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L'oeuvre d'Auguste Genin : analyse des collections mexicaines et profil d'un proto-archéologue (1862-1931) / The work of Auguste Genin : analysis of mexican collections and profile of a proto-archaeologist (1862-1931)

Damoutte, Claudia 14 June 2018 (has links)
L'explorateur, anthropologue, collectionneur, homme d'affaires, industriel et poète Auguste Genin (1862-1931), sillonna le territoire mexicain dans le cadre de ses multiples activités professionnelles dès les années 1880. Parallèlement, il développa un grand intérêt pour l'archéologie, l'histoire, la culture et les populations du Mexique. Son « œuvre archéologique» comprend l'ensemble de ses activités d'exploration et ses travaux archéologiques (fouilles, collectes, acquisitions) ainsi que leurs résultats, c'est à dire les collections archéologiques, et la documentation créée autour de ses ensembles. Pendant presque quatre décennies, entre la fin des années 1890 et le début des années 1930, Genin envoya plus de 1100 objets archéologiques à différents musées et institutions, notamment en Europe. Dans une époque charnière pour l'archéologie au Mexique, Genin fut témoin privilégié et acteur de l'évolution de la politique en matière d'études archéologiques et de l'appréciation pour les cultures préhispaniques. Ses travaux préservèrent la « mémoire » des pratiques et du collectionnisme «anciens», tout en s'ouvrant à une nouvelle ère. L'objectif principal de cette recherche est de dresser un profil du collectionneur et, par extension, d'une époque, et d'établir sa place dans l'histoire de la discipline au Mexique, par l'analyse de son œuvre archéologique. Cette dernière n'avait pas encore fait l'objet d'une étude complète, détaillée et synthétique et, en dépit de leur importance et de leur intérêt scientifique, aucun inventaire complet des ensembles n'en avait été dressé. / Explorer, anthropologist, collector, businessman, entrepreneur, and poet Auguste Genin (1862-1931), travelled throughout Mexican lands since the 1880's whilst carrying on his diverse business activities. At the same time, he developed a great interest in the archaeology, history, culture and peoples of Mexico .. His "archaeological work" is here understood as the whole of h.is exploration and archaeological activities (excavation, surface collection, acquisitions), as well as their direct results, that is, the archaeological collections themselves and ail the documentation associated with them. Over the span of more than forty years, between the end of the 1890's and the beginning of the 1930's, Genin sent more than 11 000 archaeological objects to various museums and institutions, mostly in Europe. During a pivotal moment for Mexican archaeology, Genin was a privileged witness and participant of the evolution concerning archaeological practice and study and the appreciation of pre-Columbian cultures. His work preserved the "memory" of "old-time" methods and collecting, and at the same time embraced a new era. The main goal of this research project is to draw a portrait of Genin as collector and, by extension, of a specific period, as well as to establish his place in the history of the discipline in Mexico, through the examination of his archaeological work. The latter had not yet been subject to a complete, detailed and integrated study, despite its importance and scientific interest, nor had a complete inventory of his collections been drawn up.
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Les achats d’objets d’art français par la Cour de Russie, 1881-1917 / The purchases of French “objets d’art” by the Russian Court, 1881-1917

