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Violence du langage et exigence de justice dans la pensée de Jacques Derrida / Violence of language and the demande of justice in Jacques Derrida

Jerade Dana, Miriam 25 June 2011 (has links)
Cette thèse vise à questionner la place de la violence dans la déconstruction de Derrida. Nous avons suivi deux axes depuis lesquels nous avons fait une lecture de son œuvre dès les années soixante jusqu'à son dernier séminaire sur la souveraineté : la violence du langage et la violence à l'origine du droit. En montrant la violence intrinsèque à la loi et à toute légitimation du pouvoir, la déconstruction porte un soupçon à toute théorie de la justice basée sur un accord institutionnel. Mais auparavant, si la légitimation est un acte de langage, pour faire une critique de la violence, il faut donc comprendre la force performative dans la fondation des institutions et analyser la deconstructibilité du droit et l'indéconstructible de la justice. Ces réflexions, autour de la langue et de la loi, obligent à postuler la différance entre, d'une part l'institution du droit et la langue de la loi et, d'autre part, la promesse d'un temps de justice à partir de l'hospitalité inconditionnelle et de l'idiome. Nous voulons montrer comment la philosophie de Derrida répond tout au long de l'histoire de la déconstruction, à une exigence de justice qui demande d'analyser la violence du langage dans la structure juridico-politique. Ceci nous permettra d'aborder la dimension politique de la déconstruction et une injonction faite à la philosophie : ne pas « justifier » les violences par des explications. / Abstract: This thesis seeks to question the place of violence in Derrida's deconstruction. Two lines of thought were pursued which informed a reading of his work from the 1960s up until his final seminar on sovereignty: the violence of language and the violence at the origin of right. By displaying the intrinsic violence of the law and of all legitimation of power, deconstruction raises suspicion about any theory of justice based on institutional agreement. Beforehand, however, if this legitimation is an act of language, in order to be able to carry out a critique of violence, the performative force underlying institutions must be understood, and the deconstructibility of right and what cannot be deconstructed in justice must be analyzed. These reflections on language and the law lead us to postulate the différance between, on the one hand, the institution of right and the language of the law, and on the other, the promise of a time of justice on the basis of unconditional hospitality and the idiom. We aim to show how the philosophy of Derrida responds throughout the history of deconstruction to a demand for justice that insists on analyzing the violence in the juridico-political structure. This will allow us to address the political dimension of deconstruction as well as to examine an injunction laid on philosophy: not to "justify" violence by way of explanation.
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Vers un renouvellement des pratiques de l'hospitalité en milieu évangélique : étude herméneutique du livre de Jonas à la lumière de la philoxénie d'Abraham en Genèse 18

Medjiko, Tchougboui 15 August 2019 (has links)
Ce mémoire porte sur l’hospitalité qui est un des défis de l’immigrant. Il répond à la question suivante : Comment le récit du livre de Jonas à la lumière de la philoxenie d’Abraham en Genèse 18 peut-il informer les pratiques de l’hospitalité en milieu évangélique ? Pour répondre à cette question, la recherche a mis en évidence les actions et attitudes qui construisent la grille d’évaluation de la dynamique de l’hospitalité en Genèse 18. Par la suite cette grille a été utilisée pour analyser la dynamique de l’hospitalité dans le livre de Jonas. Yahvé envoie Jonas, membre du peuple élu, apporter un message aux Ninivites, un peuple méchant et ennemi d’Israël. Dans une perspective de théologie exclusive dans laquelle Jonas perçoit Yahvé comme appartenant uniquement aux israélites, il manifestera son inhospitalité à l’égard de la mission et mettra tout en oeuvre pour faire obstacle à la l’hospitalité que Yahvé offre aux Ninivites. Yahvé restera constant dans un dialogue avec Jonas en utilisant entre autres les éléments de la nature et l’accueil qu’il fait à la repentance des Ninivites pour se faire connaitre à Jonas. L’Église, qui est constituée des personnes étrangères à Dieu et qui ont été accueillies en Jésus-Christ, est appelée à vivre une constante hospitalité en interne pour être capable d’exprimer l’hospitalité aux non-croyants. L’immigration fournit aux églises locales au Québec, et à Montréal en particulier une vague de croyants. La plupart de ces croyants considèrent le processus de leur migration comme un élément de leur expérience de foi. Cette considération les conduit à être dans une attente de l’hospitalité dans les églises locales. Dans ce schéma, ils sont en retour appellés à accueillir la différence des accueillants pour une vie communautaire équilibrée. Cet accueil se veut bidirectionnel pour une mission globale de l’Église.
