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Le Maintien de la Vie dans la Ville: Maintaining Life in the City

Dobbie, Leona January 2009 (has links)
Paris’ population, throughout its modern history has sculpted a unique urban culture for itself. An ambiguous realm between the intimate and the public has evolved as a result of the political and economic influences experienced by the residents and immigrants in this city. Within this realm there is a typology and morphology that has a unique capacity to support both intimacy and privacy. This realm has the capacity to extend and restore a dimension of public space and experience that was eroded by the modern rushing stream. The morphology, while extending the public also frames the thresholds that are needed to maintain a sense of private and intimate space. My interest in historical typologies and the reuse of existing buildings for contemporary living led me to choose a vacant building in Paris as the site for a rehabilitation project. I began this project with a historical study of Paris. The trends in Paris’ residential architecture and urban development from 1528 to present day coupled with my experiences of living and working there, made up the background for this thesis. There was one dialectical theme that continually recurred throughout my research: The desire and necessity of public life contrasted by the yearning to retreat and protect the intimate, private life. The recognition of this theme helped me to form a better understanding of the individuals that make up the collective population of Paris and how their perceptions of personal space require certain thresholds to maintain their sense of comfort and security. The project that resulted was an attempt to mediate the distinct perceptions of this dialectic. The rehabilitation of the derelict building and the projected possibilities for rest of its block were meant to reconcile the display and retreat that characterized the renaissance period with the transparency that was introduced by modernity into Paris’ city centre in the 19th and 20th centuries.
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Les hôtels aristocratiques à Bruxelles (1600-1730): Etude sociale, spatiale, économique et symbolique d'un enracinement nobiliaire en ville

Guri, Shipé 23 October 2019 (has links) (PDF)
La présente étude interroge le processus d’ancrage de la noblesse titrée, aussi connue sous le syntagme « noblesse de cour » à partir du XVIIe siècle, dans la ville de Bruxelles. Ce rapport est étudié par le biais résidentiel matérialisé par l’hôtel aristocratique. Par là, nous postulons qu’un basculement vers la résidentialité urbaine s’est produit au sein de cette noblesse à partir du XVIIe siècle durant un processus qui l’a enracinée durablement dans la ville, devenue son séjour de prédilection. Nous postulons également que l’hôtel a joué, en la matière, un rôle majeur, devenant un point d’arrimage pour une haute noblesse encore très mobile.Pour mettre en exergue la place de l’hôtel dans ce basculement, nous en proposons une définition intégrée qui le positionne dans le mode de vie et l’identité nobiliaire, dans l’espace urbain, dans la sphère sociale et économique. Cette définition intégrée ne peut se réaliser qu’au prix d’une double lecture qui se traduit par le versant matériel et le versant social de l’hôtel. Les schémas résidentiels de la noblesse se déploient sur un espace élargi et selon des impératifs divers, révélant une mobilité aiguë qui se maintiendra tout au long du XVIIe siècle. C’est pourquoi la possession d’hôtels à Bruxelles depuis la fin du XVe ou le XVIe siècle n’équivaut pas pour autant à une fréquentation intensive de la ville par les grandes lignées de la cour bourguignonne. Par la sédentarisation définitive de la cour, Bruxelles tend néanmoins à prendre une place prépondérante à l’extrême fin du XVIe siècle. Ce statut et le développement démographique et économique concomitant de la ville vont accroître son attrait pour en faire progressivement le lieu de résidence principal de la majorité de la noblesse titrée.Les caractéristiques de l’hôtel de la période moderne révèlent beaucoup de la façon dont la noblesse va s’approprier la ville. L’hôtel se compose de plusieurs corps bâtis (corps de logis, dépendances) et d’espaces non-bâtis (cours et jardins), parcelles souvent acquises progressivement dans un environnement urbain déjà dense. L’emprise foncière de la noblesse se développe sur des pans considérables et la met sur le même pied que les institutions publiques ou les établissements religieux. L’hôtel exprime l’ambivalence des rapports de la noblesse avec la ville :s’intégrer dans le tissu urbain tout en le dominant et en conservant une distance marquant la différence de condition. Ses espaces intérieurs sont à l’avenant, s’assortissant d’un minimum d’une trentaine de pièces dont la spécialisation se confirme en