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En grève et en guerre. Les mineurs britanniques au prisme des enquêtes du Mass Observation (1939-1945). / Miners on Strike, Miners at War. A historical ethnography based on Mass Observation’s coal mining surveys and oral history (1939-1945)

Mak, Ariane 25 September 2018 (has links)
Dans le Royaume-Uni de la Seconde Guerre mondiale, malgré une économie de guerre conditionnée par la production en charbon, l’industrie houillère est le premier secteur en grève. Les 3 473 grèves minières qui éclatent entre 1940 et 1944 constituent près de la moitié des grèves britanniques. Accusés de saper l’effort national, les mineurs se heurtent aux impératifs du patriotisme et à la politique de coopération nationale des institutions syndicales. À rebours des approches hors sol des mobilisations qui ont longtemps dominé l’historiographie, nous proposons d’explorer ces grèves from below, saisies sur le vif et ancrées dans le quotidien des communautés minières. Nous nous intéressons à la manière dont le conflit entre patriotisme et justice sociale se manifeste, à la mine comme au pub. Nous proposons en outre une étude nouvelle du décret 1305 interdisant les grèves. Où observe-t-on le heurt entre les grévistes et le droit ? Comment les grévistes sont-ils jugés (ou non) ? Comment, en retour, les mineurs jugent-ils le droit, y résistent ou le contournent ? Les grèves sont donc aussi saisies comme lieu où s’éprouve l’univers normatif des acteurs, ébranlé par l’irruption de la guerre. Les principes du juste salaire, en particulier, sont à réinventer – dans les grandes vagues de grèves du printemps 1942 et de l’hiver 1944, dans la grève emblématique des mineurs de Betteshanger, comme dans les soulèvements plus méconnus des pit boys gallois. La thèse montre notamment que les bouleversements des hiérarchies de statut et de genre provoqués par le conflit jouent un rôle central dans les revendications salariales des grévistes. Elle le fait à travers une ethnographie historique qui conjugue : une revisite historienne des enquêtes de terrain entreprises par le Mass Observation durant la guerre ; une exploration de leurs conditions de production (collectif, dispositif et pratiques d’enquête) ; et un retour contemporain sur ces terrains à travers une enquête orale menée auprès de mineurs et de Bevin Boys. En cela la thèse se veut également une contribution à l’histoire du Mass Observation (1937-1949), ce singulier collectif de recherche extra-universitaire et autodidacte qui constitue un épisode négligé de l’histoire des sciences sociales britanniques. / During the Second World War, coal was essential to Britain’s war effort. Yet, in 1940-1944, the coal industry accounted for almost half of all strikes. Surprisingly, industrial relations studies have given little attention to the way ‘ordinary miners’ thought about militancy in wartime. Using thickly-textured empirical studies, this thesis unveils how these strikes were experienced and legitimized by the miners. It aims to explore these strikes from below, grounded in the daily life of mining communities. It asks: how did the conflict between patriotism and social justice express itself, both in the mine and at the pub? A central focus of the thesis is on the way the war disrupted the normative worlds and moral economy of miners on strike.A first important avenue of research is centered on Order 1305 which outlawed strikes and criminalized strikers. This thesis starts by providing a detailed analysis of the ways Order 1305 was used and of the difficulties encountered by the ministries in prosecuting strikers. Using a little-known Mass Observation survey, it then provides a reassessment of the January 1942 strike at Betteshanger Colliery, Kent, which has come to symbolize the failure of Order 1305. It then turns to another untapped source: that of the protest letters sent to the Ministry of Labour and the Home Office in the aftermath of the Betteshanger miners’ trial. This thesis then examines how the cry for fair wages became a burning issue for miners in wartime. It highlights the important role played by changing status and gender hierarchies in these claims. In this section, the thesis first turns to the 1942 strikes and to the South Wales pit boys’ strikes. It then pays particular attention to the comparisons made by striking miners with the munitions workers’ high wages. A new perspective on this issue is provided by the survey undertaken by Mass Observation in Blaina and Nantyglo, two Welsh mining towns where miners and munitions workers were close neighbours. They reveal how, within the mining communities, these claims for “fair wages” were connected to issues of consumption, morality, gender, and respectability. Finally, the thesis argues for the need to include Bevin Boys into our understanding of the 1944 Porter Award Strikes. This thesis offers a “historical ethnography”, combining the following features:: first, an analysis of Mass Observation mining surveys; second, a study of the research design and methods of these wartime surveys; third, 43 oral history interviews conducted with miners and Bevin Boys in the very mining communities studied by Mass Observation. In that sense, this thesis also contributes to the history of Mass Observation (1937-1949), which still constitutes a neglected episode in the history of British social sciences.
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Finistère du Front Populaire, lutte pour l'hégémonie et logique de blocs / Finistère of the Popular Front, struggle for hegemony and logic of blocs

