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La réception de l'architecture française aux XVIe et XVIIe siècles par les contemporains : témoignages écrits et graphiques. / The reception of French architecture in the 16th and 17th centuries by French and foreign contemporaries : descriptions and mental images

Chambrier, Pauline 29 November 2010 (has links)
Sans conteste, la réception de l'architecture française aux XVIe et XVIIe siècles par les contemporains français et étrangers manque à l'étude. Les visiteurs restent mal connus bien qu'ils soient les spectateurs de grandes manifestation architecturales. Leurs descriptions et leurs représentations des palais, des châteaux, mais aussi des églises, des ponts, des fortifications, des jardins et de leurs semblables permettent pourtant, une fois rassemblées, de définir le goût architectural d'une époque et d'une nation. Il était par conséquent primordial de constituer un corpus des textes et des images des XVIe et XVIIe siècles relatifs à l'architecture française et de l'analyser dans le détail. Les textes manuscrits, imprimés et les représentations graphiques laissés par les historiens, les antiquaires et les géographes, ainsi que les récits de voyages et les journaux rédigés par des notables curieux , des étudiants, voire des anonymes furent pris en compte pour répondre à trois grandes questions : qui sont les acteurs de cette réception, quelles sont les conditions de leurs visites et quels sont, à leurs yeux, les plus excellents bâtiments de France. Ces questions, si évidentes puissent-elles paraître, n'ont jamais été abordées. Or elles forment des clefs de lecture qu'il ne faut plus ignorer, d'autant qu'elles dissimulent des détails sur l'architecture qui s'avèrent nouveaux, uniques, incontournables. / The reception of French architecture in the 16th and 17th centuries by French and foreign contemporaries is unquestionably lacking. Visitors remain unknown, even though they are the spectators of great architectural shows. Their descriptions and mental images of palaces and stately homes, and also of churches, bridges, fortifications, gardens and their like, however, once reassembled enable one, to define the architectural flavour of a period and of a nation. It was thus essential to build up a coprus of texts and images of the 16th and 17th centuries and to analyse them in detail. Handwritten texts, printed documents and graphic representations left behind by antique dealers and geographers as well as travel diaries and newspapers written by inquiring notaries, scholars or even anonymous people were all analysed in an attempt to answer three important questions, namely who are the people behind this reception? In which conditions did their vsits take place? And in their view, what are the most outstanding buildings in France? However self-evident these questions may seem, they have never been tackled. And yet they form the clues to our reading which must no longer be ignored, even more so as they conceal the details of architecture which transpires to be new, unique, and not to be missed.
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Le goût pour le dessin en France au XVIIIe siècle (1741-1789) / The taste for drawing in France in the eighteenth century (1741-1789)

Chambon, Delphine 01 March 2019 (has links)
Considéré comme une étude préparatoire subordonnée à l’œuvre finale, le dessin a longtemps été un objet de collection réservé aux artistes et à quelques connaisseurs. À partir de la seconde moitié du XVIIIe siècle, ce regard porté sur le dessin évolue indéniablement. En prenant appui sur diverses sources (inventaires après décès, catalogues de ventes, presse périodique, correspondances, livrets et critiques d’expositions…), cette étude tente de déterminer quels facteurs contribuent à l’émergence de ce goût et de quelles manières il se manifeste au sein de divers Salons, sur le marché de l’art ainsi que dans les cabinets privés. La croissance du nombre de collectionneurs de dessins à partir de la seconde moitié du XVIIIe siècle constitue l’une des principales manifestations de la diffusion de ce goût. Nous avons ainsi cherché à déterminer qui sont ces « nouveaux » collectionneurs, quelle place est accordée au dessin au sein de leurs cabinets et quelles sont les grandes tendances de leurs goûts. Ces nombreuses collections qui apparaissent au cours du XVIIIe siècle réunissent plusieurs dizaines, centaines, voire milliers de feuilles. Nous avons ainsi étudié les méthodes de classement, de conservation et de présentation des dessins. Aborder cette question des pratiques quotidiennes implique de s’intéresser aussi aux nouvelles formes de sociabilité qui se développent autour de ce dernier. À l’instar du cabinet de tableaux, la collection de dessins devient au cours du XVIIIe siècle un espace de rencontre, d’échange et de formation. De plus, le XVIIIe est aussi marqué par l’essor du dessin en amateur, comme en témoignent les nombreuses feuilles conservées aujourd’hui dans les plus grands musées. / Considered as a preliminary work to painting, the drawing has for a long