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La route et ses passagers dans les romans rédigés au Québec au XIXe siècle : outils de représentation de la mobilité

Bousquet, Eveline January 2006 (has links)
Mémoire numérisé par la Direction des bibliothèques de l'Université de Montréal.
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De Robinson Crusoé a Vanity Fair : la figure de lecteur dans les romans britanniques de 1719 a 1847 / From Robinson Crusoe To Vanity Fair : the reader figure in british novels, 1719-1847

Dupuy, Sonia 04 December 2010 (has links)
La figure de lecteur, prégnante dans les romans britanniques des XVIIIe et XIXe siècles, est porteuse de sens pour l’histoire du roman. Intimement liée à l’histoire du livre et à la discontinuité de lecture qu’impose la publication des romans en plusieurs volumes ou épisodes, elle s’impose aussi comme une représentation plus ou moins fidèle du lectorat. La figure de lecteur reconstruit ainsi l’histoire complexe que le roman entretient avec ses lecteurs. Derrière une bienveillante volonté d’inviter le plus grand nombre à la lecture romanesque se cache en réalité une tendance à la définition du lectorat par exclusion. Pour aussi paradoxal que cela soit, le roman a peur de ses lecteurs. Mus par la volonté de dissocier le genre des vulgaires « romances », les auteurs ne vont avoir de cesse de repousser en marge de leur texte tant de lecteurs indésirables susceptibles de faire échouer l’édifice littéraire aux préceptes encore très classiques qui se met en place. Au-delà, la figure de lecteur ne saurait être qu’une simple affaire de représentation : elle est aussi un double narratif, une sorte de miroir érigé au narrateur-auteur qui met à profit ce reflet inversé pour construire l’instance narrative encore bien peu légitime qu’il représente. Figure de lecteur et narrateur-auteur sont indissociablement liés. Ainsi les variations d’apparition de la figure de lecteur dans le texte n’ont d’égal que la fragilité de la voix auctoriale et l’expression de l’angoisse de réception que trahit une très symptomatique rhétorique de dépréciation. / Pregnant as it is in 18th and 19thC British novels, the reader in the text is potent with meaning for the history of the novel. Related to the history of the book and the discontinuous act of reading imposed on readers by the publication of novels in different volumes or episodes, the reader figure may also be seen as a more or less faithful representation of actual readers. The reader figure thus retraces the complex history of the relationship between the novel and its readers. Behind what appears as a complacent will to invite the widest audience to the reading of novels, a more systematic tendency to define readership by exclusion can hardly be concealed. Paradoxical as this may be, the novel has much to fear from its readers. Moved by their will to have the genre clearly distinguished from vulgar romances, the authors will repeatedly push those unwelcome readers likely to lead the whole literary edifice to a collapse back to the margins of their texts. But the reader cannot just be a matter of representation: it also is a narrative double, a sort of mirror erected to the self-conscious narrator who uses it to build up the hardly legitimate literary authority he stands for. Thus the reader figure and the self-conscious narrator are linked by an indissolvable bond. The variations in number of reader figures only reverberate the frailty of the authorial voice and the anxiety of reception expressed in a highly symptomatic text-undermining rhetoric.
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Hector au Moyen Age : définition et évolution d'un personnage épique et romanesque / Hector in the Middle Ages : Definition and evolution of an epic and romantic character