résonance avec les nouvelles fonctionnalités apparues dans les hôtels français.Ces vastes intérieurs se prêtent aisément à la constitution de plusieurs unités résidentielles occupées par plusieurs ménages de la même famille ou pas. A cet égard, il y a lieu de souligner l’intensité du phénomène de la location pratiquée sur l’entièreté ou une partie des hôtels. Dans un marché immobilier aussi réduit que celui des hôtels, toutes les familles ne peuvent accéder à la propriété. L’enjeu économique y prend une part non-négligeable. Certes, le prix d’un hôtel ne pèse pas lourd dans le patrimoine global de la noblesse mais celui-ci se trouve de plus en plus obéré au cours du XVIIe siècle, au fur et à mesure des conflits armés et de l’endettement des familles. C’est pourquoi employer l’hôtel comme outil de crédit ou comme investissement est largement pratiqué par la haute noblesse, à l’instar de la bourgeoisie bruxelloise. Les relations qui s’établissent entre ces deux groupes sociaux notamment autour de l’hôtel en tant que bien immobilier sont multiples et prennent la forme de la rente, de la caution, de la location comme de l’achat. La consommation courante comme celle de luxe ont souvent été la première amorce de ces relations. L’enracinement nobiliaire se produit, par conséquent, aussi économiquement parlant.Si l’hôtel se fait facilement objet économique, si les droits seigneuriaux ne s’attachent pas à lui, il y a lieu de s’interroger sur la valeur symbolique que la noblesse lui accorde. En être propriétaire ne constitue pas un impératif absolu de l’identité nobiliaire en ville. Il suffit d’en être occupant et démontrer à tous la nécessité de disposer d’un espace vaste permettant d’abriter famille, domestiques, chevaux et voitures, insignes reflétant sa condition. Être propriétaire d’un hôtel conserve une aura de prestige auquel nombre de nobles se sont résignés à renoncer. Cependant cela ne les empêche guère de pratiquer une sociabilité axée sur l’ostentation au travers des fêtes, des dîners et des bals. Les visites, manifestation ordinaire de la sociabilité de la bonne société, représentent sans doute la manifestation la plus visible des conséquences de l’ancrage urbain. C’est au XVIIe siècle que se développent ces pratiques sociales facilitées par une proximité géographique entre membres de la noblesse jamais égalée jusque-là. Le parachèvement de l’enracinement urbain de ce groupe social s’exprime de cette manière-là également.En dépit des idées reçues liées à l’hôtel, à aucune autre période, il n’a été mieux associé à l’aristocratie en Europe. Dans les Pays-Bas autrichiens, ce sera également le cas avant que les hôtels ne soient également convoîtés par une noblesse récente et par les institutions de l’Etat, ce qui augure des conversions ultérieures de l’hôtel. / Doctorat en Histoire, art et archéologie / info:eu-repo/semantics/nonPublished
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L'hospitalisation en Nouvelle-France : L'Hôtel-Dieu de Québec, 1689-1698

Rousseau, François 11 April 2018 (has links)
La fondation de l'Hôtel-Dieu de Québec relève uniquement de la politique d’évangélisation des Amérindiens. C'est en ce sens que le Père Le Jeune, dans la Relation de 1633, lança son premier appel en faveur d'un hôpital en Canada, appel qu'il reprendra dans les Relations des années suivantes. A aucun moment il ne fut question des besoins de la population blanche. Ils étaient d'ailleurs fort limités puisque la colonie ne comptait encore que 274 habitants en 1639, quand les trois premières Hospitalières débarquaient à Québec. Dans l'esprit du missionnaire, l'hôpital devait être un instrument au service de la foi, les religieuses y prêchant par l'exemple en se dévouant au service des malades. Afin de mieux remplir leur rôle, les religieuses s'installèrent pour un temps à la mission de Sillery où s'étaient fixés les Indiens au printemps de 1640. Elles revinrent s'établir à Québec le 29 mai 1644, chassées par les incursions des Iroquois et la désertion de la mission. L'échec de la politique de sédentarisation des Indiens et la croissance de la colonie marquèrent un changement de clientèle pour l'hôpital. La population de la Nouvelle-France est estimée, en effet, à 2.000 personnes en 1653. Elle passe à 10.303 habitants en 1688 et à 13.815 en 1698. L'Hôtel-Dieu reçut de plus en plus de Français et son unique salle devint "trop petite pour contenir la quantité de malades (...) qui augmentait considérablement, le pais se peuplant de plus en plus". Ainsi l'Hôtel-Dieu répondait â un besoin, même si plusieurs historiens, reprenant à leur compte les témoignages de certains contemporains, décrivent les Canadiens comme des gens solides et en santé. Cette perception des Canadiens s'explique par la conception des phénomènes biologiques que véhiculent les contemporains et que les historiens ont repris après eux. Selon cette façon de voir, le regard est tout entier