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L’île comme lieu de rédemption dans la télésérie américaine «Lost» (2004-2010)

Brouard, Élise 23 April 2018 (has links)
Les téléséries ont connu un essor au début des années 2000. Lost, créée en 2004 par J.J. Abrams, Jefrey Lieber et Damon Lindelof, marque un tournant quant aux possibilités du format télévisuel. Avec une structure narrative complexe, dense et riche, la série présente des personnages brisés par leur passé qui se retrouvent sur une île semblant déserte après l’écrasement de l’avion dans lequel ils prenaient place. Leur destin et leur cheminement personnel respectif sont au cœur de l’intrigue. Dans un premier temps, nous apprenons que les personnages sont tous coupables d’un parricide, réel ou symbolique; un parricide qui leur causera une grande culpabilité et à laquelle ils doivent absolument remédier. La vie sur l’île leur offrira une deuxième chance afin de racheter leur geste. Ils seront amenés à vivre ensemble, à faire confiance aux membres de leur communauté, allant même jusqu’à se sacrifier pour eux et pour l’île, cet espace aux propriétés morphologiques uniques. Cette étude tente de montrer que le parcours de ces êtres humains (du parricide à la rédemption) n’aurait pu se faire ailleurs que sur l’île. La figure symbolique de l’île est en effet associée au renouveau grâce aux autres récits insulaires qui ont eu cours avant Lost. Par définition, la notion de figure est un aboutissant de la relation entre un film et l’imaginaire du spectateur à partir d’un élément qui obsède. Nous verrons comment se crée la figure de l’île à travers les thématiques suivantes : le parricide, la communauté, la foi, le sacrifice et la rédemption. Mots-clés : Lost, télésérie, parricide, communauté, foi, sacrifice, rédemption, figure de l’île. / The television series has boomed in the early 2000s. Lost, created in 2004 by JJ Abrams, Damon Lindelof and Jefrey Lieber offers a turning point of the possibilities of the television format. In a narrative complex, dense and rich structure, the series presents characters disturbed by their past who find themselves on a supposed deserted island after a plane crash. Their fate and their respective personal journey are the heart of the plot. First, we learn that the characters are all guilty of parricide, real or symbolic. A parricide that will cause them guilt that they absolutely have to wash away. Life on the island offers a second chance to be redeemed. They will have to live together, to trust their community, even up to sacrifice for them and for the island, this area with unique morphological properties. This study attempts to show that the journey of these people (parricide to redemption) could not be done elsewhere then on the island. The symbolic figure of the island is indeed associated to renewal through other island stories that took place before Lost. By definition, the figure concept is the result of the relationship between a film and the imagination of the spectator from an element that obsesses. We will see how this island figure is created through the following themes: patricide, community, faith, sacrifice and redemption. Keywords : Lost, series, parricide, community, faith, sacrifice, redemption, island figure.
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Dialectique des regards : l'autre et la construction du récit de soi dans l'auto-filmage pathographique

Cibilleau, Aurélien 24 April 2018 (has links)
Le présent mémoire entend analyser la pratique de l’auto-filmage dans deux films : La Pudeur ou l’impudeur (Hervé Guibert) et Tarnation (Jonathan Caouette). Nous regroupons ces long-métrages sous l’étiquette « auto-filmage pathographique ». Le malade, s’émancipant de l’imagerie médicale et des pratiques cinématographiques institutionnelles, reprend l’image filmique à son compte, aidé en cela par une technologie toujours plus ergonomique. Cette résurgence de l’image du corps malade dans le champ social ne se fait pas sans heurt ; l’exposition de corps décharnés et agoniques convoque un imaginaire catastrophiste et contredit les rituels d’effacement du corps auxquels procède la société occidentale. La forme que prend le récit de soi dans l’auto-filmage pathographique dépend de la maladie qui affecte chaque créateur. Nous observons une redéfinition de la sincérité, en lien avec l’exercice autobiographique. Il s’agit d’utiliser, dans l’auto-filmage pathographique, certains procédés fictionnels pour créer un discours sur soi-même dont la véracité repose sur d’autres critères que ceux communément admis. L’auto-filmage pathographique suppose en ce sens un véritable changement d’attitude et la mise en place de techniques de soi. Il induit une forme de réconciliation avec sa propre identité physique et psychique. En cela, l’écriture filmique de soi est un agent transformateur de la vie et un exercice spirituel. Les réalisateurs ne sont cependant pas uniquement tournés vers eux-mêmes. Chacun inclut quelques privilégiés au coeur de sa démarche. Le soin de soi, dans l’auto-filmage pathographique, ne se désolidarise pas du soin des autres. Auto-filmage et caméra subjective entretiennent un lien dialectique qui donne son sens à l’auto-filmage pathographique et voit leur antagonisme éclater. L’individu s’auto-filmant n’est pas seul ; sa démarche n’est pas qu’un solipsisme. Elle se voit dépassée par l’émergence de l’autre dans le champ ou parfois même, sa prise en main de la caméra. / The aim of this essay is to analyse the use of filming oneself by certain film directors and particularly in the two following films: La Pudeur ou L’Impudeur (Herve Guibert) and Tarnation (Jonathan Caouette). We have grouped these movies into one category: “auto-filmage pathographique’’. Cameras are nowadays so much easier to use than in the past, so much so that patients are able to easily use them to challenge powerful medical and cinematographic institutions. These shocking images of wounded and mutilated bodies may also have a catastrophic impact on our imaginative minds as we are not accustomed to them. The author’s illness influences the way the self-narrative script is led. This autobiographical exercise enables a complete new redefinition of sincerity to be revealed. The aim is to use fictional processes to create a speech about oneself whose truth depends on other criteria than that commonly used. Therefore “l’auto-filmage pathographique” requires a profound change of behavior & the use of Michel Foucault’s “techniques de soi”. It implies reconciliation with one’s physical & mental identity. Therefore cinematographic self-narrative is not only a life changing element but also a spiritual exercise. The directors do not however uniquely point the cameras towards themselves. Each one includes a few privileged individuals, possibly family members, in their films. The focus on oneself is not meant to dissociate the director from the others around him. Therefore there is a link between self-filming and the use of subjective camera. The director is not alone, his approach is not a solipsism. Although self-filming may indicate egotistical intentions, it is not a selfish exercise, shown through the appearance of others, who may even take the camera into their own hands.
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Étude comparative de trois traductions de Paradise Lost de l'anglais au français : définition d'une méthodologie quantitative de l'équivalence en traduction littéraire

