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Effets de la modulation de la respiration dans la gestion de la douleur

Chalaye, Philippe January 2008 (has links)
Récemment, il a été proposé que le fait de respirer profondément à une fréquence d'environ 0,1 Hz, soit 6 respirations par minute (RPM), augmente la variabilité de la pression artérielle systolique, augmentant ainsi l'activité des barorécepteurs et la variabilité du rythme cardiaque (VRC). Le biofeedback cardiaque est une méthode qui permet d'identifier la fréquence respiratoire qui entraînera la VRC maximale pour un individu. D'autre part, de récentes études cliniques ont démontré que la respiration à 6 RPM et le biofeedback cardiaque sont efficaces pour réduire la douleur. La douleur aigüe cause plusieurs réponses physiologiques comme une augmentation du rythme respiratoire, du rythme cardiaque (RC) et de la pression artérielle (PA) via une augmentation de l'activité du système nerveux sympathique. Une augmentation de l'activité du système nerveux parasympathique (vagal) permet de rétablir l'homéostasie. Plus particulièrement, l'augmentation de la PA est rapidement tamponnée par les baroréflexes, mais en plus, l'activation des baroréflexes permet de réduire la douleur. Plusieurs différentes manières d'activer les baroréflexes ont été explorées dans le but de diminuer la douleur. Bien que la respiration lente et profonde ait été proposée comme une méthode efficace de stimuler les baroréflexes et pour réduire la douleur, aucune étude expérimentale n'a été réalisée afin de déterminer l'effet de la respiration sur la sensibilité à la douleur. L'objectif principal de cette étude est donc d'évaluer l'effet de la respiration à 6 RPM et du biofeedback cardiaque sur la douleur thermique ainsi que les effets cardiaques dans un contexte expérimental. MÉTHODOLOGIE : Nous avons mesuré le seuil de douleur et le seuil de tolérance de 20 volontaires sains durant 5 conditions différentes : niveau de base (respiration naturelle), 6 RPM, 16 RPM, distraction (jeu vidéo Tetris®) et biofeedback cardiaque. Nous avons mesuré le rythme respiratoire, la profondeur des respirations ainsi que la VRC à partir de l'électrocardiogramme (ECG). Nous avons analysé les effets de la respiration sur la douleur et sur des mesures temporelles et fréquentielles de la VRC. RÉSULTATS : Comparé au niveau de base, le seuil de douleur thermique était significativement plus élevé durant la respiration à 6 RPM (p=0.002), le biofeedback cardiaque (p<0.001) et la distraction (p=0.006), alors que le seuil de tolérance était significativement plus élevé durant la respiration à 6 RPM (p=0.003) et le biofeedback cardiaque (p<0.001). Comparé au niveau de base, seulement les conditions 6 RPM et biofeedback cardiaque ont eu un effet sur l'activité cardiaque. Ces conditions ont augmenté les mesures de l'activité vagale cardiaque (racine carrée de la moyenne des différences des intervalles RR successifs au carré ou RMSSD, p<0.005, amplitude de l'arythmie sinusale respiratoire p<0.001), ainsi que la puissance de la composante basse fréquence (p<0.001) de l'analyse fréquentielle. CONCLUSION : La respiration à 6 RPM et le biofeedback cardiaque ont un effet analgésique et augmentent l'activité vagale cardiaque. La respiration lente et profonde semble être responsable en grande partie de l'effet analgésique du biofeedback cardiaque. La distraction a aussi produit de l'analgésie, mais cet effet n'était pas accompagné de changement concomitant de l'activité vagale cardiaque. Ceci suggère que les mécanismes neurobiologiques qui permettent d'expliquer les effets analgésiques de la respiration lente et profonde et de la distraction sont probablement différents. Les implications cliniques ainsi que les mécanismes cardiorespiratoires et autonomiques responsables de la diminution de la sensibilité à la douleur avec la respiration lente et profonde sont discutés.
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L'impact d'une intervention infirmière centrée sur la famille sur l'intensité de la douleur des patients âgés ayant subi une chirurgie de la hanche

