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Rapport de stage au cabinet des estampes de la Bibliothèque royale de BelgiqueChagny, Pierre Boelen, Chantal. January 2004 (has links) (PDF)
Rapport de stage diplôme de conservateur des bibliothèques : Bibliothéconomie : Villeurbanne, ENSSIB : 2004.
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Apokalypseillustration des 12. Jahrhunderts und weibliche Frömmigkeit : die Handschriften Brüssel, Bibliothèque Royale Albert 1er, Ms. 3089 und Oxford, Bodleian Library, Ms. Bodl. 352 /Polaczek, Barbara. January 1900 (has links)
Texte remanié de: Diss.--Regensburg, 1997. / Bibliogr. p. 144-167.
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Marie de Bourgogne et le Grand Héritage : l’iconographie princière face aux défis d'un pouvoir en transition (1477-1530) / Mary of Burgundy and the Great Heritage : princely iconography facing the challenges of power in transitionKaraskova, Olga 21 March 2014 (has links)
Marie de Bourgogne (1457–1482), fille unique de Charles le Téméraire et de ce fait « la plus grande héritière qui fust de son temps », a jusqu’ici attiré assez peu d’attention de la part des spécialistes du XVe siècle. Une figure ambiguë, dont l’image oscille entre deux concepts opposés : une duchesse faible et inexpérimentée, qui ne joua qu'un rôle de pion dans la grande partie diplomatique entre l’Empire et la France, – ou bien une princesse résolue et indépendante qui savait ce qu'elle voulait et réussit à imposer sa volonté, Marie reste généralement dans l'ombre de ses proches parents. Il semble bien que cette attitude envers la duchesse est surtout le fait de la politique de ses descendants et successeurs, qui employaient son image dans leurs propres intérêts. Désireux de légitimer la transition du pouvoir de la Maison de Valois à celle des Habsbourg, ils ont opté pour la représentation de Marie comme héritière de Bourgogne, dame noble et pieuse dévouée à son mari et à sa famille, et non comme une femme de pouvoir. Cette image de la princesse semble être si puissante que souvent les historiens furent amenés à croire que l’œuvre politique sous le règne de Marie était principalement l'affaire de son époux. Ils concentrèrent alors leur attention sur Maximilien, le faisant ainsi – volontairement ou non – le héros principal de l'épopée bourguignonne pendant les années de crise qui ont suivi la mort du Téméraire. Or la réalité fut plus complexe. Jamais réellement retirée de la vie politique, ne cessant de voyager à travers ses pays afin d'assurer et affirmer l'omniprésence de l'autorité ducale, suivant de près les affaires politiques, Marie prit aussi un soin tout particulier à la création et la promotion de son image. La jeune duchesse qui, dès son accès inattendu au pouvoir en janvier 1477, dut affronter les attaques et les intrigues de Louis XI ainsi que les émeutes de ses sujets, fut de toute évidence parfaitement consciente, non seulement d’être la dernière héritière de la glorieuse maison de Bourgogne-Valois, mais encore d’être en position de faiblesse de par sa condition de femme. Elle chercha alors des réponses adéquates à ses défis – réponses militaires et diplomatiques ainsi qu’« iconographiques ». Ses ambitions, de souligner les liens dynastiques, d’appuyer la légitimité de sa succession et de son pouvoir suo jure, d’affirmer ses droits aux pays bourguignons, ainsi que d’asseoir son autorité sur les sujets indociles, ont influencé considérablement sa conséquente politique de représentation. Une étude de cette politique, fondée sur le regroupement inédit d’œuvres littéraires, historiographiques et iconographiques, et leur analyse, nous permettra d’abord de souligner la construction et l’évolution symbolique de l’image de Marie de Bourgogne en tant que femme régnante, mais aussi de reconsidérer une période de l’histoire de l’État bourguignon, celle de la transmission du pouvoir de la maison de Valois de Bourgogne à la dynastie des Habsbourg. / Mary of Burgundy (1457-1482) as ruler seems to be rather a non sequitur topic for a study as her short reign – sandwiched between those more important of her belligerent father, Charles the Bold, and her imposing spouse, Maximilian of Austria – is often marginalized by researchers. A somewhat ambiguous figure, whose image hovers somewhere in the space limited by two opposing concepts – an inexperienced and weak duchess, a mere pawn in the great political game played between France and the Holy Roman Empire, and a self-determined young princess who knew what she wanted and managed to dictate her will, praised by her biographers, Mary still remains generally in the shade of her nearest kinsmen despite the abundant publications concerning the Duchy of Burgundy.This attitude towards Mary was mainly formed by the politics of her successors and descendants, who employed her image in their own interests; eager to legitimize the transition of power from the House of Valois to that of the Habsburgs, they opted for the representation of Mary as the heiress of Burgundy, a noble and pious lady devoted to her family, and not as an independent sovereign. This image of “Mary the Rich” appears to be so powerful that often historians focus their attention primarily on Maximilian, thus – involuntarily or not – making him the main hero of the Burgundian epic of the crisis years. The real situation was, however, more complex. Never in fact retired from political life, never ceasing to travel across her lands in order to ensure and state the ubiquity of ducal authority, Mary was taking great care in creating and promoting her image, sending out to her contemporaries easily recognizable signs communicating her strong sense of who she was and how she wished to be seen. Recollected and examined with closer attention, these symbolic messages could depict a different image of this “lady of the country”, who was “revered and feared more than her husband”, according to the omniscient Philippe de Commynes, and reveal the clear political and cultural intentions she wanted to convey. Based on a number of important works of literature, history and iconography associated with the duchess as well as on various accounts on her, provided either by her contemporaries or – in a certain manner – by herself, principally through performing highly symbolic acts or through artistic commissions, the present research aims thus to reassess the person and the actual role of Mary of Burgundy in the history of the Burgundian state.
