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Facteurs de risque individuels et relationnels de l'insatisfaction par rapport à l'image corporelle à l'adolescence

Stan, Simina Nicoleta January 2008 (has links)
Mémoire numérisé par la Division de la gestion de documents et des archives de l'Université de Montréal.
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NUTRITIONAL FACTORS IN ASTHMA / FACTEURS NUTRITIONNELS DANS L‘ASTHME

Bédard, Annabelle 30 January 2015 (has links)
L’objectif principal de la thèse était de comprendre le rôle complexe des facteurs nutritionnels dans l’asthme, avec une première partie portant sur l’alimentation et une seconde sur l’obésité. Alimentation – L’objectif était de comparer les typologies alimentaires obtenues par une analyse en composantes principales (ACP) à celles identifiées par une analyse factorielle confirmatoire (AFC) grâce aux données de l’étude E3N (étude épidémiologique auprès des femmes de la MGEN, 30589 femmes). En utilisant les ACP et les AFC, 3 typologies alimentaires ont été identifiées. Selon la méthode, des corrélations différentes étaient observées entre les typologies alimentaires et les groupes d’aliments, conduisant à des associations différentes avec les caractéristiques socio-économiques et l’incidence de l’asthme chez l’adulte. Obésité – Le premier objectif était de comprendre les rôles conjoints et indépendants, dépendants du temps, de l’activité physique et l’obésité sur l’asthme en utilisant des modèles marginaux structuraux chez 15352 femmes d’E3N. L’obésité était liée de façon causale à l’asthme actuel avec symptômes, indépendamment de l’activité physique. Le second objectif était de considérer le rôle modificateur du surpoids dans l’association entre l’exposition domestique aux sprays de nettoyage et l’asthme chez 304 femmes d’E3N. Parmi les femmes sans traitement anti-inflammatoire, le rôle délétère de l’utilisation de sprays sur l’asthme était plus fort chez les femmes en surpoids. L’AFC devrait être utilisée pour l’identification des typologies alimentaires en épidémiologie nutritionnelle. L’obésité pourrait causer de l’asthme indépendamment de l’activité physique, et pourrait augmenter l’effet délétère d’autres facteurs environnementaux de l’asthme. / The general aim of the thesis was to assess the complex role of nutritional factors in asthma, with a first part focused on diet, and a second part focused on obesity. Diet – The objective was to compare dietary patterns based on principal component analysis (PCA) to patterns based on confirmatory factor analysis (CFA). The analysis was performed among 30,589 women from the E3N study (epidemiological cohort study among women of the Mutuelle Générale de l’Education Nationale). Whether PCA or CFA was used, 3 patterns were derived. For each pattern, we reported different correlations between food groups and dietary patterns when using PCA or CFA, leading to different associations between dietary patterns with socio-economic characteristics and adult-onset asthma. Obesity – The first objective was to assess the joint and independent, time-dependent, roles of physical activity and obesity on asthma using marginal structural models. Among 15,352 women from E3N, analyses showed that obesity was related causally to current asthma with symptoms independently of physical activity, whereas no association was reported for physical activity. The second objective was to assess the modifying role of overweight in the association between domestic exposure to cleaning sprays and current asthma. Among 304 women from E3N, analysis showed that among women without anti-inflammatory therapy, the effect of spray use on asthma was higher in overweight women. CFA should be considered for the assessment of dietary patterns in nutritional epidemiology. Obesity may lead to asthma independently of physical activity, and may increase the deleterious effect of other environmental factors of asthma.
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Facteurs de risque individuels et relationnels de l'insatisfaction par rapport à l'image corporelle à l'adolescence

Stan, Simina Nicoleta January 2008 (has links)
Mémoire numérisé par la Division de la gestion de documents et des archives de l'Université de Montréal
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Analyse causale de facteurs anthropométriques, biochimiques, alimentaires et comportementaux sur les caroténoïdes plasmatiques d'une population âgée

Leclerc, Bernard-Simon January 2002 (has links)
Mémoire numérisé par la Direction des bibliothèques de l'Université de Montréal.
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L'excès de poids chez les enfants québécois

