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Les Médecins aliénistes, les psychopédagogues et la déficience mentale à la fin du XIXe siècle étude du service des enfants idiots de Bicêtre.Gateaux, Jacqueline, January 1986 (has links)
Th.--Anthropol. de l'éduc.--Paris 5, 1986.
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Le Grotesque contemporain : une catégorie de l’émotion dans l’art / Contemporary Grotesque : A Category Of Emotion In ArtLee, Jae-Geol 12 October 2012 (has links)
Le mot grotesque est mal défini ; il recouvre, comme nom et adjectif, des réalités très disparates. Aussi, comment peut-il être utilisé pour désigner un système cohérent de représentation ? Quel est le point commun à toutes les formes du grotesque ?Dans un premier temps, il s’agit de présenter un panorama des références nécessaires à une description synthétique des motifs du grotesque. Deux analyses se sont particulièrement révélées stimulantes dans le processus : celles de Wolfgang Kayser et Mikhaïl Bakhtine. Analyses qui ne datent que d’environ un demi-siècle et reposent sur un corpus littéraire (respectivement Kafka et Rabelais). Puis il sera question des tenants et aboutissants du grotesque en fonction des contraintes et possibilités des différents mediums de l’art contemporain. Ainsi, dans quelle mesure les outils critiques de la littérature peuvent-ils être féconds pour la compréhension de ces formes plastiques ?Dans un second temps, il apparaît que le corps humain et ses acceptions sociale, culturelle, psychologique, ait pris une place prépondérante dans la production plastique du XXe siècle en ce sens que le support se fait documentaire. En quoi cette politique du corps s’est-elle structurée à un moment ou un autre sur le motif du grotesque ?Ensuite, il s’agit de produire une typologie des manifestations du grotesque et des réactions qu’elles suscitent. Dans quelle mesure ces émotions ont-elles leur part dans une compréhension de l’individu en tant que tel et de son mode de vie, des rapports de pouvoir et des aspirations qui les traversent ?Enfin, le grotesque semble se perdre dans les tentatives de définition, notamment en fournissant des modèles esthétiques hétéroclites. Comment serait-il possible toutefois de solidifier ses expressions en des formes théorisées distinctes ? Ainsi une théorie des formes du grotesque, aussi disparates qu’elles puissent être, et en évolution permanente, pourrait bien être un outil incontournable pour une appréhension sensible de l’art contemporain et ainsi peut-être s’en approprier les motifs. / The word grotesque has never been accurately defined. As a noun and an adjective, it covers disparate concepts. Therefore how could it be used to designate a coherent representational system? What is the common point between all the forms of the grotesque?Firstly we’ll present a comprehensive overview of the references necessary to the description of grotesque patterns. In this process, two analysis have been particularly stimulating : those of w k and m b. These analysis are less than fifty years and are respectively based on Kafka and Rabelais’ body of literature.We’ll then talk about the ins and outs of the grotesque depending on both the possibilities and the constraints of contemporary artistic mediums. We’ll also explain how literary critical tools can help understand the art forms of the grotesque. Secondly we’ll see how the human body - as well as its social, cultural and psychological acceptions - have become predominant in the artistic production of the 20th century. How have these acceptions sooner or later edified a conceptual body around the notion of grotesque ?Thirdly we’ll try and produce a typology of the manifestations of the grotesque as well as a typology of the reactions it has generated. To what extent have these emotions played a part in the understanding of the human being and its lifestyle? Finally we’ll see how the grotesque tends to loose its meaning when we attempt to define it. It is especially the case when those attempts try to provide aesthetic benchmarks. However, could it be possible to consolidate those analysis and turn them into several distinctive theories?The forms of the grotesque are diverse, disparate and in constant evolution. However a theory of these forms is a tool not only indispensable to the comprehension of contemporary art but also necessary to the understanding of its patterns.