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Le corps et son écriture entre Nietzsche et Derrida / The body and its writing between Nietzsche and Derrida

Chehayed, Nibras 19 March 2018 (has links)
Jacques Derrida a ouvert un nouvel horizon pour concevoir l’écriture, en insistant notamment sur la dynamique de la différence qu’elle met en œuvre. Pour penser cette différence et pour libérer le texte d’un sens présupposé univoque, il sollicite Friedrich Nietzsche, mais sans étudier, pour autant, le lien qui rattache l’écriture de ce dernier à la question du corps. Quant à sa propre conception de l’écriture, il est frappant qu’elle ait été abondamment étudiée, sans que le lien qui l’unit à la question du corps reçoive toute l’attention méritée. Ce présent travail vise donc à penser l’écriture du corps chez Nietzsche et chez Derrida, ou plus exactement entre eux, en étudiant la « corporalisation » de l’écriture et la « textualisation » du corps. Nous montrons que, chacun à sa façon, Nietzsche et Derrida puisent dans l’ambiguïté corporelle pour élaborer de nouvelles dynamiques d’écriture, tout en donnant à penser le corps lui-même en termes d’écriture. Pour étudier ce double geste, nous lisons différents textes de Derrida, à partir desquels nous proposons une réflexion sur l’écriture du corps chez Nietzsche, sans que ce dernier y soit nécessairement mentionné. En effet, c’est l’hospitalité de l’écriture de Derrida elle-même qui invite à une telle démarche, que nous abordons en termes d’intrusion. / Jacques Derrida has opened a new horizon to conceive writing by insisting on the dynamic of “difference” that it implements. To address the question of difference, as well as to liberate the text from a presupposed unambiguous meaning, he solicits Friedrich Nietzsche without examining, however, the link which connects the writing of the latter with the question of the body. As for Derrida’s own conception of writing, what is striking is that while it has been widely studied, its link to the question of the body has not received the attention it deserves. Therefore this present work aims to consider the writing of the body in Nietzsche’s and Derrida’s philosophies, and more precisely between them, by studying the “corporization” of the writing and the “textualization” of the corporeity. We demonstrate that both Nietzsche and Derrida, each in his own way, draw from the body’s ambiguity to develop new dynamics of writing, and think about embodiment, at the same time, in terms of writing. To discuss these two aspects, we read various texts of Derrida, through which we also suggest a reflection on Nietzsche’s writing of the body, without the latter being necessarily mentioned. It is actually the hospitality of Derrida’s writing that allows such a gesture, which could be perceived more in terms of intrusion.
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Espaces et déplacements dans une écriture contemporaine non sédentaire : François Cheng, Hector Bianciotti, Gérard Macé et Claudio Magris

Liébert, Adeline 19 January 2012 (has links) (PDF)
Qu'y a-t-il de commun entre F. Cheng, écrivain français d'origine chinoise, H. Bianciotti, enfant d'immigrés italiens en Argentine, G. Macé, dilettante du voyage, attiré par l'anthropologie, Rome ou encore l'Asie, et C. Magris, un Italien de Trieste qui a consacré sa vie à la littérature et à la géographie des frontières ? Au-delà de leurs divergences, on rencontre chez ces quatre auteurs une telle sensibilité à l'espace et aux déplacements qu'ils peuvent tous être définis comme des " écrivains non sédentaires ". La non-sédentarité n'est pas un nomadisme : très concernée par les frontières, avec tout ce qui en découle d'interférences et d'inquiétudes quant au sentiment et à la pratique de la langue, fascinée par les seuils et attirée par les refuges, cette posture non assise est issue d'un rapport aux lieux marqué par la volonté de se tenir debout tout en refusant l'errance. Il en résulte une écriture façonnée par tout ce qu'elle relie. Ainsi, notre corpus, constitué d'essais, de récits et de poèmes, entraîne une réflexion sur le langage à partir de l'appétit, à la fois avide et soucieux, de nos auteurs pour l'espace-monde. Il aborde les thématiques de la voix et du corps en tant que seuils pour l'existence, et situe l'homme en ses évolutions intérieures et historiques à partir de la représentation de jardins et de villes, dans lesquels se logent moins des histoires que des aspirations. La notion d' " écriture non sédentaire " nous a menée à définir son lieu par un néologisme, l' " antrait ", par lequel nous désignons des espaces qui sont à la fois " antre " et " entre ", qui contiennent le repli et l'ouverture, qui engagent l'hospitalité comme accueil et comme partir.
