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La question du Kosovo et les grandes puissances européennes, des origines au printemps 1999 / The Kosovo Question and Major European Powers from the origin to the spring of 1999

Tatarchuk, Natalia 25 January 2017 (has links)
La thèse veut revenir sur l'histoire complexe du Kosmet en étudiant trois de ses composantes majeures abordées dans une perspective historique : à savoir la question du Kosovo (qui trouve ses racines dans une histoire de longue durée), la crise du Kosovo (telle qu'elle va se nouer dans les années 1980) et la réaction des grandes puissances européennes face à cette crise. Cette approche permet de voir la naissance, l'essor, l'aggravation et, enfin, l'internationalisation de ce problème ; ce faisant, cette approche permettra aussi de montrer l'évolution des nationalismes serbe et albanais ainsi que la formation et les transformations des États nationaux serbe et albanais, c'est­-à-dire de se pencher sur l'émergence et le développement des deux forces motrices, serbe et albanaise, qui jouèrent un rôle clef dans la question du Kosovo ; et elle permettra également de voir comment les grandes puissances européennes, dans le contexte de la disparition de la Yougoslavie socialiste, ont réagi à la crise et ont été progressivement partie prenante de la question du Kosovo et de son règlement. / Kosovo is the disputed borderland between Serbia and Kosovo Albanians. The Serbs refer to Kosovo as the cradle of the Serb nation. The anniversary of the Battle of Kosovo Plain is the most important date in the Serbian national calendar. In 1981 there were major student protests in Pristina, followed by demands for Kosovo to be given republic status. The Serbian Communist leader S. Milosevic became president of Serbia in 1987 and in 1989 the Serbian parliament passed constitutional amendments reasserting Serbian control over Kosovo. In 1998 the Kosovo Liberation Anny unleashed a major guerrilla offensive. The conflict gained widespread international attention and was resolved with the intervention of the NATO.
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L'arrêt des essais nucléaires : enjeux et évolution du débat

Amireault, Éric January 2002 (has links)
Mémoire numérisé par la Direction des bibliothèques de l'Université de Montréal.
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Turbulences et changements institutionnels au sein de la Société internationale : une perspective historique

Landry, Rémi 01 1900 (has links)
Turbulences et changements institutionnels au sein de la Société internationale : une perspective historique Cette recherche puise ses origines du constat que la présente société internationale apparaît plus que jamais mal outillée et en perte de légitimité pour gérer les nouveaux déséquilibres qui ébranlent sa sécurité. Nous voulons vérifier si les présentes difficultés à gérer l’ordre interétatique sont des signes précurseurs d’une période de turbulences systémiques qui ébranleraient ses fondations. Nous avançons comme principale hypothèse de recherche qu’une perte de légitimité dans les mécanismes d’ordre d’une société westphalienne engendre une période plus ou moins longue de turbulences systémiques, provoquant un retour à l’antihégémonie caractérisée par l’établissement d’un nouvel ordre sociétal. Pour vérifier cette hypothèse, nous nous associons au cadre théorique de l’École anglaise qui analyse les relations interétatiques en qualifiant le caractère de l’ordre qui les gouverne. Ses adeptes y parviennent en étudiant les forces qui engendrent le maintien d’un environnement international antihégémonique, ainsi que la nature des réciprocités interétatiques qui s’en dégage. Ainsi, en observant les diverses institutions créées pour gérer l’ordre, ils sont en mesure de mieux comprendre l’évolution, la diffusion et la pérennisation de l’établissement d’une société des États. Cette approche nous a permis de construire un modèle explicatif pour notre dynamique sociétale. Par la suite, afin de répondre à notre questionnement initial, nous proposons d’analyser le statut de diverses sociétés internationales lors d’époques caractérisées par une période systémique de grands chaos, suivie du retour d’un régime sociétal. Nous cherchons à établir si des analogies peuvent être faites sur leur processus de transformation pour, par la suite, vérifier si elles peuvent s’appliquer à la nature du changement qui s’opère dans la présente société internationale. L’analyse historique comparative s’avère un instrument tout désigné pour ce type de recherche. Les époques sélectionnées pour notre recherche couvrent la Guerre de Trente Ans, les Guerres napoléoniennes et la Première Guerre mondiale. La nature antihégémonique d’une société des États, en plus de maintenir un environnement anarchique, crée un climat de rivalités qui entraîne un processus de transformations dans la dynamique de l’ordre. Ce facteur de changement fut introduit sous le concept de progrès sociétal, lequel engendre une désuétude institutionnelle dans les mécanismes de l’ordre sociétal, pouvant entraîner une période de turbulences systémiques. Ainsi, pour mieux observer ce phénomène, nous avons adopté les institutions comme outils d’analyse. Elles nous permettent d’être plus critiques des phénomènes observés, tout en nous autorisant à les comparer entre elles, en raison de leur longévité. Nos recherches révèlent la pérennité d’une dynamique