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201

Les déterminants du retrait organisationnel : le cas du cynisme et du départ volontaire

Merkouche, Wassila 10 1900 (has links)
L’objectif de la présente thèse est de mieux expliquer le concept de retrait organisationnel et ses déterminants. À travers l’étude de la littérature plus générale des comportements contreproductifs et celle du retrait organisationnel, nous exposons les différentes facettes du retrait organisationnel tant sur le plan du retrait du travail que sur le plan du retrait de l’emploi. Nous proposons également une nouvelle définition du retrait organisationnel, une typologie du retrait du travail et un modèle théorique intégrateur multi-niveaux du retrait organisationnel. Ce modèle original avancé dans cette thèse, duquel découle un certain nombre de propositions théoriques, mobilise principalement l’approche sociologique multi-niveaux, le modèle de l’adaptation en comportement organisationnel, ainsi que la perspective du contrat psychologique et celle de l’ancrage dans l’emploi. L’approche sociologique multi-niveaux de Marchand et al. (2006) permet de répertorier plusieurs déterminants du comportement et/ ou de l’attitude dans les différentes sphères de la vie de l’individu qui, selon le modèle de l’adaptation de Rosse et Miller (1984), agit en s’adaptant adéquatement aux différentes situations au travail. La présente thèse utilise également la perspective du contrat psychologique de Rousseau (1989, 1990). Il s’agit d’une approche pertinente dans l’explication des réactions comportementales et/ou attitudinales de l’employé dans une optique d’échange social (Blau, 1964), suite à une évaluation du degré de respect de son contrat psychologique par son employeur. Cette évaluation porte sur l’ensemble des conditions de travail dans le cadre de la relation d’emploi. Nous privilégions également la perspective de l’ancrage dans l’emploi de Mitchell et al. (2001) pour démontrer que les liens sociaux tissés entre l’employé et les personnes dans son organisation pourraient atténuer l’intensité ou l’ampleur des réponses comportementales et/ou attitudinales négatives résultant d’une situation de non-respect du contrat psychologique de celui-ci de la part de son employeur. Afin de vérifier l’impact du respect du contrat psychologique ainsi que de l’ancrage dans l’emploi dans l’adoption du retrait organisationnel, nous avons choisi d’étudier plus spécifiquement le cynisme comme attitude de retrait du travail et ce, dans le cadre d’un devis quantitatif transversal ainsi que le départ volontaire comme comportement de retrait de l’emploi dans le cadre d’un devis quantitatif longitudinal. Les résultats de régressions multiples multi-niveaux de ces deux études indiquent la présence de certains facteurs de protection et de certains facteurs de risque associés à l’adoption du cynisme et du départ volontaire. L’utilisation des compétences au travail, le fait de recevoir de la reconnaissance et le fait qu’il existe des possibilités de développement de carrière constituent des facteurs communs de prévention contre le cynisme et le départ volontaire. De plus, le soutien reçu de la part du superviseur permet de prévenir les attitudes cyniques au travail, alors que la présence de demandes psychologiques élevées au travail, le fait d’être exposé à des horaires irréguliers et de vivre une certaine insécurité d’emploi pourraient augmenter le cynisme. Les résultats indiquent également que le soutien social des collègues, ainsi que la présence de possibilités de développement de carrière, jouent un rôle conjoint dans la prévention du départ volontaire. Quant à la prévention du cynisme, à la fois le soutien social du superviseur et celui des collègues jouent un rôle supplémentaire de protection contre l’attitude cynique éventuelle chez l’employé qui perçoit le non-respect de son contrat psychologique en matière d’utilisation des compétences, d’autorité décisionnelle, de reconnaissance, de développement de carrière et d’insécurité d’emploi. Nous avons également réalisé une troisième étude quasi-expérimentale, selon un devis quantitatif transversal, sur les déterminants du départ volontaire. Les résultats de l’ANOVA sur le test de trois conditions expérimentales (cynisme, soutien social et durée du soutien social) sur le départ volontaire indiquent que le fait d’être cynique ou le fait de recevoir un faible soutien social augmentent l’intention de quitter chez l’employé. De plus, ces faits, vécus sur une longue durée augmentent davantage l’intention de quitter son emploi. La présente thèse permet de faire avancer les connaissances théoriques et empiriques en matière de retrait organisationnel, de cynisme et de départ volontaire. Elle se conclut sur des recommandations possibles pour les praticiens vers une intervention intégrée pour prévenir ces deux réponses possibles à des conditions