time been considered as a collection’s item only reserved to artists and a few connoisseurs. However, from the second half of the 18th century, this look at the drawing undeniably changed. On the basis of various sources (inventories after death, sales catalogs, correspondences, press, booklets and critics of exhibitions …), this study mainly aims at understanding which factors contributed to the emergence of this taste, and how this became perceptible in Salons, in the art market and in private collections. The growing number of drawing collectors in the second half of the 18th century, is one of the most significant expression of this emergence of a taste for drawings. We tried to determine who were these “new” collectors, which place was given to drawing in their cabinets and what were the main trends of the collectors’ tastes. These numerous collections which appeared during the second half of the 18th century included several tens, hundreds or even thousands of sheets. We thus studied the methods of classification, presentation and conservation of drawings. However, studying this issue of collectors’ daily practices involved to additionally study the new forms of sociability which developed around the drawings. Like the cabinet of paintings, the collection of drawings became a place of meeting, exchanging and educating ones’ self. Moreover, the 18th century was particularly marked by the rise of the amateur drawing, as evidenced by the large number of sheets which are conserved in the greatest museums.
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George Watson-Taylor, Esq, MP (1771-1841) : collectionneur de peintures dans l’Angleterre Regency / George Watson-Taylor, Esq, MP (1771-1841) : collector of paintings in Regency Britain

Goëssant, Elodie 08 October 2016 (has links)
Bien que peu connue, la collection Watson-Taylor fut indiscutablement l’une des plus importantes des années 1820 en Angleterre. Elle se distingue par la personnalité particulière de son inventeur qui réunit entre 1803 et 1821 une collection prestigieuse digne des grands ensembles aristocratiques. Cependant, la fortune de George Watson-Taylor reposant sur le marché du sucre de canne aux Antilles, instable et en déclin, il subit un revers de fortune en 1832 l’obligeant à vendre tous ses biens. Il acquit près de trois cent vingt tableaux parmi lesquels de nombreux chefs-d’œuvre aujourd’hui conservés dans les musées du monde entier. La recherche sur cette collection et ce personnage interroge de nombreux aspects de l’histoire de l’art et des collections à cette période charnière, notamment la question de la spéculation, du connoisseurship, du marché de l’art, du rôle du mécénat dans l’affirmation de l’école britannique de peinture dans son pays et à l’international. Elle s’intéresse également au mouvement historiciste de cette époque encore empreinte de la pensée et de l’esthétique romantique, mais aussi aux questions identitaires propres à l’émergence de nouvelles élites. Autant de sujets liés à un contexte très riche mêlant patriotisme, débat sur l’abolition de l’esclavage et réforme de la vie politique. Elle ouvre une nouvelle fenêtre sur le passage d’un collectionnisme d’Ancien Régime hérité du Grand Tour à un collectionnisme victorien davantage tourné vers l’art national et contemporain. Cette thèse a pour but d’analyser une collection célébrée puis oubliée et de déterminer sa place dans l’histoire du goût et des collections en l’Angleterre à la fin de la période Regency. / Even if it isn’t well-known nowadays, the Watson-Taylor collection was indisputably one of the most important collections of the 1820s in Great Britain. It distinguished itself by the distinctive personality of its founder who assembled between 1803 and 1821 a collection as prestigious as great aristocratic ones. However, George Watson-Taylor’s wealth resting on the instable and declining West Indian sugar market, he suffered a reversal of fortune in 1832, forcing him to sell all his properties. He acquired nearly three hundred and twenty paintings including many masterpieces now exhibited in museums all over the world. Research on these collection and figure questions many aspects of the history of art and collections at this pivotal period, in particular issues like speculation, connoisseurship, art market, the role of patronage in the recognition of the British school of painting in its own country and internationally. It also treats of the historicist movement, still tinged with Romantic thought and aesthetic in that period, and of the identity issues related to the emergence of new elites. Many topics linked to a very rich context involving patriotism, debate about the abolition of slavery and political reform. It provides new information about the passage between the ways of collecting inherited from the Grand Tour, and the Victorian ones more focused on national and contemporary art. This doctoral thesis aims to analyze a celebrated then forgotten collection and to determine its place in the history of taste and collecting in Great Britain at the end of the Regency era.
