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Revisiting the gentleman : a study of hegemonic masculinity in the works of Jane AustenOlguin, Suyin 12 1900 (has links)
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Revisiting the gentleman : a study of hegemonic masculinity in the works of Jane AustenOlguin, Suyin 12 1900 (has links)
L’augmentation grandissante de l’attention portée dans les études sur la masculinité tant à la littérature féminine qu’à ses auteurs incite les chercheurs à se pencher de nouveau sur l’icône qu’est le gentilhomme, sur la réponse qu’offre la littérature du XVIIIe siècle face à cette idéalisation de la masculinité, et comment ces standards ont contribué à façonner nos propres perceptions des différenciations des rôles sexuels. Ce mémoire présente une analyse des personnages masculins des romans de Jane Austen, Emma, Persuasion et Mansfield Park, à travers le concept de « masculinité hégémonique » de R.W. Connell, concept qui a eu un impact certain dans les recherches retraçant comment l’histoire et l’hégémonie ont fabriqué les attentes sociales et nationales envers l’homme anglais. Les livres expliquant la conduite à avoir pour être un gentilhomme viril ont sans aucun doute perpétué ces idéaux. À travers l’étude de la politesse, de la sincérité et de l’héroïsme, perpétuellement renouvelés afin de correspondre aux nouveaux idéaux de la masculinité, cette thèse étudie les livres éducatifs influents, notamment de Locke, Knox et Secker, afin de comprendre de quelle façon la masculinité hégémonique est devenue une partie intégrante du discours et de l’éducation à l’époque de la Régence anglaise. Les œuvres d’Austen ne cesse de rappeler la vulnérabilité de l’hégémonie en rappelant constamment au lecteur l’importance des expériences et de la croissance personnelle, et ce, peu importe le sexe. Néanmoins, ses romans correspondent tout de même à ce que devrait être une éducation appropriée reposant sur les règle de conduite, l’autonomie, le travail et la sincérité; lesquels, tel que l’histoire analysée dans ce mémoire le démontrera, appartiennent également aux idéaux du nationalisme anglais et de la masculinité. / The increasing amount of attention to literature and female novelists in masculinity studies invites academics to revisit iconic figures like the gentleman in order to explore how literature responds to idealizations of manliness in eighteenth-century society and how these standards contribute to our own view of gender differentiation. This thesis analyses male characters in Jane Austen’s Emma, Persuasion and Mansfield Park under the scope of R.W. Connell’s concept of “Hegemonic Masculinity,” a concept that has been influential in the study of how history and hegemony influence social and national expectations of English masculine character. Conduct books that instructed genteel men how to be a manly gentleman perpetuated these ideals. Through the study of how politeness, sincerity, and heroism were continuously transformed to incorporate new ideals of manhood, this thesis examines influential conduct books by Locke, Knox, and Secker in order to understand how hegemonic masculinity became an essential part of Regency masculine education and discourse. Austen’s works highlight the vulnerability of hegemony by reminding the reader about the importance of human experience and growth regardless of gender. Nevertheless, her novels respond to appropriate education that instructs on principle, self-governance, industry, and sincerity, all of which, as the history addressed in this thesis demonstrates, also belonged to ideals of English nationalism and masculinity.
