• Refine Query
  • Source
  • Publication year
  • to
  • Language
  • 44
  • 28
  • 26
  • 8
  • 4
  • 3
  • 2
  • 2
  • 2
  • 1
  • Tagged with
  • 118
  • 118
  • 35
  • 13
  • 12
  • 11
  • 10
  • 9
  • 7
  • 7
  • 6
  • 6
  • 5
  • 5
  • 5
  • About
  • The Global ETD Search service is a free service for researchers to find electronic theses and dissertations. This service is provided by the Networked Digital Library of Theses and Dissertations.
    Our metadata is collected from universities around the world. If you manage a university/consortium/country archive and want to be added, details can be found on the NDLTD website.
111

La périphrase verbale "venir de + infinitif" et ses équivalents dans quelques langues, particulièrement l'espagnol et le latin: étude syntaxique et sémantique

Dominicy, Marc 15 December 1975 (has links)
Ce travail se situe dans le cadre de la Théorie Standard Étendue, à laquelle certaines modifications sont apportées, notamment quant à l’association d’une règle sémantique aux opérations transformationnelles. Il est montré que ce type d’approche permet d’assigner à chaque phrase une description sémantique (une forme logique) apte à représenter un phénomène crucial comme la présupposition (sémantique). L’étude empirique porte sur la périphrase verbale « venir de + infinitif » et ses équivalents dans plusieurs langues qui recourent soit à une autre périphrase (par exemple, l’espagnol « acabar de + infinitif »), soit à l’emploi d’un adverbe (latin « modo », anglais « just », etc.) accompagnant une forme de parfait ou de prétérit. On soutient qu’à ces expressions de surface très diverses correspond une forme logique sous-jacente combinant un opérateur d’accompli à un opérateur de restriction portant sur un adverbe de temps (« maintenant » / « alors », etc.). De nombreux phénomènes, tant synchroniques que diachroniques, trouvent leur explication dans un tel cadre, en particulier la concurrence entre « venir de + infinitif » et « ne faire que (de) + infinitif » dans l’histoire du français.<p><p>This research work has been carried out in the framework of a modified version of Extended Standard Theory where semantic rules are associated to transformations. It is shown that this approach allows assigning to each sentence a semantic description (i.e. a logical form) able to represent such a crucial phenomenon as (semantic) presupposition. The empirical study bears on the French verbal periphrasis « venir de + infinitive » and its equivalents in several languages where we find either another periphrasis (like, for instance, Spanish « acabar de + infinitive ») or an adverb (Latin « modo », English « just », etc.) modifying a perfect or preterite form. It is argued that such highly diverse surface forms should receive an underlying logical form that combines an « accomplished/completed » operator to a restriction operator taking a time adverb (« now » / « then », etc.) under its scope. Numerous synchronic or diachronic data can be accounted for in such a framework, in particular the competition between « venir de + infinitive » and « ne faire que (de) + infinitive » in the history of French.<p> / Doctorat en philosophie et lettres, Orientation langue et littérature / info:eu-repo/semantics/nonPublished
112

Les Res gestae Alexandri Macedonis de Julius Valerius: études lexicales, syntaxiques et stylistiques

Foubert, Frédéric 18 December 2007 (has links)
Les conquêtes et les hauts faits d’Alexandre le Grand ont fait l’objet d’une tradition romanesque à laquelle est donné le titre générique de Roman d’Alexandre ;elle est connue par le biais de nombreuses versions, traductions et adaptations. L’objectif de la thèse est d’évaluer les prétentions littéraires des Res gestae Alexandri Macedonis de Julius Valerius, première version latine connue de ce Roman. Le texte – envisagé comme objet littéraire autonome, en raison, notamment, de la perte de l’original grec dont il constitue la traduction – a été analysé au travers de trois séries d’études, portant sur le lexique, la syntaxe verbale et les figures de style. Effectués sur la base de la dernière édition de référence (ROSELLINI 2004²), ces dépouillements offrent la première vision approfondie des ambitions qui caractérisent la démarche de l’auteur ;ils ont permis en outre d’envisager, à titre d’hypothèse, l’objectif de ce dernier :dans un monde en voie de christianisation, donner à l’élite politique et culturelle un nouvel accès à texte consacré à l’une des figures les plus célèbres de la culture païenne. / Doctorat en Langues et lettres / info:eu-repo/semantics/nonPublished
113

Rythme métrique et rythme rhétorique dans la poésie lyrique d'Horace : recherches sur une poétique du sens