Grondin, Frédéric January 2011 (has links)
L'arthroplastie de la hanche entraîne, en postopératoire une douleur d'intensité élevée. Pour la contrer, une approche multimodale (combinaison de stratégies pharmacologiques et complémentaires) est encouragée.L'implication du patient et de sa famille est aussi suggérée, mais peu d'exemples existent. Le but de l'étude est de mesurer les effets d'une intervention éducative centrée sur le patient et la famille (proche accompagnant) axée sur la promotion de stratégies complémentaires, sur le soulagement de la douleur, l'anxiété et les stratégies d'adaptation à la douleur utilisées en postopératoire.L'intervention prenait en considération la famille en reconnaissant son expertise, son existence, son expérience et son besoin d'espoir. Trente-trois patients ont participé à cette étude quasi-expérimentale, tous accompagnés par une personne significative (groupe contrôle (GC) n=17, groupe expérimental (GE) n=16). Le groupe contrôle a reçu le traitement usuel alors que le groupe expérimental a bénéficié de l'intervention. Les résultats indiquent que l'intensité de la douleur des participants du GE est inférieure en période postopératoire au Jour 2 (2,75 vs 5,14 p=0,001) et au Jour 4 (2,17 vs 4,00, p=0,01). Les participants du GE rapportent moins d'anxiété (29,50 vs 37,00, p=0,041). Les participants du GE ont utilisé, de façon significative, moins de stratégies d'adaptation à la douleur négatives telles que l'ignorance et la dramatisation. Les résultats suggèrent qu'une intervention éducative, centrée sur le patient et sa famille axée sur la promotion de stratégies complémentaires, devrait être utilisée de façon systématique, intégrée à l'approche multimodale. Cette dernière améliore la gestion de la douleur, diminue l'anxiété et favorise l'utilisation de stratégies d'adaptation positive en postopératoire.
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Gestion de la douleur chronique par les infirmières des Groupes de médecine de famille

Bergeron, Dave A January 2011 (has links)
Selon la Société québécoise de la douleur (2005), des milliers de Québécois souffrent actuellement d'un problème de douleur chronique (DC) pour laquelle le traitement et la prise en charge sont souvent inadéquats. L'introduction des Groupes de médecine de famille (GMF) où les infirmières jouent un rôle clé dans le suivi des problèmes de santé chroniques représente un contexte favorable pour un meilleur suivi des personnes aux prises avec de la DC (MSSS, 2002). Objectifs: Cette étude a pour objectifs de décrire les activités réalisées par les infirmières oeuvrant en GMF en rapport avec la gestion de la douleur chez la clientèle souffrant de DC, de décrire leurs connaissances et croyances à ce sujet, les barrières et les facteurs associés aux activités qu'elles effectuent en gestion de la douleur. Méthode: Un dispositif descriptif corrélationnel transversal de type enquête a été utilisé. La population accessible provient d'une liste de l'Ordre des infirmières et infirmiers du Québec recensant les infirmières en GMF ayant donné leur autorisation à être rejointes pour des fins de recherche. Deux questionnaires postaux auto-administrés ont été envoyés à 195 infirmières. De ce nombre, 53 ont répondu aux questionnaires. Pour répondre aux trois premiers objectifs, une analyse descriptive des deux questionnaires utilisés a été réalisée. Des corrélations de Spearman ont été effectuées afin de vérifier la présence d'association entre les activités en gestion de la douleur et les autres variables. Résultats : Les trois activités qui ont été le plus souvent réalisées par les infirmières sont d'établir une relation thérapeutique avec le client; de réaliser des discussions avec le médecin sur l'efficacité des mesures thérapeutiques et de faire un enseignement personnalisé au client. Pour le niveau des connaissances et les croyances des infirmières, leur résultat moyen pondéré est de 61,5%. Le nombre moyen de personnes rencontrées par les infirmières qui souffrent de douleur chronique est de 2,68 personnes par semaine. Douze activités infirmières sont aussi corrélées avec le nombre de personnes rencontrées souffrant de la douleur chronique. Les principales barrières que les infirmières en GMF perçoivent sont la méconnaissance des interventions possibles en douleur (71,7%) et la non-disponibilité de l'information sur la gestion de la douleur (52,8%). Conclusion : Les infirmières au sein des GMF font peu d'activités en gestion de la DC, mais elles sont ouvertes à jouer un rôle plus important. Néanmoins, pour cela, il serait nécessaire de mettre en place des mécanismes de formation continue et de soutien pour ces infirmières.
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Conception et évaluation d'une activité de formation continue sur la gestion de la douleur par et pour les infirmières oeuvrant à Info-Santé 8-1-1