de transformation au sein des sociétés westphaliennes, dont la nature entraîne des déséquilibres sociétaux qui varient selon son intensité. Nous observons aussi que, malgré l’égalité légale que confère la souveraineté aux États, les Grandes puissances sont les principaux artisans d’un système international. Leur aptitude à l’unilatéralisme fut souvent associée à l’émergence de turbulences systémiques. Nos recherches montrent que l’interdépendance et la coopération interétatique sont aussi alimentées par la diffusion et le partage d’une économie libérale. C’est aussi cette même interdépendance qui, progressivement, rend la guerre entre Grandes puissances désuète. Plus l’interdépendance et le multilatéralisme s’intensifient dans un environnement sociétal, plus le progrès sociétal a tendance à se manifester sous les aspects d’une transformation systémique progressive (non violente) plutôt que révolutionnaire (période de turbulences systémiques). La présente société internationale est sous l’influence du progrès sociétal depuis son avènement. Sa stabilité est directement liée à la capacité de ses mécanismes d’ordre à contrer les déséquilibres que le progrès engendre, ainsi qu’à l’aptitude de ses Grandes puissances à limiter leur propension à l’unilatéralisme. Donc, ces mécanismes doivent pouvoir intégrer le progrès pour maintenir leur légitimité et éviter d’engendrer une période de turbulences systémiques. / Turbulence and institutional changes within the international Society: an historical perspective Our inquiry has its origins in the acknowledgement that the current international society appears, more than ever, deficient and lacking legitimacy in its management of emerging threats which affect its security. This dissertation aims to verify whether the present difficulties to manage the interstate order are precursors of a period of systemic turbulences. We propose as our principal research hypothesis that a loss of legitimacy within the law and order mechanisms of a Westphalian society will generate a rather long period of systemic turbulences, creating a return to an antihegemonic system characterized by the establishment of a new a new system of societal law and order. To test this hypothesis, we have joined the theoretical framework of the English School which observes the interstate relations by assessing the character of the order that governs them. Its followers succeed in studying the forces that create the maintenance of an antihegemonic international environment, and the nature of the interstate reciprocities that emerge from it. Then, by observing the institutions created to manage the law and order, they are in a position to better understand the evolution, the diffusion and the perpetuation of a society of States. This approach allows us to construct an explanatory model of our societal dynamic. In order to answer our initial query, we propose to analyse the status of various international societies from different epochs, each one containing a period of systemic turbulences followed by the return of societal regime. We intend to establish if any analogies can be drawn between their transformative processes, and thus determine whether these processes can be applied to the transformations taking place within the current international society. An historical comparative analysis proves to be an appropriate tool for our type of research. The periods selected for this research are the Thirty Years' War, the Napoleonic Wars, and the First World War including the ‘inter-war’ period. The antihegemonic nature of a society of States, in addition to maintaining an anarchic environment, creates a climate of rivalries which generate transformation within the law and order dynamic. This transformative factor was introduced under the concept of societal progress, which generates, within the societal law and order mechanisms, institutional obsolescence that can create a period of systemic turbulences. To observe this phenomenon, we have adopted institutions as analytical tools. Institutions will allow us to be more critical, and will facilitate comparisons between them, considering their longevity. Our findings indicate the existence of a lasting dynamic of transformation within Westphalian societies, generating levels of societal turbulences, which vary according to their intensity. We also observed that despite the legal equality that sovereignty provides in a society of States, the Great powers remain the principal architects of their society. Their innate aptitude toward unilateralism was often associated with the emergence of systemic turbulence. Our research shows that interstate interdependence and cooperation were also fuelled by the expansion of a liberal economy. In a societal environment, as interdependence and multilateralism intensify, the propensity for societal progress is more inclined to take the aspect of a progressive type of systemic transformation than of a period of violent revolutionary systemic turbulence. Our international society of States has always been under the influence of societal progress since its inception. Stability of its future is tied to its ability to counter external threats and that of the Great powers’ capacity to limit their propensity to unilateralism. Law and order mechanisms must then be able to integrate societal progress to allow the maintenance of legitimacy and the avoidance of a revolutionary systemic transformation period.
