• Refine Query
  • Source
  • Publication year
  • to
  • Language
  • 5
  • 1
  • Tagged with
  • 6
  • 2
  • 2
  • 2
  • 2
  • 2
  • 2
  • 2
  • 2
  • 2
  • 2
  • 1
  • 1
  • 1
  • 1
  • About
  • The Global ETD Search service is a free service for researchers to find electronic theses and dissertations. This service is provided by the Networked Digital Library of Theses and Dissertations.
    Our metadata is collected from universities around the world. If you manage a university/consortium/country archive and want to be added, details can be found on the NDLTD website.
1

Du dépaysement en peinture / Displacement in painting

Josso, Eléonore 26 October 2013 (has links)
Que le dépaysement soit devenu la méthode du processus créatif tel est le point de départ de cette réflexion qui prend appui sur un travail plastique personnel développé ces dix dernières années. Une recherche picturale qui devient le révélateur de cette expérience du prépictural, à partir de l'espace perçu et vécu. Exploration qui se renouvelle à même la toile, dans un dialogue dynamique entre paysage intérieur, le paysement et celui de la découverte, le dépaysement. L'espace pictural est construit, structuré et spatialisé à partir des seules couleurs du noir et blanc. Le dépaysement devient alors l'opération qui occasionne des transformations, des glissements, des débordements dans le lieu de la peinture. Celui-ci est en devenir, ni figé, ni statique, il est en mutation permanente car c'est bien à partir des impressions, des sensations et de la sensibilité de l'artiste que la relation au monde se modifie et engendre alors une nouvelle esthétique. Déplacée vers l'architecture, l'expansion du pictural propose au spectateur un nouveau dépaysement, dans le lieu d'exposition. / The starring point of this reflection, based on a personal plastic work developed in the last ten years, is the fact that an experience that I defined "dépaysement", a kind of “displacement in painting", has become my creative process method. This pictorial research becomes the indicator of the pre-pictorial experience, starting from the space that we have seen and lived. This exploration renews itself on the canvas, by the means of a dynamic dialogue between the internal landscape and that of discovery, this displacement. In the picture the space is built, structured and shaped from black and white only. The "dépaysement" becomes the operation that causes transformations, slidings and overflowings of this space, which is not static, but keeps changing and is constantly brought into being by the Impressions, the sensations and the sensibility of the artist, because his relationship with the world changes and generates a new aesthetic, Finally the pictorial expansion, shifted towards the architecture, proposes to the spectator a new disorientation in the exposition place.
2

Paysage et dépaysement dans l’œuvre de Michelangelo Antonioni : de "Blow Up" à "Identification d’une femme" / Landscape and disorientation in the work of michelangelo antonioni : from "Blow Up" to "Identification of a woman"