Zeisler, Wilfried 10 December 2011 (has links)
La thèse Les achats d’objets d’art français par la Cour de Russie, 1881-1917, consacrée à un nouvel aspect des relations franco-russes, pose un regard bilatéral sur les arts décoratifs français et russes, dont elle étudie le goût au cœur d’interactions politiques, commerciales et artistiques. Le contexte favorable dans lequel s’effectuent ces achats sous les règnes d’Alexandre III et de Nicolas II repose sur l’ancienneté des relations franco-russes, reconnues pour leur richesse au XVIIIe siècle et au début du XIXe siècle. Il se manifeste par le développement des exportations des produits de l’industrie française d’art et de luxe en Russie depuis le Second Empire, d’autant plus facilitées par la conclusion de l’Alliance franco-russe. Ainsi favorisés, les fournisseurs de l’objet d’art français en Russie, appartenant à des industries variées – mobilier, bronze, textile, orfèvrerie, céramique, verrerie, bijouterie et joaillerie – bénéficient des séjours répétés de la clientèle russe en France. Fournisseurs et différents intermédiaires en profitent pour développer leurs relations avec le marché russe et y renforcent le succès de l’objet d’art français, dont les modèles ont une certaine influence en Russie.De l’empereur au grand bourgeois, les clients russes, reflet de l’évolution sociale du pays accumulaient les achats dans leurs résidences et affirmaient ainsi, par le goût du fabriqué en France, leur appartenance à une élite européenne. L’étude des collections russes d’objets d’art français, dispersées à la Révolution, permet de cerner un aspect de l’histoire du goût et témoigne du rayonnement international de l’art décoratif français. / The thesis The purchases of French “objets d’art” by the Russian Court, 1881-1917, dedicated to a new aspect of French-Russian relationships, gives a dual view on the French and Russian decorative arts and studies them in the context of political, commercial and artistic interactions.The favorable context of these purchases, during the reigns of Alexander III and of Nicolas II, is based on the historical French-Russian relations, very developed in the XVIIIth century and at the beginning of the XIXth century. This context results in an increased of export of French “objets d’art” in Russia since the Second Empire, facilitated by the new French-Russian Alliance.The suppliers of the French “objets d’art” in Russia, belonging to the various French Art and Luxury industries – furniture, bronze, textile, silver, ceramic, glassware and jewellery – benefit from repeated stays of Russian customers in France. Consequently, suppliers and various partners develop their relations with the Russian market and strengthen the success of the French “objets d’art”, which were used as a model in Russia.From the emperor to the “grand bourgeois”, the Russian clients, who illustrate the social evolution of the country, collected their purchases in their residences and showed, by their taste for the made in France objects, that they belonged to the European elite. The study of the Russian collections of French “objets d’art”, dispersed during the Revolution, illustrates an aspect of the history of taste and shows the international success of the French decorative arts.
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La collection de Ruan Yuan (1764-1849) : un cas de transmission du patrimoine culturel en Chine / The collection of Ruan Yuan (1764-1849) : a case of transmission of cultural heritage in China

Lefebvre, Éric 10 June 2010 (has links)
En tant que savant et haut-fonctionnaire Ruan Yuan est une figure éminente de la fin de la dynastie Qing (1644-1911). Sa collection, principalement composée d’objets antiques, bronzes rituels, briques et tuiles, est modelée d’après les traditions de l’épigraphie chinoise ou jinshi xue. La première partie de la thèse est consacrée à l’analyse de la collection. Sa typologie et sa formation sont le reflet de l’approche scientifique des objets antiques adoptée par Ruan Yuan. Ses méthodes, qui reposent sur les développements récents de la phonologie, sont liées à l’essor de l’école des « vérifications et des preuves », ou kaozheng xue. Parallèlement, les objets de collection, en particulier les pierres, sont considérés comme des objets de délectation qui peuvent être transformés en encriers ou en écrans qui reflètent l’imagination de Ruan Yuan. La seconde partie de la thèse décrit comment les pratiques de collectionneur de Ruan Yuan s’inscrivent dans un processus de transmission des vestiges culturels. Les méthodes de compilation des textes ont été adaptées par Ruan Yuan afin de publier les inscriptions antiques des provinces où il exerçait en tant que fonctionnaire. Son utilisation des techniques de conservation, comme le montage des peintures, et des techniques de reproduction, comme l’estampage ou la gravure, ont permis de préserver les originaux et de diffuser leur image. Au-delà de la transmission de sa propre collection, principalement conçue comme un héritage familial, la création de bibliothèques dans les temples célèbres, qui dépassent les limites de la propriété privée, est une étape importante vers la définition moderne du patrimoine culturel en Chine. / As a scholar and an official, Ruan Yuan is a prominent figure of the late Qing dynasty (1644-1911). His collection of artifact, which focuses mainly on antiques like ritual bronzes, bricks and tiles, is shaped by the traditions of Chinese epigraphy or jinshi xue. The first part of the dissertation is devoted to the analysis of the collection. Its typology and formation reflect the scientific approach of antiques adopted by Ruan Yuan. His methods, which rely on the recent developments in phonology, are related to the rise of the evidential research school or kaozheng xue in XVIIIth century China. Besides this scientific approach, collected artifacts, especially stones, are also considered as objects of delectation which can be transformed into inkstones or screens which reflect the imagination of their owner. The second part of the dissertation describes how Ruan Yuan’s collecting practices are part of a larger process of conservation and transmission of cultural relics. The methods of collation of texts used to realize encyclopedia have been adapted by Ruan Yuan to publish the ancient inscriptions on metal and stone from the provinces where he served as an official. His use of conservation techniques, like the mounting of paintings, and of reproduction techniques, like the rubbing or carving of steles, allowed to preserve originals and to spread their images among scholars. Beyond the transmission of his own collection, mainly conceived as a family legacy, the creation of libraries in famous temples, which exceeded the boundaries of private property, is an important step toward the assertion of a modern definition of cultural heritage in China.
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Préserver et transmettre les collections de la nation : les conservateurs des musées de province sous la IIIe République / Preserving and dissemening knowledge : curatord of french provincial museums during the third republic