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Turbulences et changements institutionnels au sein de la Société internationale : une perspective historique

Landry, Rémi 01 1900 (has links)
Turbulences et changements institutionnels au sein de la Société internationale : une perspective historique Cette recherche puise ses origines du constat que la présente société internationale apparaît plus que jamais mal outillée et en perte de légitimité pour gérer les nouveaux déséquilibres qui ébranlent sa sécurité. Nous voulons vérifier si les présentes difficultés à gérer l’ordre interétatique sont des signes précurseurs d’une période de turbulences systémiques qui ébranleraient ses fondations. Nous avançons comme principale hypothèse de recherche qu’une perte de légitimité dans les mécanismes d’ordre d’une société westphalienne engendre une période plus ou moins longue de turbulences systémiques, provoquant un retour à l’antihégémonie caractérisée par l’établissement d’un nouvel ordre sociétal. Pour vérifier cette hypothèse, nous nous associons au cadre théorique de l’École anglaise qui analyse les relations interétatiques en qualifiant le caractère de l’ordre qui les gouverne. Ses adeptes y parviennent en étudiant les forces qui engendrent le maintien d’un environnement international antihégémonique, ainsi que la nature des réciprocités interétatiques qui s’en dégage. Ainsi, en observant les diverses institutions créées pour gérer l’ordre, ils sont en mesure de mieux comprendre l’évolution, la diffusion et la pérennisation de l’établissement d’une société des États. Cette approche nous a permis de construire un modèle explicatif pour notre dynamique sociétale. Par la suite, afin de répondre à notre questionnement initial, nous proposons d’analyser le statut de diverses sociétés internationales lors d’époques caractérisées par une période systémique de grands chaos, suivie du retour d’un régime sociétal. Nous cherchons à établir si des analogies peuvent être faites sur leur processus de transformation pour, par la suite, vérifier si elles peuvent s’appliquer à la nature du changement qui s’opère dans la présente société internationale. L’analyse historique comparative s’avère un instrument tout désigné pour ce type de recherche. Les époques sélectionnées pour notre recherche couvrent la Guerre de Trente Ans, les Guerres napoléoniennes et la Première Guerre mondiale. La nature antihégémonique d’une société des États, en plus de maintenir un environnement anarchique, crée un climat de rivalités qui entraîne un processus de transformations dans la dynamique de l’ordre. Ce facteur de changement fut introduit sous le concept de progrès sociétal, lequel engendre une désuétude institutionnelle dans les mécanismes de l’ordre sociétal, pouvant entraîner une période de turbulences systémiques. Ainsi, pour mieux observer ce phénomène, nous avons adopté les institutions comme outils d’analyse. Elles nous permettent d’être plus critiques des phénomènes observés, tout en nous autorisant à les comparer entre elles, en raison de leur longévité. Nos recherches révèlent la pérennité d’une dynamique de transformation au sein des sociétés westphaliennes, dont la nature entraîne des déséquilibres sociétaux qui varient selon son intensité. Nous observons aussi que, malgré l’égalité légale que confère la souveraineté aux États, les Grandes puissances sont les principaux artisans d’un système international. Leur aptitude à l’unilatéralisme fut souvent associée à l’émergence de turbulences systémiques. Nos recherches montrent que l’interdépendance et la coopération interétatique sont aussi alimentées par la diffusion et le partage d’une économie libérale. C’est aussi cette même interdépendance qui, progressivement, rend la guerre entre Grandes puissances désuète. Plus l’interdépendance et le multilatéralisme s’intensifient dans un environnement sociétal, plus le progrès sociétal a tendance à se manifester sous les aspects d’une transformation systémique progressive (non violente) plutôt que révolutionnaire (période de turbulences systémiques). La présente société internationale est sous l’influence du progrès sociétal depuis son avènement. Sa stabilité est directement liée à la capacité de ses mécanismes d’ordre à contrer les déséquilibres que le