Spelling suggestions: "subject:"front dde libération duu québec"" "subject:"front dde libération duu ouébec""
1 |
État d'exception et crise de légitimité : une analyse politique des évènements d'octobre 1970Tessier, Simon January 2007 (has links) (PDF)
Ce mémoire porte sur la crise d'octobre 1970, particulièrement sur l'instauration de l'état d'exception au Québec suite à deux enlèvements
perpétrés par des membres du Front de Libération du Québec (FLQ). Par-delà la question de la lutte au terrorisme, l'état d'exception déployée durant
les événements est analysé dans son lien avec la crise politique et sociale sous-jacente aux événements d'octobre. Ce mémoire vise ainsi à analyser la relation qui peut s'établir entre le recours aux mesures d'exception par le
gouvernement fédéral et la crise de légitimité du pouvoir de l'Etat engendrée par le mouvement indépendantiste québécois.
|
2 |
PARTIPRIESTS and FRÈREQUISTES? Parti Pris, the Front de libération du Québec, and the Catholicity of Québécois Anticlericalism, 1963-1970Ciufo, Carly 27 September 2012 (has links)
On March 7 1963, some bombs exploded at a few military barracks in Québec. These blasts announced the start of a campaign mounted by the Front de libération du Québec (FLQ). The founders of Parti Pris responded in intellectual solidarity with the FLQ’s motives by publishing their first issue in October. By 1968, Parti Pris ceased publication. After the October Crisis in 1970, the FLQ was widely discredited. Although many Partipristes and Felquistes dispersed into more generalized circles of local activism and party politics, they defined, informed, and mobilized a new generation of Québécois towards national liberation between 1963 and 1970. During their time of influence, Partipristes and Felquistes consistently pointed to a Catholic morality in Québec that revered passivity as a root cause and symptom of their colonial oppression. Some historians have suggested they were aberrant apostles of rupture with Québec’s history and traditions. This sort of reading finds some basis in declamations of the radicals themselves. But this thesis argues that both Parti Pris and the FLQ were developments of, and not definitive breaks with, Québec’s Catholic tradition. By analyzing the writings of Partipristes Paul Chamberland, André Major, and Pierre Maheu alongside those of Felquistes Pierre Vallières and Francis Simard, it claims that no historical appreciation of their lives and generation can sidestep the Catholicism that shaped them as individuals and the social milieu to which they responded. / Thesis (Master, History) -- Queen's University, 2012-09-27 02:23:23.413
|
3 |
L'intervention militaire en octobre 1970 et la loi sur les mesures de guerre : modalités et réactionsCampeau, Sébastien January 2009 (has links) (PDF)
James Richard Cross, attaché commercial de Haut-Commissariat de la Grande-Bretagne, est enlevé à son domicile le 5 octobre 1970 par le Front de Libération du Québec. La crise d'octobre 1970 débute. Cinq jours plus tard, devant la lenteur des négociations, une autre cellule felquiste enlève Pierre Laporte, vice-premier ministre du gouvernement du Québec. Devant l'appui considérable des objectifs du manifeste du FLQ et devant les demandes de la mairie de Montréal et du gouvernement provincial, le gouvernement fédéral proclame l'état « d'insurrection appréhendée » au Québec. Dès lors, sous la Loi sur la défense nationale, l'armée canadienne intervient en renfort au pouvoir civil le 15 octobre 1970. En pleine nuit, le 16 octobre 1970, Trudeau applique la Loi sur les mesures de guerre suspendant temporairement les libertés civiles. Le FLQ devient une organisation illégale. Pour notre étude, nous avons étudié les modalités de l'intervention militaire lors de la crise d'octobre 1970. Notre travail constitue une première évaluation du rôle des militaires lors des événements d'octobre 1970. Ensuite, nous avons étudié les réactions de divers groupes de la société québécoise et la couverture médiatique attribuée à deux lois marquantes de cette crise: la Loi de la défense nationale et la Loi sur les mesures de guerre. Le cadre temporel de notre mémoire touche seulement à la crise. Dans le premier chapitre, nous avons abordé les modalités de l'intervention militaire lors de la crise d'Octobre 1970 sous plusieurs angles: la préparation, le déploiement, les unités et l'équipement réquisitionnés, les différents mandats et le déroulement quotidien des opérations. Nous présentons également les différentes positions sur l'importance jouée par les militaires lors de la crise d'octobre 1970. Certaines opinions restent contradictoires dans l'élaboration de la stratégie politique employée contre le FLQ. L'intervention militaire et l'application de la Loi sur les mesures de guerre, pour la première fois en temps de paix, suscitent une tollé de réactions à travers le Canada. Dans notre deuxième chapitre, nous abordons les diverses réactions dans la société québécoise. Nous nous sommes appuyés sur les groupes suivants: les politiciens fédéraux et provinciaux au pouvoir et dans l'opposition, la Chambre de commerce de Montréal, le clergé catholique, les différentes commissions d'enquête, le mouvement syndical, le mouvement étudiant, le Comité québécois pour la défense des libertés et la Ligue des droits de l'homme. Nous avons consacré notre troisième chapitre à la couverture médiatique lors de la crise d'octobre 1970. Pour être plus précis, nous avons étudié la réaction des différents médias écrits, à l'aide des éditoriaux et textes d'opinion des collaborateurs, aux deux lois mentionnées antérieurement. Nous nous sommes concentrés sur les journaux montréalais suivants: Le Devoir, La Presse, Québec-Presse, The Montreal Star, The Gazette. Seule exception à la règle, The Globe and Mail qui possède une couverture à l'échelle canadienne. ______________________________________________________________________________ MOTS-CLÉS DE L’AUTEUR : Terrorisme, Crise d'octobre 1970, Loi des mesures de guerre, Armée canadienne, Histoire politique du Québec.
|
Page generated in 0.1203 seconds