• Refine Query
  • Source
  • Publication year
  • to
  • Language
  • 3
  • 2
  • Tagged with
  • 6
  • 6
  • 6
  • 3
  • 2
  • 2
  • 2
  • 2
  • 1
  • 1
  • 1
  • 1
  • 1
  • 1
  • 1
  • About
  • The Global ETD Search service is a free service for researchers to find electronic theses and dissertations. This service is provided by the Networked Digital Library of Theses and Dissertations.
    Our metadata is collected from universities around the world. If you manage a university/consortium/country archive and want to be added, details can be found on the NDLTD website.
1

L’agriculture de la région beyrouthine au prisme des terres waqf (Liban) : une géographie foncière des logiques agricoles / Agriculture of Beirut in the light of waqf lands (Lebanon) : a land geography of agricultural logic

Lteif, Carine 28 June 2019 (has links)
Dans les pays méditerranéens, l’agriculture en lien avec la ville connait des dynamiques variées, entre déclin et renouveau. Au Liban, les espaces agricoles sont de faible étendue, et limités par un relief escarpé. Le pays souffre également de politiques faibles d’aménagement qui n’accordent pas d’importance à l’agriculture urbaine. Pourtant, des formes agricoles persistent en ville. Dans cette thèse nous lisons l’agriculture en lien avec la ville au prisme d’un droit spécifique au monde arabe, le waqf. Nous partons d’une hypothèse qui voit sur les propriétés dotées d’un waqf une possibilité de maintien ou même de développement de l’agriculture de la région beyrouthine. Adoptant une approche multiscalaire, nous examinons l’agriculture sur le waqf au niveau de sites mais également d’exploitations agricoles, et dressons une géographie foncière des logiques agricoles observables dans la région beyrouthine.Selon nos résultats, les waqf sont assez présents dans l’agglomération beyrouthine. Les waqf agricoles présentent une meilleure résistance face à l’urbanisation -que les terres privées- lorsqu’ils sont associés à des couvents situés dans le périurbain de Beyrouth. Si l’objectif du waqf est l’immobilisation de biens dont les revenus doivent servir des actions pieuses, il en existe différents types au Liban : familial, caritatif, mais aussi religieux chez les chrétiens dont les revenus servent à soutenir les serviteurs de l’Eglise et l’accomplissement d’actes religieux. Quant à leur acquisition, la recherche a permis de distinguer deux discours : celui de religieux qui parlent surtout de waqf achetés, et le second, celui de laïcs, qui lient les acquisitions à d’anciens dons de terres. La gestion de waqf communautaires, majoritaires dans la zone d’étude, diffère selon les confessions religieuses présentes au Liban : elle est centralisée chez les grecs-orthodoxes, les sunnites et les catholiques dans le cas des waqf d’églises, et décentralisée chez les chiites et les catholiques lorsqu’il s’agit de waqf de couvents. Si la location et le métayage agricoles sont possibles sur le waqf, ils sont régis par des contrats s’étalant sur 3, 6, 9 ans chez les catholiques et variant selon le projet agricole chez les orthodoxes, ce qui confère une plus grande sécurité foncière aux exploitations agricoles que celle procurée par les terres privées louées (contrats annuels). Sur le waqf diverses formes agricoles se déploient : maraîchage, arboriculture, élevage et transformation (faire-valoir direct par des religieux), mais aussi des cultures hydroponiques, des pépinières et des cultures spéciales (faire-valoir indirect), alors que sur les terres privées nous retrouvons du maraîchage et de plus en plus de pépinières. Les logiques agricoles identifiées montrent un regain agricole sur les waqf empruntant des trajectoires différentes et entretenant des liens divers à la ville.Finalement, les waqf, malgré leur vocation sociale, n’apparaissent pas comme des communs, ni comme des propriétés privées. Ils sont plutôt mus par des logiques communautaires qui leur sont propres. / In the Mediterranean countries, agriculture linked to city knows various dynamics, between renewal and decline. In Lebanon, agriculture extends over small surface areas and is limited by steep terrain. Moreover, the country suffers from weak planning policies that do not address its agriculture, especially that found in urban contexts. Yet, agriculture persists in the city. In this thesis, we explore agriculture linked to the city in the light of a right that is specific to the Arab region, the waqf. We depart from the following hypothesis: waqf properties allow to maintain, if not to develop, agriculture related to the city. Adopting a multiscale approach, we examine agriculture on waqf at the level of sites, as well as production units, and draw a geography, rather a land geography based on agricultural actors’ logic or logiques agricoles in french.According to our results, waqf lands are quite present in the Beirut region. Agricultural waqf are more resilient- than private lands- to urbanization, especially when found on convent sites located in the peri-urban area of Beirut. If the objective underlying the constitution of a waqf is the immobilization of goods for usages generating revenues for pious actions, still we can distinguish different types of waqf: family, charitable but also religious waqf, especially Christian religious waqf, whose income is used to support the servants of the Church and the fulfillment of religious actions. Management of community waqf, abundant in the study area, differs among religious communities: it is centralized among Greek-orthodox, Sunnis and Catholics in the case of church waqf, and decentralized among Shiites and Catholics in the case of convent waqf. If agricultural leasing and sharecropping are possible on waqf lands, they are ruled by contracts extending over 3, 6, 9 years among Catholics, and varying according to the agricultural project among the Orthodox, which grants a greater land security than which found on private lands (annually renewed contracts). Various agricultural forms can be found on waqf: market gardening, fruit trees, breeding and processing (direct tenure by clergymen) but also hydroponics, nurseries and special crops (indirect tenure of lands, leasing), whereas on private lands we find market gardening and more and more nurseries. Identified agricultural logics show a revival of agriculture on waqf lands borrowing different trajectories and maintaining various links to the city.Finally, the waqf, despite their social vocation, do not appear as commons nor as private properties. They are rather driven by their own communitarian logic.
2