progrès engendre, ainsi qu’à l’aptitude de ses Grandes puissances à limiter leur propension à l’unilatéralisme. Donc, ces mécanismes doivent pouvoir intégrer le progrès pour maintenir leur légitimité et éviter d’engendrer une période de turbulences systémiques. / Turbulence and institutional changes within the international Society: an historical perspective Our inquiry has its origins in the acknowledgement that the current international society appears, more than ever, deficient and lacking legitimacy in its management of emerging threats which affect its security. This dissertation aims to verify whether the present difficulties to manage the interstate order are precursors of a period of systemic turbulences. We propose as our principal research hypothesis that a loss of legitimacy within the law and order mechanisms of a Westphalian society will generate a rather long period of systemic turbulences, creating a return to an antihegemonic system characterized by the establishment of a new a new system of societal law and order. To test this hypothesis, we have joined the theoretical framework of the English School which observes the interstate relations by assessing the character of the order that governs them. Its followers succeed in studying the forces that create the maintenance of an antihegemonic international environment, and the nature of the interstate reciprocities that emerge from it. Then, by observing the institutions created to manage the law and order, they are in a position to better understand the evolution, the diffusion and the perpetuation of a society of States. This approach allows us to construct an explanatory model of our societal dynamic. In order to answer our initial query, we propose to analyse the status of various international societies from different epochs, each one containing a period of systemic turbulences followed by the return of societal regime. We intend to establish if any analogies can be drawn between their transformative processes, and thus determine whether these processes can be applied to the transformations taking place within the current international society. An historical comparative analysis proves to be an appropriate tool for our type of research. The periods selected for this research are the Thirty Years' War, the Napoleonic Wars, and the First World War including the ‘inter-war’ period. The antihegemonic nature of a society of States, in addition to maintaining an anarchic environment, creates a climate of rivalries which generate transformation within the law and order dynamic. This transformative factor was introduced under the concept of societal progress, which generates, within the societal law and order mechanisms, institutional obsolescence that can create a period of systemic turbulences. To observe this phenomenon, we have adopted institutions as analytical tools. Institutions will allow us to be more critical, and will facilitate comparisons between them, considering their longevity. Our findings indicate the existence of a lasting dynamic of transformation within Westphalian societies, generating levels of societal turbulences, which vary according to their intensity. We also observed that despite the legal equality that sovereignty provides in a society of States, the Great powers remain the principal architects of their society. Their innate aptitude toward unilateralism was often associated with the emergence of systemic turbulence. Our research shows that interstate interdependence and cooperation were also fuelled by the expansion of a liberal economy. In a societal environment, as interdependence and multilateralism intensify, the propensity for societal progress is more inclined to take the aspect of a progressive type of systemic transformation than of a period of violent revolutionary systemic turbulence. Our international society of States has always been under the influence of societal progress since its inception. Stability of its future is tied to its ability to counter external threats and that of the Great powers’ capacity to limit their propensity to unilateralism. Law and order mechanisms must then be able to integrate societal progress to allow the maintenance of legitimacy and the avoidance of a revolutionary systemic transformation period.