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Le sens des déplacements dans l'exercice du pouvoir au Moyen-âge : le cas de Frédéric Barberousse selon les écrits d'Otton de Freising et de son continuateur, RahewinLemelin, David-Alexandre 24 April 2018 (has links)
Ce mémoire se penche sur les dynamiques inhérentes aux déplacements dans l’exercice du pouvoir au Moyen-âge en prenant pour exemple le cas de Frédéric Barberousse, empereur du Saint-Empire de 1152 à 1190. En se basant sur la source qu’est la Gesta Friderici I Imperatoris, écrite par Otton de Freising et son continuateur, Rahewin, le but de cette étude est d’exposer la manière dont les déplacements s’ancraient dans l’exercice du pouvoir. Nous débutons avec un survol historique mettant en place la situation précédant l’arrivée au pouvoir de Barberousse, de même qu’une exposition de l’évolution du pouvoir et des institutions reliées à son exercice en Germanie et dans l’Empire. Ensuite, au fil des écrits d’Otton de Freising et de Rahewin, nous voyons que le souverain se devait de se déplacer afin d’à la fois s’enraciner dans la tradition de la royauté germanique itinérante tout en se rapprochant des notions judiciaires et juridiques nouvelles au XIIe siècle. Ainsi, son règne se trouvait au centre d’une redéfinition du pouvoir dans l’Empire, en opposition directe avec la papauté. L’ouvrage étudié, qui était en fait un outil de la propagation de l’idéologie impériale des Hohenstaufen, permet ainsi de mieux comprendre la nécessité des voyages de l’empereur dans l’exercice de ses fonctions, tout en représentant le souverain comme le seul détenteur du pouvoir chrétien suprême. / This memoir examines the dynamics inherent to the movements in the exercise of power in the Middle Ages, taking as example the case of Frederick Barbarossa, emperor of the Holy Roman Empire from 1152 to 1190. By studying the Gesta Friderici I Imperatoris as the main source of this paper, the goal of this text is to expose the ways in which movements and travels were anchoring parts in the exercise of power. The first part consists in a brief historical overview establishing the situation of the Empire before Barbarossa’s coronation, as well as an exhibition of the evolution of power and institutions linked to its exercise in the Empire. Afterwards, through the writings of Otto of Freising and Rahewin, we see that the sovereign had to travel his lands in order to both be rooted in the tradition of the German itinerant kingship, while also striving towards the new legal concepts of the XIIth century. Thus, Frederick’s reign was at the center of a redefinition of power in the Empire, in direct opposition to the papacy. The studied book, which was actually a tool aiming to spread the imperial ideology of the Hohenstaufen dynasty, gives the reader a better understanding of the needs for the emperor’s journeys in the exercise of his functions, while also representing the monarch as the only holder of the supreme Christian power.