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La dynamique du ravissement dans les écritures dramatiques contemporaines / Dynamic of rapture in contemporary playsGascuel, Adèle 20 March 2018 (has links)
À travers l’analyse d’une quinzaine de pièces issues du répertoire contemporain (1991-2017), cette étude vise à penser la dynamique du ravissement à l’œuvre dans les écritures dramatiques pour rendre compte d’un réel catastrophique. Plutôt que déplier des situations par le biais d’outils de distanciation critiques, elles opèrent un mouvement qui suspend le sens des gestes des protagonistes, ravit la possibilité de leur compréhension pour mieux enchanter le réel. L’échappée s’opère par le négatif pour faire surgir l’espoir à partir du désespoir. Ce mouvement paradoxal qui fait de la défaite la brèche par laquelle inquiéter la tyrannie de la réalité peut se penser comme passage d’une situation de sidération à une fascination qui dessine une ligne de fuite vers un point d’utopie. Le ravissement, à partir notamment de la pensée de Maurice Blanchot, Georges Didi-Huberman et Roland Barthes, peut être conçu comme échappée d’un réel insaisissable qui fait de l’ignorance le site d’une réinvention du réel par le poétique. Dans les œuvres de Marguerite Duras et Didier-Georges Gabily, la ravissante opère une suspension de toute herméneutique et de toute résolution dramatique. Dans les œuvres d’Ivana Sajko, Dorothée Zumstein, Claudine Galea et Marie Ndiaye, la fascination implique une mise en crise du sujet fasciné. Dans une deuxième partie est explorée l’échappée du réel à partir du négatif. Les œuvres de Sarah Kane servent d’appui pour penser la tension vers un centre utopique, puis l’étude est étendue à des pièces du répertoire français contemporain, de Samuel Gallet, Magali Mougel, Lancelot Hamelin, Mariette Navarro et Philippe Malone. / Through the analysis of about fifteen contemporary plays (1991-2017), this thesis opens a reflexion on the dynamic of rapture in dramatic plays and how it reflects a catastrophic reality. Rather than developing dramatic situations by critical and distancing means, they procede in a movement that suspends the meaning of the gestures of the characters, and rapts the possibility of their comprehension to better enchant reality. Escape is depicted in a negative way to let merge hope from despair. This paradoxal movement transforms defeat into a breach through which the tyranny of reality is troubled, and is raised from a situation of sideration to one of fascination, thus pointing towards utopia. The notion of rapture is based in particular on the works of Maurice Blanchot, Georges Didi-Huberman and Roland Barthes. It can be seen as an escape from an elusive reality that transforms ignorance into the site of a reinvention of reality by poetic means. In the works of Marguerite Duras and Didier-Georges Gabily, the ravishing figure suspends hermeneutics and dramatic resolution. This study is extended to plays by Ivana Sajko, Dorothée Zumstein, Claudine Galea and Marie Ndiaye where fascination implies a situation of crisis for the fascinated subject. The second part is an exploration of how negativity can lead to escaping from reality. Sarah Kane plays are a support to consider the tension towards an utopic centre, and the study is developed to contemporary french plays by Samuel Gallet, Magali Mougel, Lancelot Hamelin, Mariette Navarro and Philippe Malone.