Masson, Geraldine 05 November 2016 (has links)
La IIIe République offre une vocation didactique au musée institué en lieu d'enseignement qui édifie le citoyen républicain. Le régime fédère un réseau muséal dont l'objectif est la suppression des multiples musées de province au bénéfice des seuls musées français gardiens des collections nationales. En même temps qu'elle contribue au courant historiographique actuel de renouvellement de l'histoire des collections par l'approche de ses acteurs, cette étude des 263 conservateurs des musées de province, inspectés dans le cadre de la Commission extra-parlementaire des musées de province de 1905, aboutit à leur inscription dans le processus de professionnalisation des conservateurs de musée. Pour ses acteurs de la patrimonialisation, préserver et transmettre les collections muséales, signifie appliquer la vocation didactique du musée, lieu d'enseignement corollaire de l'école. Il s'agit notamment de dispenser, au musée, une leçon d'histoire locale se rattachant à l'écriture de l'histoire de la nation. Empreints d'une conscience patrimoniale acérée, et profondément impliqués dans les sociabilités artistiques locales, les conservateurs de musées de province œuvrent dans l'intérêt des collections se confortant à de nombreuses contraintes tant budgétaires que matérielles ou politiques. Leurs méthodes de travail, adaptées aux nouvelles exigences de l'Administration des Beaux-Arts se spécialisent à un moment où, s'élabore la science des musées dite « muséologie ». Leur expérience est alors reconnue par l'ensemble des conservateurs des musées de province et des Musées nationaux. Le conservateur des musées de province républicains est un conservateur de musée professionnel. / The Third Republic enabled French museums to become a place of cultural education similar to that of schools. A national, federated network of museums was established for national collections of art in the early 20th Century, during the rise of provincial museums. The French state sought to display a self-legitimizing, civic-mindedness and to teach lessons of history of the Nation and national heritage to its citizens. More than an institutional history of the rise of provincial museums, this study demonstrates the involvement of the curators of provincial museums in the development of that policy and shows how it led to the creation of an organized profession. Utilizing the report of the parliamentary commission for French museums created in 1905, 263 curators in charge of state sponsored long-term loans were identified and studied. Involved in the safeguarding of patrimony, they belonged to numerous provincial academies and local scholarly societies. At the museum, they provided a local history lesson related to French national history. They had to cope with locally specific issues, particularly financial restrictions and local politics, but succeeded in fashioning a new way of working that was agreed to by ail colleagues in provincial institutions as well as French national museums, such as the musée du Louvre, when museology was created.
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George Watson-Taylor, Esq, MP (1771-1841) : collectionneur de peintures dans l’Angleterre Regency / George Watson-Taylor, Esq, MP (1771-1841) : collector of paintings in Regency Britain