Se convertir à l’islam en France aujourd’hui : entre cheminements individuels et appartenances communautaires / Conversions to islam in France today : personal approaches and community belonging

Laakili, Myriam 21 February 2017 (has links)
Devenir musulman en France c’est rejoindre un groupe de croyants dont le terme usuel de « communauté » peine à décrire la fragmentation et le caractère diversifié. Comme pour tout converti, celui qui rejoint l’islam se trouve soumis à un conflit de loyauté et de légitimation. Mais cela prend dans l’objet qui nous occupe une ampleur particulière en raison de l’imagerie négative fréquemment associée à l’islam et de l’âpreté des débats qu’il suscite : à la trahison des origines s’ajoute celle des valeurs et des idéaux. Les récents événements de l’actualité, en particulier ceux liés à la montée en puissance depuis quelques années du djihadisme militarisé représenté par Daesh, dont les effets se font sentir jusqu’en France, saturent l’espace des médias et placent le converti en posture particulièrement délicate (Roy, 2016). Notre recherche propose une approche de la conversion religieuse en termes de processus, en analysant les trajectoires de vie des convertis, en définissant un « avant » et un « après », afin de rendre visible l’articulation complexe entre les convertis et leur environnement, entre l’intime et l’institutionnel. Nous décrivons un cheminement qui mène à la conversion, en tentant d’appréhender l’initiation à l’islam par le converti, mais aussi l’apprentissage des pratiques religieuses et sociales qui aboutissent à la publicisation du choix. D’autre part, nous analysons la construction d’une appartenance à la communauté d’accueil via un mode de socialisation qui prend des formes différentes, en lien avec le groupe religieux choisi ; enfin, nous étudions la rhétorique des convertis destinée à affirmer la légitimité de leur conversion. / Becoming a Muslim in France means joining a group of believers usually designated by the term “community” which struggles to describe its often fragmentary and diverse nature. The convert himself has to confront to these contradictions: he is exposed to the representations of a community supposedly homogeneous and to the preconceptions built through ‘‘common sense”, but also with the objective and plural reality unveiled. Like any kind of converts, those who join Islam are subject to a conflict of loyalty and legitimacy. The recent events, especially those related to the rise in recent years of the militarized jihadism represented by Daesh, which effects have reached as far as France, have constantly been under public and mediatic attention and place the convert in a position of uneasiness (Roy, 2016). The conversion to Islam is thus an object of study and debate often passionate and crossed by contradictions. Our research argues an approach of religious conversion in terms of processes, analyzing the life trajectories of converts, defining a "before" and an "after" in order to make visible the complex articulation between the converts and their environment, between the private and the public sphere. We describe a quest that leads to conversion, trying to grasp the initiation to Islam by the convert, but also the initiation to the religious and social practices that turn their choice into facts. On another hand, we analyze how a convert ends up belonging to the community through different modes of socialization, in connection with the chosen religious group. Finally, we study the rhetoric of the converts which aims at strengthening the legitimacy of the act of conversion.
3