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Une galerie issue des Lumières : la galerie impériale de l’Ermitage et la France de Catherine II à Alexandre Ier (1762-1825) / A gallery Stemming from the Enlightenment : the Imperial Gallery of the Hermitage and France from Catherine the Great to Alexander the Great (1762-1825)

Nicoud, Guillaume 16 January 2016 (has links)
Cette présente étude propose d’éclairer l’apport de la France durant la première étape du développement de la galerie impériale de peintures, qui donna naissance au Musée de l’Ermitage, à Saint-Pétersbourg. C’est durant cette période que se constitue et se sanctuarise, comme nous tenterons de le démontrer, la galerie des souverains russes au sein d’un nouveau complexe palatial adossé au palais d’Hiver – siège du pouvoir –, en un établissement qui prend rapidement le nom – français – d’« ermitage ». Ce travail se divise en trois parties. Après une présentation de l’apport de la France sous Catherine II (1729-1762-1796), à travers l’étude de la construction des bâtiments de l’Ermitage d’une part, et la formation des collections d’autre part, nous traiterons ensuite des règnes de Paul Ier (1754-1796-1801) et surtout de son fils Alexandre Ier (1777-1801-1825), afin de déterminer comment ils ont géré cet héritage, en soulignant ce que ces souverains ont puisé en idées et en œuvres en France. Il reste enfin à établir, dans un troisième temps et au terme de cette première étape de l’évolution de l’Ermitage, comment la France a stimulé la mutation de la galerie impériale en un établissement tendant de plus en plus vers le musée. / This study proposes to clarify the contribution of France during the first stage of development of the Imperial Gallery of Paintings, which gave birth to the State Hermitage Museum, in Saint Petersburg. It is during this period that the gallery of the Russian sovereigns, within a new palatial complex, is gathered, organized and housed immediately just next to the Winter Palace – the seat of power – in an establishment which is quickly given the – French – name, “Hermitage.”This study is divided in three parts. First, the study will present the contribution of France under Catherine the Great (1729-1762-1796), by examining both the construction of the Hermitage’s building and the formation of the collections. Secondly, we will delve into the reigns of Paul I (1754-1796-1801) and especially his son, Alexander the Great (1777-1801-1825), in order to determine how they managed this inheritance, by highlighting how these sovereigns used the ideas and artworks from France. Finally, the study will establish, how, at the end of this first stage of the evolution of the Hermitage, France stimulated the transformation of the Imperial Gallery into an institution whose trajectory arced towards becoming a museum.
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La culture du vin dans la littérature italienne du Moyen Âge tardif au début des Temps Modernes. Critères de qualité, systèmes de représentation et identités.

Grappe, Yann 19 October 2009 (has links)
Cette étude entend rechercher les traces d'une culture gastronomique du vin dans la littérature italienne sur la période à cheval entre l'époque médiévale et les Temps modernes. La littérature, lorsqu'on lui applique une critique appropriée, est en mesure de fournir à l'historien des informations ponctuelles sur la culture du vin. Elle permet également de mettre en lumière le regard porté par les hommes sur cet objet chargé de significations. Dans le cadre de cette étude, la gastronomie ne sera pas considérée comme une notion vague, voire anecdotique mais comme un phénomène culturel qui place l'homme en relation avec les différentes réalités alimentaires, sensorielles et hédoniques. À quoi tient la qualité d'un vin ? Cette question simple présente l'avantage d'ouvrir une large perspective de recherche historique et anthropologique. Pister les critères de qualité d'un vin pour les hommes d'une autre culture et d'un autre temps c'est aussi comprendre la manière dont ils ont cherché à représenter cet objet. Ce système de représentation révèle la pensée et l'imaginaire des hommes, en même temps qu'il dévoile les valeurs, les identités et les structures socio-économiques d'une société.