Dumitru, Valeriu 05 1900 (has links)
Objectifs : Analyser l’évolution de l’embonpoint chez les enfants québécois entre 4 et 8 ans et évaluer le rôle des différents facteurs de risque sur l’excès de poids persistant. Les données proviennent de l’étude longitudinale du développement des enfants du Québec (ÉLDEQ, 1998-2010). Cette enquête est réalisée par l’Institut de la statistique du Québec auprès d’une cohorte de 2120 nourrissons québécois nés en 1998, faisant l’objet d’un suivi annuel à partir de l’âge de 5 mois. Méthodes d’analyse : univariées, bivariées, modélisation semi-paramétrique, analyses de régressions logistique et log-linéaire (Poisson). Principaux résultats : i) L’excès de poids persistant chez les enfants âgés de 4 à 8 ans est un phénomène fluctuant, qui ne varie pas de façon significative selon le sexe ; ii) Le fait d’allaiter les enfants ne semble pas avoir un effet protecteur en ce qui concerne l’excès de poids ; iii) En ce qui concerne le poids à la naissance, les données dont on dispose ne nous permettent pas de tirer des conclusions ; iv) Le fait d’avoir une santé moins qu’excellente à la naissance semble augmenter le risque d’avoir un excès de poids persistant ; v)Ce qui influence surtout, c’est de toujours manger trop ou trop vite, ou le fait de vivre dans une famille avec un ou deux parents qui font de l’embonpoint ; vi) Les mères qui ont fume pendant leur grossesse présentent une probabilité plus élevée d’avoir des enfants avec un excès de poids persistant que celles qui n’ont pas fumé. / Objectives: Analysis of trends of overweight among children in Quebec between 4 and 8 years and evaluation of the role of various risk factors of persistent excess weight. Data: based on the Québec Longitudinal Study of Child Development (QLSCD 1998-2010). This survey is being conducted by the Institut de la statistique du Québec with a cohort of 2120 children born in Québec in 1998, being followed annually from the age of 5 months. Methods of analysis: univariate, bivariate, semi-parametric modeling, logistic and loglinear (Poisson) regression analysis. Main results: i) The persistent excess weight in children aged 4 to 8 years is a fluctuating phenomenon, which does not vary significantly by sex; ii) The act of breastfeeding children does not seem to have a protective effect with regard to children being overweight; iii) Regarding the birth weight, the available data do not allow us to draw any conclusion; iv) Having a less than excellent health at birth appears to increase the risk of persistently being overweight; v) Primary influences are always eating too much or too fast, or living in a family with one or two parents who are overweight; vi) Mothers who smoked during pregnancy are more likely to have children who are overweight than those who did not smoke.
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Facteurs de risque des cancers de la cavité orale : Analyse des données d'un étude cas-témoins en population, l'étude ICARE.

Pervilhac, Loredana 26 February 2013 (has links) (PDF)
Le cancer de la cavité orale représente un problème important de santé publique en France où les taux d'incidence sont parmi les plus élevés au monde. Bien qu'une détection précoce soit possible, ces tumeurs sont souvent diagnostiquées à un stade avancé et sont ainsi responsables de plus de 1500 décès par an. L'objectif général est de clarifier le rôle et l'impact des différents facteurs de risque dans la survenue des cancers de la cavité orale en France, notamment d'examiner de façon détaillée le rôle du tabac et de l'alcool par localisation anatomique précise, et d'étudier les associations avec d'autres facteurs de risque potentiels (indice de masse corporelle, antécédents médicaux, antécédents familiaux de cancer, consommations de café et de thé). Ce travail s'appuie sur les données d'une large étude cas-témoins en population générale, l'étude ICARE. Il porte sur un sous-ensemble de ces sujets (772 cas de cancer de la cavité orale et 3555 témoins). Les résultats montrent que le tabac augmente le risque de cancer de la cavité orale même pour des quantités et/ou durées faibles, alors que l'augmentation de risque liée à l'alcool n'est observée que pour de fortes consommations. L'effet conjoint du tabac et de l'alcool est plus que multiplicatif. Les associations avec les consommations d'alcool et de tabac varient selon la sous localisation : les associations les plus fortes sont observées pour le plancher buccal, les plus faibles pour les gencives. L'étude des autres facteurs de risque a mis en évidence : une association inverse entre risque de cancer de la cavité orale et indice de masse corporelle, avec un risque plus faible chez les personnes en surpoids ou obèses ; un risque augmenté lorsqu'un parent du 1er degré a été atteint d'un cancer des voies aéro-digestives supérieures ; un risque élevé chez les personnes présentant des antécédents de candidose buccale ; un risque diminué chez les consommateurs de thé ou de café. A partir de ces premiers résultats, il est envisagé de construire un score prédictif de cancer de la cavité orale permettant d'identifier les sujets à risque élevé sur lesquels cibler préférentiellement les actions de dépistage.
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L'excès de poids chez les enfants québécois