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Le rôle central du choc culturel dans les expériences d'hospitalité touristique

Touzani, Lilia 19 December 2013 (has links) (PDF)
La présente thèse porte sur l‟étude du comportement d‟un cas particulier de touristes ayant vécu une expérience marquante lors de leur voyage. Il s‟agit des touristes ayant subi un choc culturel. Elle a pour objectif de déterminer les facteurs qui peuvent être à l‟origine ce choc des cultures. Elle se propose de mieux définir le concept et de comprendre comment l‟hospitalité touristique peut avoir un impact sur ce choc. A cette fin, nous avons eu recours à la triangulation des méthodes. 170 témoignages ont été collectés par la méthode de la netnographie, 12 récits de vie et 13 entretiens individuels ont été menés. Ils ont fait l‟objet d‟une analyse de contenu et ont ainsi permis de proposer une redéfinition du choc culturel et d‟identifier trois groupes de facteurs affectant l‟expérience du choc culturel: (1) l‟hospitalité touristique, (2) les facteurs individuels et (3) les facteurs situationnels.
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De la politique à la morale : entre les cultures : lire Politiques de l’amitié de Jacques Derrida / From politics to ethics : between cultures : read Politics of friendship of Jacques Derrida

Cui, Huan 19 January 2013 (has links)
Suivant la tendance de la coopération internationale, la recherche comparative entre les cultures devient de plus en plus importante. Dans la mesure où la sinologie et la culture de l’Occident se croisent sur certains points de vue notamment autour de la philosophie politique de Derrida fondée sur la recherche du terme d’amitié. Face à la violence politique au nom de la justice, de la démocratie ou des droit de l’homme, Derrida énonce que c’est la politique actuelle est dominée par la maladie auto-immunitaire, par laquelle la démocratie s’enferme à l’intérieur du territoire de l’Etat, dans la mesure où l’authenticité de la démocratie, à savoir la démocratie universelle n’est pas encore présente. Considérant que les réformes dans le cadre de la politique n’aident pas à résoudre l’auto-immunité, Derrida pense qu’il nous faut retourner à l’idéologie en repensant le terme d’amitié en tant que racine des relations humaines en société, dans le but d’accéder à l’idée de l’hospitalité inconditionnelle et par conséquent à la démocratie universelle. C’est aussi pourquoi Derrida commence sa recherche de la philosophie politique à partir du terme d’amitié. En ce sens, Derrida traite de l’amitié canonique dans l’histoire occidentale, à savoir l’amitié antique, l’amitié chrétienne et l’amitié rationaliste, en aboutissant à la conclusion que l’amitié canonique de l’Occident favorise le même en supprimant la différence, dans la mesure où la consanguinité, la frontière jouent un rôle fondamental tout au long de l’histoire occidentale, ce qui détermine la démocratie conditionnelle fondée sur la souveraineté de l’Etat-nation. Cette manière de partir de l’amitié existe également dans le Confucianisme en tant qu’essentiel de la culture sinologique traditionnelle. Car l’image de frère, à savoir la consanguinité persiste tout au long de l’histoire sinologique en tant qu’axe, dans la mesure où les structures du clan et de la famille monopolisent la politique féodale de la Chine. Ce qui nous permet de constater la similarité plutôt que la divergence entre les cultures. De plus, face à l’amitié fondée sur la consanguinité et la frontière, Derrida propose une nouvelle sorte d’amitié qui offre l’hospitalité inconditionnelle dans le but de supprimer l’auto-immunité politique en aboutissant à « la démocratie à venir », bien que son infini absolu provoque un écart entre l’idéologie et la pratique. Nous constatons en effet l’amour universel de Mo Tzu dans la culture sinologique traditionnelle correspondant à l’amitié de Derrida qui se détache de la consanguinité, par laquelle, la société « Da-Tong » qui implique la démocratie universelle se présente toujours comme la société idéale dans l’histoire de la Chine. Cela risque de provoquer aussi un écart entre l’idéologie et la politique pratique, dans la mesure où les deux cultures se croisent plutôt qu’elles ne divergent. Cette étude vise, par la mise en regard entre les cultures, à clarifier la transition de la politique à la morale, dans le but de traiter de « la démocratie à venir » et la société « Da-Tong » avec une attitude objective face à la critique de l’Utopie. Au cours de cette étude nous constaterons que la conversation entre les cultures devient de plus en plus importante sous le cosmopolitisme universel. / Following the trend of international cooperation, comparative research across cultures becomes increasingly important. Consequently Sinology and Western culture could intersect at certain points of view, particularly around Derrida’s political philosophy research based on the term friendship. Faced with political violence in the name of justice, democracy or human rights, Derrida states that the current policy is dominated by the disease of “autoimmunity”, by which democracy is locked to the within the territory of the State. So the universal democracy as the authenticity of democracy is not yet present. Considering that the reforms in the policy framework does not help to solve the “autoimmunity”, Derrida believes that we should return to the ideology by reflecting the term friendship as the root of human relations in society, in order to access the idea of the unconditional hospitality and therefore the universal democracy. This is why Derrida begins his research of political philosophy from the term friendship. In this sense, Derrida discusses the canonical friendship, namely the ancient friendship, Christian friendship and rationale friendship, in the western history, in concluding that the canonical friendship of the Western history favors the sameness by eliminating the difference, as far as the consanguinity, the frontier play a foundational rule throughout the Western history, which determines the conditional democracy based on the sovereignty of the nation-state. This way of beginning from the friendship exists also in Confucianism which acts as the essential of sinology, because of the image of brother, in other words the consanguinity persists throughout the sinological history as an axis, and in terms of structures of clan and family which monopolize the feudal politics of China. This allows us to note the similarities rather than the differences between the two cultures. In addition, face to the friendship based on consanguinity and the frontier, Derrida proposes a new way of friendship which contains the unconditional hospitality, in order to suppress the disease of autoimmunity, then lead to "democracy to come", even if it might causes a gap between ideology and political practice. Indeed, the “universal love” exists also in sinological history, for example in the theory of Mo Tzu. By which the society "Da-Tong" implying a universal democracy is always presented as the ideal society in the history of China. This may also make a gap between ideology and practical politics regarding the two cultures intersect instead of diverging. Face to the critiques concerning Utopia of "democracy to come" and the society "Da-Tong", this study aims at the confrontation between cultures, the transition between politics and ethics, in order to deal with these concepts with an objective attitude. In this process of comparative research we find that the conversation between cultures becomes increasingly important in universal cosmopolitanism.