Construction de l'identité islamique : l'apprentissage religieux au sein des institutions religieuses et de la famille

Boursin, Marie-Laure 08 March 2012 (has links)
Dans un contexte européen minoritaire et un cadre de séparation des Églises et de l'État, les institutions islamiques, mosquée et école coranique, sont des agents de transmission religieuse précieux. Pour appréhender ce cadre institutionnel spécifique, les contextes historiques et sociopolitiques des terrains français (loi 1905 et historicité de l'immigration maghrébine) et bulgare (conquête ottomane et régime communiste) sont examinés au regard de l'offre d'instruction religieuse institutionnelle. Mais l'organisation de l'apprentissage religieux institutionnel ne se réalise qu'en interaction avec l'environnement familial. L'inculcation de savoirs dogmatiques, pratiques et de l'éthique réalisée par des dispositifs mimétiques et des stratégies d'incitation, permet de pouvoir socialement dire et faire le croire. L'usage des registres du corps et des émotions comme mode d'expression de la construction d'une relation à Dieu permet au croyant d'exprimer socialement et de manière personnelle le croire, au-delà d'un savoir dogmatique. Le croire se construit comme un parcours où la construction du soi passe à la construction pour soi. Les fluctuations du croire qui interviennent dans ce parcours relèvent de la projection du soi. Cette étude des processus d'apprentissage permet de faire ressortir l'articulation entre dogme, pratiques et éthique comme se répondant en permanence et se manifestant socialement comme des savoirs : savoir-faire, savoir-dire et savoir-ressentir acquis au quotidien. Les notions telles que la pratique religieuse et le croire sont interrogées et le concept d'apprentissage examiné. Ce thème constitue aussi une anthropologie de l'enfance encore peu exploitée. / The main Islamic institutions Mosques and Koranic schools serve as valuable transmission mechanisms in a context where Islam is a minority religion in Europe and church and state have in any case grown apart. In order to understand this institutional framework, the historical and socio-political contexts of both France and Bulgaria are examined with respect to the institutional religious education 'offering'. But institutional religious learning is achieved only in interaction with the family environment. The inculcation of dogmatic and practical skills, and of an ethical framework which allows believers, socially, to speak of and demonstrate their faith through mimetic devices and incitement strategies. The use of body and emotion as a medium for the expression of the relationship constructed with God, to express socially and personally the faith, extends beyond purely dogmatic knowledge. Faith becomes a pathway, whereby self-construction gives way to a construction for oneself. Along this pathway, fluctuations in the degree of belief are a function of self-projection. The study of these learning processes reveals the connection between dogma, practice and ethics, all of which interact continuously and which, socially, manifest themselves as 'skills': speaking, doing and feeling skills, that are acquired through everyday life.This research brings to light the processes by which the Islamic faith is constructed socially. It also explains how Islamic beliefs come to be internalised and expressed. The study examines notions such as religious practice and faith. This narrative also represents an anthropology of childhood that has not yet received much academic attention.
4