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L'habitat de la petite noblesse dans la partie nord de l'ancien comté de Hainaut, 15e-18e siècles: architecture, modes de vie et manières d'être / Gentry's settlement in the County of Hainault ,15th-18th centuries: architecture, ways of life, behaviours.Mathieu, Clémence 13 September 2012 (has links)
Cette étude s’attache à comprendre ce qu’est un habitat seigneurial secondaire en Hainaut à la fin du Moyen Age et aux Temps Modernes. La disparition de la plupart des résidences de la haute noblesse en Hainaut, nous a amenée à nous pencher sur l’étude des habitats de la petite noblesse, dont le manque de reconnaissance, entrainant la démolition ou les transformations irréversibles de ces habitats, rend ces édifices sujets à l’oubli. Ajoutons à cela que, victimes d’une tradition castrale héritée du 19e siècle, archéologues et historiens de l’art ont bien souvent eu leur attention d’abord attirée par les grands châteaux et donc la haute noblesse, laissant de côté toute une tranche de la population noble et de leurs possessions. Notre étude a comme objectif majeur de comprendre comment ces habitats ont fonctionné comme structures de vie, mais aussi comme des architectures à travers lesquelles et par lesquelles les habitants pouvaient exprimer leurs identités. Dans cette optique, après avoir considéré les différents types architecturaux (types de plans, types de corps de logis, types de tours), suivant une typo-chronologie, nous considérons les matériaux utilisés et la distribution intérieure de ces édifices. <p>Ce sont ensuite les entourages de l’habitat en tant qu’espace construit, leur situation dans le paysage, et par rapport au relief, à l’hydrographie, aux villages, aux terres de cultures, et aux réseaux de communication, qui occupent une grande partie de l’étude. Les liens avec leurs habitants, ces membres de la « petite noblesse » sont ensuite considérés. Leurs fonctions, leurs origines et leurs zones de déplacements sont abordés, afin de mieux percevoir le rôle et la détermination de ce groupe social, qui s’avère être en rupture avec la haute noblesse. L’opposition traditionnelle entre villes et campagnes est dépassée, de même que la question des maisons principales et secondaires, au profit d’une approche plus fluide, favorisant une interaction entre villes et campagnes, et considérant les mouvements de population émergeant de l’un ou l’autre milieu. <p>La partie interprétative suit ensuite, permettant d’aboutir à une caractérisation de ce type d’habitat. Le but est notamment de mettre en lumière la relation entre les aspects défensifs et résidentiels des édifices. Pour ce faire, les éléments de défense active et passive sont examinés, ainsi que le degré d’efficacité de ces structures. <p>La suite de cette partie a pour but de replacer les habitats de la petite noblesse dans le contexte des types architecturaux des campagnes, de la haute noblesse et des villes du Hainaut et des anciens Pays-Bas, afin de mieux dégager les liens ou les ruptures entre les différents groupes sociaux et architecturaux. Les rapports avec les habitats ruraux sont établis en ce qui concerne les diverses composantes que sont les douves, les pont-levis, les orifices de tir, les espaces verts et les aménagements hydrographiques d’agrément, la basse-cour, les tours, les typologies des plans et de maisons, les matériaux et leur qualité de mise en œuvre, les intérieurs, les ouvertures et les styles, les armoiries et les millésimes. La catégorie intermédiaire que sont les habitats des élites rurales, est également abordée, puisqu’elle développe des types architecturaux ambigus et se rapprochant davantage des habitats de la petite noblesse que des autres ruraux. Cette catégorie est examinée d’un point de vue architectural et social./This research is aiming at understanding what is a gentry’s settlement in the County of Hainault at the end of the Middle Ages and during the Modern Times. The disappearance of most of the castles of the high nobility in Hainault, led us to study the gentry’s settlement. The lack of recognition of this kind of building is often leading to their destruction and irreversible transformations. There is also the fact that the archaeologists and art historians often inherited from the 19th century tradition, whose attention was mostly attracted by the main castles and the high nobility, forgetting by the same occasion a side of the nobility –the gentry- and his settlement.<p>The main objective of this research is to understand how these settlements were linked with their inhabitants, expressing their identities, ways of living and behaviours. In this framework, we first analyse the architectural typologies (plans, residential buildings, towers) in connection with the chronology, the materials, and the inner organisation of these buildings.<p>Afterwards, we consider the surroundings of the buildings, the location in the landscape, the relief, hydrography, the village, the lands, the communication net. The lesser nobility is also studied, through its functions, origins, movement areas, in order to have a better understanding of the role and definition of this social group which is distinctly separated from the high nobility. The traditional opposition between cities and countryside, and between the main and secondary housing, is overstepped, in order to reach a more flexible approach. We therefore consider the topic through an interaction between cities and countryside, and their inhabitants.<p>The rest of the research is dedicated to the interpretations, in order to draw the characterists of the gentry’s settlement. First, the relationships between the defensive and residential aspects are considered. The active and passive defensive elements are studied, as well as the efficiency of these structures.