Dumitru, Valeriu 05 1900 (has links)
No description available.
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Association entre la maltraitance vécue à l’enfance et l’indice de masse corporelle : l’impact chez des adultes ayant des maladies chroniques

St-Arnaud, Vicki 12 1900 (has links)
Les expériences de maltraitance vécues à l’enfance ont été associées à une morbidité physique et psychologique, dont un plus grand risque de développer des maladies cardiovasculaires (MCV). Ceci pourrait être expliqué par les effets de la maltraitance sur la régulation émotionnelle et l’indice de masse corporelle (IMC). Objectifs : Évaluer si (1) la maltraitance est associée à un IMC plus élevé au départ et à une augmentation plus importante de l'IMC 5 ans plus tard chez les adultes plus âgés souffrants de maladie coronarienne (MAC) ou d'autres maladies chroniques; (2) le sexe et/ou le statut coronarien influencent ces résultats; et (3) les symptômes d'anxiété, de dépression et de stress perçu (comme indices de dérégulation émotionnelle) expliquent l'association entre la maltraitance et l’IMC au suivi. Participants et méthodes : 1232 hommes et femmes (âgés de 60,86 ± 6,95 ans) ont rempli des questionnaires validés sur la maltraitance et les symptômes de détresse psychologique. Le poids en kilogrammes et la taille du participant ont été recueillis. L'IMC du participant a été calculé en utilisant le rapport poids (kg)/taille (m2). Résultats : La maltraitance n'était pas associée à l'IMC au départ ni lors du suivi. Cette relation n'était pas modérée par le sexe ou le statut de MAC. La maltraitance dans l'enfance était associée à une détresse psychologique significativement plus importante au départ (tous les p < ,001), mais ces derniers n'expliquaient pas cette relation au suivi. Conclusion : La maltraitance n'était pas associée à l'IMC au départ ni à l'IMC cinq ans plus tard. La dysrégulation émotionnelle résultant de la détresse psychologique a été associée à un risque accru de morbidité et de mortalité et peut représenter une cible importante pour la prévention et l'intervention, y compris en ce qui concerne la promotion d'habitudes de vie plus saines chez des personnes ayant vécu de la maltraitance. / Objectives: Childhood trauma has been associated with greater psychological and physical morbidity, including a greater risk of developing coronary artery disease (CAD). Mechanisms leading to increased risk of illness may involve emotional dysregulation and increased body mass index (BMI). This study evaluated whether (1) childhood maltreatment is associated with higher BMI at baseline and with greater increases in BMI 5 years later among older adults with CAD or other chronic illnesses; (2) sex and/or CAD status influence these results; and (3) symptoms of anxiety, depression, and perceived stress (as indicators of emotional dysregulation) mediate the association between childhood maltreatment and BMI at 5-year follow-up. Participants and Methods: A total of 1232 men and women (aged 60.86 [6.95] years) completed validated questionnaires on childhood maltreatment and symptoms of psychological distress. Weight in kilograms and height were collected for each participant, and their BMI was calculated using the ratio of weight (kg)/height (m2).Findings: Childhood maltreatment was not associated with BMI at baseline nor at follow-up. This relation was not moderated by sex nor CAD status. Childhood maltreatment was associated with significantly greater psychological distress at baseline (all ps<.001), though the latter was not found to mediate this relation at follow-up. Conclusion: Childhood maltreatment was not associated with BMI at baseline nor with BMI five years later. Emotional dysregulation resulting from psychological distress has been associated with increased risk for morbidity and mortality and may represent an important target for prevention and intervention, including as concerns promoting healthier lifestyle habits. However, further studies are needed.
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Différences ethniques et saisonnières du statut en vitamine D chez les étudiants au Québec : une étude de cohorte