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Da hospitalidade às psicoses: um discurso em interrogação / From the hospitality to psychosis: a speech in question / De l’hospitalité aux psychoses: un discours en interrogation

Simoni, Ana Carolina Rios January 2012 (has links)
Ce travail dérive d’un parcours clinique et institutionel, à partir du quel s’est formulé la question sur les effets dans les liens sociaux du reencontre aves la specificité de la position psychique des sujets psychotiques. On raconte des passages d’un itinéraire de recherche, fait du pari à la réinscription des bordes de la clinique psychanalytique – lequel se montre par les experiences des ateliers thérapeutiques et de l’accompagnement thérapeutique, mais pas seulement –, pour dire des modes par lesquelles la question a pris la forme d’un discours en interrogation. On part de la formulation lacanienne sur la structure discursive des liens sociaux – en considerant, surtout, le discours universitaire et le discours capitaliste – et de la place extérière que la structure psychotique tient par rapport le discours. Puis on situe l’hospitalité, selon l’élabore Derrida, comme possibilité de accuellir les différences portées par les psychotiques. Dans ce chamin, les concepts de transfert, résistance et témoin, d’après Freud et Lacan, apparaissent comme manières de nommer l’espace-temp où l’hospitalité à l’hors-discours peut émerger – dont la specificité se present dans les impasses de l’inscription des contours subjetifs entre le Je/moi et l’autre-Autre, le prope et l’ailleurs. De cette façon, on suggère que offrir l’hospitalité à l’alterité de la position subjetive des psychoses implique accueillir la tension inhérente aux limits du propre et de l’ailleurs comme une demande de la strutucture. On problematise la façon par laquelle le discours universitaires de la science, dans um moment de l’histoire de la culture, a répondu à cette “demande” en edifiant les murs de l’hospice et de la catégorie “maladie mental”, qui n’ont pas inscrit la différence, mais, contrairement, ont produit une intensification de l’impasse du narcissisme. On se demande donc comment le discours universitaire de la science d'aujourd'hui, en complicité avec le discours du capitalisme, peut être affecté, si l’hors-discours retrouve l’hospitalité du chercheur. À l’horizont, la question: offrir l’hospitalité aux psychoses produirait des effets de méthode? Serait l’hospitalité aux psychoses une opportunité pour que nous nous replaçons sur le plan éthique et politique par rapport à la manière dont, aujourd'hui, nous faisons nos incursions dans le monde de la connaissance? / Este trabalho deriva de um percurso clínico e institucional, a partir do qual se formulou uma pergunta pelos efeitos para os laços sociais do encontro com a especificidade da posição psíquica dos sujeitos nas psicoses. Narram-se passagens de uma trajetória de pesquisa, feita da aposta na reinscrição das bordas da clínica psicanalítica – que pode ser observada nas experiências em oficinas terapêuticas e acompanhamentos terapêuticos, mas não somente –, para dizer dos modos pelos quais tal questão foi ganhando a forma de um discurso em interrogação. Parte-se da formulação lacaniana em torno da estrutura discursiva dos laços sociais – tomandose em consideração, especialmente, o discurso universitário e o discurso capitalista – e do lugar de exterioridade que a estrutura psicótica mantém em relação aos discursos. Em seguida, situa-se a hospitalidade, tal qual elaborada por Derrida, como possibilidade de acolhimento às diferenças que as psicoses portam. Nesse caminho, os conceitos de transferência, resistência e testemunho, desde Freud e Lacan, aparecem como formas de nomear o espaço-tempo em que pode emergir uma hospitalidade ao fora-do-discurso, cuja especificidade se apresenta na forma de impasses na inscrição dos contornos subjetivos entre o eu e o outro-Outro, o próprio e o alheio. Desde aí, sugere-se que dar hospitalidade à alteridade da posição subjetiva nas psicoses implica acolher a tensão inerente aos limites do próprio e do alheio, como um pedido estrutural. Problematiza-se o modo como o discurso universitário da ciência, em determinado momento da história da cultura, respondeu a este “pedido” edificando os muros do hospício e da categoria “doença mental”, que não fizeram inscrever a diferença, mas, ao contrário, operaram o recrudescimento do beco do narcisismo. Pergunta-se então como o discurso universitário da ciência de nossos dias, em cumplicidade com o discurso do capitalismo, pode ser afetado, caso o fora-do-discurso das psicoses encontre uma posição de hospitalidade desdobrada do lado do pesquisador. No horizonte, o interrogante: dar hospitalidade às psicoses produziria efeitos de método? Seria a hospitalidade às psicoses