Goëssant, Elodie 08 October 2016 (has links)
Bien que peu connue, la collection Watson-Taylor fut indiscutablement l’une des plus importantes des années 1820 en Angleterre. Elle se distingue par la personnalité particulière de son inventeur qui réunit entre 1803 et 1821 une collection prestigieuse digne des grands ensembles aristocratiques. Cependant, la fortune de George Watson-Taylor reposant sur le marché du sucre de canne aux Antilles, instable et en déclin, il subit un revers de fortune en 1832 l’obligeant à vendre tous ses biens. Il acquit près de trois cent vingt tableaux parmi lesquels de nombreux chefs-d’œuvre aujourd’hui conservés dans les musées du monde entier. La recherche sur cette collection et ce personnage interroge de nombreux aspects de l’histoire de l’art et des collections à cette période charnière, notamment la question de la spéculation, du connoisseurship, du marché de l’art, du rôle du mécénat dans l’affirmation de l’école britannique de peinture dans son pays et à l’international. Elle s’intéresse également au mouvement historiciste de cette époque encore empreinte de la pensée et de l’esthétique romantique, mais aussi aux questions identitaires propres à l’émergence de nouvelles élites. Autant de sujets liés à un contexte très riche mêlant patriotisme, débat sur l’abolition de l’esclavage et réforme de la vie politique. Elle ouvre une nouvelle fenêtre sur le passage d’un collectionnisme d’Ancien Régime hérité du Grand Tour à un collectionnisme victorien davantage tourné vers l’art national et contemporain. Cette thèse a pour but d’analyser une collection célébrée puis oubliée et de déterminer sa place dans l’histoire du goût et des collections en l’Angleterre à la fin de la période Regency. / Even if it isn’t well-known nowadays, the Watson-Taylor collection was indisputably one of the most important collections of the 1820s in Great Britain. It distinguished itself by the distinctive personality of its founder who assembled between 1803 and 1821 a collection as prestigious as great aristocratic ones. However, George Watson-Taylor’s wealth resting on the instable and declining West Indian sugar market, he suffered a reversal of fortune in 1832, forcing him to sell all his properties. He acquired nearly three hundred and twenty paintings including many masterpieces now exhibited in museums all over the world. Research on these collection and figure questions many aspects of the history of art and collections at this pivotal period, in particular issues like speculation, connoisseurship, art market, the role of patronage in the recognition of the British school of painting in its own country and internationally. It also treats of the historicist movement, still tinged with Romantic thought and aesthetic in that period, and of the identity issues related to the emergence of new elites. Many topics linked to a very rich context involving patriotism, debate about the abolition of slavery and political reform. It provides new information about the passage between the ways of collecting inherited from the Grand Tour, and the Victorian ones more focused on national and contemporary art. This doctoral thesis aims to analyze a celebrated then forgotten collection and to determine its place in the history of taste and collecting in Great Britain at the end of the Regency era.
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L’histoire du Cabinet des médailles et antiques de la Bibliothèque nationale (1819-1924) : un Cabinet pour l’érudition à l’âge des musées / The History of the Cabinet des médailles et antiques de la Bibliothèque nationale (1819-1924) : a Cabinet of Scholarly Pursuits in the Museum Age

Bodenstein, Felicity 27 June 2015 (has links)
Le Cabinet des médailles et antiques de la Bibliothèque nationale conserve les « bijoux savants » aux origines du collectionnisme occidental avec son médaillier universel, des pierres gravées et des collections d’antiques d’une diversité étonnante. Si celles-ci proviennent pour les parties les plus anciennes, des collections de la maison royale et de trésors ecclésiastiques, cette thèse ne remonte pas aux origines du département mais s’occupe de son destin à l’âge des musées, entre la Restauration, avec l’arrivée au département en 1819 de Désiré Raoul-Rochette (1789-1854) et la période qui suit la première guerre mondiale jusqu’à la mort d’Ernest Babelon (1854-1924). Elle cherche à comprendre, comment ce « parangon des cabinets d’amateurs de jadis » s’est développé, pris comme il l’était entre une tradition antiquaire aristocratique et les exigences de la modernité, républicaine et spécialiste. Elle aborde les différents aspects de la vie du département à l’intérieur du quadrilatère Richelieu. Tout d’abord, comme le portrait d’un lieu d’histoire d’un point de vue institutionnel et architectural qui permet de comprendre la place accordée historiquement à la culture matérielle au sein de la Bibliothèque nationale. Ensuite l’histoire du développement des collections et puis celle de leur valorisation muséographique et scientifique sont examinées au prisme de l’expansion du domaine de l’archéologie et de l’essor des sciences auxiliaires de l’histoire au XIXe siècle. / The Cabinet des médailles et antiques in the French National Library holds a particular place in the vast constellation of Parisian museums. Home to the so-called « bijoux savants » that founded western collecting culture since the Renaissance, it is at once a universal coin cabinet, one of the worlds foremost collections of cut stones and gems, but also a miscellaneous collection of antiquities representing all periods and places. As described in 1930 by one of its curators, it represents a « parangon of amateur cabinets from another time ». This thesis does not directly deal with its prestigious origins but tells one chapter of its long history, looking at how, from the period of the Restoration onwards (beginning with the direction of Désiré Raoul-Rochette in 1819) until the passing of Ernest Babelon in 1924, this cabinet of antiquarian culture and collections adapted and developed to the modern Republican museum age. The life of the department is first considered as a means of understanding the role of material culture and the place of the museum inside France’s national library in the nineteenth century. It then goes on to consider the development of the collections themselves and their scientific and museological exploitation in light of the rapidly expanding practice of archaeology and highly specialised auxiliary sciences of history.

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