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Le droit international à l'épreuve des grandes puissances : légalité et illégalité des interventions militaires / International law facing great powers : legality and illegality of military interventions

Al Hadad, Ibrahim 26 June 2018 (has links)
La fin de la guerre froide, marquée par l'accord retrouvé des cinq grandes puissances membres permanents au Conseil de sécurité de l'ONU, au lieu de connaître un déclin dans les interventions militaires extérieures de celles-ci, a vu au contraire leur nombre se multiplier, ce qui portait atteinte à la règle générale, considérée comme une norme impérative (de jus cogens), celle de l'interdiction du recours à la force dans les relations internationales. Malgré les tentatives de justification des différentes interventions de grande envergure, menées au nom de la sécurité collective (interventions autorisées par le Conseil de sécurité) ou unilatéralement, celles-ci se sont écartées des prescriptions du droit international et de la Charte des Nations unies. En conséquence, elles s'avèrent à des degrés divers des actions entachées d'illégalité En effet, elles ont été fondées sur des interprétations extensives des dispositions de la Charte ou en violation de celles-ci, voire en violation des résolutions du Conseil de sécurité lui-même, ainsi qu'on peut le percevoir à travers les grandes interventions menées en Irak par les coalisés en 1991, celles de l'OTAN au Kosovo en 1999, des États-Unis en Afghanistan, à travers l'occupation américano-britannique de l'Irak en2003, l'intervention de la Russie en Géorgie (2008), de l'OTAN en Libye (2011) et celle de la France au Mali (2013). Cela n'a pas manqué de relancer le débat, récurrent dans les instances internationales concernées, sur la nécessité de réformer le Conseil de sécurité (élargissement de sa composition et règlementation du veto) ainsi que d'instituer un véritable contrôle de légalité sur ses actes. / The end of the cold war, marked by the agreement between the five major permanent member states of the United Nations Security Council, instead of a decline in their external military interventions, has, on the contrary, increased in number, which detracted from the general rule, considered as an imperative norm Qus cogens), that of the prohibition of the use of force in international relations. Despite the attempts to justify the various large-scale interventions carried out in the name of collective security (interventions authorized by the Security Council) or unilaterally, they have departed from the requirements of international law and the United Nations Charter. As a result, they appear to be in varying degrees to illegal actions. Indeed, they have been based on extensive interpretations of the Charter or on the breach of it or even in violation of the resolutions of the Council Security itself, as can be seen from the major interventions carried out in IRAK by the allies in 1991, those of NATO in KOSOVO in 1999, the US in AFGHANISTAN, through the US and British occupation of IRAQ in 2003, the intervention of Russia in GEORGIA (2008), NATO in LIBYA (2011) and that of FRANCE in MALI (2013). This did not fail to revive the debate, recurrent in the international bodies concerned, on the need to reform the Security Council (enlargement of its composition and regulation of the veto) as well as to establish a real contrai of legality on its acts.
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Entre coopération et compétition : évaluation des intentions de la Chine et stratégie américaine face à la Corée du Nord

Labrecque, Maxime 12 1900 (has links)
Les États-Unis et la Chine sont en relations dans différents contextes et il est admis que les États-Unis soient la première puissance mondiale, alors que la Chine est une grande puissance montante. Cette réalité fait en sorte que Washington doit évaluer les intentions de la Chine, afin de bien définir si cette dernière sera une force coopératrice, ou au contraire, si elle sera compétitrice des intérêts américains. Dans ce travail de mémoire, deux contextes sont à l’étude, soit le contexte général de la dynamique de grandes puissances entre les États-Unis et la Chine, et le contexte nordcoréen, où les deux acteurs sont présents. Ainsi, ce travail propose d’étudier différents cas dans le contexte nord-coréen, afin de voir comment ceux-ci ont influencé la perception des États-Unis envers une Chine montante dans le contexte général de grandes puissances. Suite à un chapitre méthodologique et théorique, les chapitres analytiques sont construits par présidence américaine. Ces derniers ont la même structure, où un épisode de coopération et de compétition sont analysés. Un chapitre porte donc sur la présidence de George W. Bush, l’autre sur celle de Barack Obama. L’objectif est de voir si la perception américaine a changé ou est restée la même avant et après les épisodes, et de voir s’ils ont eu une influence sur la perception générale des États-Unis. Le mémoire a aussi une dimension explicative. Avec l’utilisation de différentes composantes du réalisme défensif, il sera possible d’expliquer pourquoi il y a eu changement de perception américaine, ou non. Le mémoire tire des conclusions différentes pour les deux présidents. Pour George W. Bush, la perception envers la Chine a été influencée par les épisodes. Pour Barack Obama, les perceptions initiales ont été consolidées. / The United States and China relate in different contexts and it is accepted that the United States is the leading world power, while China is a great rising power. This reality means that Washington must assess China's intentions, in order to clearly define whether the latter will be a cooperative force, or on the contrary, whether it will be a competitor to American interests. In this work, two contexts are studied, namely the general context of the dynamics of great powers between the United States and China, and the North Korean context, where the two actors are present. Thus, this work proposes to study different cases in the North Korean context, in order to see how these influenced the perception of the United States towards a rising China in the general context of great powers. Following a methodological and theoretical chapter, the analytical chapters are built by American presidency. These have the same structure, where an episode of cooperation and competition are analyzed. One chapter therefore deals with the presidency of George W. Bush, the other with that of Barack Obama. The objective is to see if the American perception of China changed or remained the same before and after the episodes, and to see if they had an influence on the general perception of the United States. The work also has an explanatory dimension. With the use of different components of defensive realism, it will be possible to explain why there has been a change in American perception, or not. The work draws different conclusions for the two presidents. For George W. Bush, the perception of China was influenced by the episodes. For Barack Obama, the initial perceptions have been consolidated.