uma oportunidade para nos reposicionarmos ética e politicamente sobre o modo como, atualmente, concebemos nossas incursões pelo mundo do conhecimento? / This work derives from a clinical and institutional trajectory, from which raised the question about the effects of social ties on encountering with specification the psychic position of psychotic subjects. Then, segments of the path of research are reported, made with the bet of rewriting the edges of the psychoanalytic clinics - that can be observed in experiments with therapeutic workshops and follow-up therapy, but not only – to say the ways in which this issue has been gaining the form of a discourse in question. It starts with the Lacanian formulation around the discursive structure of social ties - especially taking into account the university and capitalistic discourses. In addition, the place of exteriority that maintains the structure in relation to psychotic speeches, for then situate the hospitality, as is elaborated by Derrida, as the possibility of welcoming the differences that the psychoses carries. In this way, the concepts of transference, resistance, and testimony, from Freud and Lacan, appear as ways of naming the space-time on that can emerge hospitality on out-ofspeech, whose specificity appears in the form of impasse on inscription of subjective contours between self and other-Other, self and strange. Since then, it is suggested that giving hospitality to otherness of the subjective position in the psychoses, implies on welcoming, as a structural request, the tension inherent of the limits between the self and the other-Other. Considering the way how the university discourse of science, in sometime of the history of culture, responded to this "request" building the walls of the asylum and the category of "mental illness", which did not include the difference, but rather, operated the fall for the narcissism’s alley. Then wonders how the university discourse in science, nowadays, in complicity with the discourse of capitalism, can be affected in case of the out-of-speech of psychosis find on the researcher a position of hospitality. The question that is on the horizon is: giving hospitality to psychosis would produce method effect's? The hospitality to psychosis would be an opportunity for a repositioning ethical and politically about how, nowadays, we've conceived our forays into the world of knowledge?
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Da hospitalidade às psicoses: um discurso em interrogação / From the hospitality to psychosis: a speech in question / De l’hospitalité aux psychoses: un discours en interrogation

Simoni, Ana Carolina Rios January 2012 (has links)
Ce travail dérive d’un parcours clinique et institutionel, à partir du quel s’est formulé la question sur les effets dans les liens sociaux du reencontre aves la specificité de la position psychique des sujets psychotiques. On raconte des passages d’un itinéraire de recherche, fait du pari à la réinscription des bordes de la clinique psychanalytique – lequel se montre par les experiences des ateliers thérapeutiques et de l’accompagnement thérapeutique, mais pas seulement –, pour dire des modes par lesquelles la question a pris la forme d’un discours en interrogation. On part de la formulation lacanienne sur la structure discursive des liens sociaux – en considerant, surtout, le discours universitaire et le discours capitaliste – et de la place extérière que la structure psychotique tient par rapport le discours. Puis on situe l’hospitalité, selon l’élabore Derrida, comme possibilité de accuellir les différences portées par les psychotiques. Dans ce chamin, les concepts de transfert, résistance et témoin, d’après Freud et Lacan, apparaissent comme manières de nommer l’espace-temp où l’hospitalité à l’hors-discours peut émerger – dont la specificité se present dans les impasses de l’inscription des contours subjetifs entre le Je/moi et l’autre-Autre, le prope et l’ailleurs. De cette façon, on suggère que offrir l’hospitalité à l’alterité de la position subjetive des psychoses implique accueillir la tension inhérente aux limits du propre et de l’ailleurs comme une demande de la strutucture. On problematise la façon par laquelle le discours universitaires de la science, dans um moment de l’histoire de la culture, a répondu à cette “demande” en edifiant les murs de l’hospice et de la catégorie “maladie mental”, qui n’ont pas inscrit la différence, mais, contrairement, ont produit une intensification de l’impasse du narcissisme. On se demande donc comment le discours universitaire de la science d'aujourd'hui, en complicité avec le discours du capitalisme, peut être affecté, si l’hors-discours retrouve l’hospitalité du chercheur. À l’horizont, la question: offrir l’hospitalité aux psychoses produirait