tourné vers les épidémies parce qu'elles atteignent une certaine extension et qu'on peut alors en mesurer plus facilement la marche et les conséquences. A côté, les autres maladies sont moins spectaculaires, plus difficiles à discerner, donc plus individuelles et moins dignes de mention. Or les problèmes de santé ne sont pas épuisés par la seule connaissance des épidémies. Les maladies endémiques, les maladies courantes, les blessures... affectent également le potentiel d'une population. Les problèmes de santé ne peuvent donc se concevoir à l'échelle individuelle. A ce niveau ce sont des faits banals. Nous devons envisager la maladie comme un phénomène de masse, comme un facteur biologique majeur, affectant aussi bien l'économie que la démographie ou les moeurs. Dans le domaine des comportements biologiques — des conditionnements biologiques, pourrions-nous aller jusqu'à dire—, le phénomène de l'hospitalisation est assurément insuffisant pour permettre de prendre la mesure de la maladie dans la population: le seul fait que l'admission à l'hôpital dépende d'une décision du malade ou de ses proches et non pas du hasard, contribue à introduire un facteur de distorsion. Les registres de malades offrent cependant le grand avantage de rendre compte d'un type de comportement collectif devant la maladie. Ce n'est donc pas l'histoire d'une institution que nous allons faire — celle-ci est généralement bien connue même si certaines zones restent à éclairer — ni même celle des conditions matérielles de l'hospitalisation. Mais â travers le phénomène de l'admission â l'hôpital nous allons prendre la mesure du besoin auquel répond l'Hôtel-Dieu et donc étudier son rôle dans la société coloniale. Ce rôle, l'Hôtel-Dieu l'exerce de plusieurs façons que les registres permettent d'isoler. L'importance de l'hôpital tient en premier lieu au nombre de malades qui se font hospitaliser. La courbe mensuelle des admissions illustre la conjoncture médicale tandis que le mouvement saisonnier des malades nous renseigne sur les moments privilégiés des admissions et donc sur la morbidité et le type de soins qu'on va chercher à l'hôpital. Mais pour juger du rôle de l'Hôtel-Dieu, il ne suffit pas de savoir que les religieuses accueillent beaucoup ou peu de malades. Nous devons également connaître la composition de la population qui a recours aux soins hospitaliers. Dans l'optique des oeuvres de charité du XVII siècle, l'hôpital répond peut-être aux besoins de groupes particuliers de la société; les plus démunis ou les plus âgés par exemple. Les caractéristiques des malades sont analysées dans ce sens: leur âge, leur occupation et leur résidence. Ce dernier aspect revêt un autre intérêt dans la mesure où il sert d'indicateur de la distance que les gens acceptent de parcourir pour se faire hospitaliser: on partira d'autant plus loin qu'on ne viendra pas â l'hôpital à la dernière extrémité. Ce problème débouche sur le type de soins dispensés par l'hôpital. Là réside finalement l'aspect le plus important du rôle médical de l'Hôtel-Dieu. En utilisant la mortalité comme indicateur du taux d'échec dans l'administration des soins, il s'agira pour nous de voir si l'hôpital est une institution spécialisée dans la distribution des soins médicaux ou une simple "maison de mort", comme les Indiens l'ont cru, peu de temps après l'arrivée des premières Hospitalières. A elles seules, ces questions cernent le problème de l'hospitalisation. Elles doivent cependant être dépassées puisque l'hôpital n'est pas un lieu clos, coupé de la réalité coloniale. Il n'est pas sans importance, en effet, de tenter de prendre la mesure du phénomène par rapport à la société puisque l'hospitalisation pourrait se révéler être une réalité marginale. Nous devrons donc nous attacher â mesurer le "rendement" de l'hôpital et tenter de voir ce que peuvent représenter les admissions par rapport â une population donnée. / Québec Université Laval, Bibliothèque 2012
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Le théâtre et le pouvoir au XVIIe siècle : le patronage en question / The theater and the power in the seventeenth century : the question of patronage

Chen, Jie 02 September 2015 (has links)