Zimmermann, Philippe 28 November 2009 (has links) (PDF)
Ce travail vise à décrire les spécificités stylistiques de l'écriture d'Horace dans son oeuvre lyrique (Odes Livres I à IV et Chant Séculaire), afin de définir la nature poétique du sens qui s'y construit. Le style des poèmes est étudié dans les relations entre, d'une part, l'arrangement syntaxique et rhétorique des mots dans les énoncés et, d'autre part, la forme métrique des strophes. Ces relations sont décrites à plusieurs échelles. La première partie du travail se consacre aux limites de phrases et de strophes ; la seconde étudie le positionnement dans la structure métrique des outils syntaxiques, lexicaux, phoniques, qui contribuent au rythme rhétorique de la phrase ; la troisième montre comment les mots et les membres syntaxiques proposent une relecture métrique des strophes. Les conclusions de ce travail sont de plusieurs ordres. La complexité du genre lyrique d'Horace est illustrée par la pluralité de ses visées discursives et des outils rhétoriques mis à leur service. La versification d'Horace est étudiée d'après une métrique verbale et syntaxique qui révèle ses richesses expressives. Les relations entre métrique et rhétorique, qui vont de l'unisson au contrepoint complexe, témoignent d'une polyphonie poétique du sens, où s'associent l'individualité et la voix communautaire
114

Le thème de l'adynaton dans la poésie antique

Dutoit, Ernest. January 1936 (has links)
Thèse--Fribourg. / "Bibliographie": p. [v]-vii.
115

La création lexicale par composition nominale en poésie de l’époque cicéronienne à l’époque flavienne / Lexical creation in poetry through compounding from the Ciceronian period to the Flavian Age

Diguet, Magalie 24 January 2014 (has links)
L'étude de la création lexicale en latin détermine la fréquence de certaines formations, leur productivité et leur emploi, selon des périodes, des genres ou des auteurs donnés. L’analyse morphologique des néologismes poétiques rend compte des capacités du latin à innover lexicalement en puisant dans ses fonds propres. Notre présente étude s’intéresse au phénomène de la composition nominale, dont la variété des combinaisons possibles, les commodités lexicales et métriques demeurent un élément déterminant dans le renouvellement du vocabulaire poétique latin, répondant aux soucis de varietas et d’originalité des poetae fabricatores. Afin de comprendre les influences lexicales des veteres poetae sur les poètes postérieurs, cette étude part de la poésie cicéronienne (Catulle, Lucrèce et Cicéron) pour s’étendre à la période augustéenne (Virgile, Horace, Properce, Tibulle et Ovide), la plus fertile en composés nouveaux, puis à la julio-claudienne (Sénèque, Perse et Lucain) et enfin à la flavienne (Silius Italicus, Valérius Flaccus, Stace, Martial et Juvénal) en s’autorisant une comparaison avec le latin tardif. La très faible fréquence d’attestation des lexèmes poétiques, dont une grande partie constitue des hapax legomena, permet de considérer ces termes comme des créations poétiques. Ces composés nouveaux contribuent à une poïetique du sens en intensifiant le discours et en créant une enargeia propre à mettre en évidence une pensée unique. Il convient dès lors de souligner l’intérêt stylistique et sémantique que ces néologismes revêtent par la simplicité de leur formation, de leur statut de mots « possibles » et enfin de leur adaptation aux différents mètres latins, et en particulier l’hexamètre dactylique. / The study of lexical creation in Latin determines the frequency of certain formations, their productivity and their use according to given periods, types or authors. The morphological analysis of poetic neologisms shows the lexical innovative quality of Latin and its ability to feed on itself. Our study focuses on the phenomenon of compounding whose variety of possible combinations and adaptability to lexis and metrics remain crucial factors in the renewal of the Latin poetic vocabulary, thus answering the poetae fabricatores’s concerns about varietas and originality. In order to understand the lexical influences of the veteres poetae on the following poets, this study on lexical creation by nominal compounding starts from the Ciceronian period (Catullus, Lucretius and Cicero) to the Augustan Age (Virgil, Horace, Propertius, Tibullus and Ovid) – when the widest range of new compounds was created – to the Julio-Claudian period (Seneca, Persius and Lucan) to the Flavian Age (Silius Italicus, Valerius Flaccus, Statius, Martial and Juvenal), with a comparison with Late Latin. The very low frequency of the occurrences of poetic words, many of which are hapax legomena, makes it possible to regard these terms as poetic creations. These new compounds contribute to a poietic of the meaning by intensifying the speech and by creating an enargeia that reveals a single thought. We can therefore stress the stylistic and semantic interests of these neologisms due to the simplicity of their formation, their status of “possible” words and eventually their adaptation to the various Latin meters, especially the dactylic hexameter.
116

Le statut de la grammaire et la place de Donat dans les Communia gramatice : (anonyme, XIIIe siècle, ms. Paris, Bibliothèque nationale de France, fonds latin 16617, fol. 183rb-205vb)