des effets de méthode? Serait l’hospitalité aux psychoses une opportunité pour que nous nous replaçons sur le plan éthique et politique par rapport à la manière dont, aujourd'hui, nous faisons nos incursions dans le monde de la connaissance? / Este trabalho deriva de um percurso clínico e institucional, a partir do qual se formulou uma pergunta pelos efeitos para os laços sociais do encontro com a especificidade da posição psíquica dos sujeitos nas psicoses. Narram-se passagens de uma trajetória de pesquisa, feita da aposta na reinscrição das bordas da clínica psicanalítica – que pode ser observada nas experiências em oficinas terapêuticas e acompanhamentos terapêuticos, mas não somente –, para dizer dos modos pelos quais tal questão foi ganhando a forma de um discurso em interrogação. Parte-se da formulação lacaniana em torno da estrutura discursiva dos laços sociais – tomandose em consideração, especialmente, o discurso universitário e o discurso capitalista – e do lugar de exterioridade que a estrutura psicótica mantém em relação aos discursos. Em seguida, situa-se a hospitalidade, tal qual elaborada por Derrida, como possibilidade de acolhimento às diferenças que as psicoses portam. Nesse caminho, os conceitos de transferência, resistência e testemunho, desde Freud e Lacan, aparecem como formas de nomear o espaço-tempo em que pode emergir uma hospitalidade ao fora-do-discurso, cuja especificidade se apresenta na forma de impasses na inscrição dos contornos subjetivos entre o eu e o outro-Outro, o próprio e o alheio. Desde aí, sugere-se que dar hospitalidade à alteridade da posição subjetiva nas psicoses implica acolher a tensão inerente aos limites do próprio e do alheio, como um pedido estrutural. Problematiza-se o modo como o discurso universitário da ciência, em determinado momento da história da cultura, respondeu a este “pedido” edificando os muros do hospício e da categoria “doença mental”, que não fizeram inscrever a diferença, mas, ao contrário, operaram o recrudescimento do beco do narcisismo. Pergunta-se então como o discurso universitário da ciência de nossos dias, em cumplicidade com o discurso do capitalismo, pode ser afetado, caso o fora-do-discurso das psicoses encontre uma posição de hospitalidade desdobrada do lado do pesquisador. No horizonte, o interrogante: dar hospitalidade às psicoses produziria efeitos de método? Seria a hospitalidade às psicoses uma oportunidade para nos reposicionarmos ética e politicamente sobre o modo como, atualmente, concebemos nossas incursões pelo mundo do conhecimento? / This work derives from a clinical and institutional trajectory, from which raised the question about the effects of social ties on encountering with specification the psychic position of psychotic subjects. Then, segments of the path of research are reported, made with the bet of rewriting the edges of the psychoanalytic clinics - that can be observed in experiments with therapeutic workshops and follow-up therapy, but not only – to say the ways in which this issue has been gaining the form of a discourse in question. It starts with the Lacanian formulation around the discursive structure of social ties - especially taking into account the university and capitalistic discourses. In addition, the place of exteriority that maintains the structure in relation to psychotic speeches, for then situate the hospitality, as is elaborated by Derrida, as the possibility of welcoming the differences that the psychoses carries. In this way, the concepts of transference, resistance, and testimony, from Freud and Lacan, appear as ways of naming the space-time on that can emerge hospitality on out-ofspeech, whose specificity appears in the form of impasse on inscription of subjective contours between self and other-Other, self and strange. Since then, it is suggested that giving hospitality to otherness of the subjective position in the psychoses, implies on welcoming, as a structural request, the tension inherent of the limits between the self and the other-Other. Considering the way how the university discourse of science, in sometime of the history of culture, responded to this "request" building the walls of the asylum and the category of "mental illness", which did not include the difference, but rather, operated the fall for the narcissism’s alley. Then wonders how the university discourse in science, nowadays, in complicity with the discourse of capitalism, can be affected in case of the out-of-speech of psychosis find on the researcher a position of hospitality. The question that is on the horizon is: giving hospitality to psychosis would produce method effect's? The hospitality to psychosis would be an opportunity for a repositioning ethical and politically about how, nowadays, we've conceived our forays into the world of knowledge?