St-Jacques, François 18 April 2018 (has links)
Ce projet consiste en une étude comparative de trois traductions de Paradise Lost, l'oeuvre majeure de John Milton, effectuées à trois époques différentes. Le corpus est constitué d'éléments de corpus de la première traduction de Paradise Lost de Nicolas-François Dupré de Saint-Maur, réalisée en 1729, de la « grande traduction » de Chateaubriand, écrite en 1836, de la version plus contemporaine d'Armand Himy, faite en 2001, et de l'oeuvre originale. L'objectif principal consiste à vérifier si les éléments de corpus contenant des éléments mythologiques et religieux des traductions sont équivalents aux éléments de corpus correspondants dans l'oeuvre originale. Pour ce faire, nous avons analysé de façon quantitative l'équivalence et étudié les écarts sémantiques entre les traductions et l'original, dans le but de cerner les projets de traduction de leurs auteurs.
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Écriture d’un scénario original de genre western mettant en scène un antihéros québécois et sa réalisation en format court-métrage suivi d’une réflexion sur l'antihéros dans le cinéma québécois

Roy, Martin 23 April 2018 (has links)
Ce mémoire comporte deux parties. En premier lieu, on retrouvera dans la partie création, les différentes étapes du processus créatif qui ont mené à la réalisation du film intitulé St-Placide, y compris le scénario. En second lieu, nous tentons de définir l’antihéros québécois en le comparant au héros utilisé dans le genre western.
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Refondation du monde et stratégies discursives dans l'œuvre d'Édouard Glissant

Colin-Thébaudeau, Katell 11 April 2018 (has links)
La recherche se fonde sur un corpus de six romans de l'écrivain martiniquais Edouard Glissant, dont la parution s'échelonne sur près de quatre décennies, de 1958 à 1993 : La Lézarde, Le Quatrième siècle, Malemort, La Case du commandeur, Mahagony et Toutmonde. Elle se propose de montrer que dans et par son œuvre, Glissant s'est livré à ce que nous considérons comme une véritable refondation du monde, avec la volonté d'édifier quelque chose de grand et d'atteindre à une vérité. La boulimie scripturale soutient chez l'écrivain l'idée d'édifier une énorme construction et d'y intégrer un matériau multiforme, fait parfois des éléments les plus imprévus ou les plus contestables. Écrivain de tous les paradoxes, Edouard Glissant inventorie le réel antillais. Parti d'une revendication nationaliste avec La Lézarde qui a obtenu le Renaudot, l'écrivain s'efforce, dans Le Quatrième siècle, d'inventer à partir d'une grande fiction généalogique, les mythes fondateurs et les légendes de la Nation qu'il vient de créer. Mais, cette œuvre qui s'écrit subit les tribulations de l'itinéraire de son créateur. Après le bilan romancé que Glissant dresse dans Mahagony, il décide de réorienter les axes de son œuvre, d'abord vers le bassin caraïbe, puis dans le sens du tout-monde. Il apparaît donc que l'Histoire est bien là, et que cette histoire hante la fiction glissantienne. Le monde créé se présente donc comme déterministe, ou surdéterminé. Il est celui de la traite négrière, de l'esclavage et de la départementalisation, ainsi que de la volonté de mettre fin à des notions de centre et de périphérie. On rappellera que l'œuvre romanesque donne constamment le relais à l'essai et à la poésie. Ainsi conçue, l'œuvre de Glissant est une puissante et extraordinaire machine à produire du sens, de la représentation et de la fiction. Aussi l'écrivain ne se contente-t-il pas de proposer qu'il créé comme offrande à son lecteur. Par une batterie de stratégies discursives, expression qui référera autant que possible à la fois au texte et à son contexte de production, Glissant s'efforce d'imposer à son lecteur le sens et l'ordre du monde nouveau. Ainsi, le titre, les épigraphes, Pintertextualité, la mise en abyme, le métatexte, viennent parasiter le roman, paralysant la lecture critique et dictant au lecteur le propre commentaire de l'auteur sur son œuvre. L'analyse rigoureuse des ouvrages montrera que cette entreprise solitaire et laborieuse se retraduit significativement en projet grandiose et mégalomaniaque. À l'intérieur de la formule romanesque qu'il inaugure, il recycle des éléments traités par les uns et les autres, depuis une certaine emphase lyrique et symbolique jusqu'aux rebondissements merveilleux inspirés du conte.
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La rage de Louis Hamelin et le paradoxe sociocritique

