Spelling suggestions: "subject:"intimidation"" "subject:"intimidations""
11 |
An exploratory study of intimidation of adolescents using the lifestyle/exposure model of personal victimization /Wong, Kun-woon, David. January 1992 (has links)
Thesis (M. Soc. Sc.)--University of Hong Kong, 1992.
|
12 |
An exploratory study of intimidation of adolescents using the lifestyle/exposure model of personal victimizationWong, Kun-woon, David. January 1992 (has links)
Thesis (M.Soc.Sc.)--University of Hong Kong, 1992. / Also available in print.
|
13 |
An exploratory study of intimidation of adolescents using the lifestyle/exposure model of personal victimizationWong, Kun-woon, David., 黃根垣. January 1992 (has links)
published_or_final_version / Sociology / Master / Master of Social Sciences
|
14 |
Traitement de l'information sociale et statuts dans le bullying chez les adolescents / Social information-Processing mechanisms and bullying status among adolescentsHuré, Kathleen 04 July 2014 (has links)
Le bullying est un comportement agressif insidieux caractérisé par : sa répétitivité, sa dissymétrie et son intentionnalité, dans lequel on identifie quatre statuts pour chaque individu : agresseur, victime, agresseur/victime, neutre. Si de nombreuses recherches se sont intéressées aux conséquences psychopathologiques du bullying sur les victimes, peu d‟études ont été consacrées aux différences de fonctionnement psychologique des adolescents selon leur statut. Notre recherche se réfère au modèle du traitement de l‟information sociale de Crick et Dodge (1994). Celui-Ci stipule l‟existence de six étapes de traitement en interaction avec des processus centraux tels que la régulation des émotions et la gestion des compétences sociales. Deux expériences ont été conduites. Dans le cadre d‟un entretien individuel et semi-Directif, 717 collégiens ont répondu à différents questionnaires concernant le bullying et le traitement de l‟information sociale. Dans les deux recherches nous avons procédé à des analyses statistiques. Les principaux résultats révèlent l'existence de profils de traitement de l‟information différentiels propres à chaque statut / Bullying is an insidiously aggressive behavior characterized by repetitiveness, asymmetry (a bully dominating his victim) and intent to do harm (Olweus, 1993). Any individual concerned will fall into one of four categories: bully, victim, bully/victim or not involved. If numerous researchers have taken an interest in the psychopathological impact of bullying on its victims, there have been few studies devoted to the differences in the psychology of adolescents depending on their status in bullying. Our research refers to the theoretical pattern of Crick and Dodge (1994) to process social information. They contend the information will be processed in six stages in interaction with the central nervous system which involves the regulation of emotions and the command of social skills. We have carried out two experiments. In the course of semi-Structured individual interviews, seven hundred and seventeen (717) secondary school students answered different sets of questions about bullying and social information processing mechanisms. In both studies we have performed statistical analyses. The main results show different types of information processing depending on the status in bullying
|
15 |
Entre le marteau et l'enclume : l'expérience des parents de garçons non normatifs dans leur expression de genreSusset, Françoise January 2015 (has links)
Les garçons prépubères qui manifestent une masculinité non normative sont fréquemment ostracisés dès un jeune âge, aussi bien par leurs pairs que par les adultes responsables de leur développement. Contrairement à d’autres enfants provenant de groupes minoritaires, ils ne bénéficient pas systématiquement de la protection de leurs parents qui, eux-mêmes, vivent fréquemment un sentiment de marginalisation. La recherche nous informe que ces parents effectuent des pressions parfois abusives afin d’influencer les comportements non normatifs de leur fils dans la direction d’une plus grande conformité. Le manque de soutien, qui s’ajoute à la pression à se conformer, a des conséquences négatives sur la santé mentale du jeune. Si les parents se tournent vers les professionnels de la santé, la controverse qui marque ce domaine d’étude tend à contribuer à la confusion ressentie. Cette étude qualitative avec analyse par théorisation ancrée a pour but de donner la parole aux parents afin de mieux comprendre leur expérience. Plus précisément, l'auteure cherche à répondre à la question suivante : quel rapport existe-t-il entre l’explication du parent quant à l'expression non normative de masculinité de son enfant, les émotions vécues par rapport à cette différence et les comportements qu’il démontre envers celui-ci? Cinq parents de trois garçons non normatifs dans leur expression de genre ont été interviewés par l'auteure à partir d'une grille d'entrevue semi-dirigée. Bien qu'il s'agisse d'un nombre restreint de participants, l'analyse révèle que tous les parents contactent des sentiments de craintes pour le bien-être, l'épanouissement et la sécurité de leur enfant. Leurs peurs motivent les limites qu'ils peuvent parfois leur imposer, mais aussi le soutien d'un certain nombre de comportements non normatifs, car ils reconnaissent que d'interdire toute expression pourrait davantage vulnérabiliser leur enfant en limitant le développement de leur estime de soi et de leur confiance en eux. L'intervention de professionnels bien renseignés sur ce phénomène sert à rassurer les parents sur l'issue identitaire de leur enfant, à valider l'importance de réfléchir aux lieux où s'exprimeront ces comportements non normatifs et à encourager le soutien d'expressions non normatives chez leur enfant. Les parents évaluent le domicile familial comme étant le lieu le plus sécuritaire pour leur enfant, et l'école, comme le plus dangereux. Assurer la sécurité fondamentale de son fils est la préoccupation première du parent pour l'avenir de son enfant, particulièrement à partir de l'école secondaire. Des recommandations sont proposées afin de rendre les milieux qui accueillent les jeunes plus ouverts à la diversité des expressions de genre.