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Londres – New York – Paris : le commerce d’objets d’art de Duveen Frères entre 1880 et 1940 / London – New York – Paris : Duveen Brothers and the market for decorative arts between 1880 and 1940

Vignon, Charlotte 18 December 2010 (has links)
Pourquoi tant d’objets d’art décoratifs de collections européennes se trouvent-ils aujourd’hui dispersés aux quatre coins des Etats-Unis ? A partir de documents d’archives inédits et d’une lecture critique des sources, cette thèse appréhende l’exode du patrimoine européen vers les Etats-Unis du début du vingtième siècle à travers le parcours d’acteurs importants de ce phénomène : les marchands Joel, Henry et Joseph Duveen à la tête de la prestigieuse galerie d’objets d’art et de tableaux, Duveen Frères, établie à Londres et New York dès la fin du dix-neuvième siècle et en 1908 à Paris. Sont d’abord étudiés les stratégies commerciales qui projetèrent les Duveen à la première place du commerce d’objets d’art de l’époque (I). Vient ensuite une analyse précise du commerce d’objets d’art de la firme : celui des porcelaines de Chine, puis des meubles et objets d’art du dix-huitième siècle français et enfin des objets médiévaux et de la Renaissance (II). Finalement, est abordé, l’activité de décorateur de la firme (III). / Why are so many European objets d’art found in collections across the United States today ? This PhD dissertation explores the exodus of decorative arts objects originating from the private collections of Europe’s cultural elite at the beginning of the twentieth century by providing a new interpretation of unpublished archival materials and an in-depth study of the three key figures who contributed to this phenomenon : Joel, Henry, and Joseph Duveen of Duveen Brothers, the prestigious international art firm established in London and New York at the close of the nineteenth century, and in Paris in 1908. Beginning with an examination of the strategies employed by Duveen Brothers to monopolize the American art market and become the preeminent dealers of their time (I), this thesis is followed by a meticulously researched exploration of their dealings in Chinese porcelains, eighteenth-century French decorative arts, and medieval and Renaissance art (II), and concludes with a thorough analysis of the firm’s activities in the area of interior decoration (III).
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Jean-Baptiste Isabey (1767-1855) : l'artiste et son temps

Lecosse, Cyril 25 May 2012 (has links)
Jean-Baptiste Isabey (1767-1855) connaît une carrière exceptionnellement longue qui s’étend de la Révolution au Second Empire. Après avoir exposé ses premières œuvres au Salon de 1791, cet élève de Jacques-Louis David s’impose sur la scène artistique du Directoire comme le premier dessinateur et miniaturiste de son temps. En s'inscrivant dans un contexte favorable à la diffusion de portraits de moindre coût et de moindre format, sa réussite peu commune rend compte de l'évolution des critères de la reconnaissance artistique à la fin du XVIIIe. Elle témoigne également de la promotion du statut social de l'artiste autour de 1800. Lié aux proches du clan Bonaparte sous la Consulat, Isabey est un des portraitistes de la période les mieux introduits auprès des élites. Son habileté à exploiter des sujets qui répondent aux goûts de ses contemporains permets de mesurer l'importance des relations mondaines dans la naissance et la diffusion des réputations artistiques au tournant du XIXe siècle. Entre 1800 et 1805, Isabey est l'auteur de plusieurs grands dessins de propagande qui scandent les principales étapes de la consolidation du nouveau pouvoir. Familier de la noblesse impériale, l'artiste accumule honneurs et commandes officielles au lendemain du Sacre. Sa réputation est associée aux portraits miniatures de l’Empereur destinés à la caisse des présents diplomatiques et à quelques-unes des plus célèbres représentations officielles de Marie-Louise et du roi de Rome. Ses responsabilités sont extrêmement variées et sa production considérable : il est à la fois peintre des relations