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Livre politique et politique du livre : l’influence de l’actualité française des guerres de religion sur l’utilisation du livre comme instrument politique en Angleterre entre 1570 et 1610 / The influence of the French religious wars on the use of the book as a political tool in England, between 1570 and 1610Daniel, Marie-Céline 07 November 2009 (has links)
Ce travail s’intéresse à la façon dont l’actualité française des guerres de religion a eu une influence sur la manière dont les autorités anglaises ont pris conscience du pouvoir de l’imprimé entre 1570 et 1610. À partir d’un corpus rassemblant des textes polémiques publiés en France et traduits puis diffusés en Angleterre, l’étude examine la prise en main par la Couronne d’Angleterre de l’utilisation du livre imprimé comme instrument d’action politique à part entière. Après une difficile phase d’apprentissage pendant la décennie 1570, le pouvoir anglais s’empare du livre pour combattre les Jésuites venus de France et promouvoir Henri de Navarre comme héros protestant. Cependant, la conversion du roi met un terme à l’engouement des Anglais pour la geste huguenote, tout en permettant au livre imprimé d’investir le champ des études historiques. L’accession de Jacques Stuart au trône d’Angleterre et l’expérience acquise pendant les trente années précédentes permettent aux libraires anglais, en concurrence avec le monarque, de diffuser les écrits royaux sur l’île mais aussi dans toute l’Europe. / This work studies how the French events of the religious wars have had an influence over the way in which the English authorities became aware of the power of the printed book between 1570 and 1610. It focuses on a corpus composed of polemical texts published in France, then translated and scattered in England. It shows how the English Crown gradually learnt to use the printed book as a political instrument. After a first period during which the authorities strove to master the polemical printed text, they made use of it in order to fight against the Jesuits coming from France as well as to promote the king of Navarre as a Protestant hero. Yet, Henri IV’s recantation put an end to the English passion for Huguenot victories, even though they remained interested in French history books. James Stuart’s coming to the throne in 1603, along with their experience of the previous thirty years, enabled English printers to compete with the new king for the spreading of royal treatises, in England as well as in Europe.
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"Sies mijn vlien, mijn jaghen" : over vorm en inhoud van een corpus Middelnederlandse spreukachtige hoofse lyriek : Lund, UB, Mh 55 en Brussel, KB, Ms.IV 209/II /Hemmes-Hoogstadt, Antoinette Cornelia, January 2005 (has links)
Proefschrift--Rijksuniversiteit te Utrecht, 2005. / Mention parallèle de titre ou de responsabilité : "Sies mijn vlien, mijn jaghen" ["She is what I flee, what I pursue"] : on form and content of a corpus of Middle Dutch pseudo-proverbial courtly love lyrics : Lund, UB, Mh 55 and Brussels, KB, Ms.IV 209/II (with a summary in English). Mention parallèle de titre ou de responsabilité : zu Form und Inhalt eines Korpus mittelniederländischer spruchhafter höfischer Lyrik. Bibliogr. p. 314-310.
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The vignettes in the Book of the Dead of Neferrenpet /Milde, H. January 1900 (has links)
Texte remanié de: Doct. diss.--University of Amsterdam, 1988.
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The Effects of Organization-Oriented Perfectionism on Turnover Intentions, Counterproductive Work Behaviors, and Prosocial Behaviors in the WorkplaceHardy, Eleanor G. 21 July 2020 (has links)
No description available.
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La Hongrie et les Pays Bas méridionaux durant la guerre de Succession d'Espagne : les ambitions de la diplomatie française / The Southern Netherlands and Hungary during the War of the Spanish Succession : the ambitions of the French diplomacyMaurin, Olivier 09 December 2016 (has links)
Au début du XVIIIe siècle, la Hongrie et les Pays-Bas méridionaux sont l’objet de la convoitise de la diplomatie française. Ces provinces périphériques de l’Empire habsbourgeois s’opposent aux politiques de centralisation menées par Madrid et Vienne. Afin de réaliser ses ambitions dynastiques, Louis XIV utilise ce contexte pour déstabiliser ces territoires dans le cadre d’une guerre de Succession d’Espagne engendrée par le décès de Charles II d’Espagne, le premier novembre 1700. Le Roi-Soleil mobilise ses armées et ses diplomates, dans la continuité des alliances de revers forgées lors des siècles précédents. Le marquis des Alleurs et le président Pierre Rouillé de Marbeuf, agents de Louis XIV, mi-espions, mi-ambassadeurs, sont respectivement envoyés en Hongrie auprès du prince hongrois rebelle François Rakóczi et aux Pays-Bas méridionaux aux côtés du gouverneur général de la province et maître de l’Électorat de Bavière, Maximilien-Emmanuel de Wittelsbach. Loin du fracas des champs de bataille de la guerre de Succession d’Espagne, une guerre de l’ombre se fait plus dure. La quête du renseignement devient la préoccupation croissante des cours européennes. La confidentialité des correspondances épistolaires est l’objet de toutes les attentions. Cette étude a l’ambition de retracer le cadre des ambitions françaises en Hongrie et aux Pays-Bas méridionaux au début du XVIIIe siècle. Les alliances de revers et les manœuvres militaires de la guerre de Succession d’Espagne replacent ces deux pays d’Europe au cœur des luttes dynastiques, diplomatiques, et militaires opposant les Bourbons et les Habsbourg pour la domination de l’Europe. / At the beginning of the 18th century, Hungary and the Southern Netherlands are coveted by the French diplomacy. Those peripheral provinces of The Habsburg Empire oppose the centralization policy lead by Madrid and Vienna. In order to realize his dynastic ambitions, Louis XIV uses this context to destabilize these territories during the War of the Spanish Succession triggered by the death of the last Habsburg King of Spain, Charles II, the first November 1700. Louis XIV mobilizes his army and his ambassadors in the continuity of the foreign alliances « Alliance de revers » that have been conducted during centuries. The marquis des Alleurs and the president Pierre Rouillé de Marbeuf, agents of Louis XIV, half spy, half ambassadors, are respectively send in Hungary nearby the rebel prince François Rakoczi and in the Southern Netherlands nearby the general governor of the province and Elector of Bavaria, Maximilien-Emmanuel de Wittelsbach. Far from the din of the battlefield of the Spanish Succession, another war hardens. The battle for information’s became the first preoccupation of European courts. The confidentiality of the epistolary correspondences is a crucial object of attention. The purpose of this study is to define the framework of the French ambitions in Hungary and the Southern Netherlands at the beginning of the 18th century. The « alliance de revers » and military moves during the War of the Spanish Succession replace those two European countries at the heart of dynastic, diplomatic and military conflicts opposing the Bourbon’s and the Habsburg’s for European hegemony.