|
16 |
EXAMINING CRIMINAL JUSTICE PROFESSIONALS’ ATTITUDES AND RESPONSIVENESS TOWARDS INTIMIDATED WITNESSES ON THE LOCAL LEVEL: AN EXPLORATORY ANALYSISMichon, Moon 29 November 2011 (has links)
Abstract EXAMINING CRIMINAL JUSTICE PROFESSIONALS’ ATTITUDES AND RESPONSIVENESS TOWARDS INTIMIDATED WITNESSES ON THE LOCAL LEVEL: AN EXPLORATORY ANALYSIS By Michon J. Moon, Ph.D. A dissertation submitted in partial fulfillment of the requirements for the degree of Doctor of Philosophy at Virginia Commonwealth University. Virginia Commonwealth University, 2011 Major Director: Laura J. Moriarty, Ph. D, Professor and Vice Provost of Academic and Faculty Affairs L. Douglas Wilder School of Government and Public Affairs The study explored criminal justice professionals’ attitudes and responsiveness toward witness intimidation on the local level based on their occupation and region of employment. Intimidated witnesses are vulnerable individuals that have fallen victim to competing social and civic expectations to which neither allow much consideration for the witness’ safety. This problem is evident in that too many local criminal justice agencies have yet to formulate substantive plans and dedicated sufficient resources to effectively address the growing problem of witness intimidation. A total of 59 major crime detectives, 52 prosecutors and 5 executive administrators from two regions of Virginia participated in the study. Major crime detectives and prosecutors were administered an online survey to gage their attitudes about intimidated witness issues and the administrators who are responsible for the allocation of resources and policy mandates for their respective agencies participated in interviews. Overall, 39 percent of prosecutors and 45 percent of detectives indicated that intimidation was more likely to occur in cases involving homicide, rape, aggravated assault, drug activity, gang activity, robbery, and domestic violence. On average 38 percent of detectives and 31 percent of prosecutors agreed that relocation assistance was warranted in circumstances such as, perceived threats, threatening calls, assault on witness, assault of family member, drive-by shootings, vandalism, stalking, domestic violence. Conversely, on average only 18 percent of prosecutors and 22 percent of detectives indicated that their agencies’ would more than likely provide relocation assistance to intimidated witnesses in these same cases. Appended are details of study, methodology, quantitative and qualitative analyses, as well as, demographic characteristics of study participants.