extérieures, dessinateur du cabinet et des cérémonies et décorateur en chef de l'Opéra. L'étude de ce parcours pluridisciplinaire offre un champ d'étude remarquable, qui nous fournit bien des clefs pour comprendre la carrière et le statut des artistes de cour sous l'Empire. Après Waterloo, Isabey est mis à l’écart du pouvoir en raison de ses engagements bonapartistes. L'artiste exécute alors plusieurs caricatures et portraits qui le montrent prompt à critiquer la monarchie restaurée. L'analyse des effets de la résistance au régime royaliste dans le monde des arts entre 1815 et 1820 aide à saisir le sens de son engagement dans l'opposition. La période qui s’ouvre au lendemain des Cent-Jours est également fondamentale pour comprendre le parcours artistique d'Isabey et pour apprécier la place que lui assignèrent ses contemporains dans l’art de la première partie du XIXe siècle. Son abondante production, qui se décline en miniatures sur vélin, dessins, lithographies, aquarelles et peintures à l’huile le montre soucieux de l'évolution du goût. Elle met aussi en lumière la difficulté qu'il éprouve à conserver sa réputation de portraitiste après 1820. Cette thèse fournit pour la première fois un catalogue de l’œuvre d'Isabey / Jean-Baptiste Isabey (1767-1855) had an exceptionally long career that spanned from the French Revolution until the Second French Empire. After his early works' exhibition at the Salon of 1791, this student of Jacques-Louis David rapidly became, on the art scene of the French Directory, the finest artist and miniaturist of his time. In a context that made the dissemination of low-cost and small-sized portraits easier, his unusual success reflects the change of artistic recognition criteria in the late eighteenth century. It also reflects the improvement of the social status of artists around 1800. Linked to people that were close to Bonaparte under the French Consulate, Isabey is one of the period's best introduced portraitists. His cleverness in using themes that meet his contemporaries' tastes clearly shows how important social relationships can be in the making and spreading of artistic reputations at the turn of the nineteenth century. Between 1800 and 1805, Isabey is the author of several large propaganda drawings that punctuate the main steps of the new power's consolidation. Familiar with the imperial nobility, the artist collects honours and official commissions in the wake of the Coronation. His reputation is associated with miniature portraits of the Emperor made for the fund of diplomatic presents and with some of the most famous official representations of Marie-Louise and of the King of Rome. His responsibilities are manifold and he produces a lot: he is the official painter for external relations, designer of the Cabinet, designer of Ceremonies and chief decorator of the Opera. The study of this multidisciplinary career gives many keys to a better understanding of the career and status of court artists under the Empire. After Waterloo, Isabey is sidelined because of his bonapartist commitments. At this time the artist performs several caricatures and portraits where he clearly criticizes the freshly restored monarchy. Analysing the effects of this resistance to the royalist regime in the world of arts between 1815 and 1820 helps in understanding his commitment to the opposition. The period opening in the aftermath of the Hundred Days is also fundamental to understanding Isabey's artistic career and to appreciate the place he was assigned by his contemporaries in the art of the first part of the nineteenth century. His prolific output, which comes in miniature on vellum, drawings, lithographs, watercolours and oil paintings shows his constant concern about changing tastes. It also highlights the difficulty he has to maintain his reputation as a portraitist after 1820.This thesis provides for the first time a catalogue of Isabey's works
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Le manoir de Kerazan et ses propriétaires : Architecture, décor inérieur et collections / Kerazan's manor and its owner : architecture, interior design and collections.