insatisfaisantes au travail. La thèse souligne l’importance pour l’employé d’utiliser pleinement ses compétences au travail, d’être reconnu pour ses efforts et contributions à l’organisation et d’avoir des opportunités suffisantes de développement et d’avancement de carrière dans le cadre de son emploi. / The purpose of this thesis is to better explain the concept of organizational withdrawal and its determinants. Through the study of the more general literature on counterproductive behavior and organizational withdrawal, we expose the different facets of organizational withdrawal in terms of both work withdrawal and job withdrawal, a definition of organizational withdrawal, a typology of work withdrawal and a multilevel integrative theoretical model of organizational withdrawal. This original model advanced in this thesis, from which a certain number of theoretical propositions arise, mainly mobilizes the multilevel sociological approach, the model of adaptation in organizational behavior, as well as the perspective of the psychological contract and that of job embeddedness. The multilevel sociological approach of Marchand et al. (2006) identifies several determinants of behavior and / or attitude in the different spheres of the individual's life which, according to Rosse and Miller's adaptation model (1984), acts by adapting appropriately to different situations at work. The present thesis also uses the perspective of Rousseau's psychological contract (1989, 1990). It is a relevant approach in the explanation of the behavioral and / or attitudinal reactions of the employee, with a view to social exchange (Blau, 1964), following an assessment of the degree of respect of his psychological contract by his employer. This assessment covers several working conditions in the employment relationship. We also favor the job embeddedness perspective of Mitchell et al. (2001) to demonstrate that the social connections that exist between the employee and the persons in organization could reduce the intensity or magnitude of the negative behavioral and / or attitudinal responses resulting from a situation of non-compliance with the psychological contract of the latter by his employer. In order to verify the impact of the respect of the psychological contract as well as the job embeddedness on the adoption of the organizational withdrawal, we chose to study more specifically the cynicism as attitude of work withdrawal in the frame of transversal quantitative estimate as well as voluntary departure as a behavior job withdrawal in the context of a long-term quantitative estimate. The results of multiple multilevel regressions of these two studies indicate the presence of certain protective factors as well as certain risk factors associated with the adoption of cynicism and voluntary leaving. The use of one's skills in the workplace, receiving recognition for the work and the presence career development opportunities are common factors in preventing cynicism and voluntary departure. In addition, the support received from the supervisor helps to prevent cynical attitudes at work, while the presence of high psychological demands at work, being exposed to irregular hours and experiencing job insecurity could increase cynicism. The results also indicate that social support from colleagues and the presence of career development opportunities play a joint role in preventing voluntary departure. As for the prevention of cynicism, both social support from the supervisor and colleagues play an additional role of protection against the cynical attitude possible to develop by the employee who perceives the non-respect of his psychological contract as regards use of skills, decision-making authority, recognition, career development and job insecurity. We also carried out a third quasi-experimental study, according to a cross-sectional quantitative estimate, on the determinants of voluntary leaving. The results of the ANOVA regarding the effects of three experimental conditions (cynicism, social support, and duration of social support) on voluntary leaving indicate that being cynical or receiving weak social support increases the intention to leave. In addition, being cynical, receiving weak social support for a long time is the situation that further increases the intention to quit one's job. This thesis helps to advance the theoretical and empirical knowledge of organizational withdrawal, cynicism and voluntary departure and concludes with possible recommendations for practitioners to an integrated intervention to prevent these two possible responses to unsatisfactory conditions at work. The thesis stresses the importance for the employee to fully utilize his skills at work, to be recognized for his efforts and contributions to the organization and to have sufficient opportunities for career development and advancement within the framework of his job.