Devenir minorité : une monographie des institutions de la communauté chiite iranienne de Montréal

Shahsavar Zadeh, Elham 07 1900 (has links)
No description available.
5

Les exemptions de taxes foncières des institutions religieuses

Charland, Marisol 04 1900 (has links)
La taxation a toujours été un enjeu d’envergure pour notre société. Dès le début du XVIII siècle, les institutions religieuses se réclamaient d’une exemption de taxes en contrepartie des nombreux services sociaux qu’elles rendaient. Basée sur des principes d’équité, l’imposition d’une taxe permet de défrayer les dépenses communes de notre société. Introduite localement autour des années 1876, la fiscalité municipale a toujours reconnu que les biens de l’État ne pouvaient être l’objet d’une quelconque taxation puisque bénéficiant à tous. De la même manière, les biens des institutions religieuses ont également eu le même privilège depuis le début de l’imposition de la taxe ou presque. Cet historique n’est pas sans explication! En effet, nos Églises participaient activement au développement de la société par le biais de services tant sociaux (aide aux plus démunis, santé, registre de l’état civil, etc.) qu’éducationnels (écoles, enseignements religieux…). Qu’en est-il aujourd’hui? Est-il toujours pertinent de maintenir ces exemptions alors que l’État a pris en main l’éducation, la santé, etc. Alors que les églises catholiques sont cédées, une à une, aux municipalités faute de financement et de disciples, que notre gouvernement québécois tend vers une neutralité pour faire place à un pluralisme religieux grandissant, que nos municipalités cherchent de nouvelles sources de financement, pourquoi conserver ce régime d’exemptions qui semble aller à l’encontre de toutes les tendances de la société? C’est précisément ce que nous étudierons dans ce mémoire. En résumé, l’objet de ce mémoire est d’identifier l’origine de ces exemptions de taxes foncières municipales et d’analyser de manière objective l’évolution juridique de celles-ci. Le tout, pour comprendre les motifs qui soutiennent leur maintien, encore aujourd’hui, dans le but de déterminer leur pertinence ou non lors d’une nouvelle législation. Ainsi, la première partie met donc en contexte l’exemption foncière pour les institutions religieuses au Québec. Elle traite d’abord de la relation entre l’État et la religion, puis présente les principaux impacts fiscaux du régime d’exemption de taxes foncières sur les municipalités. La seconde partie, quant à elle, établit le cadre juridique entourant ce régime. Elle aborde le régime fiscal applicable aux exemptions de taxes foncières, en s’attardant principalement aux articles relatifs aux institutions religieuses et aux presbytères. Ensuite, elle présente des motifs au soutien du maintien ou non du régime d’exemption. Et puis, la troisième partie propose des pistes de solution pour faire évoluer juridiquement ces exemptions dans le respect des attentes de notre société québécoise. Pour finalement, conclure sur une unique destinée de celles-ci. / Taxation has always been a major issue for our society. By the early eighteenth century, religious institutions claimed a tax exemption in exchange for the many social services they rendered. Based on principles of equity, the imposition of a tax makes it possible to defray the common expenses of our society. Introduced locally in the 1876, municipal taxation has always recognized that state property could not be the subject of any taxation since benefiting all. In the same way, the property of religious institutions has also had the same privilege since the beginning of the imposition of the tax or almost. This history is not without explanation! Indeed, our churches were actively involved in the development of society through both social services (assistance to the poor, health, registry of civil status, etc.) and educational (schools, religious teachings ...). What about today? Is it still relevant to maintain these exemptions while the state has taken over education, health, etc.? While Catholic churches are handed over one by one to municipalities for lack of funding and disciples, that our Quebec government is moving towards neutrality to make room for growing religious pluralism, that our municipalities are looking for new sources of funding, why keep this system of exemptions that seems to go against all trends in society? This is precisely what we will study in this memoir. In summary, the purpose of this brief is to identify the source of these exemptions from municipal property taxes and to analyze objectively their legal evolution. All, to understand the reasons that support their maintenance, even today, in order to determine their relevance or not in a new legislation. Thus, the first part puts into context the land exemption for religious institutions in Quebec. It first covers the relationship between the state and religion, then presents the main tax impacts of the property tax exemption system on municipalities. The second part establishes the legal framework surrounding this scheme. It discusses the tax regime applicable to property tax exemptions, focusing mainly on articles relating to religious institutions and presbyteries. Then, it presents reasons in support of whether or not to maintain the exemption scheme. And then, the third part proposes possible solutions to legally evolve these exemptions in accordance with the expectations of our Quebec society. Finally, to conclude on a unique destiny of these.
6