Gayet, Gwenn 29 January 2014 (has links)
Le domaine de Kerazan, ensemble encore méconnu, fut légué à l’Institut de France par Joseph-Georges Astor en 1929. Situé en plein cœur du Pays Bigouden, sur la route de Pont-l'Abbé à Loctudy, le manoir de Kerazan est aujourd'hui l’un des fleurons de l’art de vivre au XIXe siècle, en sud Finistère. S’étalant du XVIe siècle à 1934, toute une collection d’arts décoratifs imprègne le manoir : toiles de maîtres régionaux, meubles bretons ou encore faïence de Quimper font vivre ce bâtiment comme ils font vivre le passé. Cet ensemble éclectique fut composé par une famille de trois collectionneurs : Joseph Astor II, Maire de Quimper de 1870 à 1886, conseiller général (de 1877 à 1895) et premier Sénateur républicain du Finistère, élu en 1890, et qui le restera jusqu’à son décès, en 1901. Son fils, Joseph-Georges Astor, docteur en droit, compléta la collection familiale tout au long de sa vie, avant de léguer - sous certaines conditions - l’ensemble de la collection à l’Institut de France. Dernier membre de cette famille de collectionneurs, beau-frère de Joseph Astor II et oncle de Joseph-Georges Astor, Georges Arnoult fut élu Député de la seconde circonscription de Quimper de 1876 à 1885. Le manoir et son domaine, connurent de très amples modifications, depuis la fin du XVe siècle à nos jours, et c’est ce que nous allons aborder ici, par le prisme de différentes disciplines, à savoir : histoire politique, histoire sociale et histoire des arts.Ce fut donc sous l’action de plusieurs familles et collectionneurs que le manoir fut modifié : tant dans son architecture, que dans ses décors intérieurs. Enfin, nous analyserons, l’histoire du goût au travers de l’exemple de la constitution de la collection de Kerazan. Peintures, mobiliers et objets quotidiens demeurés en l’état méritent-ils l’appellation de « collection bretonne » ? Quels étaient les objectifs de cette collection, quelles impulsions peuvent en être dégagées, et quels processus avons-nous pu déceler ? Ces derniers peuvent-ils être comparés à d’autres collections ? / The domain of Kerazan, still an underestimated set, was bequeathed to the Institute of France by Joseph-Georges Astor in 1929. Placed right in the heart of the Bigouden County, between Pont-l'Abbé and Loctudy, the manor house of Kerazan is today one of the jewels of the lifestyle in the XIXth century, in South Finistère. Spreading out from the XVIth century to 1934, a whole collection of decorative arts fills the manor house: paintings of regional masters, Breton furniture or still earthenware of Quimper make this building live as they make the past live. This eclectic set was made by a family of three collectors: Joseph Astor II, Mayor of Quimper from 1870 to 1886, member of the “General Council” (from 1877 to 1895) and first republican Senator of Finistère, elected in 1890 until he died in 1901. His son, Joseph-Georges Astor, Doctor of Law, continued the family collection throughout his life, before bequeathing - under certain conditions - the whole collection to the Institute of France.Last member of this family of collectors, brother-in-law of Joseph Astor II and uncle of Joseph-Georges Astor, Georges Arnoult was elected Member of Parliament of the second district of Quimper from 1876 to 1885.The manor house and its domain, have known very important modifications, since the end of the XVth century up to nowadays, and that is what we are going to study here, thanks to various subjects, that is to say : political history, social history and art history.Thus, the manor house was changed thanks to several families’ and several collectors’ actions in its architecture and also in its internal decoration. Finally, we will analyze, the history of taste through the example of the constitution of the collection of Kerazan. Do paintings, furniture and daily objects deserve the name of " Breton collection "?What were the goals of this collection, which trends can be observed, and which processes could we identify ? Can the latter be compared with other collections ?
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La culture du vin dans la littérature italienne du Moyen Âge tardif au début des Temps Modernes: critères de qualité, systèmes de représentation et identités

Grappe, Yann D. 19 October 2009 (has links)
Cette étude entend rechercher les traces d'une culture gastronomique du vin dans la littérature italienne sur la période à cheval entre l'époque médiévale et les Temps modernes. La littérature, lorsqu'on lui applique une critique appropriée, est en mesure de fournir à l'historien des informations ponctuelles sur la culture du vin. Elle permet également de mettre en lumière le regard porté par les hommes sur cet objet chargé de significations. Dans le cadre de cette étude, la gastronomie ne sera pas considérée comme une notion vague, voire anecdotique mais comme un phénomène culturel qui place l'homme en relation avec les différentes réalités alimentaires, sensorielles et hédoniques. <p>À quoi tient la qualité d'un vin ?Cette question simple présente l'avantage d'ouvrir une large perspective de recherche historique et anthropologique. Pister les critères de qualité d'un vin pour les hommes d'une autre culture et d'un autre temps c'est aussi comprendre la manière dont ils ont cherché à représenter cet objet. Ce système de représentation révèle la pensée et l'imaginaire des hommes, en même temps qu'il dévoile les valeurs, les identités et les structures socio-économiques d'une société. <p> / Doctorat en Histoire, art et archéologie / info:eu-repo/semantics/nonPublished

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