Sénéchal, Jean-Paul 13 November 2015 (has links)
Cette recherche a pour objet l’analyse de l’impact d’un événement d’importance, le Front populaire, sur un département, le Finistère, essentiellement rural et fortement marqué par la question religieuse.Les affrontements y sont nombreux pendant toute la période de l’entre-deux-guerres. Un puissant syndicalisme agricole s’y développe en s’appuyant sur une vie économique qui repose essentiellement sur le monde rural. Il cherche à filtrer les influences extérieures, y compris celles de la hiérarchie catholique, et à assurer son ascendant sur la société par le biais du corporatisme. En face, la société urbaine, qui a certes des velléités hégémoniques, vit ses propres antagonismes, entre un mouvement ouvrier en mutation et une élite qui durcit ses positions devant les manifestations d’émancipation du salariat. La pénétration des idées sociales est faible dans les campagnes, au regard des populations concernées. L’Église catholique, au travers d’un appareil militant bien implanté, cherche à conforter son emprise sur l’ensemble de la société. La crise radicalise les positions des uns et des autres. Les affrontements s’intensifient pendant la période nous utilisons les outils d’analyse sur les mouvements sociaux pour mesurer les capacités de mobilisation des acteurs, en croisant les sources afin de confronter les attitudes. Nous cherchons à voir comment se côtoient le monde urbain et le monde rural et comment cette situation apparente de blocs n’est pas perturbée par un troisième acteur, le bloc clérical .La lutte pour l’hégémonie se joue non seulement sur le terrain politique mais également dans le domaine social. / This research aims to analyze the impact of a significant event, the popular front on a department, Finistère, largely rural and heavily influenced by the religious question. Clashes are numerous throughout the period of the interwar period. A powerful agricultural union developed there based on an economy based mainly on rural areas. It seeks to filter out external influences, including those oft he Catholic hierarchy, and to ensure its influence over society through corporatism. Face, urban society, which certainly hegemonic ambitions, lives its own contradictions between a workers’ movementand changing an elite that hardens his positions before the emancipation of the wage protests. Penetration of social ideas is weak in the countryside, in view of the populations concerned. The Catholic Church, through a well-established militant unit, seeking to consolidate its grip on the whole of society, the crisis radicalizes the positions of each other. Fighting intensifies during the period. We use the analytical tools on social movements to measure the actors mobilization capacities, crossing sources to confront attitudes. We look to see how rub the urban and rural areas and if this apparent position of blocks is not disturbed by a third actor, the clerical bloc. The struggle for hegemony is played not only in the political field but also in the social field.
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La durée des grèves, une histoire de cas : grèves des chauffeurs d'autobus à l'emploi de la C.T.C.U.Q.

Barry, Hélène 16 February 2024 (has links)
« Thèse présentée à l'École des gradués de l'Université Laval pour l'obtention du grade de maître ès relations industrielles » / « …cette recherche portera sur l'étude des facteurs qui peuvent influencer la durée d'une grève. Nous nous limiterons donc à l'étude des facteurs pouvant influencer la durée des grèves dans un secteur d'activités donné, soit le secteur public. A l'intérieur du secteur public, nous ne retiendrons qu'une seule entreprise de services publics en particulier, soit la Commission de transport de la Communauté urbaine de Québec. D'autre part, notre champ de recherche s'applique également aux salariés tel que définis par le Code du travail, qui sont employés directement par la Commission de transport. A l'intérieur de cette catégorie d'employés, nous porterons notre attention sur une seule unité d'accréditation, les chauffeurs d'autobus, lesquels sont représentés par le Syndicat des Employés du Transport public du Québec Métropolitain Inc., affilié à la C.S.N. Notre choix s'est arrêté sur les chauffeurs d'autobus pour la simple raison que parmi toutes les catégories de travailleurs à l'emploi de la C.T.C.U.Q. seuls les chauffeurs ont maintenu leur allégeance syndicale avec la C.S.N. et ce, depuis la négociation de leur première convention collective en 1971 jusqu'à nos jours. De cette façon, nous pouvons plus facilement suivre l'évolution des relations de travail et cerner les facteurs ayant pu influencer la durée des grèves au cours de leur histoire. Par ailleurs, il serait bon de préciser qu'il n'est pas dans notre intention de nous prononcer à savoir si une grève est longue ou courte, mais bien de découvrir les facteurs susceptibles d'influencer la durée de une ou de plusieurs grèves afin de tenter d'expliquer la durée des grèves des chauffeurs d'autobus à l'emploi de la C.T.C.U.Q. et ce, en analysant les quatre rondes de négociations entre la C.T.C.U.Q. et le syndicat de ses chauffeurs survenues entre 1971 et 1979. Comme il n'existe aucune théorie particulière traitant de la durée des grèves en soi et que nous croyons qu'elle dépend du pouvoir de négociation que détiennent les parties, notre approche consistera à expliquer à partir des théories du pouvoir de négociation, le phénomène de la durée des grèves. Ainsi, nous consacrerons un premier chapitre à la définition théorique des variables retenues ainsi qu'à la présentation des grèves à l'étude. Dans un deuxième chapitre, nous tenterons de vérifier dans quelle mesure les variables dites économiques ont pu jouer dans la détermination de la durée des grèves à l'étude. De la même façon, les troisième et quatrième chapitres porteront respectivement sur l'analyse des variables intrinsèques et extrinsèques de la durée des grèves. Pour conclure, nous exposerons un bref résumé de nos observations pour ensuite tenter, s'il y a lieu, d'expliquer le phénomène de la durée des grèves. »--Pages 4-5
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Progrès technique et luttes sociales dans un secteur industriel - De l'hypothèse d'une fonction d'avant-garde des secteurs de pointe à celle de la turbulence des champs stratégiques