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De l'idiot au fou dédoublé : recherches sur les interprétations de la folie dans l'art actuel russe / From the Idiot to the Dualized Madman : research about Interpretations of Madness in Russian Contemporary ArtCazaux, Alice 19 June 2015 (has links)
Ce travail propose une lecture de la création artistique russe actuelle – 1990-2010 – au regard de l’histoire qu’elle entretient avec la folie grâce à l’analyse de personnages qui émaillent son paysage culturel. Que ces derniers soient jugés fous – fols-en-Christ ou jurodivye, artistes romantiques, dissidents internés en Union soviétique – ou qu’il s’agisse de figures traditionnelles d'idiots – Ivan le simple, le prince Mychkine de Dostoïevski –, un pont sera créé qui reliera ces archétypes et certaines pratiques de l’extrême contemporain, allant jusqu’à la prière-punk des Pussy Riot. Cette étude porte sur le concept d’une idiotie comme posture artistique permettant à l’artiste de se faire le médiateur d’une vérité – politique, religieuse ou sociale. Avançant masqué, il révèle ainsi les glissements sémantiques opérés entre les notions de « folie » et de « norme », en parallèle des rapports qu’entretiennent « art » et « politique ». L’histoire de la folie en Russie sera par ailleurs abordée à travers diverses formes d’envol – compris d’un point de vue métaphysique comme un escapisme de la raison. La littérature servira de socle à une première analyse de la figure romantique de l’artiste maudit à la raison vacillante, celle-ci ensuite mise à mal par les créateurs postmodernes qui déconstruisent aussi bien le mythe du saint idiot que celui du génie artistique, par l’incarnation d’un créateur sot reproduisant des formes sans en saisir le sens. Certains en appellent de surcroît, directement ou non, à la figure ancestrale du jurodivyj afin d’élaborer des postures critiques, parfois scandaleuses, envers les pouvoirs politique et religieux. Considérant les réactions virulentes que peuvent susciter les pratiques actuelles, et grâce à l’étude d’œuvres problématiques représentatives, les causes de leur rejet deviendront explicites. Il sera ainsi permis d’envisager ces créations, paraissant en rupture avec l’ordre établi, dans leur ancrage au sein d’une tradition historique et littéraire de la folie. / This work proposes an interpretation of the current Russian artistic creation – 1990-2010 – with regard to his links with history of madness, through the analysis of characters that punctuate Russian cultural landscape. The latter characters are deemed insane – holly fools, Romantic artists, dissidents interned in the Soviet Union - or whether are traditional idiots figures - Ivan the fool, Dostoevsky’s Prince Myshkin. A bridge will be created linking these archetypes and certain contemporary practices, up to Pussy Riot’s punk prayer. This study focuses on the concept of idiocy as an artistic position which allows the artist to become a mediator of a political, religious or social truth. The creator, moving forward hidden, reveals semantic shifts made by the concepts of "madness" and "norm", in parallel with relations held between "art" and "politics." The history of madness in Russia will also be depicted through various forms of soaring - understood in a metaphysical point of view as an escapism of reason. Literature will be used as a base for a first analysis of the romantic image of the damned artist with flickering reason. This picture will then be undermined by postmodern creators who both deconstruct the myths of the holy fool and the artistic genius, by their incarnation of a stupid creator reproducing forms without understanding their meaning. Moreover, some of them require, directly or not, to the ancestral figure of the holly fool to develop critical postures, sometimes scandalous, against political and religious powers. Considering the violent reaction that can generate the current artistic practices, and through the study of representative problematic works, the causes of their rejection shall become explicit. This will make it possible to consider these creations – apparently breaking with the established order – in their anchor within a historical and literary tradition of madness.
