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L'acquisition des clitiques sujets en français L2 par des apprenants inuits

Benoît, Alain 11 April 2018 (has links)
Ce mémoire rapporte une étude en acquisition du français langue seconde (L2) examinant la présence des catégories fonctionnelles dans les grammaires d'apprenants inuits débutants étudiant au primaire, à travers l'apparition des clitiques sujets. Selon la théorie linguistique, il existe un lien très fort entre les clitiques et les catégories fonctionnelles. De plus, les clitiques sont présents en français, mais absents en inuttitut. Les données, provenant d'entrevues réalisées avec les participants, sont compatibles avec l'hypothèse « Minimal Trees » (Vainikka & Young-Scholten 1994), selon laquelle les catégories fonctionnelles ne font pas partie des grammaires initiales. Les clitiques émergent en effet tardivement, plus tard que chez les participants d'études antérieures. Ceci peut s'expliquer par le contexte scolaire de la communauté inuite où la recherche fut réalisée. L'émergence des clitiques indique la présence de catégories fonctionnelles dans les grammaires sous-jacentes, dont ils pourraient déclencher l'apparition, grâce à l'action conjointe de la Grammaire Universelle.
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Phénomènes d'interface, stades d'acquisition et variabilité : explications en termes de degrés de complexité computationnelle

Mercier, Steeve 17 April 2018 (has links)
Cette étude suggère que ce n'est pas les interfaces en général qui causent des difficultés en acquisition d'une L2, mais la complexité computationnelle qui leur est inhérente et qui provoque un important fardeau sur la mémoire de travail. Lorsque les apprenants ne peuvent gérer cette complexité, les comportements non cibles (ex. omission, transfert, surgénéralisation, variabilité) découlent de considérations computationnelles forçant naturellement des options structurelles plus économiques (O'Grady et al., 2009). L'acquisition des clitiques accusatifs du français le et me par des apprenants japonophones adultes a été examinée. Ces clitiques impliquent deux interfaces qui peuvent être étudiées en parallèle - syntaxe/phonologie, syntaxe/pragmatique - et leurs propriétés multimodulaires sont absentes en japonais : la catégorie SCAcc (en syntaxe); le segment IV, plus deux propriétés phonotactiques (en phonologie); le statut [+ argumentai] de la catégorie Temps, qui ne permet pas l'omission de l'objet même si le contexte identifie les referents (en pragmatique). Notre hypothèse principale est que les apprenants vont acquérir la syntaxe des clitiques avant qu'ils ne puissent en maîtriser les propriétés aux interfaces. La raison est que le traitement des interfaces, avec leurs propriétés multimodulaires, implique un travail computationnel accru par rapport au traitement de la syntaxe seule (Sorace, 2006). Les résultats, provenant de cinq tâches administrées à 15 apprenants débutants, 15 intermédiaires, 15 avancés et à 15 locuteurs natifs, confirment notre hypothèse : les intermédiaires, qui ont acquis la syntaxe des clitiques en raison de leurs jugements grammaticaux cibles (comme ceux des natifs), ne peuvent toujours pas intégrer en parallèle les propriétés des clitiques lors de tâches de production induite écrite (ciblant l'interface syntaxe/pragmatique) et orale (ciblant en particulier l'interface syntaxe/phonologie). Leurs résultats moyens à ces tâches, soit 46,8% et 45,6%, sont significativement inférieurs à ceux des locuteurs natifs, lesquels atteignent 87,4% et 88,9%. En fait, ce n'est qu'à partir du niveau avancé que les apprenants sont en mesure de gérer les coûts de traitement des interfaces syntaxe/phonologie et syntaxe/pragmatique. Une analyse plus fine à partir de tâches de perception et de répétition révèle cependant que, contrairement aux natifs, les avancés (tout comme pour les débutants et les intermédiaires) ont d'importantes difficultés avec la phonologie cible, particulièrement avec le phonème /1/ du clitique le.
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Connaissances d'élèves québécois de 1re et de 4e secondaire sur la notion de sujet syntaxique