202

Migration internationale des infirmiers haïtiens au Québec : potentiel des accords bilatéraux

Clerveau, Vanessa 02 1900 (has links)
Mémoire de fin d'études de maitrise réalisé par l'étudiante Clerveau Vanessa, sous la direction du professeur Denis Jean-Louis et Johri Mira pour l'obtention de la maitrise en administration des services de santé, option santé mondiale / La pénurie de main-d’œuvre en santé représente une problématique de santé mondiale et sa gestion par les pays de destination pourrait entraîner de graves conséquences sur les systèmes de santé des pays d’origine. Afin d’en atténuer certaines, l’Organisation mondiale de la santé (OMS) a créé le Code de pratique mondiale. Nous avons exploré le potentiel des accords bilatéraux proposés par ce Code dans le processus de migration des infirmiers haïtiens au Québec. Une analyse qualitative exploratoire a été menée avec des données de la littérature grise, scientifique et du grand public, ainsi que des entrevues semi-dirigées d’experts d’Haïti et de Québec selon un échantillon raisonné, au moyen d’un guide d’entrevue. Elles ont été transcrites manuellement, enregistrées sur Teams et analysées sur Nvivo. La formation des infirmiers haïtiens nécessaire au renouvellement de la main-d’œuvre, le renforcement des capacités du système de santé haïtien, le transfert de connaissances et de compétences, et l’intégration du personnel infirmier haïtien font partie des éléments clés évoqués par les experts en vue d’explorer le potentiel des accords bilatéraux. Haïti et le Québec devraient désigner des éléments nécessaires définissant clairement les besoins respectifs de leur système de santé. Cependant, la mise en œuvre pourrait être compromise par les enjeux d’équité, de dynamique, de pouvoir et d’instabilité en Haïti. Les accords bilatéraux dans le processus de migration des infirmiers haïtiens pourraient servir de levier d’amélioration des politiques de santé publique et de la coopération internationale entre Haïti et le Québec. / The shortage of healthcare workers is a global health issue, and its management by destination countries could impact healthcare systems in countries of origin. The World Health Organization (WHO) has taken steps to mitigate some of these issues by implementing the Global Code of Practice. We explored the potential of the bilateral agreements proposed by this Code in the migration process of Haitian nurses to Quebec. An exploratory qualitative analysis was conducted using data from the grey, scientific, and public literature, as well as semi-structured interviews with experts from Haiti and Quebec based on a purposive sample, using an interview guide. They were manually transcribed, recorded on Teams, and analyzed on Nvivo. The training of Haitian nurses needed to renew the workforce, capacity building of the Haitian healthcare system, transfer of knowledge and skills, and integration of Haitian nurses were among the key elements raised by experts to explore the potential of bilateral agreements. Haiti and Quebec should identify the necessary elements that clearly define the respective needs of their healthcare systems. However, implementation could be compromised by issues of equity, dynamics, power, and instability in Haiti. Bilateral agreements in the Haitian nurse migration process could serve as a lever for improving public health policies and international cooperation between Haiti and Quebec.