|
17 |
Dynamiques d’intimidation contre la force publique : enjeux pour les policiers et les agents correctionnelsGomez del Prado, Grégory 12 1900 (has links)
Une des caractéristiques fondamentales des policiers et des agents correctionnels est le recours légitime à la coercition pour imposer leur autorité. Cette force publique doit donc, en théorie, avoir le dessus sur toute forme de force privée. Dans l’étude des phénomènes de violence, cette caractéristique rend leur victimisation singulière. À ce jour, les formes d’influence, de pressions indues et d’intimidation vécus par les agents de la force publique demeurent relativement peu étudiées. Les objectifs de cette thèse sont d’améliorer notre compréhension des dynamiques d’intimidation, de soulever les différents enjeux pour la force publique et de proposer une théorie de l’intimidation criminelle. La force publique étant, avant toute chose, une émanation de l’État, nous avons commencé par analyser la problématique de l’intimidation criminelle de manière plus globale. En testant la théorie de l’action de sécurité (Cusson, 2010), nous avons constaté qu’une force publique intimidée et corrompue entraîne une perte de légitimité et une inefficacité du système judiciaire dans sa lutte contre la criminalité. Nous avons ensuite adopté une perspective interactionniste pour comprendre les dynamiques d’intimidation au quotidien. Nous nous sommes demandés quels étaient les éléments qui rendaient une intimidation crédible et grave pour les policiers. En identifiant leur monde d’objets (Blumer, 1986), nous avons constaté que les actes d’intimidation qui survenaient en dehors du cadre professionnel étaient jugés plus graves par les policiers et que l’appartenance de l’intimidateur à une organisation criminelle entraînait une augmentation de la gravité de la menace. Ensuite, nous nous sommes interrogés sur la notion d’identité sociale des agents correctionnels victimes d’intimidation (Tedeschi et Felson, 1994). Nous avons constaté que les intimidations mineures mais répétées avaient tendance à modifier les pratiques professionnelles des surveillants. Une analyse intégrée de ces perspectives met en lumière l’existence de deux formes d’intimidation : une intimidation réactive et peu sévère en nature et une intimidation planifiée et grave. Elle soulève également trois enjeux pour la force publique : son aspect symbolique, la transformation de son action et sa légitimité. En intégrant ces enjeux, une théorie de l’intimidation criminelle est proposée. En dernier lieu, des solutions préventives et répressives sont avancées pour lutter contre ce phénomène. / One of the most salient characteristics of police and correctional officers lies in their legitimate use of coercion to impose their authority. In theory, this public force must have precedence over any private force. In the study of violence, this feature makes their victimization particularly peculiar. Unlawful pressure and influence as well as intimidation tactics experienced by law enforcement officers have not been the focus of much attention. This thesis aims at bringing a better understanding of the intimidation dynamics, at identifying the major issues for the public force and at offering a more general theory of criminal intimidation. Public force being an inherently State function, we focussed first at the problem of intimidation in a global manner. By testing the theory of the action of security (Cusson, 2010), we observed that an intimidated and corrupted public force leads to a loss of legitimacy and efficiency of the judicial system in its fight against crime. We then adopted an interactionist approach to understand the everyday dynamics of intimidation. We asked ourselves what were the factors that officers considered severe and credible enough for them to consider an intimidation. By identifying the world of objects of police officers (Blumer, 1986), we observed that acts of intimidation that occurred outside the professional setting were considered more serious. Also, the fact that the intimidator belonged to a criminal organisation raised the gravity of the threat. Then, we looked into the social identities of correctional officers that experienced intimidation (Tedeschi et Felson, 1994). We discovered that minor but repeated acts of intimidation had a tendency to modify the professional practices of prison guards. An integrated analysis sheds light on two types of intimidation: on one side, a reactive and mild intimidation; on the other, a programmed and serious intimidation. This brings three issues for the public force: its symbolic aspects, a transformation of its action and its legitimacy. By integrating those issues, we have been able to offer a theory of the criminal intimidation. Lastly, preventive and repressive measures are discussed as a solution to criminal intimidation.
|
18 |
Job Hunting: One ExperienceAnderson, Joanna M. 04 July 2012 (has links)
Excerpt: National Public Radio’s All Things Considered recently featured a piece by Annie Baxter called “Fear Is The Biggest Hurdle For Some Job Seekers” (February 16, 2012). This feature presented a hurdle that most people probably do not realize exists; namely, that for many long-term job-seekers, the fear of going back to work is quite real and intimidating.