Laprise, Justine 17 May 2023 (has links)
Titre de l'écran-titre (visionné le 8 mai 2023) / La compétence à écrire des textes est complexe et nécessite de nombreuses connaissances, dont celles liées aux aspects normés et régulés du français écrit. C'est entre autres pour cette raison que l'enseignement systématique de la grammaire est prescrit dans les programmes d'études du primaire et du secondaire au Québec. La notion de sujet syntaxique est fondamentale dans le cursus grammatical, puisqu'elle a des impacts en écriture. Elle est enseignée dès le primaire et jusqu'à la fin du secondaire en suivant une progression. Quelles sont les connaissances d'élèves du secondaire à ce propos ? Évoluent-elles en cours d'année ? Ce sont là des questions qui nous ont intéressée dans le cadre de ce mémoire. Nous avons mené une recherche descriptive comparative à caractère exploratoire dans le but de décrire et de comparer les connaissances d'élèves de 1ʳᵉ et de 4ᵉ secondaire sur un cas bien précis de réalisation du sujet syntaxique et sur la description de l'évolution de ces connaissances en cours d'année. Nous avons analysé 194 tests (97 prétests et 97 posttests) administrés à des élèves d'un centre de services scolaire de la grande région de Québec. Dans ces tests, les élèves devaient justifier l'identification de sujets syntaxiques dans un énoncé donné en début et en fin d'année. L'analyse des données montre notamment que les connaissances évoluent en cours d'année, dans certains cas de façon moins marquée que d'autres. Pour bon nombre d'élèves, ces connaissances demeurent toutefois fragiles et sont toujours en construction, même à la fin du secondaire. Bien qu'elles ne soient employées que par un élève sur deux, les procédures issues de la grammaire rénovée conduisent les élèves à de meilleures justifications et à des réponses généralement justes.
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L'acquisition par des francophones des alternances de mode dans les complétives en espagnol : une étude de la Grammaire Universelle, du transfert et des catégories sémantiques et pragmatiques universelles

Charest, Andréanne 20 April 2018 (has links)
Cette étude a pour objectif l’analyse de l’acquisition par des francophones des alternances de mode dans les subordonnées complétives de l’espagnol L2. 42 apprenants de niveaux intermédiaire-avancé et avancé ont passé un test de jugement de grammaticalité composé de 38 items, aussi effectué par 17 locuteurs natifs sujets contrôles. Le test mesure la (non)capacité des francophones à atteindre un near-native level et les facteurs qui influencent l’acquisition de ce phénomène d’interface. Les résultats démontrent qu’il y a corrélation entre un haut niveau d’espagnol et une bonne acquisition des alternances. Ils démontrent aussi que certains francophones possèdent un near-native level; cinq d’entre eux en ayant eu une forte exposition à la L2 (mariage, famille, immersions de longue durée) et quatre d’entre eux en ayant eu un contact exclusivement scolaire avec la L2. Finalement, les résultats ont démontré que la Grammaire Universelle agit comme facteur omniprésent tout au long des différents stades d’acquisition, que le facteur transfert influence notablement l’acquisition et finalement que les aptitudes personnelles jouent un rôle important. / The goal of the present study is to analyze Francophones’ acquisition of double mood selection in subordinate clauses in Spanish L2. 42 intermediate-advanced and advanced learners as well as a control group of 17 native Spanish speakers completed a grammaticality judgment test composed of 38 items. This test measured the (in)ability of Francophones to attain near-native proficiency in Spanish L2 as well as the factors that influence this interface phenomenon. The results demonstrate that there is a correlation between a high level of Spanish proficiency and the acquisition of double mood selection. They also show that certain Francophones possess near-native proficiency in Spanish, five having had a high level of contact with the L2 (marriage, family, long term immersion experiences) while four having had contact only in an educational setting. Finally, the results demonstrate that Universal Grammar acts as an omnipresent factor throughout the different stages of acquisition and that language transfer and individual aptitude both play a significant role in acquisition.
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Contribution à l'étude de la terminologie grammaticale: la nomenclature des formes verbales