203

Evolutions des pratiques de G.R.H. des rôles des D.R.H. et des modèles de management dans des entreprises de télécommunications belges et chiliennes dans un contexte de changement: analyse comparative

Montupil Inaipil, Fernando 14 February 2005 (has links)
<p><p>This thesis describes, analyses and compares changes in the practice of human resource management (HRM), the roles of human resource departments (HRD) and management models in companies in Belgium, France (partially) and Chile by highlighting the similarities and differences. This is therefore an international comparative study.<p><p><p>The study is carried out using a contextualist analytical approach.<p><p><p>It answers the question: <b>what are the changes in HRM practice, the roles of HRD and the management models in social organisations in different contexts?</b><p><p><p>It uses theoretical models (“typical ideals”) to analyse reality, while drawing from writers such as Mintzberg, Pichault and Nizet, Crozier, Crouch, Ulrich, Pettigrew. With regard to management, the study resorts to classical, instrumental and political models. As regards human resource management (HRM), it is based on objective, conventionalist and individualised models. In the human resource department (HRD), the models are those of administrative officer, operational expert and strategic partner.<p><p><p>The changes do not only result from a decision-making process dictated mechanically by contextual factors but more particularly from complex interaction and the balance of power among the actors concerned who use the contextual elements to advance their own interests.<p><p><p>Amongst the most relevant developments which bear <b>similar</b> characteristics, one can cite:<p><p><p>1.- <b>a significant increase in the use of management methods specific to the instrumental or “Californian” model, </b><p><p><p>2.- <b>more extensive use of individual competencies in HRM practices</b>, and<p><p><p>3.- <b>a significant reduction in the size of the HRD and, notably, in the profile of administrative officer of the HRD. </b><p><p><p>As regards the <b>differences</b> found in the various contexts, one can highlight the fact that:<p><p><p>1.- <b>In the Belgian and French models, the dominant managerial model remains political management.</b> On the other hand, <b>in the Chilean model, the Californian management model has become clearly dominant. </b><p><p><p>2.- <b>In Belgium and France, the dominant HRM practices are those of the conventionalist model. On the other hand, in Chile, the dominant HRM practices are those of the individualised model. </b><p><p><p>3.- The evolution of the roles of HRD, <b>in the Belgian model, has been practically non-existent or appeared later since the dominant role has remained that of the administrative officer (AO). On the other hand, in the Chilean model, the dominant role has become that of operational expert (OE). </b> The role of strategic partner (SP) which was so recommended and desired by managers has been long in developing.<p><p><p>The professional relations model and the political system constitute one of the most important factors which explains the differences noted. In Belgium, the neo-corporate and social-democrat model of professional relations at the national level (with a strong trade unionist movement) functions as a socio-economic regulatory mechanism reflecting the forces and the agreements between social partners. In Chile, there exists neither social dialogue nor equivalent institutionalisation at the national level; what prevails here is the confrontational Latin model (with a weak trade unionist movement).<p><p><p>Similarly, in Belgium social legislation is more comprehensive, regulating the market more and protecting people’s interests. Furthermore, it offers greater social security coverage via, in addition, vast public expenditure by the State. In Chile on the other hand, social legislation is more incomplete and more flexible, favouring rather discretionary decisions by managers and allowing the interplay of market forces to regulate the labour market. The right to strike, the allocation of unemployment benefits, the procedures for hiring and firing, etc. testify to these differences.<p><p><p>The characteristics of the “hybrid” Belgo-Latin culture based on the traditional negotiation model increasingly influence, for example, the development of a political management model and conventionalist HRM practices, team work or coaching, etc. On the other hand, the characteristics of Chilean Latin culture, where authoritarianism and paternalism are still very present, stimulate a more classical management model and objective HRM practices.<p><p><p>The differences between the developments are evident. The social aspects (social security, education, workers’ rights, etc.) are better guaranteed in the Belgian model and the productivist logic stronger and damaging in the Chilean model. As long as the actors involved remain as they are, with their ideological, political and cultural particularities and their specific strengths, these models will remain different.