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I Ragionamenti de Giorgio Vasari ou l’édifice de la Mémoire / Giorgio Vasari's Ragionamenti or the edifice of memoryManucci, Carole 18 December 2014 (has links)
Giorgio Vasari naît le 30 juillet 1511 ; il s'éteint le 27 juin 1574. À la fin de l'année 1554, il entre au service de Cosme Ier de Médicis, duc de Florence, et se voit rapidement confier la responsabilité des travaux de transformation du Palais de la Seigneurie en Palais Ducal. L'artiste livre les clefs de lecture du cycle pictural déployé sur les plafonds et les murs du célèbre monument florentin, connu sous le nom de Palazzo Vecchio, dans une oeuvre peu étudiée : Ragionamenti del Sig. Cavaliere Giorgio Vasari, pittore et architetto aretino, sopra le invenzioni da lui dipinte in Firenze nel Palazzo di loro Altezze Serenissime. Rédigé entre 1558 et 1567, mais publié à titre posthume seulement en 1588, ce texte met en scène Giorgio Vasari et le prince François Ier de Médicis, fils aîné de Cosme Ier et d'Éléonore de Tolède. Sous une plume ekphrastique, au sein de laquelle le mot et l'image s'unissent, l'artiste compose un dialogue distribué sur trois journées et conduit dans trois lieux emblématiques du palais : le Quartier des Éléments, le Quartier de Léon X et la Salle des Cinquecento. L'intérêt de cet ouvrage réside dans les différents niveaux de lecture comme dans les différents "dialogues" qu'il suppose. Si la réécriture de certains épisodes mythologiques, mis en relation directe avec l'histoire de la dynastie médicéenne, participe du dessein officiel de l'oeuvre, à savoir la glorification ducale, le mythe prélude, en raison de son appartenance à un univers ésotérique, à une lecture dérobée du texte vasarien qui, au-delà de servir le règne médicéen, révèle une aura mémorielle nous invitant à appréhender I Ragionamenti de Giorgio Vasari comme un édifice de la Mémoire. / Giorgio Vasari was born on 30 July 1511 ; he died on 27 June 1574. At the end of 1554, he starts to be on the service of Cosimo I de' Medici, the Duke of Florence and he quickly sees himself entrusted with the transformation works of the seigneurial palace into a ducal one. The artist delivers the reading guides of the pictorial cycle deployed on the ceilings and the walls of the famous Florentine monument known as Palazzo Vecchio, in Ragionamenti del Sig. Cavaliere Giorgio Vasari, pittore e architetto aretino, sopra le invenzioni da lui dipinte in Firenze nel Palazzo di loro Altezze Serenissime, a little-known and little-studied work. Written between 1558 and 1567, but only posthumous published in 1588, this text stages Giorgio Vasari and Prince Francesco I de' Medici, the elder son of Cosimo I and Eleonora di Toledo. Under a descriptive hand, in which the word and the image unite, the artist composes a dialogue spread over three days and lead in three emblematic places of the palace: the Elements Area, the Leo X Quarter and the Cinquecento Room. The interest of this work lies in the different reading levels as in the different "dialogues" that it means to suggest. If the rewriting of some mythological episodes, directly viewed in relation to the history of the Medici dysnasty, contributes to the official aim of the work - namely the ducal glorification - the myth preludes, owing to its belonging to an esoteric world, a hidden reading of the Vasarian text that, beyond serving the Medici reign, reveals a memory aura inviting us to comprehend Giorgio Vasari's Ragionamenti as an edifice of Memory.
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