Nous avons étudié dans ce travail les manières concrètes dont s’expriment les rapports entre le pouvoir et le théâtre au XVIIe siècle, époque où cet art était déjà associé au principe de diffusion de masse lui permettant de s’épanouir indépendamment du mécénat. Étant donné que le théâtre est à la fois une pratique et une littérature, notre enquête a été menée en deux temps. Nous nous sommes d’abord intéressés aux comédiens professionnels dont la plupart ont formé des troupes portant le nom d’un grand personnage. Cette réalité qui semble a priori évidente est pourtant révélatrice. L’histoire de la troupe royale de l’Hôtel de Bourgogne en constitue un excellent exemple. D’autres troupes de moindre importance peuvent, elles aussi, entretenir des rapports étroits avec leurs protecteurs. C’est par exemple le cas des comédiens du Grand Condé auxquels nous avons consacré la suite de nos réflexions. Mais la plupart du temps, ces troupes ambulantes ne sont pas à proximité de leurs bienfaiteurs. Elles sont plutôt en contact avec d’autres instances de pouvoir, le pouvoir municipal notamment. C’est ainsi que le premier volet de notre travail s’achève sur deux études de cas consacrées à Dijon et à Bruxelles, deux destinations favorites des troupes. Après avoir étudié les comédiens, notre investigation se poursuit en se focalisant sur les auteurs de théâtre. La question des rapports entre les dramaturges et les protecteurs s’inscrit dans un vaste sujet qu’est le patronage littéraire en général. Nous avons essayé de l’illustrer à travers l’exemple du patronage de Richelieu, précédé d’une enquête préliminaire sur la question des dédicaces qui a servi tout notre second volet. / We studied in this work the concrete ways in which are expressed the relations between the power and the theater in the seventeenth century, when this art was already associated with the principle of mass distribution which allows it to flourish regardless of patronage. As the theater is both a practice and a literature, our investigation was conducted in two stages. We are primarily interested in professional actors, most of whom have formed theatre troops bearing the name of a powerful man. This reality seems a priori obvious is nevertheless revealing. The history of the Royal troupe of Hôtel de Bourgogne is a prime example. Other smaller companies maintain also close relations with their protectors. This is for example the case of the theater troop of Great Condé that we studied. But most of the time, these touring companies are not close to their patrons. Rather, they are in contact with other bodies of power, especially the municipal power. Thus the first part of our work ends with two case studies on Dijon and Brussels, two favorite destinations of theater troops. After studying the actors, our investigation continues by focusing on playwrights. The question of relations between playwrights and patrons is part of a vast subject that is the literary patronage in general. We tried to illustrate it through the example of the patronage of Richelieu, preceded by a preliminary inquiry into the question of dedication who served our whole second part.
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Les pièces rivales des répertoires de l’Hôtel de Bourgogne, du Théâtre du Marais et de l’Illustre Théâtre : deux décennies de concurrence théâtrale parisienne (1629-1647) / Rival plays from the repertoires of the Hôtel de Bourgogne, the Théâtre du Marais and the Illustre Théâtre : two decades of Parisian theatrical competition (1629-1646)

Blondet, Sandrine 07 December 2009 (has links)
L’année 1629 voit la sédentarisation parallèle des deux troupes théâtrales parisiennes, celle du Théâtre du Marais, dirigée par Charles Le Noir, et la Troupe Royale, locataire du prestigieux Hôtel de Bourgogne. Ces deux compagnies – auxquelles se joint ponctuellement, en 1644-1647, l’Illustre Théâtre de Molière et des Béjart – se livrent une concurrence serrée, qui passe notamment par l’usage du doublage dramatique : deux pièces, composées par deux dramaturges différents, mais fondées sur le même sujet, sont présentées, à quelques semaines ou mois d’intervalle, sur deux scènes parisiennes distinctes. Les deux premières décennies de cette Guerre des théâtres présentent quarante et un doublons dramatiques de ce type. L’investigation s’attache d’abord à les replacer dans le contexte de leur création : au carrefour des thèmes dramatiques contemporains et de la rivalité théâtrale, les pièces jumelles épousent les courants du répertoire, qu’elles contribuent simultanément à alimenter, au gré de thématiques prédominantes : l’univers romanesque de la piraterie, la rivalité fraternelle, la thématique de l’Innocence persécutée, la figure de l’Illustre héroïne, parangon de vertu ou odieuse furie, et le théâtre lui-même, que la concurrence prend pour objet au sein de pièces qui figurent ses types (le Capitan), son univers quotidien (le Paris de 1640), ou encore ses plus grands succès (Le Cid, notamment). Cette section historique de l’enquête fait simultanément apparaître les correspondances qui se tissent non seulement entre les pièces jumelles, mais également avec le reste de la production contemporaine : le rival n’est pas toujours celui qu’on croit. La suite de l’étude s’attache aux modalités du fonctionnement de la concurrence. En premier lieu, celle-ci ne peut faire l’économie d’une publicité affichée, qui lui assure l’aura nécessaire à son efficacité et en fait bénéficier les pièces qu’elle soutient. L’investigation prend ensuite pour objet les enjeux dramaturgiques et scénographiques des pièces rivales. Les premiers sont l’affaire