Droin, Nicolas 06 December 2012 (has links)
L’œuvre d’Antonioni constitue un champ privilégié pour initier une étude du paysage dans l’art cinématographique. Notre étude se focalise sur le dépaysement cinématographique d’Antonioni, de Blow up (1966) à son retour en Italie avec Identification d’une femme (1982). Notre étude vise à marquer l’importance d’une conception mouvante et cinéplastique du paysage, intégrant la question du montage, du mouvement (de l’image et dans l’image), pour dégager les forces rythmiques, métamorphiques et plastiques de l’image-paysage au cinéma. A partir de ces forces, nous souhaitons ouvrir la question du paysage à l’aune de la notion de dépaysement. Le dépaysement constitue un matériau opérant pour penser l’image cinématographique, sa déterritorialisation, son mouvement. Dépayser le paysage entraîne chez Antonioni un dialogue avec l’Histoire de l’art qui implique de repenser les questions esthétiques majeures du XXème siècle (de l’abstraction à l’art informel, en passant par le Land Art et la performance) dans le champ d’une étude cinématographique. La question du dépaysement nécessite de proposer de nouveaux outils pour penser le paysage au cinéma. Nous proposons de nommer « entre-paysage » la constitution d’un paysage qui intègre les processus propres à l’image cinématographique dans sa plastique, en nous appuyant sur les notions d’intervalle et d’entre-image. Un « entre-paysage » cinématographique, tel qu’il est possible de le définir dans l’œuvre d’Antonioni, ouvre une mobilisation plastique de l’image-paysage qui nous permet d’interroger en retour la pratique artistique contemporaine. / The work of Antonioni is a fertile field to study landscape in cinematographic art. This study focuses on Antonioni's cinematographic disorientation, from Blow up (1966) to its come-back in Italy with Identification of a woman (1982). My work aims at showing the importance of a changing and cineplastic vision of landscape which integrates the question of editing, motion (of image and inside the image itself), in order to highlight the rhythmic, metamorphic and plastic strenghts of the image-landscape in the cinema. Having shown these strenghts, I intend to interrogate the question of landscape from the notion of disorientation. Disorientation represents an operating materiel to think the cinematographic image, its deterritorialisation, its motion. Disorientating landscape in Antonioni's work leads to a dialogue with art history, which implies to rethink the major aesthethic questions of the 20th century (from abstraction to informal art, by Land-Art and performance) in the context of a cinematographic study. The question of disorientation requires new tools to rethink landscape in the cinema. I suggest to name « inter-landscape » the constitution of a landscape which integrates peculiar to image in its plastic processes relying on notions suchs as interval and inter-images. A cinematographic « inter-landscape », as can be define from the work of Antonioni, offers a plastic mobilisation of the image-landscape which allows to interrogate, in turn, contemporary artistic practice.
3

L'épreuve de l'étranger, traductions françaises d'écrivains sri lankais contemporains de langue anglaise / The Trial of the Foreign, The French Translations of the Contemporary Sri Lankan writers of English