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Da hospitalidade às psicoses: um discurso em interrogação / From the hospitality to psychosis: a speech in question / De l’hospitalité aux psychoses: un discours en interrogation

Simoni, Ana Carolina Rios January 2012 (has links)
Ce travail dérive d’un parcours clinique et institutionel, à partir du quel s’est formulé la question sur les effets dans les liens sociaux du reencontre aves la specificité de la position psychique des sujets psychotiques. On raconte des passages d’un itinéraire de recherche, fait du pari à la réinscription des bordes de la clinique psychanalytique – lequel se montre par les experiences des ateliers thérapeutiques et de l’accompagnement thérapeutique, mais pas seulement –, pour dire des modes par lesquelles la question a pris la forme d’un discours en interrogation. On part de la formulation lacanienne sur la structure discursive des liens sociaux – en considerant, surtout, le discours universitaire et le discours capitaliste – et de la place extérière que la structure psychotique tient par rapport le discours. Puis on situe l’hospitalité, selon l’élabore Derrida, comme possibilité de accuellir les différences portées par les psychotiques. Dans ce chamin, les concepts de transfert, résistance et témoin, d’après Freud et Lacan, apparaissent comme manières de nommer l’espace-temp où l’hospitalité à l’hors-discours peut émerger – dont la specificité se present dans les impasses de l’inscription des contours subjetifs entre le Je/moi et l’autre-Autre, le prope et l’ailleurs. De cette façon, on suggère que offrir l’hospitalité à l’alterité de la position subjetive des psychoses implique accueillir la tension inhérente aux limits du propre et de l’ailleurs comme une demande de la strutucture. On problematise la façon par laquelle le discours universitaires de la science, dans um moment de l’histoire de la culture, a répondu à cette “demande” en edifiant les murs de l’hospice et de la catégorie “maladie mental”, qui n’ont pas inscrit la différence, mais, contrairement, ont produit une intensification de l’impasse du narcissisme. On se demande donc comment le discours universitaire de la science d'aujourd'hui, en complicité avec le discours du capitalisme, peut être affecté, si l’hors-discours retrouve l’hospitalité du chercheur. À l’horizont, la question: offrir l’hospitalité aux psychoses produirait des effets de méthode? Serait l’hospitalité aux psychoses une opportunité pour que nous nous replaçons sur le plan éthique et politique par rapport à la manière dont, aujourd'hui, nous faisons nos incursions dans le monde de la connaissance? / Este trabalho deriva de um percurso clínico e institucional, a partir do qual se formulou uma pergunta pelos efeitos para os laços sociais do encontro com a especificidade da posição psíquica dos sujeitos nas psicoses. Narram-se passagens de uma trajetória de pesquisa, feita da aposta na reinscrição das bordas da clínica psicanalítica – que pode ser observada nas experiências em oficinas terapêuticas e acompanhamentos terapêuticos, mas não somente –, para dizer dos modos pelos quais tal questão foi ganhando a forma de um discurso em interrogação. Parte-se da formulação lacaniana em torno da estrutura discursiva dos laços sociais – tomandose em consideração, especialmente, o discurso universitário e o discurso capitalista – e do lugar de exterioridade que a estrutura psicótica mantém em relação aos discursos. Em seguida, situa-se a hospitalidade, tal qual elaborada por Derrida, como possibilidade de acolhimento às diferenças que as psicoses portam. Nesse caminho, os conceitos de transferência, resistência e testemunho, desde Freud e Lacan, aparecem como formas de nomear o espaço-tempo em que pode emergir uma hospitalidade ao fora-do-discurso, cuja especificidade se apresenta na forma de impasses na inscrição dos contornos subjetivos entre o eu e o outro-Outro, o próprio e o alheio. Desde aí, sugere-se que dar hospitalidade à alteridade da posição subjetiva nas psicoses implica acolher a tensão inerente aos limites do próprio e do alheio, como um pedido estrutural. Problematiza-se o modo como o discurso universitário da ciência, em determinado momento da história da cultura, respondeu a este “pedido” edificando os muros do hospício e da categoria “doença mental”, que não fizeram inscrever a diferença, mas, ao contrário, operaram o recrudescimento do beco do narcisismo. Pergunta-se então como o discurso universitário da ciência de nossos dias, em cumplicidade com o discurso do capitalismo, pode ser afetado, caso o fora-do-discurso das psicoses encontre uma posição de hospitalidade desdobrada do lado do pesquisador. No horizonte, o interrogante: dar hospitalidade às psicoses produziria efeitos de método? Seria a hospitalidade às psicoses uma oportunidade para nos reposicionarmos ética e politicamente sobre o modo como, atualmente, concebemos nossas incursões pelo mundo do conhecimento? / This work derives from a clinical and institutional trajectory, from which raised the question about the effects of social ties on encountering with specification the psychic position of psychotic subjects. Then, segments of the path of research are reported, made with the bet of rewriting the edges of the psychoanalytic clinics - that can be observed in experiments with therapeutic workshops and follow-up therapy, but not only – to say the ways in which this issue has been gaining the form of a discourse in question. It starts with the Lacanian formulation around the discursive structure of social ties - especially taking into account the university and capitalistic discourses. In addition, the place of exteriority that maintains the structure in relation to psychotic speeches, for then situate the hospitality, as is elaborated by Derrida, as the possibility of welcoming the differences that the psychoses carries. In this way, the concepts of transference, resistance, and testimony, from Freud and Lacan, appear as ways of naming the space-time on that can emerge hospitality on out-ofspeech, whose specificity appears in the form of impasse on inscription of subjective contours between self and other-Other, self and strange. Since then, it is suggested that giving hospitality to otherness of the subjective position in the psychoses, implies on welcoming, as a structural request, the tension inherent of the limits between the self and the other-Other. Considering the way how the university discourse of science, in sometime of the history of culture, responded to this "request" building the walls of the asylum and the category of "mental illness", which did not include the difference, but rather, operated the fall for the narcissism’s alley. Then wonders how the university discourse in science, nowadays, in complicity with the discourse of capitalism, can be affected in case of the out-of-speech of psychosis find on the researcher a position of hospitality. The question that is on the horizon is: giving hospitality to psychosis would produce method effect's? The hospitality to psychosis would be an opportunity for a repositioning ethical and politically about how, nowadays, we've conceived our forays into the world of knowledge?