Bena, Jonas Makamina 19 December 2003 (has links)
Le 18 février 1949, Gustave Guillaume (1973 :107-108) brossait, dans sa leçon à l’Ecole pratique des Hautes Etudes, un tableau peu flatteur de la terminologie grammaticale :<p>La terminologie grammaticale – fixée par un long usage, par la tradition – est peu satisfaisante. Elle correspond à des vues qui sont pour une grande part étrangères au véritable mécanisme de la langue, ignoré de ceux qui ont établi cette terminologie, devenue celle de l’enseignement. A quoi il faut ajouter que la terminologie traditionnelle, de caractère philosophique, toute pénétrée de logique formelle, a eu cette infortune d’être retouchée inconsidérément par des esprits moins pénétrants que ceux qui l’avaient conçue. <p>Ce point de vue est, aujourd’hui comme hier, partagé par la plupart des grammairiens lato sensu. Le verdict des uns et des autres est à la fois sévère et amer :la terminologie grammaticale est incertaine, incohérente, inexacte, incomplète, contraire à la vérité, trompeuse, confuse, désordonnée, défectueuse, voire désastreuse (Nicolas Beauzée, 1767 :500-501 ;Antoine Meillet, 1936 :31 ;Holger Sten, 1952 :9) ;Robert-Léon Wagner, 1947 :59 ;Gustave Guillaume, 1973 [leçon du 18 fév. 1949] :108 ;Gérard Moignet, 1981 :163 ;Louis Holtz, 1981 :11). L’on ne pouvait faire meilleur état des lieux !<p>Ce travail s’est efforcé de répondre aux trois questions suivantes :1° une terminologie « parlante » est-elle possible et nécessaire en grammaire ?2° quelle(s) piste(s) les linguistes devraient-ils explorer pour rationaliser la nomenclature et la description des formes verbales ?3° comment les grammairiens ont-ils forgé, au fil des siècles, la nomenclature des formes verbales ?<p>Que conclure ?<p>Nous voudrions d’abord noter que la question terminologique constitue un casse-tête consécutif, pour une grande part, à la forte pression de la tradition sur les pratiques grammaticales. <p>Les concessions faites à l’usage sont telles que toute tentative d’innovation est suspecte .Les exemples sont légion :Girard, Lévizac, Sicard, Domergue, Butet ,etc. subirent tous, à tort ou à raison, les feux nourris de la critique à cause de leur engagement terminologique. Les détracteurs avaient pour noms :Voltaire, Du Marsais, Condillac, Roederer et Brunot.<p>Voltaire (cité par Brunot, 1905-1953, tome VI, 1e fascicule, p. 902) recommanda même le boycott de la nouvelle grammaire de Girard :<p>Je recommande, écrivit-il, sur-tout aux jeunes de ne pas lire la nouvelle grammaire de sieur abbé Girard ;elle ne feroit qu’embarrasser l’esprit, par les nouveautez difficiles dont elle est remplie ;et sur-tout elle serviroit à corrompre le stile.<p>Roederer ne fut pas plus tendre à l’endroit de Domergue. En somme, les attaques à l’endroit des « néologismes grammaticaux » constituent, dans l’histoire de la grammaire, une réalité permanente. <p>A la fin des années 60 et au début des années 70, Georges Galichet tournait en dérision la terminologie en usage en grammaire générative et transformationnelle, tandis que, plus près de nous, Marc Wilmet (1992) s’insurgeait contre ceux qui accusent les linguistes de « jargonner ».<p>En ce qui nous concerne, nous avons estimé dans cette thèse que la création terminologique est à la fois nécessaire et possible. Elle devrait conduire, comme nous l’avons postulé au § 3.2.2.1, à l’émergence d’une nomenclature explicative. D’ailleurs, des modèles de terminologie « parlante » existent :nous avons cité les travaux de Guillaume, Damourette et Pichon, Yvon, Wilmet. <p>Un métalangage grammatical explicatif devrait même, à notre avis, s’imposer et se généraliser pour les trois raisons suivantes :1° la terminologie joue le rôle « d’avant-science »; 2° contrairement aux autres sciences dont le vocabulaire technique renvoie à des objets, en grammaire, derrière les “mots” se profilent non pas des objets, mais des idées et d’autres “mots” dont l’ensemble constitue la science grammaticale. Autrement dit, le triptyque « terme (mot) –> concept –> référent » pourrait être réduit à une reformulation simplifiée où le concept se confondrait avec le référent; 3° contrairement à l’arbitraire consacré du signe linguistique, la création des expressions métalinguistiques est en général utilitaire et plus ou moins individuelle. <p>A la lumière de ce qui précède, toute nouvelle création d’expression métalinguistique devrait satisfaire à une condition :l’adéquation, même partielle, de la nouvelle dénomination avec le contenu morpho-sémantique qu’elle désigne. En effet, chaque terme en linguistique contiendrait de manière condensée tout un programme sémantique. Mais, le terme ainsi crée devrait aussi répondre à un besoin réel. <p>Par ailleurs, la principale piste à explorer dans l’entreprise de la rationalisation et de l’harmonisation de la terminologie grammaticale consisterait à homogénéiser les critères définitoires des classes grammaticales. Pour les modes verbaux, nous avons proposé d’associer judicieusement les critères sémantiques et morphologique. Le premier concerne l’actualité, le second la personne grammaticale. <p>Ces deux paramètres interviennent, d’après Moignet (1981 :57) et nous l’avons suivi dans son raisonnement, à part égale dans la faculté qu’a toute forme verbale de “signifier le “temps” en plus de sa signification propre”. <p>Grâce à l’exploitation de ces deux variables, nous avons, en nous inspirant largement de Gustave Guillaume et de Marc Wilmet, proposé à titre de simple hypothèse de travail, que les trois « chronothèses guillaumiennes » représentent effectivement, au niveau du discours grammatical, les trois modes verbaux auxquels elles correspondent: 1° le mode nominal (ou quasi nominal) = infinif + participe => mode virtualisatif impersonnel; 2° l’in fieri = subjonctif => mode virtualisatif personnel ;3° l’in esse = indicatif => mode actualisatif personnel. <p>La principale objection à cette proposition serait d’opposer au double principe de « virtualisation » et d’« actualisation », sur lequel repose notre argumentation, des emplois contraires à cette tripartition modale. Ne nous leurrons pas, c’est une difficulté réelle. La parade nous est fournie, fort heureusement, par Gérard Moignet (1959b :94-95) qui renvoie à l’enseignement de Gustave Guillaume: <p>Il [Guillaume] insiste dans son enseignement sur la prudence qui s’impose en linguistique de la parole :on y est toujours exposé à rencontrer un sens d’emploi de mot qui soit en contradiction avec la vue fondamentale que le mot apporte de lui-même.<p>Pour finir, nous avons suffisamment montré tout au long de notre dissertation que la nomenclature des formes verbales, comme d’ailleurs le reste de la grammaire, est dans ses grandes lignes constituée de l’héritage gréco-latin. A certaines époques, comme au XVIIe siècle, cet héritage est malheureusement « corrompu » :par ex. la suppression de toute trace référant à l’époque dans certaines étiquettes. C’est, malheureusement, encore le cas, aujourd’hui, dans la plupart des grammaires scolaires et dans les productions scientifiques des linguistes.<p>Il faudrait aussi mentionner, au passif des grammairiens du XVIIe siècle et certains de leurs successeurs du début du XVIIIe siècle, l’ignorance des formes verbales surcomposées, pourtant attestées au XVIe siècle.<p>Comme nous l’avons dit, la terminologie grammaticale est défaillante depuis l’antiquité gréco-romaine jusqu’à ce jour. Elle s’est formée, à travers les siècles, au gré des fantaisies personnelles greffées sur l’essentiel du génie grec et latin. A part quelques rares exceptions, les apports des grammairiens français n’ont amélioré ni les critères de description du verbe, ni la nomenclature des formes verbales.<p>Nous avons dans le corps de ce texte signalé les acquis de chaque époque retenue dans cette étude. Il serait donc superflu d’y revenir dans le détail. Nous allons cependant rappelé, au risque d’en faire une antienne, les quelques progrès réalisés dans l’étude du verbe entre le XVIIe siècle et le début du XXe siècle :<p>1° la distinction des temps simples et des temps composés selon la forme chez D’Aisy (1674, 1685), Régnier-Desmarais (1706), Buffier (1709), etc. <p>2° l’exclusion, déjà au XVIIIe siècle, de l’impératif de la liste des modes verbaux ;3° l’intégration, depuis ce même siècle, des formes en –rais dans le mode indicatif (p. ex. chez Buffier, 1709 ;Restaut, 1730 et Ayer, 1853) avant que le XIXe siècle ne revienne en force au mode conditionnel; <p>4° l’institution par Nicolas Beauzée (1767) du principe des « ordres relationnels » (époque de comparaison, terme de comparaison, repère, rapport d’existence, etc.) dans la description des temps du verbe ;5° l’exploitation de la série complète des formes simples vs formes composées (Buffier, 1709) ;<p>6° la tripartition des tiroirs en formes simples / composées / surcomposées chez Dangeau (cf. supra, § 6.3.1.2) :p. ex. prétérit simple je chante /prétérit composé j’ai chanté /prétérit surcomposé j’ai eu chanté, etc. <p>7° l’usage par Dangeau (1754), à la suite de Girard (1747), des quantifiants et caractérisants numéraux comme discriminants des formes verbales :p. ex. premier temps surcomposé que j’aie eu marché /second temps surcomposé que j’eusse eu marché / troisième temps surcomposé jaurois eu marché) ;<p>8° la mise sur pied des néologismes très producteurs :futur passé (Restaut, 1730 ;Lhomond, 1780 ;Girault-Duvivier, 1811), futur antérieur (De Wailly, 1754 ;Sicard, 1799 ;Noël et Chapsal, l823 ;Brachet et Dusouchet, 1888, 1889), futur du passé (Maquet et al. 1921), futur antérieur du passé (Clédat, 1896 ;Maquet et al. 1921).<p>De toutes ces innovations, la théorie des «ordres relationnels » est celle qui a eu le plus d’impact sur les linguistes du XXe siècle. Comme nous l’avons vu, Guillaume et Wilmet, pour ne prendre que ces deux exemples, s’en sont inspirés dans la mise sur pied de leurs théories respectives :celle de la « chronogénèse » et celle du « repère ».<p>Ces deux approches du système verbal ont conduit à une description intéressante des modes, des aspects et des tiroirs. C’est une véritable révolution. Un seul regret :la méfiance injustifiée des auteurs de manuels et livres de grammaire à l’égard de cet important renouveau terminologique. <p><p> / Doctorat en philosophie et lettres, Orientation langue et littérature / info:eu-repo/semantics/nonPublished
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La diathèse, des origines à l'aube de la grammaire française: contribution à l'histoire d'un objet linguistique