Finken, Laura Roseline 19 April 2018 (has links)
Une faible exposition au soleil est un des facteurs importants de la déficience en vitamine D dont la prévalence est élevée dans les pays à hautes latitudes et chez les personnes de race noire. Les concentrations sériques de vitamine D et les facteurs pouvant influencer celles-ci ont été mesurés à trois reprises (automne 2010, hiver et été 2011) dans un échantillon de sujets volontaires résidant dans la ville de Québec. Soixante-cinq sujets dont 29 africains et 36 québécois ont complété l’étude. Le statut de vitamine D a varié au cours des saisons. Il était particulièrement sous-optimal chez les sujets africains. Les concentrations de vitamine D étaient significativement associées à la race, à l'indice de masse corporelle (IMC) et aux saisons. Le faible statut en vitamine D des sujets résidents à Québec et particulièrement celui des ressortissants africains est un problème de santé publique préoccupant qui devrait être exploré davantage. / Lack of sun exposure is a major risk factor of vitamin D deficiency, which is more pronounced in countries of high latitudes and in black people. Serum concentrations of vitamin D, intrinsic and extrinsic factors, which may influence vitamin D status, were measured 3 times (fall 2010, winter and summer 2011) in a sample of volunteer students living in Quebec City. A total of 65 participants including 29 Africans students and 36 Quebecers students completed the study. Vitamin D concentrations changed over the seasons. They are particularly low among African participants. Vitamin D concentrations were significantly correlated with race, body mass index (BMI), and seasons. The low vitamin D status of students in Quebec City and particularly among Africans students is a public health concern that should be explored further.
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Différence dans la qualité de l’alimentation en relation au risque d’excès de poids chez des populations autochtones canadiennes