stricte des dramaturges, dont le rapport à l’Histoire ou la Fable se complique de celui qu’ils entretiennent avec leur rival. La perspective scénographique tente enfin de déterminer quels aspects du spectacle chaque troupe entend faire valoir, dans l’entreprise toujours éphémère de susciter le plaisir théâtral. / In the year 1629, two Parisian theatre companies settled down at the same time: the company of the Théâtre du Marais, led by Charles Le Noir, and the Troupe Royale, resident of the renowned Hôtel de Bourgogne. These two companies – which were sometimes joined by the Illustre Théâtre de Molière et des Béjart in 1644-1647 – were engaged in a fierce competition, mostly revealed by the common practice of twin plays : two plays, written by two different playwrights, but dealing with the same subject, were presented, at an interval of a few weeks or of a few months in two different Parisian theatres.Over the first two decades of this theatre War, forty-one dramatic twin plays were performed. The study first consists in explaining the context of their creation: with the combination of the theatrical themes of the time and the theatrical rivalry, the twin plays adopted the trends of the repertoire, and enriched them at the same time, through these main themes : the fabulous world of piracy, brotherly rivalry, the recurrent theme of persecuted Innocence, the figure of the Illustrious heroin, either a paragon of virtue or an odious shrew, and theatre itself, a subject chosen by the rivals for the plays which presented its great figures (le Capitan), its surroundings (Paris in 1640), or its greatest achievements (Le Cid, mainly). This historical part of the study simultaneously reveals the similarities between the twin plays and also their link with the other plays of the time : the rivals are not always the ones you would expect.What follows in the study deals with how this competition took place. Primarily, deliberate advertising was a key notion because it gave the prestige it needed to reach its goal and the plays it supported benefited from it. Then, the study focuses on the stakes in the dramatic and scenographic arts in rival plays. Dramaturgy was the business of playwrights only. Their relation to the Story or Fable was also influenced by their relationship with their rival. Finally, scenography was meant to choose the aspect of the show each company would focus on, whose aim always was theatrical enjoyment, short-lived as it may be.
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Les d'Espinose aux jardins : attentes, intégration et occupation d'un espace par les noblesses de province au Grand Siècle / D'Espinose and their gardens : space's expectation, integration, appropiation by provincial nobility during the Grand Siècle

Bourniche, Kevin 04 December 2018 (has links)
Le jardin constitue un angle d'approche des complexes habitables et des paysages, autant que de la société d'Ancien Régime. Durant le Grand Siècle, trois générations de la famille d'Espinose et de leurs alliés, qu'elles soient issues de la bourgeoisie ou de la noblesse, ont occupé et investi, dans la moitié orientale de l'ancienne province bretonne, des jardins de ville et de campagne. Ces enclaves ont cherché à répondre au mieux aux logiques du milieu dans lequel elles prenaient place. Urbaine ou rurale, leur implantation au sein du domaine répondait à des exigences esthétiques, sociales, économiques et techniques. Une des pierres angulaires du domaine foncier et de sa gestion, les jardins sont également le reflet d'une évolution des goûts et, à ce titre, sujets à des transformations. Les marques du temps et la situation des propriétaires s'y dessinent, offrant des signes visibles du prestige d'une famille, comme de ses difficultés. Ainsi, le jardin, lieu de promenade et de cultures horticoles, s'impose autant comme l'expression d'un savoir que d'un statut social. / The garden enables one to approach dwelling places and landscapes as well as society of the Ancient Régime. During the Grand Siècle, three generations of the Espinose family and their relations, whether the latter are descended from the bourgeoisie or the nobility, have put their stamp on gardens in town or in the countryside in the eastern part of ancient Brittany. These enclosed areas have tried to meet at best the logical requirements of their environment. Whether in town or in the countryside, the garden of the estate met aesthetic, social, economic and technical requirements. And as the cornerstone of the landed property and its management, the garden also reflects an evolution in tastes, and therefore is liable to mutations. The marks of time and the status of the owners are apparent, with obvious signs of the prestige and/or the difficulties of the family. Thus the garden as a place where to take walks or grow flowers and plants is the expression of a knowledge as well as of a social status.