<p>Secondly, we replace the gentry’s settlement in the context of the other architectural types of the countryside, high nobility and cities of the county of Hainaut and the Southern Low Countries, in order to have a better understanding of the links and breaks between the different social and architectural groups. The link with the rural settlement is established concerning the following elements :drawbridges, moats, arrow slits, green spaces and water structures, farms, towers, plans and houses typologies, materials and their quality, interiors, openings and styles, coats of arms. The intermediate category of the settlement of the rural elites is also considered, as the architectural types are close to the gentry’s settlement. This category is examined on an architectural and social point of view.<p>The link with the settlement of the cities and the high nobility is also studied, allowing to see a lack of link between the different categories at least until the end of the 17th century. <p>In the last chapters, the gentry’s settlement of Hainault is replaced in the context of the Southern Low Countries, through a comparative approach. We also consider the link with this kind of settlement and the tradition and the modernity, as well as the link with the social status of their inhabitants and builders.<p>The conclusion is the occasion to remind all the characteristics of the gentry’s settlement in Hainault, and the evolution of the architectural types through the centuries. Some comparisons with the same kind of settlement in surroundings countries are also established, opening new research perspectives. In the epilogue, we consider the buildings on a conservation, restoration and preservation point of view. The state of the art of the legislative situation is given, and prescriptions for a better future conservation are drawn, in order to avoid a disappearance of the architectural information, together with an important part of the history.<p><p> / Doctorat en Histoire, art et archéologie / info:eu-repo/semantics/nonPublished
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Tasa-arvoa tanssilattialla:käsityöväen sivistysseurat 1840-luvulta 1870-luvun alkuunRehumäki, P. (Pekka) 01 October 2008 (has links)
Abstract
My objective in this dissertation is to clarify the early organization of the Finnish working class into cultural societies. The model was taken from Sweden. In the present study, the early history of the workers’ societies is followed from the mid 1840s to the beginning of the 1870’s. In Finland the newspapers published short accounts of these cultural societies. The founding of a cultural society was suggested in Turku already in 1856, but the 1860’s became the decade of the Finnish cultural societies. Turku Cultural Society (1861–1870), the Workers’ Singing Society in Helsinki (1857–1870) and the Oulu Cultural Society (1866–1873) were the largest ones. The cultural societies in Finland can thus be seen as a later branch of a broader Swedish cultural society movement. This was noticed already in the mid 1870’s.
Cultural societies were among the first organizations of the masses. The societies formed libraries and newspaper reading rooms, made possible choir and drama clubs, and organised popular lectures. At the end of the program there was a dance. The central purpose of the meetings was to bring the gentry and the common people closer together. Although the activities were led by the gentry, cultural societies were all born and developed from the artisans through their own active role. In the concluding age of the guilds, the artisan youth especially needed new types of societies in place of their guilds. The percentage of women members was noticeable. In Helsinki women made up one half of the membership and in Turku the percentage of women rose in some years to be two thirds of the membership.
The organization of the workers in Finland did not wait for the birth of a class conscious of its position. It broke through in a pre-industrial structure of artisans, grew into the 1860’s cultural societies and developed into the 1870’s industrial workers’ societies, temperance movements and volunteer fire brigades, popular lectures, reading rooms and public libraries. As the Wright Workers’ Movement began in the 1880’s, the cultural work was readily attached to the movement and seen as a clear part of its structural activities. / Tiivistelmä
Tehtäväni on tässä tutkimuksessa selvittää suomalaisen työväen varhaista järjestäytymistä sivistysseuroihin 1860-luvulla, ajalla ennen wrightiläisiä työväenseuroja. Tutkimuksen alkuosan keskeisenä sisältönä ovat ruotsalaiset sivistysseurat. Seuraan Ruotsin työväenseurojen varhaisinta historiaa 1840-luvun puolivälistä 1860-luvun alkuun. Painopiste on ajanjakson alkuvaiheissa ja erityisesti Tukholman sivistysseurassa. Suomessa seurattiin lehtien palstoilla vanhan emämaan tapahtumia, ja erityisesti turkulaiset sanomalehdet julkaisivat pieniä uutisia ruotsalaisista sivistysseuroista.
Ensimmäisen kerran sivistysseuran perustamista ehdotettiin Turussa vuonna 1856, mutta varsinaiset perustamistoimet pääsivät käyntiin vasta aivan seuraavan vuosikymmenen alkukuukausina. 1860-luvusta tulikin kolmen suuren suomalaisen sivistysseuran vuosikymmen. Turun Sivistysseura sai perustamisluvan viranomaisilta kesällä 1861 ja toimi vuoteen 1870 asti. Helsingissä oli jo 1850-luvulta alkaen toiminut Käsityöläisten lauluseura, joka vuonna 1864 muutti sääntönsä turkulaisten mallin mukaiseksi. Sekin oli toiminnassa vuoteen 1870. Kolmas suuri sivistysseura perustettiin vuonna 1866 Ouluun, ja se lopetti toimintansa vuonna 1873. Myös Oulun seura perustettiin käyttämällä Turun Sivistysseuran sääntöjä mallina. 1860-luvulla toimineet suomalaiset sivistysseurat eivät syntyneet erillisenä ja kotimaisena ilmiönä. Ne voidaan perustellusti nähdä myöhäisenä haarana laajempaa ruotsalaista sivistysseuraliikettä, jonka taustalta hahmottuu puolestaan koko eurooppalaisen työväenliikkeen varhaisin kausi. Ensimmäiset aikalaistarkkailijat kiinnittivät tähän vaikutushistoriaan huomiota jo 1870-luvun puolivälissä.