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«L’émergence des grandes puissances : pouvoir symbolique et nouveau rôle de la Chine dans le monde après la Guerre froide»

Chantal, Roromme 12 1900 (has links)
L’émergence de la Chine dans le système international post-guerre froide pose un défi pour la position hégémonique des États-Unis et l’ordre mondial libéral. Lorsqu’ils tentent d’expliquer ce défi, les spécialistes tendent à se concentrer uniquement soit sur le hard power chinois (en particulier, sa puissance militaire) soit sur son soft power (l’attrait de sa culture et idéologie). Cette thèse développe un cadre d’analyse alternatif inspiré de la sociologie de Pierre Bourdieu, articulé autour de la notion de pouvoir symbolique. Elle conçoit la politique internationale en termes d’une lutte symbolique (entre, par exemple, une orthodoxie et une hétérodoxie) dont l’issue est déterminée par au moins trois facteurs cruciaux : contexte, capital et lieux communs. Ce cadre est appliqué à l’analyse du nouveau rôle de la Chine dans le monde depuis la fin de la guerre froide, lequel est indiscutablement l’un des développements les plus remarquables des relations internationales des temps modernes. La thèse démontre que la Chine ne défie pas l’hégémonie des États-Unis et l’ordre mondial libéral au sens conventionnel de la puissance matérielle ou de l’idéologie, mais plutôt au niveau symbolique. La thèse soutient que la conjonction des trois facteurs susmentionnés a été nécessaire à l’influence mondiale de la Chine : (1) la crise de légitimation des États-Unis (sur les plan économique, politique et idéologique), couplée à l’extraordinaire ascension de nouvelles puissances dans le système international comme la Chine, ont créé un contexte historique favorable ou « condition de possibilité »; (2) l’énorme capital symbolique accumulé par la Chine, en raison non seulement de son nouveau statut de grande puissance, mais aussi de son approche pragmatique des questions nationales et internationales, en a fait une source d’inspiration convoitée mondialement ; (3) la mobilisation stratégique par la Chine de son capital symbolique, sous la forme d’un ensemble de lieux communs ‘rhétoriques’, a grandement contribué à légitimer sa puissance, en particulier aux yeux des élites dirigeantes dans le monde en développement, dissimulant ainsi le caractère asymétrique et arbitraire de ses relations. Ensemble, ces trois éléments –contexte, capital, lieux communs– expliquent le pouvoir symbolique de la Chine, c’est-à-dire la perception selon laquelle, contrairement aux États-Unis, elle propose des réponses pertinentes et cohérentes aux problèmes d’organisation sociale, économique et politique de ce monde. L’ascension de la Chine remet ainsi en question le « méta-capital » des États-Unis, c’est-à-dire son monopole sur la production du capital économique, social, culturel et symbolique. L’accent mis sur cette dimension symbolique de la lutte pour définir et imposer la « vision légitime du monde social et ses divisions » révèle une rupture avec la pratique conventionnelle de la politique des grandes puissances, au profit d’une transformation pacifique du système international et d’une diplomatie symbolique. Cet accent sur le pouvoir symbolique ouvre des avenues prometteuses pour l’étude du changement et des sources d’autorité sur la scène politique mondiale, traditionnellement définie comme « anarchique ». / China’s rise within the international system in the post-Cold War era challenges the hegemonic position of the United States and the Western liberal order. In trying to explain this challenge, scholars tend to either focus on Chinese hard power (in particular, its military power) or on its soft power (the attractiveness of its culture and ideology). This thesis develops an alternative Bourdieu-inspired framework addressing symbolic power. It conceptualizes international politics in terms of a symbolic struggle (such as that between orthodoxy and heterodoxy) whose outcome is determined by at least three crucial factors: context, capital and commonplaces. The framework is applied to the analysis of China’s new world role, which is arguably one of the most remarkable developments in modern international relations. The thesis shows that China does not challenge U.S. hegemonic position and the Western liberal order in the conventional sense of material power or ideology, but rather at the symbolic level. The thesis argues that the combination of the three above-mentioned factors has been necessary to China’s worldwide influence : (1) the legitimation crisis of the United States (economically, politically and ideologically), paired with the extraordinary rise of new illiberal powers on the world scene such as China, created a favourable historical context or “condition of possibility”; (2) the huge amount of symbolic capital accumulated by China, not only because of its new status as a great power, but also because of the success of its pragmatic approach to national and international issues, made it become a source of inspiration