Construire la parole des dieux : les rites mantiques et leurs agents dans les grands sanctuaires oraculaires du monde grec aux époques hellénistique et romaine

Lesgourgues, Manfred 10 1900 (has links)
Co-tutelle avec l'Université Paris-Nanterre / La pratique de la divination en Grèce ancienne est un phénomène bien connu du grand public, qui l’associe au personnage emblématique de la Pythie de Delphes. Inspirée par Apollon, cette prophétesse délivrait ses oracles en répondant aux questions que lui posaient les fidèles et l’on trouve dans de nombreux textes anciens le déroulement des consultations du dieu résumé sous la forme de deux affirmations complémentaires : « le fidèle a demandé » et « le dieu a répondu ». Pourtant, on ne saurait réduire la pratique divinatoire qui prenait place dans les sanctuaires oraculaires à un tête-à-tête entre deux personnes. Loin de se limiter à un agent inspiré, le personnel sacerdotal des sanctuaires oraculaires était nombreux et se trouvait mobilisé dans des rites complexes pour permettre de mettre en communication le monde des hommes avec celui des dieux. C’est à la diversité de ces agents et à la manière dont leurs interactions permettaient qu’advienne la parole divine qu’est consacré ce travail. Dans une première partie, sont étudiés les agents qui participaient aux rites mantiques des sept sanctuaires oraculaires les mieux attestés du monde grec aux époques hellénistique et romaine : celui de Zeus à Dodone, d’Apollon à Didymes, Claros et Delphes, celui de Trophonios à Lébadée, d’Amphiaraos à Oropos et de Glykon à Abonoteichos. Chaque sanctuaire est l’objet d’un chapitre dans lequel sont considérés, un à un, tous les agents, humains ou non, qui prenaient part au rituel afin de reconstituer les rites d’interrogation du dieu dans leur spécificité. Dans un second temps, cette pratique est pensée de manière transversale comme une pratique institutionnelle qui mobilisait des acteurs distincts à trois niveaux différents : celui de la cérémonie, du rituel et de l’échange verbal. / Divination in ancient Greece is a well-known phenomenon, often associated with the emblematic character of the delphic Pythia. Inspired by Apollo, this prophetess delivered her oracles by answering the questions asked to her, and in many ancient texts the oracular consultations are summarized in the form of two complementary statements: "a man asked" and "The god has answered". However, the practices that took place in the oracular sanctuaries can’t be reduced to a tête-à-tête. Far from being limited to an inspired agent, the priestly staff of the oracular sanctuaries was numerous and took part in complex rites to enable the world of men to be put in communication with the gods. This work studies the diversity of these agents and the way in which their interactions allowed the divine word to come out. In the first part, we study the agents who participated in the rites of the seven oracular sanctuaries best attested in the Greek world in the Hellenistic and Roman times: the shrine of Zeus in Dodona, Apollo in Didyma, Claros and Delphi, Trophonios in Lebadeia, Amphiaraos in Oropos and Glykon in Abonoteichos. Each sanctuary is the subject of a chapter in which all the agents, human or not, who took part in the ritual are taken into consideration, in order to reconstitute the rites of questioning the god in their specificity. In a second part, this practice is thought more broadly as an institutional process who associated distinct actors at three different levels: the ceremony, the rite and the verbal exchange.

Page generated in 0.0959 seconds