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L'intranquilité de la présence : à l'hôtel dans Faire l'amour de Jean-Philippe Toussaint et Lost in translation de Sofia Coppola

Bolduc, Marie-Hélène January 2009 (has links) (PDF)
À l'heure où l'espace est en crise, où sa globalisation et son uniformisation impliquent une production de sens toujours plus individualisée, qui dès lors transforme les repères de l'identité collective, il s'avère particulièrement intéressant d'étudier comment les individus fabriquent de l'espace dans une société à individus mobiles (Stock, 2001). L'hôtel, en tant que locus provisoire, m'intéressera dans le cadre de ce mémoire qui propose d'étudier la possibilité d'être au monde dans un lieu vagabond. En effet, la modification du cadre bâti, de l'espace physique, entraîne une transformation de la conscience de soi et des autres. La chambre d'hôtel, si l'on se réfère aux travaux de Marc Augé (1992), pourrait se définir comme un non-lieu, soit un espace d'anonymat, standardisé et traversé par des individus qui jamais ne s'y fixent. Certes, la chambre, qui n'est pas appelée à être un habitat fixe ou une demeure, de manière générale, est un lieu de passage déterminé par sa fonctionnaIité -l'hébergement hospitalier. Toutefois, en raison de sa fonction transitoire même, la chambre permet à l'individu qui s'y installe quelques nuits de marquer une pause, un temps d'arrêt à l'intérieur de son parcours: elle devient alors un carrefour où convergent différentes représentations de soi et de l'autre. Dans la chambre d'hôtel se reconstruisent, sur des fondements instables, de nouvelles configurations d'une identité portative confrontée à un monde résolument étranger, celui du pays visité pour lequel aucune pratique intériorisée du lieu n'a encore été faite. Ainsi, dans ce travail, le concept de non-lieu dans son application à l'hôtel se devra d'être relativisé afin d'examiner avec justesse l'ensemble des relations qui entrent en jeu dans la pratique de ce lieu somme toute habité. Il s'agira d'analyser de quelle façon se joue la présence dans un lieu qui fuit de partout, et qui fait violence au corps, dans le roman Faire l'amour de Jean-Philippe Toussaint et le film Lost in Translation de Sofia Coppola. J'examinerai comment les personnages apprivoisent le lieu et comment cette «conquête de l'espace» (Perec, 2000) amènera un processus de construction identitaire, par l'entremise duquel il me sera possible de lancer une piste de réponse à la question posée implicitement par le titre de l'oeuvre de Coppola: que se perd-il dans la translation? ______________________________________________________________________________ MOTS-CLÉS DE L’AUTEUR : Lieu, Espace, Non-lieu, Habiter, Trace, Présence, Représentation, Sémiotique de l'espace, Philosophie, Jean-Philippe Toussaint, Sofia Coppola.
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Le paradigme du marché de l'art à Paris sous l'Occupation 1940-1945 / The art market in Paris during the Second World War 1940-1945

Polack, Emmanuelle 09 September 2017 (has links)
L'euphorie du marché de l'art sous l'Occupation est aussi le reflet d'un afflux de marchandises issues des spoliations artistiques des personnes de confessions juives ou de tout opposant du IIIe Reich. Le nœud d'exploration de la présente thèse se place volontairement sur cette question. Elle propose une analyse des paradigmes d'un marché de l'art en période de guerre sous contrôle d'État collaborationniste. / The euphoria of the art market under the Nazi Occupation is also a reflection of an influx of goods resulting from the artistic spoliations of the Jewish community along with any opponent of the Third Reich. The main concern of this thesis deliberately places itself on this question. It proposes an analysis of the paradigms of an art market during a war period under the control of a collaborationist State.