Evrard, Ivan January 2002 (has links)
Doctorat en philosophie et lettres / info:eu-repo/semantics/nonPublished
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L'enseignement grammatical au secondaire québécois : pratiques et représentations d'enseignants de français

Lord, Marie-Andrée 18 April 2018 (has links)
Cette thèse, qui s'intitule L 'enseignement grammatical au secondaire québécois : pratiques et représentations d'enseignants de français, s'inscrit dans une recherche plus vaste Etat des lieux de l'enseignement du français au secondaire. Elle est issue du désir d'éclairer un problème récurrent attesté depuis des décennies : les mauvaises performances orthographiques et syntaxiques en français écrit des élèves québécois à la fin de la scolarité secondaire, ces derniers ne réussissent pas à obtenir la note de passage à l'examen certificatif de fin d'études. Une étude descriptive approfondie de l'enseignement grammatical est apparue essentielle pour combler le manque de données à ce propos : comment les enseignants de français du secondaire québécois enseignent-ils la grammaire, que font-ils lorsqu'ils enseignent la grammaire et pourquoi le font-ils ainsi? Pour répondre à ces questions, nous avons emprunté des méthodes à la fois quantitatives et qualitatives : nous avons fait une analyse statistique des réponses à un questionnaire administré à un échantillon représentatif des enseignants de français du secondaire et examiné sous plusieurs angles des séquences de cours filmées dans quatre classes. Les résultats montrent que l'enseignement offert emprunte surtout des démarches d'exposition et d'exercisation qui ne visent pas d'abord la compréhension du système de la langue par les élèves, qu'il ne s'inscrit pas dans une progression qui favoriserait l'appropriation graduelle des contenus par les élèves, qu'il ne fait pas suffisamment appel à leur engagement cognitif et que les objets grammaticaux y sont traités de façon superficielle et rapide, et ce, même si le temps accordé à l'enseignement de cette matière occupe une place importante dans l'horaire.
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Etude linguistique d'actes originaux rédigés en français dans la partie flamingante de l'ancien comté de Flandre au XIIIe siècle et au début du XIVe siècle

Mantou, Reine January 1970 (has links)
Doctorat en philosophie et lettres / info:eu-repo/semantics/nonPublished
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Barèmes d'orthographe grammaticale valables pour l'enseignement primaire et l'enseignement moyen