Cozette, Sandrine 18 January 2014 (has links)
L’engouement du Moyen-Âge pour le mythe troyen se traduit tout particulièrement à travers sa figure centrale, Hector. Benoît de Sainte-Maure, qui s’appuie sur la tradition homérique telle que l’a transmise la littérature latine tardive (Ilias latina, Éphéméride de la guerre de Troie de Dictys de Crète, Histoire de la destruction de Troie de Darès le Phrygien), fait du fils de Priam le héros incontesté de son œuvre, le Roman de Troie, et glorifie les exploits de ce guerrier à la prouesse exemplaire. Ce texte constitue le jalon majeur de la construction du mythe d’Hector à l’époque médiévale, dont témoignent les réécritures en prose ou en vers, même si, parallèlement, l’histoire de Troie continue d’être transmise par le texte latin de Darès ou sa traduction. À ces deux traditions s’ajoute celle qui naît de l’œuvre de l’Italien Guido delle Colonne, l’Historia destructionis Troiae, réécriture latine du roman de Benoît au XIIIe siècle. Cependant la notoriété de la figure d’Hector s’exprime aussi dans des œuvres où le personnage tend à se dissocier du destin de sa cité et apparaît seul ou associé à d’autres héros, troyens ou non, pour servir de référence en terme de bravoure, ce qui lui vaut de figurer parmi les Neuf Preux. C’est pourquoi le personnage va continuer d’évoluer indépendamment du roman de Benoît et de ses réécritures directes, ce qui se perçoit aussi bien dans la chanson de geste que dans les récits arthuriens. Les valeurs qu’il incarne intéressent aussi bien l’auteur de l’Ovide moralisé que Christine de Pizan. Figure exemplaire, presque archétypale, Hector est aussi un personnage protéiforme dont l’histoire ne cesse d’être réécrite par la tradition médiévale. / In the Middle Ages, the interest in the Trojan myth focuses particularly on its main character, Hector.Using the Homeric tradition inherited from the late Latin literature ( Ilias latina, Ephemeridos belli troiani by Dictys of Crete, De Excidio Troiae historia by Dares the Phrygian) as a basis to his work, Benoît de Sainte Maure makes Priam’s son the uncontested hero of his novel, The Roman de Troie, in which he praises the feats of this exceptional warrior.This text greatly contributes to the construction of Hector’s myth during the Middle Ages, as shown by its rewritings in prose or verse, although the story of Troy was also transmitted via Dares’ Latin text or its translation.In addition to these two traditions, another one appeared in the 13th century with the Italian Guido delle Colonne whose Historia Destructionis Troiae is a Latin rewriting of Benoît’s novel.However, Hector’s fame also asserts itself in other works in which the character tends to dissociate himself from his city’s destiny and appears alone or associated to other heroes, Trojan or not, to serve as a reference in terms of bravery, which earned him his place among the Nine Worthies.That is why this character continues to evolve independently from Benoit’s novel and its rewritings, as can be seen through epic poetry and Arthurian tales.Both Christine de Pizan and the author of Ovide moralisé take an interest in the values he embodies.Hector is a model, almost an archetypal figure as well as a character whose story never ceased being rewritten by Medieval tradition.
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Histoire alternative des origines du roman : promenades interculturelles dans un monde sans épopée / An alternative history of the origins of the novel genre Intercultural wanderings around a world with no epics

Toren, Orly 04 December 2010 (has links)
Que signifie repenser l’Histoire littéraire et l’Histoire du roman comme Histoire culturelle ? Le point de départ de notre questionnement sur les formes de représentation adoptées par l’Histoire littéraire porte sur la doxa critique selon laquelle il existe une relation génétique entre l’épopée et le roman, dont la source se trouve dans ce qu’il est convenu de voir comme le texte fondateur de la littérature, l’épopée d’Homère et celui de la théorie littéraire, la Poétique d’Aristote. Si l’épopée homérique est une œuvre de la tradition orale, quelle est sa relation avec le roman, issu, lui, de la scripturalité et de l’émergence de la prose ? Si les récits en prose narrative de fiction apparaissent dans des civilisations sans épopée, quelle est la condition nécessaire pour leur émergence ? Si, de plus, l’apparition d’une prose narrative de fiction est précédée de plusieurs siècles de celle d’une historiographie et que ce phénomène se répète aussi bien dans la Grèce classique qu’au Moyen Âge européen, ou encore en Chine, quelle est la condition nécessaire pour l’essor du roman ? Nous présentons ici l’ébauche d’une Histoire alternative des origines du roman dans la Weltliteratur, en relation avec l’émergence de la scripturalité et la prose et l’essor de l’historiographie À la croisée de plusieurs disciplines académiques, notamment entre les sciences humaines et sociales, notre recherche fait appel d’une part à la théorie et à l’Histoire de la littérature, d’autre part à l’Histoire de l’historiographie, ainsi qu’à la théorie et la philosophie de l’Histoire. / Is it possible to rethink Literary History and in particular the History of the Novel as Cultural History which seeks to differentiate between an historical object and it’s representation? Considering the critical doxa, according to which, there exists a genetic link between epics and the novel, leads to one of Western thinking’s most stubborn myths. If epics, and particularly Homer’s, is seen as the novel’s ascendant , although it belongs to oral tradition, how does it explain the fact that as Ancient civilizations as Egypt or China or Israel developed sophisticated prose narratives without having epics? Moreover, if Western literary history refers to Aristotle’s Poetics as it’s foundational text, although by the time it was written, fictional prose didn’t exist yet, and was only to develop a few centuries later, shouldn’t we seek for the missing link between the oral tradition and the rise of the novel? As against this hegemonic and unhistorical representation that considers the novel genre as a Western invention, and as opposed to the historical circumstances that gave birth to the novel, we consider that the key to understanding this phenomenon lies in the emergence of literacy and prose. Indeed, in all civilizations that developed fictional prose writing, it was systematically preceded, not by epics, but by historiography. Our PHD dissertation presents an alternative History of the novel, whose angle is intercultural and interdisciplinary, aiming at recreating a new chronology of the emergence of the novel as a an inevitable historical genre in world’s literature.

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