Boisvert, Marc January 2015 (has links)
Introduction : La pratique infirmière au Service Info-Santé est complexe du fait qu’elle a lieu en contexte téléphonique. La douleur est impliquée dans de nombreux appels. Peu d’activités de formation continue (FC) adaptées à leur réalité sont offertes aux infirmières du service Info-Santé 8-1-1. De façon générale, les FC typiques sont coûteuses, pratiquement inaccessibles et elles ne reposent pas sur l’évaluation des besoins de FC des infirmières. Objectifs : Cette étude avait pour but de concevoir et d’évaluer une activité de FC par et pour les infirmières du service Info-Santé 8-1-1 en : 1) évaluant leurs besoins de FC en gestion de la douleur (GD), 2) concevant une activité de FC en GD, 3) évaluant leurs connaissances et perceptions de leurs activités infirmières en GD avant, après et trois mois suivant une activité de FC et 4) évaluant leur satisfaction par rapport à l’activité de FC et à l’égard de la réponse aux besoins de FC ainsi que l’impact dans leur pratique infirmière. Méthode : Cette recherche s’appuie sur le modèle conceptuel de Le Boterf (2011) et utilise un dispositif mixte simultané transformatif (Creswell, 2011), par l’importance accordée à la participation des infirmières et gestionnaires au cours du processus de recherche. Diverses méthodes de collecte de données ont été utilisées, soit la technique du groupe nominal (TGN) (besoins de FC), la discussion de groupe focalisée (application des connaissances, satisfaction), ainsi que des questionnaires (satisfaction face à la Journée de FC, connaissances et perception de la pratique infirmière en GD). Une activité de FC, fondée sur les lignes directives en GD, a été conçue en réponse aux attentes et besoins de FC des infirmières. Elle comportait un premier volet d’une durée d’une journée et un deuxième volet sous forme de soutien clinique en milieu de travail, ainsi que des outils pour l’évaluation de la douleur et l’intervention utiles en contexte d’intervention téléphonique. Résultats : Les résultats démontrent les bénéfices d’une activité de FC en GD sur les connaissances des infirmières du service Info-Santé 8-1-1. Les connaissances en GD se sont améliorées et se sont maintenues dans le temps. Également, le sentiment de compétence en GD s’est amélioré avec cette activité de FC. Conclusion : L’approche participative ainsi que le soutien clinique post formation utilisés dans cette étude démontrent l’importance de l’implication des infirmières – participantes dans la conception de l’activité de FC, dans l’amélioration des connaissances et de l’impact qu’une telle activité a sur la perception de leur pratique infirmière en GD.
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Associations entre la tension au travail, la santé mentale, l'empathie chez les infirmières des soins intensifs et la gestion de la douleur

Gosselin, Émilie January 2013 (has links)
Problématique : La gestion de la douleur (GD) aux soins intensifs (SI) est complexe. Selon certains auteurs, elle pourrait être influencée par la tension au travail et la santé mentale des infirmières, ainsi que par l'empathie qu'elles manifestent envers leurs patients. Le contexte de travail difficile a fort probablement un impact sur la GD. Les liens entre la tension au travail, la santé mentale, l'empathie et la GD aux SI nécessitent plus d'approfondissement. L'empathie et la GD possèdent une dimension comportementale permettant d'observer ces concepts chez les infirmières. Or, il n'existe pas d'outil pour mesurer la GD effectuée par les infirmières des SI. But : L'objectif principal est d'explorer les associations entre la tension au travail, la détresse psychologique, le bien-être psychologique, l'empathie et la GD dans un contexte de SI. Un second objectif est de développer et valider un outil d'observation pour l'évaluation de la GD effectuée par les infirmières des SI lors d'une simulation clinique standardisée (SCS). Méthode : Un devis descriptif corrélationnel transversal a été utilisé. Les données ont été amassées à l'aide de complétion de questionnaires (tension au travail, santé mentale et empathie) par des infirmières des SI et de leur observation (empathie et GD) lors d'une SCS par des évaluateurs et l'acteur. Pour la grille d'observation de la GD, les étapes de développement d'instruments de mesure ont été suivies. Au total, 26 infirmières pratiquant dans trois unités de SI d'un hôpital universitaire ont participé à l'étude. Résultats : Une des dimensions de la tension au travail, soit la demande psychologique, était associée aux deux sous-échelles de la santé mentale (la détresse psychologique de façon positive et le bien-être psychologique de façon négative). L'empathie perçue par l'acteur et par les observateurs est associée positivement à la détresse psychologique des infirmières. De façon globale, l'empathie n'était pas associée à la GD. La grille d'observation de la douleur contient 28 items se divisant en quatre sous-échelles. La cohérence interne de l'outil est faible à moyenne et la fidélité inter-juges est bonne. Les validités de contenu et apparente ont été jugées satisfaisantes. Conclusion : Il serait intéressant d'étudier plus en profondeur le lien entre la détresse psychologique et l'empathie qui est peu documenté dans les écrits. Nous avons aussi démontré la pertinence d'utiliser la SCS dans le cadre de la recherche. L'outil d'observation pour l'évaluation de la GD chez les infirmières des SI possède des qualités psychométriques satisfaisantes. Certaines modifications pourraient être apportées à l'outil afin qu'il soit utilisé pour des études futures.
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Évaluation des effets de la collaboration interprofessionnelle chez les professionnels et chez les patients dans les unités d'hospitalisation en oncologie et en hématologie

