution lexicale du terme interdit, sont avant tout des phénomènes éminemment énonciatifs dont la valeur dépend du contexte. Ainsi, l’euphémisme ou le dysphémisme n’existe pas en lui-même, mais en fonction de sa situation de communication et de sa reconnaissance par le récepteur. Notre réflexion s’inscrit dans le cadre d’une analyse pragma-linguistique de l’euphémisme et du dysphémisme en langue espagnole. Notre objectif majeur est d’interroger le processus d’euphémisation et le processus dysphémique : d’un côté, selon une approche sémantico-lexicale qui se limite à une substitution du tabou par le biais des procédures linguistiques euphémiques ou dysphémiques, et de l’autre, selon une approche pragmatique, par laquelle le signe tabou acquiert sa valeur en fonction de son entourage contextuel, et dans laquelle l’euphémisme ou le dysphémisme sont considérés comme des actes de langage. Nous voulons par ce choix illustrer qu’au plan discursif l’euphémisme et le dysphémisme sont l’objet d’une visée communicative différente de celle du plan proprement linguistique ou sémantique. / Any discourse obeys the rule of prohibition; the euphemism is a means of diversion by excellence, to avoid "ominous words" to mean "auspicious words." It acts as a "deodorant language" as Jamet and Jobert say. In short, the euphemism is the opposite of a harsh language, the dysphemism. The advantage of the latter, is not breaking with the associations of the taboo word, but rather is that it strives to evoke with greater intensity. Yet the euphemism and dysphemism, far from being reduced to mundane processes that are the subject of a simple lexical substitution of the prohibited term, they are above all eminently enunciative phenomena whose value depends on the context. Thus, the euphemism or dysphemism does not exist in itself, but according to the communication situation and its recognition by the receiver. Our thinking is part of a pragma-linguistic analysis of the Spanish language of euphemism and dysphemism. Our major objective is to question the process of both euphemism and dysphemism: on one side, according to a semantic-lexical approach that is limited to a substitution of the taboo through linguistic procedures of euphemism or dysphemism, and on the other side, according to a pragmatic approach in which the taboo sign acquires its value based on its contextual surroundings, and in which the euphemism or dysphemism are considered acts of language. We want to illustrate that by this choice at the discursive plan the euphemism and the dysphemism are subject to different communicative focus than the strictly linguistic or semantic plan.

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