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Rimbaud, Laforgue. Une poétique de la folie / Rimbaud, Laforgue. A Poetics of MadnessLejosne-Guigon, Renaud 08 December 2017 (has links)
Cette thèse examine l’œuvre poétique de Rimbaud et de Laforgue du point de vue de la catégorie de « folie ». La notion de folie a très souvent été mobilisée dans la première réception de tout un pan de la poésie écrite dans le dernier tiers du XIXe siècle, pour étiqueter des textes considérés comme illisibles. À tel point qu’avec ses corollaires d’époques (manie, névrose, dégénérescence, hystérie), elle est devenue un véritable paradigme de lecture du texte poétique. La folie est envisagée ici non pas seulement dans sa définition médicale, mais aussi comme objet hybride, construit par une multiplicité de discours et de pratiques. On commence par une archéologie de ce discours médicalisant qui pathologise la poésie, pour montrer ensuite que la « folie » constitue bien une catégorie valide pour l’appréhension de la poésie rimbaldienne et laforguienne, mais qu’elle nécessite pour cela une théorisation nouvelle, indépendante de toute considération biographique ou psychologique. Part essentielle de l’écriture, la folie chez Laforgue, Rimbaud et leurs contemporains n’est plus la folie romantique – qui s’articulait aux catégories du grotesque ou du magisme inspiré. La folie poétique se fait méthode, « raisonné dérèglement » selon la formule paradoxale de Rimbaud, et traverse, en tant qu’expérience-limite, tout le trajet lyrique. En même temps, elle devient immanente aux corps, et au corps du texte. La folie romantique s’est immanentisée et textualisée. Poétique de la folie désigne ici un fait littéral, la manière dont le texte se trouve altéré par la folie, et réciproquement la manière dont en tant que poème ce même texte reconfigure la langue et la lecture, devenant par là un autre nom de la « folie » comme intempestivité, invention de catégories nouvelles, illisible devenant lisible. La folie ne désigne plus alors une pathologie, mais la force d’évènement de l’écriture même. Chez Laforgue et Rimbaud, cette dimension de bouleversement se déploie particulièrement dans trois champs : comme expérience radicale, la folie opère une altération et une aliénation du sujet ; comme effet rhétorique, elle entraîne un trouble généralisé de la syntaxe et du sens ; en tant que contre-discours et résistance à l’ordre établi (hystérie, idiotie, fureur) enfin, elle possède en elle-même une dimension politique, par laquelle elle s’articule à l’histoire comme événementialité. / This dissertation looks at the poetic works of Rimbaud and Laforgue from the point of view of “madness”. The category served as a label that was often applied by contemporary readers, including medics, to a corpus of poetry they considered to be illegible. Madness and its then quasi synonyms – mania, neurosis, degeneracy or hysteria – thus became no less than a general paradigm for reading poetry. We conceive of madness here not as a mere medical concept, but as a hybrid object, one that is constructed through multiple discourses and practices. The thesis first takes an archaeological look at this medicalisation of the reception of poetry. It then moves on to show that the category of “madness” can indeed be valid when it comes to understanding the lyric of Rimbaud and Laforgue, but needs new theorisation as a concept. Madness should no longer be considered as a biographical or even psychological category, but as pertaining to the text itself. A crucial part of the act of writing both for Rimbaud and for Laforgue, madness at the Fin de siècle had moved away from its definition in French romanticism, which saw it primarily as akin to the category of the grotesque or that of transcendent inspiration. Madness became a paradoxical method for poetry, according to the rimbaudian phrase “raisonné dérèglement” (“reasoned derangement”). As a limit-experience, madness proves to be at the core of a new poetic practice, while becoming immanent to the bodies as well as to the body of the text. Talking about a “poetics of madness,” we therefore conceive of madness as being primarily textual or literal. The poetic text is altered and displaced by madness, and conversely the text itself qua poem transforms the language it is written in and the categories of reading that are applied to it. In that sense, the text is necessarily mad in its essential untimeliness, since it invents the categories in which it can become legible. Madness thus no longer refers to a form of pathology, but rather designates poetic writing itself as a force and an event. Such a disruptive force is studied more particularly in three domains. As a radical experience, madness alters and literally alienates the subject. As a rhetorical effect, it brings about a major trouble within syntax and meaning. As a counter-discourse, finally, and a resistance to social order (in the cases of hysteria, idiocy, or fury), madness has an immediate political dimension to it, which connects it to history qua eventiality.