Manouvrier, Fernand January 1948 (has links)
Doctorat en sciences psychologiques / info:eu-repo/semantics/nonPublished
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Les structures corrélatives isomorphes: étude des propriétés sémantiques, morphologiques et (micro-/macro-) syntaxiques des corrélatives isomorphes en "autant", "ni", "plus", "soit", "tantôt" et "tel" / Isomorphic correlative structures: study of semantic, morphologic and (micro-/macro-) syntactic properties of French isomorphic correlatives in "autant", "ni", "plus", "soit", "tantôt" et "tel"

Roig, Audrey 23 October 2013 (has links)
Français :<br /><p><br /><p>Cette étude porte sur les structures françaises dites "corrélatives", construites en "autant.autant", "ni.ni", "soit.soit", "plus.plus", "tantôt.tantôt" et "tel.tel", soit des corrélatives "isomorphes". Si ces structures mettent toutes en relation deux termes ou structures, nous montrons ici, par le biais de descriptions sémantique, morphologique et syntaxique, que chacune de ces constructions est également très différente. À partir d’exemples tirés de corpus (français oral et écrit), ce travail ambitionne donc de mettre en évidence les propriétés des structures corrélatives isomorphes, de dresser le bilan des caractéristiques qui les unissent et les distinguent les unes des autres. Il a pour second objectif de questionner la place de la corrélation dans la typologie des modes de liaisons de prédications – c’est-à-dire la possibilité ou non d’assimiler les corrélatives françaises à de la subordination, de la coordination ou encore de la juxtaposition. Une tierce finalité, davantage méthodologico-épistémologique, a trait à l’examen de la façon dont les structures corrélatives isomorphes sont prises en compte respectivement en syntaxe traditionnelle, dans les approches graduelles et en macrosyntaxe (aixoise et fribourgeoise) ;il poursuit consécutivement un objectif plus général, celui de trouver une porte de sortie à l’impasse actuelle en syntaxe, née de l’apparente inconciliabilité des trois approches. <br /><p><br /><p>La réponse à ces trois objectifs nécessite une étude en deux étapes. Dans un premier temps, ce travail s'attarde ainsi sur chacune des six structures corrélatives, mettant en évidence leurs ressemblances et dissemblances tant sémantiques que formelles. Cette première étape offre alors la possibilité d’inscrire le phénomène de la corrélation isomorphe dans le cadre général des liaisons de prédications et de confronter plus spécifiquement les propriétés des structures dites "corrélatives" avec celles de ces autres modes de liaisons dans une les modèles 1) binaires ou ternaires des modes de jonctions propositionnelles (approche traditionnelle), 2) graduels (Foley & Van Valin, Rebuschi, Lehmann) et 3) macrosyntaxiques (écoles d'Aix et de Fribourg).<p><p><br /><p><br /><p><br /><p><p>English :<br /><p><br /><p>This project focuses on the study of so-called “correlative” structures in French that use "autant.autant", "ni.ni", "soit.soit", "plus.plus", "tantôt.tantôt" et "tel.tel", that is to say "isomorphic" correlatives. While all these constructions serve to connect two terms or structures, we shall show, through morphological, syntactic and semantic descriptions, that they each possess distinctive features. Using examples drawn from a corpus (French, oral and written), this project thus aims to establish the properties of isomorphic correlative structures, and to identify the characteristics they share and those that distinguish them from one another. The second aim of this project consists in (re-)examining the place of correlation in the typology of predication linking structures in an effort to determine whether or not French correlatives may be considered as a type of subordination, coordination or even juxtaposition. The third objective, which is methodological and epistemological in nature, will consist in studying how traditional syntax, gradual models and macrosyntax have respectively accounted for isomorphic correlative structures. In this way, we shall attempt to break the current deadlock resulting from the apparent incompatibility of the three approaches.<br /><p><br /><p>To reach these three goals, the study will be organized in two phases. First, the various correlative structures will be scrutinized in order to highlight semantic and formal similarities and dissimilarities. This will allow us to position the phenomenon of isomorphic correlation within the general framework of predication linking, and thereby compare the properties of so-called “correlative” structures with those of other linking structures. In the second phase, we will re-examine the place of correlative structures in the models advanced by traditional syntax, by gradual approaches (Foley & Van Valin, Rebuschi, Lehmann) and macrosyntax (Aix and Fribourg).<p> / Doctorat en Langues et lettres / info:eu-repo/semantics/nonPublished

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