Gunasekera, Niroshini 12 December 2017 (has links)
La traduction est une affaire culturelle. De prime abord, elle se présente comme la recherche d’équivalents lors du passage d’une langue à l’autre. Mais si on se penche sur le travail qu’effectuent les traducteurs, on se rend compte rapidement que traduire exige des opérations bien plus complexes. Ainsi, un texte littéraire rédigé en une langue ne peut pas être traduit vers une autre langue sans que le traducteur ou la traductrice fasse attention au contenu culturel que véhicule la langue. Un même message est communiqué de deux manières différentes par deux peuples issus de cultures distinctes. Ainsi opère un système très complexe qui déborde le champ de la linguistique et s’enracine dans la culture qu’exprime chaque langue. Toutes les actions humaines, la communication, les sentiments, les réactions, la compréhension, l’interprétation (pour en nommer quelques-unes) ont la culture pour fondement.Intitulée « L’épreuve de l’étranger : traductions françaises d’écrivains sri lankais contemporains de langue anglaise », notre thèse a pour mots-clés : « culture », « sri lankais » et « traduction ». Elle a pour point de départ une question formulée en quelques mots simples : comment transmettre en français la culture sri lankaise ? Ces deux cultures sont distantes sur le plan géographique mais aussi pour ce qui concerne leurs pratiques et leurs valeurs. C’est donc une rencontre entre l’Orient et l’Occident que permet la traduction par le truchement de la langue anglaise.Les deux œuvres que nous avons choisies pour notre corpus, Funny Boy de Shyam Selvadurai (1994) et Running in the Family de Michael Ondaatje (1982), sont imprégnées de culture sri lankaise. Nous avons tenté de mettre en évidence systématiquement les stratégies utilisées par les traducteurs pour préserver l’identité de la culture source. La tâche du traducteur n’est pas de dissimuler ou de minimiser les éléments culturels sri lankais mais de les rendre visibles dans ses textes. Par les stratégies qu’il utilise, le traducteur parvient à préserver la culture sri lankaise dans le texte d’arrivée, du moins dans des limites qu’il nous faudra également définir. Lawrence Venuti (2004 : 20) propose un système binaire, la traduction ethnocentrique ou domesticating (naturalisation) et la traduction éthique qui laisse place à l’étrangeté qu’il qualifie de foreignizing (dépaysement). Conserver les traces de l’œuvre originale est considéré comme la chose la plus importante. Nous nous plaçons ainsi entre les stratégies de naturalisation et de dépaysement. Traduire, c’est effectuer un travail qui « est ouverture, dialogue, métissage et décentrement » comme l’écrit Berman (1984 : 16), c’est aussi négocier un autre type de produit final.Dans un premier temps, nous verrons comment opère le dépaysement en tant que stratégie de traduction dans Drôle de garçon (Frédéric Limare et Susan Fox-Limare, 1998) de Shyam Selvadurai et Un air de famille (Marie-Odile Fortier-Masek, 1991) de Michael Ondaatje. Dans un deuxième temps, nous prêterons attention à la stratégie de la naturalisation qui rend la lecture plus fluide, en atténuant les différences trop importantes entre cultures. Dans un troisième temps, nous verrons de quelle manière certaines faits culturels restent intraduits dans les traductions pour diverses raisons que nous identifierons au cours de l’analyse, tout en repérant également les ellipses qui modifient le message d’origine. Notre analyse tentera de démontrer que la traduction est une rencontre entre les cultures : une rencontre qui se fait de manière fructueuse pour enrichir la littérature d’une culture nouvelle en permettant au lecteur un voyage vers une destination lointaine.Mots clés : culture, dépaysement, Funny Boy, Michael Ondaatje, naturalisation, Running in the Family, Shyam Selvadurai, Sri Lanka, traduction / Translation is a cultural matter. At first sight, it may appear as a search for equivalents in the transfer from one language to another. However, in depth translation analysis reveals much more than meets the eye. A literary text written in one language cannot be translated into another language without paying attention to its associated cultural background. It has become a truism today to say that individuals belonging to different cultures do not communicate in the same way; while the linguistic dimension is important, so is the cultural one, since cultural habits are at the root of all human actions.The title of this thesis, “The Trials of the Foreign: French Translations of Contemporary Sri Lankan Writers in English”, combines three key words: “culture”, “Sri Lanka” and “translation”. The broad research question we started out with is: how is it possible to convey Sri Lankan culture in French literary translation? The two countries are distant not only geographically but also in terms of practices and values. Therefore, a true encounter between East and West is at stake here, mediated by the English language, which the authors of the two Sri Lankan novels we study here chose as a medium of expression.In his or her attempt to identify viable equivalents of different cultural realities, the translator is confronted with decisions about whether differences should be mitigated or, on the contrary, preserved, in order to maintain the local colour. When cultural differences are smoothed over in translation and the target text contains very few traces, if any, of the source culture, the reader may have the impression of reading an original. On the other hand, when the source culture is given prominence, the translation has the potential to make the reader travel abroad, and gain new experience.The two literary works which make the object of our research, Michael Ondaatje’s Running in the Family (1982) and Shyam Selvadurai’s Funny Boy (1994), are imbued with Sri Lankan culture and pose significant challenges to translation. We draw on Lawrence Venuti’s (1995/2004) distinction between ethnocentric or domesticating translation (naturalisation) and foreignizing translation (dépaysement), while at the same time recognizing the importance of not taking this dichotomy for granted. And we assume, as Antoine Berman did, that translation is “openness, dialogue, blending and decentring” (1984: 16).We start by outlining a number of theoretical considerations about translation strategy, culture, and translating culture. We then carry out fine-grained analyses of the texts and endeavour to show how foreignization operates in Drôle de garçon (1998), the French translation by Frédéric Limare and Susan Fox-Limare of Selvadurai’s novel Funny Boy, and in Un air de famille (1991), the translation of Ondaatje’s Running in the Family by Marie-Odile Fortier-Masek. In the second part of our analysis, we focus on the strategy of domestication, which makes reading more fluent due to the mitigation of differences between cultures. Finally, we discuss some of the ways in which certain cultural facts remain untranslated, with implications for the integrity of the message, and the target readers’ experience of the text. We conclude that translation is indeed an encounter between cultures: a meeting that is fruitful and has the potential to enrich the literature of a new country, by allowing the reader to embark on a journey to a distant destination.Key words: culture, domestication, foreignization, Funny Boy, Michael Ondaatje, Running in the Family, Shyam Selvadurai, Sri Lanka, translation
4