<p><p><p><p><p>Cette thèse décrit, analyse et compare les changements des pratiques de la gestion des ressources humaines (GRH), les rôles des directions des ressources humaines (DRH) et les modèles de management, dans des entreprises situées en Belgique, en France (partiellement) et au Chili, en relevant les similitudes et les différences. Il s’agit donc d’une recherche internationale comparative.<p><p><p>La recherche s’inscrit dans une approche d’analyse contextualiste.<p><p><p>Elle répond à la question :<b>quels sont les changements des pratiques de GRH, des rôles des DRH et des modèles de management dans des organisations sociales situées dans des contextes différents ?</b><p>Elle utilise des modèles théoriques (des “ideaux types”) pour analyser la réalité, en s’inspirant des auteurs tels que Mintzberg, Pichault et Nizet, Crozier, Crouch, Ulrich, Pettigrew. Au niveau du management, l’étude a recourt aux modèles: classique, instrumental et politique. Au niveau de la gestion des ressources humaines (GRH), elle se base sur les modèles: objectivant, conventionnaliste et individualisant. Tandis qu’au niveau de la direction des ressources humaines (DRH), les modèles sont ceux d’agent administratif, d’expert opérationnel et de partenaire stratégique.<p><p><p>On constate que les changements ne résultent pas seulement d’un processus décisionnel dicté mécaniquement par les éléments du contexte mais surtout d’un jeu complexe d’interactions, d’un jeu de pouvoir des acteurs concernés, qui mobilisent les éléments du contexte pour faire prévaloir leurs intérêts.<p><p><p>Parmi les évolutions <b>similaires</b> les plus relevantes, on peut citer:<p><p><p>1.- <b>l’accroissement important de l’usage des méthodes de management propres au modèle instrumental ou « californien » ;</b><p><p><p>2.- <b>l’utilisation plus extensive des pratiques de GRH individualisantes</b> et, <p><p><p>3.- <b>la diminution importante de la taille de la DRH et, notamment, du profil d’agent administratif de la DRH. </b><p><p><p>Quant aux <b>différences</b> retrouvées dans ces contextes différents, on peut relever :<p><p><p>1.- <b>Dans les cas belge et français le modèle managérial dominant reste le management politique. </b> Par contre, <b>dans le cas chilien, le modèle de management « californien » est devenu clairement dominant. </b><p><p><p> 2.- <b>Les pratiques dominantes de GRH, en Belgique et en France, restent celles du modèle conventionnaliste. Par contre, au Chili, les pratiques dominantes de GRH sont celles du modèle individualisant. </b><p><p><p>3.- L’évolution des rôles de la DRH, <b>dans le cas belge, a été pratiquement nulle ou plus tardive puisque le rôle dominant est resté d’agent administratif (AA). </b> Par contre, <b>dans le cas chilien, le rôle dominant est devenu celui d’expert opérationnel (EO). </b> Le rôle du partenaire stratégique (PS), tant prôné et souhaité par les managers, tarde lourdement à se développer.<p><p><p>Le modèle de relations professionnelles et le système politique, constituent un des facteurs parmi les plus importants qui expliquent les différences constatées. En Belgique, le modèle de relations professionnelles néo-corporatiste et social-démocrate au niveau national (avec un syndicalisme fort) fonctionne comme un mécanisme de régulation socio-économique reflétant les forces et les accords entre les partenaires sociaux. Tandis qu’au Chili, il n’existe ni de concertation sociale ni d’institutionnalisation équivalente au niveau national ;il prévaut ici le modèle confrontationnel et latin (avec un syndicalisme faible).<p><p><p>De même, tandis qu’en Belgique il existe une législation sociale plus complète régulant davantage le marché et protégeant les intérêts des personnes, en offrant une sécurité sociale plus large avec, en plus, une forte participation de l’Etat dans les dépenses publiques, au Chili la une législation sociale est plus incomplète et plus souple, favorisant davantage les décisions discrétionnaires des managers amenant principalement une régulation par le libre jeu du marché du travail. Le droit de grève, l’assignation de chômage, les procédures de licenciements ou d’embauche, etc. témoignent de ces différences.<p><p><p>Les traits de la culture latine « hybride » belge, traditionnellement négociatrice, influencent davantage, par exemple, le développement d’un modèle de management politique et des pratiques de GRH conventionnalistes, un travail en équipe ou le coaching, etc. Par contre, les traits de la culture latine chilienne, où l’autoritarisme et le paternalisme sont encore forts présents, stimulent un modèle de management plutôt classique et des pratiques de GRH objectivantes.<p><p><p>La différence des évolutions est évidente. Les aspects sociaux (sécurité sociale, éducation, droits des travailleurs, etc.) sont mieux garantis dans le cas belge et la logique productiviste est plus forte et nuisible dans le cas chilien. Tant que les acteurs indiqués demeurent, avec leurs particularités idéologiques, politiques, culturelles et leurs forces spécifiques, ces modèles resteront différents. <p><p> / Doctorat en sciences politiques / info:eu-repo/semantics/nonPublished

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