Sivistysseurat kuuluivat oloissamme ensimmäisiin joukkojärjestöihin, joiden toiminnassa oli mukana sekä yhteistä kansaa että säätyläistöä. Seurat perustivat jäsenilleen kirjastoja ja sanomalehtien lukusaleja, mahdollistivat kuoro- ja näytelmäharrastusta sekä järjestivät sivistäviä huvitilaisuuksia, joissa kuultiin kansantajuisia esitelmiä. Ohjelman päätteeksi tanssittiin. Kokousten keskeisenä tarkoituksena oli lähentää säätyläistöä ja kansaa toisiinsa, ja erityisesti tämän toivottiin toteutuvan säätyjen välisen tanssin kautta. Vaikka toiminta oli säätyläisvetoista, kaikki suomalaiset sivistysseurat olivat kuitenkin syntyneet alhaalta kasvavana toimintana, käsityöläisten oman aktiivisuuden kautta. Ammattikuntien lopettamiskaudella erityisesti käsityöläisnuoriso tarvitsi kiltojensa tilalle uudenlaisia yhdistyksiä. Mukaansa se tarvitsi johtamaan tottunutta säätyläistöä, joka sitten hankki ja säilytti seurojen määräysvallan itselleen. On suorastaan paradoksaalista, miten häikäilemättömin järjestöllisin toimin säätyläistö säilytti vallan itsellään seuroissa, jotka pyrkivät harmonisoimaan ja tasoittamaan yhteiskuntaluokkien välisiä eroja. Tästä huolimatta suomalaisissa sivistysseuroissa jäsenkunnan enemmistön muodostivat käsityöläistaustaiset työläiset. Myös naisten osuus jäsenistöstä oli huomattava. Helsingissä naisia oli puolet jäsenistä, ja Turussa naisten osuus kohosi joinakin vuosina jopa kahteen kolmannekseen.
Työväen järjestäytyminen ei meilläkään odottanut asemastaan tietoisen työväenluokan syntyä. Järjestäytyminen murtautui esiin esiteollisissa käsityöläisrakenteissa, kasvoi 1860-lukujen sivistysseuroissa ja kehittyi 1870-luvulla tehdastyöväen yhdistyksissä, raittiusseuroissa ja vapaapalokunnissa kansantajuisten luentojen, lukutupien ja kansankirjastojen myötävaikutuksella. Näin kehittyi vähitellen työväen sivistysseurojen kausi.
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Sir Thomas Tresham (1543-1605) and early modern Catholic culture and identity, 1580-1610McKeogh, Katie January 2017 (has links)
What did it mean to be a Catholic elite in Protestant England? The relationship between the Protestant crown and its Catholic subjects may be examined fruitfully through a study of an individual and his world. This thesis examines this relationship through the example of Sir Thomas Tresham, who has often been seen as the archetypal Catholic loyalist. It is argued that the notion of Catholic loyalism must be reconfigured to account for the complexities inherent in the relationship between Catholics and the government. The duty to honour the monarch's authority was bound up with social and national sentiment, but it often accompanied criticisms of the practice of that authority, and the ways in which it encroached on personal experience. Intractable tensions lay behind expressions of loyalty, and this thesis travels in these undercurrents of cultural, social, religious, and political conflict to investigate the nuanced relationship between English Catholics and English society. Political resistance as classically understood - actions which directly opposed and undermined government policy - risks the exclusion of culture and identity, through which resistance was redefined. It is argued that Tresham's participation in elite activities became vehicles for resistance in the Catholic context. Book-collecting, reading, and the donation of books to an institutional library are framed as forms of resistance which countered the spirit of government legislation, and provided for the continuation of a robust tradition of Catholic scholarship on English soil. Through artistic and architectural projects, Tresham found ways to participate in elite culture which were not closed off to him, and in which Catholicism and gentility could sit side by side. These activities were also avenues for resistance, whereby the erection of stone testaments to Tresham's faith defied the government's attempts to redefine Englishness and gentility in Protestant terms, to the devastation of Catholicism. These artistic works combined piety, gentility, and resistance, and, together with Tresham's two Catholic libraries, they were to be his legacy.
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