San Martin Rodriguez, Leticia January 2007 (has links)
Thèse numérisée par la Direction des bibliothèques de l'Université de Montréal.
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Facial expressions of pain in cats : the development and validation of the Feline Grimace Scale

Cayetano Evangelista, Marina 08 1900 (has links)
L’évaluation de la douleur chez le chat est souvent un défi en raison de leur nature discrète et les changements de comportement potentiels dans des situations inhabituelles et stressantes, telles que l'environnement vétérinaire. Différents outils d’évaluation de la douleur (c.-à.-d. des échelles de douleur) basés sur l'observation des comportements ont été proposés pour les chats; cependant, la majorité de ces outils manque de tests de validité, de fiabilité et/ou de généralisabilité. De plus, les échelles de douleur sont peu utilisées dans la pratique clinique. Des outils simples, pratiques et fiables tels que les échelles de grimace (instruments d'évaluation de la douleur basés sur l'expression faciale), ont le potentiel de changer ce scénario. Elles ont été développées pour plusieurs espèces, excluant le chat. L'objectif général de cette thèse était de développer un nouvel instrument basé sur l'expression faciale pour l'évaluation de la douleur aiguë chez les chats, la « Feline Grimace Scale » (FGS) et d'explorer ses applications et ses limitations. Nos hypothèses étaient que la FGS permettrait l’identification de la douleur chez les chats avec précision (dans différentes conditions telles que la douleur d’origine naturelle et postopératoire); elle serait valide et fiable (parmi différents évaluateurs); elle serait capable de détecter la réponse aux analgésiques; et finalement, elle pourrait être appliquée en temps réel dans le contexte clinique. La FGS a été développée et validée en utilisant une approche psychométrique pour détecter la douleur aiguë chez les chats. Cette échelle discriminait entre les chats en douleur de ceux qui ne le sont pas; détectait la réponse à différents analgésiques; et corrélait fortement avec un autre système de notation de la douleur. Une bonne fiabilité inter et intra-observateur a été démontrée, non seulement parmi les vétérinaires, mais aussi parmi les propriétaires de chats, les étudiants vétérinaires et les techniciens en santé animale. L’utilisation de la FGS en temps réel était aussi réalisable. D’autre part, nos résultats suggèrent que le genre de l'évaluateur influencerait l'évaluation de la douleur, car les évaluatrices attribuaient des scores plus élevés que les évaluateurs. La FGS est un outil valide, fiable et pratique pour l'utilisation potentielle en recherche ou en clinique; en temps réel ou par l’évaluation des images. Elle pourrait être aussi applicable dans une large gamme de conditions douloureuses et par des évaluateurs avec différents niveaux d'expertise, et potentiellement aussi à la maison (par les propriétaires de chats). Cela représente un progrès substantiel dans l’identification et la gestion de la douleur féline, vers les plus hautes exigences en matière de soins vétérinaires. / Pain assessment in cats is challenging due to a number of reasons, including their discrete nature and potential behavioral changes in unfamiliar and stressful situations, such as the veterinary environment. Different pain assessing instruments (i.e. pain scales) that rely on the observation of behaviors have been proposed for cats; however, the majority lack validity, reliability and/or generalizability testing. Additionally, the adherence to their use in clinical practice is low and warrants improvement. Simple, practical and reliable tools such as grimace scales (facial expression-based pain assessment instruments), have the potential of changing this scenario. They have been developed for several species, among which the cat was not included. The overall aim of this thesis was to develop a novel facial expression-based instrument for acute pain assessment in cats, the Feline Grimace Scale (FGS) and to explore its applications and limitations. Our hypotheses were that the FGS would be able to accurately identify pain in cats (in different conditions such as naturally-occurring or spontaneous and postoperative pain); it would be valid and reliable (among different raters); it would be able to detect the response to analgesics; and its application in real-time in the clinical context would be feasible. The FGS was developed and validated using a comprehensive psychometric approach to detect acute pain in cats. It has demonstrated a high discriminative ability between painful and non-painful cats; it is capable of detecting the response to different analgesic drugs and it is strongly correlated with another pain scoring system. Furthermore, it demonstrated good inter- and intra-rater reliability, not only among veterinarians, but also among cat owners, veterinary students and nurses (technicians). Real-time scoring using the FGS was proven feasible. On the other hand, our results suggested that the rater gender may influence pain assessment, as female raters assigned higher scores than males. The FGS is a valid, reliable and practical tool potentially for both research and clinical use in real-time or using image assessment; that may be applicable in a wide range of painful conditions, by raters with different degree of expertise, and potentially at home (by cat owners). This represents a substantial progress in feline pain management, towards the highest standards in veterinary care.

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