Barrier-Lynn, Christiane 06 July 1972 (has links) (PDF)
1) Cette enquête fait le point sur et infirme la théorie de la nouvelle classe ouvrière, qui suite aux progrès de l'automation aurait été composée de techniciens et ingénieurs et presque plus d'ouvriers manuels, même très qualifiés, en vogue dans la seconde moitié des années 60. Selon cette pseudo-théorie, les techniciens, techniciens supérieurs devaient être plus combatifs, plus portés aux revendications gestionnaires que les ouvriers d'avant 1968. En fait, d'après cette enquête menée dans les établissements industriels de la période, les plus automatisés, les plus " presse-bouton " : production assurée à distance, à partir de salles de pilotage, essentiellement par un seul " pilote ", ici dans les centrales électriques les plus " en pointe ", entre autres , dans les premières centrales nucléaires, le contenu des revendications, les attitudes des salariés de base, s'inspiraient encore, pour l'essentiel, des valeurs du mouvement ouvrier. 2) Elle a recouru et mis en valeur, une notion ignorée des sociologues du travail (qui devaient avant tout inventer des néologismes pour " faire savants "), mais au cœur du langage du mouvement et des militants ouvriers (qui a eu, lui aussi, ses " théories spontanées ") : celle de climats sociaux, froids ou chauds et le déclenchement d'une grève que l'auteur a pu observer sur place, (ce qui la distingue de la plupart des sociologues du travail français, puisque, pour l'analyse des conditions salariées, ceux-ci recouraient essentiellement aux informations fournies par les délégués et militants syndicaux, ce qui a pu valoir des distorsions dans l'interprétation des opinions et attitudes de base), notamment pendant la délicate " baisse de charge " de la puissance des centrales électriques, sujet de délicates négociations avec la direction, sinon de conflits éventuellement lourds de conséquences sur l'axe des turbines et la sécurité nucléaire. Ce volet de l'enquête, imprévu et improvisé, une fois les enquêteurs arrivés sur le terrain, a été qualifié de " sauvage " puisque non-programmé et non-envisagé dans le plan académique de l'enquête centrée sur les changements dans les conduites et comportements salariés induits par une automatisation très avancée (dans les usines presse-boutons). Il a permis de souligner le contraste entre les données recueillies par questionnaire (réponses plutôt sages et raisonnables) puis analyses statistiques et celles observées sur le vif lors de situations critiques, éventuellement explosives.
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La mise en place du syndicalisme contemporain et des relations sociales nouvelles en Belgique, 1910-1937 / Establishing contemporary trade-unionism and the renewal of labour relationships, Belgium, 1910-1937