for countries across the world; (3) the strategic mobilization by China of its symbolic capital, in the form of ‘rhetorical’ commonplaces, greatly contributed to legitimize its power, especially in the eyes of ruling elites in the developing world, thereby dissimulating the asymmetric and arbitrary nature of the Chinese power and relations. Together, these three components -context, capital, and commonplaces- explain the emergence of China as a symbolic power, i.e. the perception that, unlike the United States, China now has the authority to speak the truth and to define causes of and remedies for certain problems and crises. China’s rise challenges the Unites States’ ‘meta-capital’, that is, its monopoly on the production of economic, social, cultural, and symbolic capital. The focus on this symbolic dimension as a ‘weapon’ in the struggle to define and impose the “legitimate vision of the social world and its divisions” reveals a rupture in the conventional practice of great powers politics, pointing to a peaceful transformation of the international system and symbolic diplomacy. It shows that a focus on symbolic power opens promising avenues for the study of change and sources of authority in world politics, traditionally defined as “anarchic”.
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La sécurité collective dans l’unipolarité : la crise nucléaire iranienne

Lounnas, Djallil 09 1900 (has links)
L’argument central de notre thèse est qu’une structure internationale unipolaire non hégémonique favorise la sécurité collective. Après avoir montré que telle est la structure actuelle et avoir justifié notre positionnement théorique néolibéral, nous avons eu recours au modèle d’interaction du « leader-suiveur de Stackelberg », pour démontrer qu’une coopération conflictuelle entre États rationnels est possible, ce qui leur permet de surmonter leur dilemme de l’action collective. Une coopération possible en raison de l’existence d’un intérêt mutuel et d’un leader favorisant la coopération entre ces États, ainsi que de conditions leur permettant de mettre en place une ‘stratégie de la réciprocité’. Ils forment alors ce qu’on appelle le « groupe de Stackelberg ». Le suiveur de la périphérie, ou ‘défecteur’ doit, pour sa part, non seulement s’ajuster à l’intérêt mutuel ainsi défini, mais aussi coopérer et négocier avec le groupe, et ce, sous la pression de sanctions, voire d’un usage ultime de la force si besoin est. Après l’éventuel succès de ces négociations, un équilibre de Stackelberg favorisé par le leader, soit la puissance unipolaire et non hégémonique, est alors atteint et la coopération permet, alors, à chacun de retirer un bénéfice de cet intérêt mutuel. Dans notre cas, le groupe de Stackelberg est constitué des membres du G5 + 1, soit les cinq membres permanents du Conseil de Sécurité de l’ONU et de l’Allemagne, agissant sous le leadership américain; l’Iran est un suiveur de la périphérie, soupçonné de défection, et l’intérêt mutuel est celui de la lutte contre la prolifération des ADM. Notre évaluation empirique montre que les conditions de la réciprocité des membres de ce groupe sont réunies et que celles de l’Iran sont en cours de négociation. / The main argument of our thesis is that a unipolar and non hegemonic structure of the international system furthers collective security. After having shown that the present international structure is as such and having justified our neoliberal theoretical approach, we have adopted the interaction model of the Stackelberg leadership model to demonstrate that a conflicting cooperation between rational States, that are respectful of the international order, is possible, which allows them to overcome their collective action dilemma. This cooperation depends on the existence of shared interests, on the ability of the leader to foster cooperation among them, and on structural conditions as well, which enable the setting up of “a reciprocity strategy”. They, thus, form what we call as a “Stackelberg’s group”. With regard to the periphery follower, or defector, he should adjust to the mutual interest of the group, as defined by this latter, as well as cooperate and negotiate with it, under the pressure of sanctions or the use of force if necessary. In the event of a successful negotiation, a Stackelberg equilibrium, furthered by the leader of the group, that is the unipolar and non hegemonic power, is then reached where cooperation between the members of the group, i.e. the States, allows them to get their share, that is a benefit from their mutual interest. In our case study, the Stackelberg’s group includes the five permanent members of the U.N Security Council plus Germany, all acting under the US leadership. Iran is a periphery follower suspected of defection, and the mutual interest is the international security against WMD proliferation. Our empirical assessment shows that the respective conditions, which enable a reciprocity strategy within the Stackelberg’s group, are then met by its members, whereas those of Iran are still under negotiations.