Létourneau, René 17 April 2018 (has links)
Tableau d’honneur de la Faculté des études supérieures et postdoctorales, 2009-2010 / Très peu, voire rien n'a été écrit sur la place du célèbre grammairien latin Donat (IVe siècle) dans les spéculations des maîtres es arts parisiens du milieu du XIIIe siècle, ni d'ailleurs sur le statut de la grammaire en tant que nouvelle science, au sens où l'entend Aristote dans les Seconds analytiques et le reste de son oeuvre. Le premier paradigme est intimement lié au second. On n'étudie pas n'importe quel livre à la Faculté des arts médiévale ; chacun représente un pilier du gigantesque édifice qu'est alors la disciplina philosophica : Donat, dans la science grammaticale, complète Priscien (VIe siècle). C'est pourquoi nous avons traité de ces deux thématiques : la "place de Donat" d'après le "statut de la grammaire", suivant l'ordre logique dudit raisonnement. Fondée essentiellement sur une édition et une traduction partielles des Communia gramatice - un compendium grammatical universitaire de cette époque - la crédibilité de notre étude est également soutenue par plusieurs autres sources directes, essentiellement la littérature universitaire de base. Nous avons voulu ainsi dresser le portrait littéraire le plus éclairant et le plus vraisemblable possible entourant l'état de la grammaire en plein coeur de la très influente Université de Paris médiévale.
117

La diathèse, des origines à l'aube de la grammaire française: contribution à l'histoire d'un objet linguistique

Evrard, Ivan January 2002 (has links)
Doctorat en philosophie et lettres / info:eu-repo/semantics/nonPublished
118

La polyphonie métrique dans la poésie lyrique latine : Catulle, Horace, Sénèque le tragique. Poétiques en variation / Metrical Polyphony in Latin Lyric Poetry : Catullus, Horace & Seneca the Tragic. Poetics in Variation

Gauvrit, Olivier 05 December 2011 (has links)
L'objectif de ce travail est d'étudier l'évolution des vers lyriques à Rome du premier siècle avant J.-C. au premier siècle après J.-C., à travers l'usage qu'en font trois poètes : Catulle (œuvres complètes), Horace (Odes, Chant Séculaire et Épodes) et Sénèque (chœurs non anapestiques de ses tragédies). Ce corpus polymétrique permet d'étudier l'adéquation d'un mètre à un genre ou à une tonalité donnés. À partir d'une étude statistique portant sur les variations du schéma métrique, la fréquence des élisions, l'emploi des coupes, le volume verbal recherché et le rapport entre l'ictus et l'accent, il s'agit de montrer comment s'opère le processus de régularisation du vers entre Catulle et Horace, puis entre Horace et Sénèque, en proposant également des interprétations stylistiques de passages où apparaissent les phénomènes les plus marquants. Le travail est organisé en trois parties, consacrées respectivement aux vers éoliens, aux vers dactyliques et aux vers iambiques. Les résultats obtenus montrent que la régularisation du vers s'opère à travers la réduction du nombre d'élisions, la diminution des mots au schéma atypique ou la raréfaction des coupes originales. Ils mettent également en évidence l'importance des hellénismes dans les particularités stylistiques observées et la possibilité pour Catulle et Horace d'employer un mètre lyrique de façon parodique dans un poème satirique. Enfin, l'utilisation que fait Sénèque des mètres horatiens et la richesse de sa lyrique chorale témoignent du caractère théâtral de ses tragédies, qui ne sont pas de simples illustrations d'idées stoïciennes, mais des œuvres véritablement dramatiques. / The aim of this work is to study the evolution of lyric verse in Rome, from the first century B.C. to the first A.D., through the writings of three poets : Catullus (complete works), Horace (Odes, Carmen Saeculare and Epodes) and Seneca (non anapaestic choruses in his tragedies). This polymetric corpus gives us the opportunity to study how a metre adapts to a specific genre or tonality. We conducted statistical studies on the variations of the metrical scheme, the frequency of elisions, the use of caesurae, the word length and the link between ictus and accent, so as to show how the verse is more and more regular from the poems of Catullus to Horace, and from Horace to Seneca. We also propose stylistic interpretations of passages in which striking phenomena appear. The work is divided into three parts, dealing respectively with aeolic, dactylic and iambic verse. The results reveal that regularization of the verse is obtained by the decreasing use of elisions, words with an atypical scheme or original caesurae. They also highlight the importance of hellenisms in the stylistic particularities observed and the possibility for Catullus and Horace to use a lyrical metre through parody to compose a satirical poem. Finally, the way Seneca uses Horatian metres to create rich choral poetry demonstrates his tragedies are not mere illustrations of stoician ideas but are undoubtedly devised for the stage.

Page generated in 0.0456 seconds