Desrochers, Julien 11 April 2018 (has links)
Tableau d'honneur de la Faculté des études supérieures et postdoctorales, 2006-2007 / La sociocritique issue des travaux de Claude Duchet relève d'un certain paradoxe, dans la mesure où elle tente à la fois de voir comment le texte littéraire est immergé dans son contexte de production et comment il peut intervenir sur celui-ci en opérant une transformation du discours par le biais d'un travail esthétique. La théorie du discours social de Marc Angenot et la socio-poétique de Régine Robin, deux approches qui relèvent de la sociocritique, incarnent bien ce dilemme. C'est par l'analyse d'une œuvre littéraire québécoise contemporaine, La rage de Louis Hamelin, que nous désirons examiner les facettes de cette confrontation. Lui-même profondément ambivalent, le premier roman de Hamelin se révèle une œuvre de choix pour explorer cette problématique qui a déjà alimenté bon nombre de débats chez les sociocriticiens.
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"L'émancipation par le conte : voies de l'imaginaire et enjeux du réel" suivi de "Conter la matière"

Palmers, Anaïs 23 May 2019 (has links)
Ce mémoire de recherche-création s’articule autour de trois concepts : le conte, l’émancipation et la matière. À travers notre étude, nous nous interrogeons afin de savoir en quoi des références au réel intégrées à l’univers merveilleux du conte contribuent à modifier notre perception de la matière. Notre recherche est guidée par une curiosité du monde tangible, en particulier les matières qui nous entourent, et par un désir d’appréhender les enjeux qui se posent entre le réel et le merveilleux dans le texte. Nous avons, dans le volet théorique, observé comment le réel et l’imaginaire pouvaient se nourrir l’un l’autre et ainsi amener celui qui reçoit le texte à être mieux informé au sujet de la matière ainsi qu’à transformer sa vision de celle-ci. Nous avons également constaté quelques limites d’un discours sur le réel dans le merveilleux. Nous nous sommes demandé en quoi trop de références au réel pouvaient entraver le plaisir de se faire conter et nous avons pour cela réfléchi à l’effet de distanciation de Brecht, procédé que nous avons fini par appliquer à notre pratique. Dans la partie création, nous avions pour objectif de développer une écriture de la matière à travers le conte. Le volet création de ce mémoire prend donc la forme d’un recueil en quatre sections, une par matière (nous abordons la terre, l’eau, la roche et le bois). Nous avons aussi élaboré un laboratoire de création, où le texte a pu rencontrer la matière physique. La description ainsi que les images du laboratoire se situent dans les annexes. / This research-creation thesis hinges on three concepts : contes (a French term, sometimes translated as « storytelling » or « folktales », for which there is no exact equivalent in English), emancipation, and matter. It explores how references to reality, which are integrated into the marvellous world of contes, change our perception of matter. The research is guided by my curiosity about the tangible world, especially my surroundings, and a desire to understand the issues that arise between the real and the marvellous in texts. In the theoretical component, I explore how reality and fiction can feed off of one another, providing receivers of a text with more information about matter and transforming their understanding of it. I also identify certain limits to the use of reality discourse in the marvellous, by examining whether too many references to the real can actually hinder the audience’s enjoyment of being told a story. This led me to Brecht’s estrangement effect, which I came to apply in my practice. In the creative component, I strive to develop a method for writing about matter through contes. It takes the form of a four-part collection based on four types of matter : earth, water, rock, and wood. I also develop a creative laboratory, which functions as a crossroads where the text and physical matter intersect. A description and images of the laboratory are included in the appendices.
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Educating the reader, negotiation in nineteenth-century popular girls' stories

Robinson, Laura M. January 1998 (has links) (PDF)
No description available.
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Contesting identities in diasporic spaces, multigenerational South Asian Canadian women's literature

Aujla, Angela January 1999 (has links) (PDF)
No description available.
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Conducting selves, race and government in Canadian settler women's narratives

Henderson, Jennifer. January 1999 (has links) (PDF)
No description available.

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