Morou, Karimou 12 1900 (has links)
L‘obésité constitue un problème de santé publique au Canada, particulièrement chez les populations autochtones où les prévalences les plus élevées ont été rapportées. D’après les écrits recensés, plusieurs méthodes ont été essayées pour étudier la relation entre l’alimentation et l’obésité, mais les résultats sont inconstants. Le but de cette thèse est d’identifier, en termes quantitatif et qualitatif, les différences dans l’alimentation des obèses et non-obèses. Pour y parvenir, nous avons développé une nouvelle méthode à l’aide d’une banque de données portant sur les enfants Mohawk de Kahnawake afin d’identifier les différences dans les choix alimentaires. Cette même méthode a été ensuite appliquée à deux autres banques de données (celle des adultes cris de la Baie James et celle des autochtones de l’enquête ESCC 2.2). Globalement, les résultats n’ont pas montré de différences significatives dans l’alimentation des participants selon les catégories d’IMC en considérant les indicateurs reliés à la quantité et à la qualité de l’alimentation comme l’apport énergétique total, l’apport énergétique en provenance des lipides, les fibres alimentaires, la densité énergétique et la diversité alimentaire. Par contre, les résultats de la nouvelle méthode fondée sur la sélection des items alimentaires fréquemment consommés par au moins 10 % des participants ont révélé que les enfants de Kahnawake à risque d’excès de poids consommaient plus fréquemment de croustilles (p=0.001) et moins fréquemment de craquelins que les enfants avec excès de poids ou ceux ayant un poids normal (p=0.015). Ensuite, en prenant la catégorie de poids normal comme référence, le rapport de côte (Odds ratio : OR) d’être à risque d’excès de poids était de 2.16 (95 % IC : 1.14 - 4.09) fois plus élevé chez les enfants de Kahnawake qui consommaient plus fréquemment de croustilles comparativement aux non-consommateurs de croustilles, et ce, après ajustement pour l’âge. Par contre, le rapport de côte d’être à risque d’excès de poids diminuait de 79 % (OR = 0.21; 95 % IC : 0.06 – 0.72) chez les enfants consommateurs de craquelins comparativement à leurs homologues non-consommateurs. Après avoir corrigé les quantités pour l’âge, on note que les enfants avec excès de poids consommaient plus de frites que les enfants à risque d’excès de poids ou ceux ayant un poids normal (p = 0.027). Chez les femmes cries, les résultats de la nouvelle méthode ont montré que le colorant à café était associé à un risque élevé d’obésité (OR = 4.64, 95 % IC : 1.04 - 0.54); alors que le lait faible en matières grasses était associé à un moindre risque d’embonpoint (OR = 0.38, 95 % IC : 0.17 - 0.82), après ajustement pour l’âge. Quant aux hommes cris, le lait entier était associé à un moindre risque d’avoir de l’embonpoint (OR ajusté pour l’âge = 0.38, 95 % IC : 0.20 - 0.71) et, en termes de quantité corrigée pour l’âge, les hommes obèses buvaient plus de boissons sucrées aux fruits comparativement aux hommes de poids normal ou ceux ayant de l’embonpoint (p=0.015). Selon les résultats de cette méthode appliquée aux données de l’enquête ESCC 2.2, les garçons à risque d’excès de poids ou avec excès de poids consommaient moins fréquemment de pain blanc que ceux de poids normal (p=0.048). En termes de quantité toutefois, ils consommaient plus de pain blanc (p=0.040), utilisaient plus de farine de blé (p=0.006) et de levure (p=0.002). Après avoir ajusté les quantités consommées pour l’âge et l’indice d’activité physique, les femmes avec embonpoint ou obèses utilisaient plus de farine de blé (p< 0.001) que leurs homologues de poids normal. Chez les hommes, il n'y avait pas de différences ni dans les fréquences de consommation ni dans les quantités consommées. Concernant les filles, leurs apports alimentaires n'étaient pas valides (facteur d'activité de Goldberg < 1.2 dans la catégorie embonpoint / obèse). Les résultats de cette méthode innovatrice pourraient d’une part, permettre d’axer la sensibilisation sur des aliments particuliers en plus des recommandations générales du Guide Alimentaire Canadien. D’autre part, ils nous renvoient aux données biologiques de laboratoire afin d’identifier les composantes des items susceptibles de contribuer au développement de l’obésité. / Obesity is a public health problem in Canada, particularly among Aboriginal populations where the highest prevalences have been reported. In the literature, several methods have been tried to study the relationship between diet and obesity, but results are inconsistent. The objective of this thesis is to identify differences in selected dimensions of diet quality and quantity across body mass index (BMI) categories for Aboriginal children and adults in Canada. To achieve this goal, we developed a new method by using data from Mohawk children in Kahnawake. The same method was then applied to two other datasets (James Bay Cree adults and off-reserve adults and children from CCHS 2.2). Overall, in each dataset, the results showed no differences in the diets of participants considering indicators such as energy intake, percent fat, fiber intake, energy density and dietary diversity. On the contrary, using the new method based on the most-frequently consumed food items by at least 10% of participants, we found that Mohawk children “at risk of overweight” consume potato chips more frequently (p=0.001) and crackers less frequently (p = 0.015), compared to normal-weight or overweight children. Compared to normal-weight, and after adjusting for age, Mohawk children who consumed more frequently chips increased their probability of being at risk of overweight (Odds ratio : OR = 2.16, 95 % CI : 1.14 - 4.09), while those who consumed crackers more frequently decreased their risk (OR = 0.21; 95 % CI : 0.06 – 0.72). In terms of quantity, and after adjusting for age, overweight children consumed larger portions of french fries (p = 0.027).Among the Cree women (compared to normal-weight, and after adjusting for age), we found out that nondairy creamer was associated to increase risk of being obese (OR = 4.64, 95 % CI : 1.04 - 20.54) while low-fat milk was associated to lower risk of overweight (OR = 0.38, 95 % CI : 0.17 - 0.82). Among Cree men, (after adjusting for age), whole milk was associated to a high risk of the men being overweight (OR = 0.38, 95 % CI : 0.20 - 0.71). Finally, in terms of quantity (after adjusting for age), obese men drank more sweetened fruit drinks compared to men of normal weight or those with overweight (p = 0.015). In the third dataset CCHS2.2, results of the new method show that boys at “risk of overweight” or overweight consumed white bread less frequently (p = 0,048) but in greater quantity when they do so (p = 0,040). They also used more flour (p = 0.006) and yeast (p = 0.002). After adjusting the quantities consumed for age and physical activity, women with overweight or obese used more flour (p < 0.001) than those of normal weight. No differences were found in terms of frequency and quantity for men. The data were not analysed for girls since their Goldberg activity factor was less than 1.2 with greater body weight. The results of this new method could, on one hand, allow us to focus awareness on foods in addition to general recommendations of the Canadian Food Guide. On the other hand, they refer us back to laboratory data to identify components of items that may contribute to the development of obesity.

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