|
19 |
La théorie de l'esprit à la petite enfance en lien avec les comportements agressifs manifestés à la maternelleRenouf, Annie January 2009 (has links) (PDF)
Cette thèse doctorale s'intéresse à la relation entre la théorie de l'esprit avant l'entrée scolaire et les comportements agressifs manifestés lors de la maternelle. La théorie de l'esprit est une habileté sociocognitive qui implique la capacité de comprendre et de prédire les comportements humains en se basant sur les représentations mentales de la réalité. Les comportements agressifs ont longtemps été associés à des déficits au plan des habiletés sociocognitives (Crick & Dodge, 1994). Toutefois, l'agressivité regroupe une variété de comportements hétérogènes dont certains pourraient requérir de bonnes habiletés sociocognitives. Il est proposé que la relation entre la théorie de l'esprit et l'agressivité varie selon la forme d'expression du comportement agressif (physique ou indirecte) ou encore selon la fonction que ce comportement dessert (réactive ou proactive). La théorie de l'esprit est négativement reliée à l'agressivité physique (Capage & Watson, 2001) alors qu'elle pourrait être positivement associée à l'agressivité indirecte (Björkqvist, Österman & Kaukiainen, 2000; Sutton, Smith & Swettenham, 1999a). Lorsque les enfants utilisent l'agressivité indirecte, ils manipulent la représentation mentale de leurs pairs (ex. en induisant une fausse croyance chez leurs pairs par la diffusion de rumeurs diffamatoires au sujet de la victime) afin que ces derniers modifient subséquemment leur comportement envers la victime (ex. exclure la victime du groupe). La prédiction des comportements d'autrui et la manipulation des représentations mentales pourraient nécessiter la théorie de l'esprit. De même, un lien différentiel pourrait être attendu entre la théorie de l'esprit et les fonctions réactive et proactive de l'agressivité. L'agressivité réactive est une réaction impulsive visant à se défendre contre une menace perçue. Des évidences empiriques démontrent que l'agressivité réactive est associée à des déficits dans les habiletés sociocognitives, comme des difficultés dans la résolution de problèmes (Day, Bream & Pal, 1992), et pourrait également être associée à une faible théorie de l'esprit. L'agressivité proactive, qui est motivée par l'obtention de gains personnels ou la domination des autres, n'est pas associée à de tels déficits (Crick & Dodge, 1996). À date, aucune étude ne s'est penchée sur l'étude du lien entre la théorie de l'esprit et l'agressivité en tenant compte de la nature multidimensionnelle des comportements agressifs. Le présent projet a pour but d'examiner la relation entre la théorie de l'esprit et l'agressivité selon les formes et fonctions des comportements agressifs. Par ailleurs, la relation entre la théorie de l'esprit et l'agressivité est sûrement plus complexe qu'un simple effet linéaire. Un deuxième objectif consiste à vérifier des modérateurs potentiels de ces relations. D'une part, l'effet modérateur des comportements prosociaux dans la relation entre la théorie de l'esprit et l'agressivité indirecte/physique sera évalué. D'autre part, l'effet modérateur de l'intimidation par les pairs dans la relation entre la théorie de l'esprit et l'agressivité réactive/proactive sera également examiné. Un échantillon de convenance de 287 paires de jumeaux, provenant d'une étude longitudinale, a été utilisé pour vérifier les hypothèses. De plus, la première étude utilise un échantillon de 119 singletons provenant d'une étude longitudinale d'enfants de naissance unique. À l'âge de cinq ans, la théorie de l'esprit et le vocabulaire réceptif ont été évalués par des tâches standardisées. L'année suivante, lors de la maternelle, les formes et les fonctions de l'agressivité, les comportements prosociaux ainsi que l'intimidation par les pairs ont été évalués par des questionnaires aux enseignants.
Tel qu'attendu, les résultats concernant les formes d'agressivité démontrent un lien positif entre la théorie de l'esprit et l'agressivité indirecte, ce lien varie selon le niveau de comportements prosociaux. La théorie de l'esprit n'est pas reliée à l'agressivité physique, alors que les comportements prosociaux sont négativement reliés à celle-ci. Les résultats concernant les fonctions de l'agressivité montrent que la théorie de l'esprit est négativement reliée à l'agressivité réactive mais seulement pour les enfants victimes d'intimidation par leurs pairs. Un lien positif est trouvé entre la théorie de l'esprit et l'agressivité proactive, ce lien varie selon le niveau d'intimidation par les pairs. Ces relations s'appliquent aux garçons et aux filles, et également aux jumeaux et aux enfants à naissance unique. L'ensemble de ces résultats démontrent qu'entre l'âge de cinq et six ans, la théorie de l'esprit joue un rôle dans l'explication des comportements agressifs. Toutefois, ce rôle diffère selon les formes et selon les fonctions de l'agressivité, ce qui appuie l'importance de tenir compte de la multi-dimensionnalité de l'agressivité afin de mieux la comprendre. Elle permet de nuancer l'hypothèse des déficits cognitifs souvent associés à l'agressivité. ______________________________________________________________________________ MOTS-CLÉS DE L’AUTEUR : Comportements agressifs, Théorie de l'esprit, Comportements prosociaux, Intimidation par les pairs.
|
20 |
Die intimidasie van werknemers : die aard, omvang en hantering daarvan in die Suid-Afrikaanse WerkomgewingVan Staden, Anton Francois 01 September 2015 (has links)
M.Com. / Please refer to full text to view abstract
|
Page generated in 0.0848 seconds