Bolle, Francine 25 September 2013 (has links)
En dépit de son importance dans la formation de la société contemporaine, le syndicalisme apparaît comme l’un des parents pauvres de l’historiographie en Belgique. Il y a plus de trente ans, Jean Puissant déplorait que l’historiographie syndicale était essentiellement « produite par le milieu syndical lui-même » et que sa fonction était généralement « la commémoration, la légitimation, la contestation ou encore la célébration » (Archivium, vol.XXVII, 1980). Plusieurs auteurs ont, à partir des années 1960 et surtout des années 1980, entamé une approche scientifique de l’histoire syndicale. Mais, en raison du manque cruel d’études systématiques préalables, cette production historique récente, plus riche de perspectives scientifiques, est demeurée largement monographique, ne dépassant que partiellement les clivages sectoriels, régionaux et politiques. « Des synthèses restent à faire, écrivait Antoine Prost en 1997 à propos de la France, [car] aucun de ces travaux ne réussit à lier de façon pleinement satisfaisante l’histoire du travail, celle des travailleurs et celle du mouvement ouvrier. [.] Les nouveaux paradigmes de l’histoire ouvrière continuent à se chercher » (Cahiers d’Histoire, n°66, 1997). Ce constat s’applique incontestablement à l’historiographie syndicale belge.<p><p>L’ambition de la présente thèse est de pallier l’absence d’étude d’ensemble sur le mouvement syndical belge de l’entre-deux-guerres, période essentielle dans le processus de mise en place du syndicalisme contemporain en Belgique. Cette période est en effet non seulement marquée par l’avènement d’un syndicalisme de masse, par l’intégration des syndicats dans des nouveaux systèmes de relations industrielles (reconnaissance généralisée des syndicats par le patronat et l’État comme interlocuteurs privilégiés dans la négociation du contrat de travail), par leur attribution à l’échelle nationale d’un rôle officiel dans la redistribution des secours étatiques de chômage, mais également par de profondes réformes des structures et des fonctionnements syndicaux (centralisation, concentration et rationalisation accrues). <p><p>Notre étude tente d’analyser comment et suivant quelles modalités les diverses composantes du mouvement syndical ont participé à ces transformations sociétales (y compris en ce qui concerne le nouveau rôle qu’elles y acquièrent) en même temps qu’elles se sont trouvées transformées par elles. Globalement, elle propose une évaluation des influences réciproques sur la construction du fait syndical belge :<p>-\ / Doctorat en Histoire, art et archéologie / info:eu-repo/semantics/nonPublished
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Histoire des syndicats de fonctionnaires et du mouvement social en Seine Maritime de 1944 à 1981 / History of Trade Unions of Civil Servants and the social movement in Seine-Maritime from 1944 to 1981

Miléo, Pierre 16 May 2019 (has links)
En 1944, le Conseil national de la Résistance décide de reconstruire un Etat social dans la continuité du Front populaire, avant que le second conflit ne l’interrompe. Les syndicats ouvriers réunifiés dans la CGT (sauf la CFTC) décident de soutenir ce programme. Les syndicats de fonctionnaires de Seine-Maritime s’organisent pour participer à cette reconstruction qu’ils attendaient. Quels sont leurs revendications ? Sur quoi s’appuient-ils pour les mettre en avant ? Quels sont les valeurs qu’ils défendent ? Attendent-ils tout de l’Etat social ? Quelle est leur conception de cet Etat social ? Enfin, quels moyens utilisent-ils pour le défendre et le faire progresser ? Obtenant la reconnaissance de leur liberté syndicale qui comprend le droit de grève, ils acceptent un statut qui se révèle fort protecteur vis-à-vis de l’administration et de sa hiérarchie. Ils obtiennent aussi la gestion de la Sécurité sociale par leurs mutuelles qui les entraînent, en Seine-Maritime, à construire une mutualité départementale unifiée et puissante. Toutefois, la division du monde en deux blocs, un libéral et un communiste, traverse ces syndicats et aboutit à la scission de 1947. Cela n’empêche pas la participation aux grèves de 1953 qui leur permet de sauver leur retraite. S’ils soutiennent le général de Gaulle (1890-1970) dans sa politique de décolonisation et contre les généraux factieux, ils l’affrontent sur sa politique institutionnelle, économique et sociale. La grève de 1968 en est l’aboutissement, par-delà les remises en cause. Mais pour rétablir l’Etat social qu’ils souhaitent, il leur faut soutenir les campagnes électorales de 1974 et 1981 du candidat de la gauche, François Mitterrand (1916-1996), qui l’emporte en 1981, en dépit de leurs divergences et grâce à la volonté unitaire de leurs militants. / In 1944, the National Council of Resistance decides to rebuild a welfare state, in continuation of the Popular Front, that the second World War stops it. The trade unions reunified, in CGT (except CFTC) decide to sustain this program. The trade unions of civil servants from Seine-Maritime organize themselves to take part in this rebuild that they waited for it. What are their demands ? On What do they lean themselves to put them before ? What are their values for which they fight? Do they wait all from the state ? What is their idea of this welfare state ? At least, what means do they use to fight for it and bring it to progress ? Getting the recognition of their freedom union laws, which includes right striking, they agree civil servant status which turn out very protective against their adminstration and its hierarchy. They get too the management of Health Security by their mutual insurances which lead them, in Seine-Maritme, to build a powerful departemental mutual insurance. However, the division of world in two blocks, one liberal and one communist, goes through these trade unions and leads to the break away of 1947 That does not prevent the participation to strikes of 1953 wich they are be able to save their retirement. If they sustain general De Gaulle in his decolonization policy and ag ainst seditious generals, they clash him on his institutional, économic and social policy. The strike of 1968 is the culmination of it, throuhgout adjournements. But in order to restore the welfare state that they hope, they must sustain lefts’ candidate, François Mitterrand, in their electoral compaigns of 1974 and 1981, who wins in this last year, in spite of their differences and thanks to the Will of unity of their activists.

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