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L’aménagement d’unités de soins généraux et intensifs en milieu hospitalier : élaboration d’un outil d’aide à la décision architecturale et évaluation par les experts en santé et en architecture hospitalière

Morin, Marie-Pier 20 April 2018 (has links)
Ce mémoire est issu d’une collaboration de recherche entre l’École d’architecture de l’Université Laval et L’Hôtel-Dieu de Québec (L’HDQ) à l’été et l’automne 2009 qui visait à développer et mettre à l’épreuve un outil d’aide à la conception et à la décision architecturale pour des unités de soins hospitalières. L’outil conçu présente les données les plus probantes identifiées dans la littérature scientifique quant à l’aménagement d’unités de soins généraux et intensifs optimales, accompagnées d’objectifs et de critères de conception. Cet outil s’adresse aux différents comités engagés dans le projet d’agrandissement et de rénovation d’unités de soins à L’HDQ ainsi qu’aux architectes responsables de développer des hypothèses d’aménagement. Conçu dans sa première version à l’été 2009, il a été évalué dans le cadre du module de spécialisation en Programmation et design du programme de maîtrise en architecture à l’automne 2009. Deux groupes distincts, constitués d’une part, des 15 candidats à la maîtrise participant à cette formation et d’autre part, des membres du comité expert accompagnant le travail de conception des étudiants, ont évalué la pertinence de l’outil utilisé sur une période de 15 semaines. Le comité expert était composé de six professionnels de L’HDQ et de spécialistes de l’aménagement des hôpitaux des secteurs privé et public. L’ensemble de ce travail a été réalisé dans le cadre de deux mémoires de recherche en sciences de l’architecture, soit ceux d’Isabelle Couillard et de Marie-Pier Morin. La recension des écrits scientifiques ayant servi à nourrir l’outil d’aide à la conception et à la décision architecturale a été partagée entre elles. Celle de Marie-Pier Morin traite de l’efficacité du personnel soignant, de chute de patients, d’erreurs médicales, d’ergonomie des lieux de travail ainsi que de contrôle, de surveillance et de communication interpersonnelle; tandis que celle d’Isabelle Couillard porte sur la flexibilité et l’adaptabilité des lieux, les infections nosocomiales et le concept de « milieu guérissant ». Quant à la mise à l’épreuve de l’outil, le mémoire de Marie-Pier Morin présente le point de vue des intervenants engagés dans le projet d’agrandissement et de rénovation d’unités de soins à L’HDQ sur l’outil en tant qu’aide à la décision architecturale, alors que celui d’Isabelle Couillard traite plutôt celui des étudiants concepteurs ayant évalué l’outil en tant qu’aide à la conception architecturale. / This thesis stems from a research collaboration between l’École d’architecture de l’Université Laval and L’Hôtel-Dieu de Québec (L’HDQ) during summer and autumn 2009, which aimed to develop and test an architectural conception and decision-making tool for nursing units. The tool presents the best available evidence from research to plan optimal general and intensive care units, along with objectives and design criteria. This tool is addressed to the different committees engaged in L’HDQ’s extension and renovation project of nursing units and to the architects in charge of the development of design hypotheses. Conceived in its first version during summer 2009, it was tested in the context of a specialization module in Programming and design of a master’s degree at Université Laval during autumn 2009. Two distinct groups, constituted on one hand of 15 students participating in this formation, and on the other hand of members of an expert committee guiding the conception works of the students, evaluated the relevance of the tool used during 15 weeks. The expert committee was composed of six professionals from L’HDQ and hospital planning specialists from public and private sectors. The whole work was done in the context of two theses in architectural sciences, being the ones of Isabelle Couillard and Marie-Pier Morin. The systematic review used to feed the architectural conception and decision-making tool was divided between them. Marie-Pier Morin’s one focuses on the subjects related to staff efficiency, patient fall, medical errors, workplace ergonomics and control, monitoring and interpersonal communication while Isabelle Couillard’s one concerns the flexibility and adaptability of the environment, hospital-acquired infection and healing environment. As for the test of the tool, Marie-Pier Morin’s thesis presents the point of view of the professionals engaged in L’HDQ’s extension and renovation project of nursing units on the tool to assist decision-making while Isabelle Couillard’s thesis rather presents the students’ point of view on the tool to help the conception of an architectural project.
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Mère Duplessis de Sainte-Hélène, annaliste et épistolière

Gies, Mary Loretto 25 April 2018 (has links)
Québec Université Laval, Bibliothèque 2013

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