Espaces et déplacements dans une écriture contemporaine non sédentaire : François Cheng, Hector Bianciotti, Gérard Macé et Claudio Magris

Liébert, Adeline 19 January 2012 (has links) (PDF)
Qu'y a-t-il de commun entre F. Cheng, écrivain français d'origine chinoise, H. Bianciotti, enfant d'immigrés italiens en Argentine, G. Macé, dilettante du voyage, attiré par l'anthropologie, Rome ou encore l'Asie, et C. Magris, un Italien de Trieste qui a consacré sa vie à la littérature et à la géographie des frontières ? Au-delà de leurs divergences, on rencontre chez ces quatre auteurs une telle sensibilité à l'espace et aux déplacements qu'ils peuvent tous être définis comme des " écrivains non sédentaires ". La non-sédentarité n'est pas un nomadisme : très concernée par les frontières, avec tout ce qui en découle d'interférences et d'inquiétudes quant au sentiment et à la pratique de la langue, fascinée par les seuils et attirée par les refuges, cette posture non assise est issue d'un rapport aux lieux marqué par la volonté de se tenir debout tout en refusant l'errance. Il en résulte une écriture façonnée par tout ce qu'elle relie. Ainsi, notre corpus, constitué d'essais, de récits et de poèmes, entraîne une réflexion sur le langage à partir de l'appétit, à la fois avide et soucieux, de nos auteurs pour l'espace-monde. Il aborde les thématiques de la voix et du corps en tant que seuils pour l'existence, et situe l'homme en ses évolutions intérieures et historiques à partir de la représentation de jardins et de villes, dans lesquels se logent moins des histoires que des aspirations. La notion d' " écriture non sédentaire " nous a menée à définir son lieu par un néologisme, l' " antrait ", par lequel nous désignons des espaces qui sont à la fois " antre " et " entre ", qui contiennent le repli et l'ouverture, qui engagent l'hospitalité comme accueil et comme partir.
5

Espaces et déplacements dans une écriture contemporaine non sédentaire : François Cheng, Hector Bianciotti, Gérard Macé et Claudio Magris / Spaces and Movement in a Contemporary Non-sedentary Writing : François Cheng, Hector Bianciotti, Gérard Macé et Claudio Magris