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L’idiotie du réel : de Clément Rosset à Hong SangsooAlbert, Christine 08 1900 (has links)
Nous nous intéresserons dans ce présent mémoire à l’« idiotie » du réel à partir de deux œuvres, celle du philosophe français Clément Rosset et celle du cinéaste sud-coréen, Hong Sangsoo. Nous poserons comme hypothèse que ces deux auteurs, à travers leurs théorie du réel, qu’elle soit philosophique ou esthétique, arrivent à un constat commun : le réel est « idiot », non pas au sens d’imbécile, mais en son sens premier c’est-à-dire « singulier, sans reflets ni doubles » (Rosset). Pour vérifier cette hypothèse nous procéderons d’abord par la construction d’un cadre théorique réalisé à partir de la définition rossetienne du réel. Ce cadre nous permettra de problématiser à la fois l’utilisation du zoom, la construction narrative, ainsi que les jeux temporels propres aux films de Hong, et ce, à partir de trois films du cinéaste : « Le pouvoir de la province de Kangwon » (1998), « Night and Day » (2007) et « Matins calmes à Séoul » (2011). Enfin il sera question, dans la dernière partie de ce mémoire, d’observer quelles peuvent être les conséquences engendrées par le fait de reconnaître ou non l’idiotie de toute réalité, à la fois dans des termes philosophiques mais également au plan de la prise d’images photographiques ou cinématographiques. / In this master’s thesis we will focus on the idiocy of reality in the work of two authors: Clément Rosset, a French philosopher, and Hong Sangsoo, a South-Korean filmmaker. As a hypothesis we will defend that both Rosset and Hong, through their theory of reality, come to the same conclusion: the reality is “idiot”, not in the sense of stupid, but in its primary meaning, in other words “singular, without any glare or double” (Rosset). To verify this assumption we will first build a theoretical framework based on Clément Rosset’s definition of the “réel”. This theoretical framework will allow us to problematize the use of the zoom, the narrative construction and the temporal games present in three Hong Sangsoo movies that we will analyze: “The Power of Kangwon Province” (1998), “Night and Day” (2007), “The Day He Arrived” (2011). Finally, in the last chapter we will discuss and observe what may be the consequences of recognizing or not the idiocy of any reality, in philosophical terms and for cinematographic creation.
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L’idiotie du réel : de Clément Rosset à Hong SangsooAlbert, Christine 08 1900 (has links)
Nous nous intéresserons dans ce présent mémoire à l’« idiotie » du réel à partir de deux œuvres, celle du philosophe français Clément Rosset et celle du cinéaste sud-coréen, Hong Sangsoo. Nous poserons comme hypothèse que ces deux auteurs, à travers leurs théorie du réel, qu’elle soit philosophique ou esthétique, arrivent à un constat commun : le réel est « idiot », non pas au sens d’imbécile, mais en son sens premier c’est-à-dire « singulier, sans reflets ni doubles » (Rosset). Pour vérifier cette hypothèse nous procéderons d’abord par la construction d’un cadre théorique réalisé à partir de la définition rossetienne du réel. Ce cadre nous permettra de problématiser à la fois l’utilisation du zoom, la construction narrative, ainsi que les jeux temporels propres aux films de Hong, et ce, à partir de trois films du cinéaste : « Le pouvoir de la province de Kangwon » (1998), « Night and Day » (2007) et « Matins calmes à Séoul » (2011). Enfin il sera question, dans la dernière partie de ce mémoire, d’observer quelles peuvent être les conséquences engendrées par le fait de reconnaître ou non l’idiotie de toute réalité, à la fois dans des termes philosophiques mais également au plan de la prise d’images photographiques ou cinématographiques. / In this master’s thesis we will focus on the idiocy of reality in the work of two authors: Clément Rosset, a French philosopher, and Hong Sangsoo, a South-Korean filmmaker. As a hypothesis we will defend that both Rosset and Hong, through their theory of reality, come to the same conclusion: the reality is “idiot”, not in the sense of stupid, but in its primary meaning, in other words “singular, without any glare or double” (Rosset). To verify this assumption we will first build a theoretical framework based on Clément Rosset’s definition of the “réel”. This theoretical framework will allow us to problematize the use of the zoom, the narrative construction and the temporal games present in three Hong Sangsoo movies that we will analyze: “The Power of Kangwon Province” (1998), “Night and Day” (2007), “The Day He Arrived” (2011). Finally, in the last chapter we will discuss and observe what may be the consequences of recognizing or not the idiocy of any reality, in philosophical terms and for cinematographic creation.
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