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Espaces et déplacements dans une écriture contemporaine non sédentaire : François Cheng, Hector Bianciotti, Gérard Macé et Claudio Magris / Spaces and Movement in a Contemporary Non-sedentary Writing : François Cheng, Hector Bianciotti, Gérard Macé et Claudio Magris

Liébert, Adeline 19 January 2012 (has links)
Qu'y a-t-il de commun entre F. Cheng, écrivain français d'origine chinoise, H. Bianciotti, enfant d'immigrés italiens en Argentine, G. Macé, dilettante du voyage, attiré par l'anthropologie, Rome ou encore l'Asie, et C. Magris, un Italien de Trieste qui a consacré sa vie à la littérature et à la géographie des frontières ? Au-delà de leurs divergences, on rencontre chez ces quatre auteurs une telle sensibilité à l'espace et aux déplacements qu'ils peuvent tous être définis comme des « écrivains non sédentaires ». La non-sédentarité n'est pas un nomadisme : très concernée par les frontières, avec tout ce qui en découle d'interférences et d'inquiétudes quant au sentiment et à la pratique de la langue, fascinée par les seuils et attirée par les refuges, cette posture non assise est issue d'un rapport aux lieux marqué par la volonté de se tenir debout tout en refusant l'errance. Il en résulte une écriture façonnée par tout ce qu'elle relie. Ainsi, notre corpus, constitué d'essais, de récits et de poèmes, entraîne une réflexion sur le langage à partir de l'appétit, à la fois avide et soucieux, de nos auteurs pour l'espace-monde. Il aborde les thématiques de la voix et du corps en tant que seuils pour l'existence, et situe l'homme en ses évolutions intérieures et historiques à partir de la représentation de jardins et de villes, dans lesquels se logent moins des histoires que des aspirations. La notion d' « écriture non sédentaire » nous a menée à définir son lieu par un néologisme, l' « antrait », par lequel nous désignons des espaces qui sont à la fois « antre » et « entre », qui contiennent le repli et l'ouverture, qui engagent l'hospitalité comme accueil et comme partir. / What do François Cheng, a French writer of Chinese origin, Hector Bianciotti, the son of Italian immigrants to Argentina, Gérard Macé, a dilettante traveller, with a penchant for anthropology, Rome or Asia, to name but a few of his interests, and Claudio Magris, an Italian from Trieste who has devoted his life to the literature and geography of frontiers have in common ? Above and beyond their differences, these four authors share such a sensibility to spaces and movements that they can be defined as "non-sedentary writers". Non-sedentarity is not nomadism : very much concerned by frontiers, with all the interferences and worries that these entail regarding the feeling and the practice of language, fascinated by thresholds and attracted by refuges, this restless posture is the result of a relationship with places characterised by the wish to remain standing while refusing to wander. Thus ensues a writing that is shaped by all that it binds together. So our corpus, made up of essays, narratives and poems, initiates a reflection on language from the appetite - avid and anxious at the same time - of our authors for the world-space. It tackles the themes of voice and body as thresholds for existing, and positions mankind within its inner and historic evolutions, according to the representations of gardens and cities, where aspirations matter more than stories. The notion of "non-sedentary writing" has led us to define its locus through a neologism, the "antrait" (prounounced like "entrée", entrance) by which we designate spaces that are both "antre" (den) and "entre" (between), that contain retreat and openness, that make hospitality both a welcome and a leavetaking.

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