Liébert, Adeline 19 January 2012 (has links)
Qu'y a-t-il de commun entre F. Cheng, écrivain français d'origine chinoise, H. Bianciotti, enfant d'immigrés italiens en Argentine, G. Macé, dilettante du voyage, attiré par l'anthropologie, Rome ou encore l'Asie, et C. Magris, un Italien de Trieste qui a consacré sa vie à la littérature et à la géographie des frontières ? Au-delà de leurs divergences, on rencontre chez ces quatre auteurs une telle sensibilité à l'espace et aux déplacements qu'ils peuvent tous être définis comme des « écrivains non sédentaires ». La non-sédentarité n'est pas un nomadisme : très concernée par les frontières, avec tout ce qui en découle d'interférences et d'inquiétudes quant au sentiment et à la pratique de la langue, fascinée par les seuils et attirée par les refuges, cette posture non assise est issue d'un rapport aux lieux marqué par la volonté de se tenir debout tout en refusant l'errance. Il en résulte une écriture façonnée par tout ce qu'elle relie. Ainsi, notre corpus, constitué d'essais, de récits et de poèmes, entraîne une réflexion sur le langage à partir de l'appétit, à la fois avide et soucieux, de nos auteurs pour l'espace-monde. Il aborde les thématiques de la voix et du corps en tant que seuils pour l'existence, et situe l'homme en ses évolutions intérieures et historiques à partir de la représentation de jardins et de villes, dans lesquels se logent moins des histoires que des aspirations. La notion d' « écriture non sédentaire » nous a menée à définir son lieu par un néologisme, l' « antrait », par lequel nous désignons des espaces qui sont à la fois « antre » et « entre », qui contiennent le repli et l'ouverture, qui engagent l'hospitalité comme accueil et comme partir. / What do François Cheng, a French writer of Chinese origin, Hector Bianciotti, the son of Italian immigrants to Argentina, Gérard Macé, a dilettante traveller, with a penchant for anthropology, Rome or Asia, to name but a few of his interests, and Claudio Magris, an Italian from Trieste who has devoted his life to the literature and geography of frontiers have in common ? Above and beyond their differences, these four authors share such a sensibility to spaces and movements that they can be defined as "non-sedentary writers". Non-sedentarity is not nomadism : very much concerned by frontiers, with all the interferences and worries that these entail regarding the feeling and the practice of language, fascinated by thresholds and attracted by refuges, this restless posture is the result of a relationship with places characterised by the wish to remain standing while refusing to wander. Thus ensues a writing that is shaped by all that it binds together. So our corpus, made up of essays, narratives and poems, initiates a reflection on language from the appetite - avid and anxious at the same time - of our authors for the world-space. It tackles the themes of voice and body as thresholds for existing, and positions mankind within its inner and historic evolutions, according to the representations of gardens and cities, where aspirations matter more than stories. The notion of "non-sedentary writing" has led us to define its locus through a neologism, the "antrait" (prounounced like "entrée", entrance) by which we designate spaces that are both "antre" (den) and "entre" (between), that contain retreat and openness, that make hospitality both a welcome and a leavetaking.
6

L'écriture de José Manuel Fajardo : entre roman d'aventure et roman historique / José Manuel Fajardo‘s writing : a fine line between adventure and historical novels

Psaltopoulos, Brigitte 13 April 2018 (has links)
Cette thèse présente l’analyse de la trilogie de José Manuel Fajardo (1957) constituée par les trois romans, Carta del fin del mundo (1996), El Converso (1998) et Mi nombre es Jamaica (2010). Ces trois œuvres font partie du sous-genre, roman istorique d’aventures. À travers l‘étude du temps, de l’espace et des personnages, ce travail de recherche a pour objectif de délimiter la part de l’histoire et de l’aventure au sein de ces trois œuvres qui renvoient à des périodes marquantes de l’histoire de l’Espagne (la conquête, le Siècle d’or). Les nombreuses références à l’expulsion des Morisques ou à la diaspora sépharade témoignent de la volonté de l’auteur de faire œuvre d’historien en sauvant de l’oubli certains pans de l’histoire d’Espagne délaissés par l’Histoire officielle. Cette récupération historique va de pair avec une fictionnalisation de cette matière historique (la découverte de l’Amérique, la piraterie au XVIIe siècle, dans les Caraïbes et en méditerranée) qui permet à l’auteur de créer de l’aventure. Cette aventure est vécue par les héros comme une quête identitaire qui les conduit, à travers la traversée d’innombrables espaces, vers leur Terre promise ; ce qui leur confère une indéniable épaisseur humaine. / This thesis introduces the trilogy by José Manuel Fajardo (1957) composed of Carta del fin del mundo (1996), El Converso (1998) and Mi nombre es Jamaica (2010).These three works are part of the historical adventure novel sub-genre. Focusing on time, space and characters, this research work is aimed at making a distinction between history and adventure in these three works that refer to significant periods in the history of Spain (the conquest, the Golden Age). The numerous references to the expulsion of the Moriscos or the Sephardic diaspora show the author's willingness to work as a historian by saving fromoblivion some parts of Spanish history neglected by official history. This historical exploitation goes hand in hand with fictionalizing the historical matter _such as the discovery of America or piracy in the seventeenth century in the Caribbean and the Mediterranean seas_ which makes it possible for the author to create adventure. This adventure is experienced by the heroes as a search for identity that leads them, through the crossing of countless spaces, to their promised land; whichgives them potent human depth.

Page generated in 0.0582 seconds