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La sécurité collective dans l’unipolarité : la crise nucléaire iranienne

Lounnas, Djallil 09 1900 (has links)
L’argument central de notre thèse est qu’une structure internationale unipolaire non hégémonique favorise la sécurité collective. Après avoir montré que telle est la structure actuelle et avoir justifié notre positionnement théorique néolibéral, nous avons eu recours au modèle d’interaction du « leader-suiveur de Stackelberg », pour démontrer qu’une coopération conflictuelle entre États rationnels est possible, ce qui leur permet de surmonter leur dilemme de l’action collective. Une coopération possible en raison de l’existence d’un intérêt mutuel et d’un leader favorisant la coopération entre ces États, ainsi que de conditions leur permettant de mettre en place une ‘stratégie de la réciprocité’. Ils forment alors ce qu’on appelle le « groupe de Stackelberg ». Le suiveur de la périphérie, ou ‘défecteur’ doit, pour sa part, non seulement s’ajuster à l’intérêt mutuel ainsi défini, mais aussi coopérer et négocier avec le groupe, et ce, sous la pression de sanctions, voire d’un usage ultime de la force si besoin est. Après l’éventuel succès de ces négociations, un équilibre de Stackelberg favorisé par le leader, soit la puissance unipolaire et non hégémonique, est alors atteint et la coopération permet, alors, à chacun de retirer un bénéfice de cet intérêt mutuel. Dans notre cas, le groupe de Stackelberg est constitué des membres du G5 + 1, soit les cinq membres permanents du Conseil de Sécurité de l’ONU et de l’Allemagne, agissant sous le leadership américain; l’Iran est un suiveur de la périphérie, soupçonné de défection, et l’intérêt mutuel est celui de la lutte contre la prolifération des ADM. Notre évaluation empirique montre que les conditions de la réciprocité des membres de ce groupe sont réunies et que celles de l’Iran sont en cours de négociation. / The main argument of our thesis is that a unipolar and non hegemonic structure of the international system furthers collective security. After having shown that the present international structure is as such and having justified our neoliberal theoretical approach, we have adopted the interaction model of the Stackelberg leadership model to demonstrate that a conflicting cooperation between rational States, that are respectful of the international order, is possible, which allows them to overcome their collective action dilemma. This cooperation depends on the existence of shared interests, on the ability of the leader to foster cooperation among them, and on structural conditions as well, which enable the setting up of “a reciprocity strategy”. They, thus, form what we call as a “Stackelberg’s group”. With regard to the periphery follower, or defector, he should adjust to the mutual interest of the group, as defined by this latter, as well as cooperate and negotiate with it, under the pressure of sanctions or the use of force if necessary. In the event of a successful negotiation, a Stackelberg equilibrium, furthered by the leader of the group, that is the unipolar and non hegemonic power, is then reached where cooperation between the members of the group, i.e. the States, allows them to get their share, that is a benefit from their mutual interest. In our case study, the Stackelberg’s group includes the five permanent members of the U.N Security Council plus Germany, all acting under the US leadership. Iran is a periphery follower suspected of defection, and the mutual interest is the international security against WMD proliferation. Our empirical assessment shows that the respective conditions, which enable a reciprocity strategy within the Stackelberg’s group, are then met by its members, whereas those of Iran are still under negotiations.

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