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Le discours identitaire dans l’art contemporain en Tunisie : de la tunisianité à l’arabité (1956-1987) / The discourse on identity in the contemporary art in Tunisia : from Tunisianity to Arabity (1956-1987)

Nakhli, Alia 20 February 2013 (has links)
Cette thèse porte sur la fabrique visuelle identitaire dans l’art contemporain, en Tunisie postcoloniale, de 1956 à 1987. Période coïncidant avec la construction d’un État-nation moderne, sur le modèle occidental. Dans une première partie, la recherche focalise sur la mise en place d’une iconographie académique figurative célébrant les us et coutumes ainsi que les scènes populaires. Ce qui a généré une esthétique officielle, véhiculant une image de la nouvelle nation tunisienne, conforme au discours politique exaltant le sentiment national de la tunisianité. Avec le constat d’échec de l’expérience socialiste, en 1969, le changement d’orientation idéologique imposait une recomposition identitaire qui visait la réhabilitation de la dimension arabe de l’identité nationale, et ce, afin de ressusciter l’enthousiasme populaire né avec l’Indépendance. La deuxième partie met en évidence la corrélation entre la crise politique et l’apparition d’une nouvelle esthétique de « l’authenticité » qui célèbre un nouveau principe fédérateur : celui de l’arabité. La thèse retrace la chronologie des manifestations artistiques panarabes, organisées sous la tutelle de l’Union nationale des artistes plasticiens arabes et auxquelles la Tunisie a pris part de façon active. La volonté d’« arabiser » l’art, s’est alors incarnée, outre dans les recherches picturales sur les signes et symboles populaires, dans un courant artistique panarabe baptisé hurûfiyya (lettrisme). / This thesis focuses on identity visual factory of contemporary art, in post-colonial Tunisia, from 1956 to 1987. This period coincides with the building of modern nation-State, in compliance with western pattern. In the first part, the research focuses on the setting of a representational academic iconography, celebrating the traditions as well as the popular scenes. This has generated an official aesthetic, conveying a new image of the Tunisian nation, in accordance with the political discourse exalting the national feeling of tunisianity. With the admission of failure of the socialist experience in 1969, the ideological shift imposed a rethinking of identity the aim of which was to rehabilitate the Arabic dimension of the national identity, in order to resuscitate the popular enthusiasm of the early years of the independence. The second part shows the correlation between the political crisis and the appearance of a new aesthetic of “authenticity”, celebrating a new federative principle: the arabity. The thesis traces the chronology of the pan-arab artistic manifestations, organized under the supervision of the national union of plastic arab artists and to which Tunisia took an active part. The willingness to “arabize” the art was then embodied in a pan-arab artistic current, baptized hurûfiyya (lettrism) in addition to researchs on pictorial popular signs and symbols.
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Guy Debord : automythographe / Guy Debord : automythograph

Seddiki, Yalla 10 March 2012 (has links)
Théoricien, « stratège » – ainsi qu’il s’est défini – cinéaste, acteur de ses seuls films, mémorialiste, révolutionnaire, membre du lettrisme (initié par Isidore Isou) et membre de l’organisation politique Socialisme ou Barbarie ; cofondateur de l’Internationale lettriste (1952-1957) et de l’Internationale situationniste (1957-1972), Guy Debord n’a visé à rien comme à projeter sur ses productions les traits de l’exceptionnel. Pour ce faire, il s’est entouré de quelques dizaines de compagnons. Ce qui constitue la base extrinsèque du mythe de Guy Debord. Par la trame anecdotique, la première partie de cette recherche évoque les personnalités qu’il a fréquentées, les mouvements d’avant-garde politiques et artistiques qu’il a momentanément soutenus et plus souvent affrontés, mais qui, en partie, ont déterminé les orientations de sa vie et de sa pensée. Il s’est d’abord agi pour Guy Debord de projeter les promesses émancipatrices de l’art et de la poésie moderne dans l’espace urbain et les relations sociales. Dans un deuxième temps, la réalisation de ce projet est subordonnée à celui de la révolution. Cependant, ce dessein est inséparable d’une esthétique, autrement dit d’une base intrinsèque, « le style de la négation », écrit Guy Debord. C’est le sujet de la seconde partie de ce travail. La « dérive », la « métagraphie influentielle », la « psychogéographie », la « situation » et le « détournement » sont quelques-uns des concepts qui dessinent une esthétique de l’action artistique et politique. Par ailleurs, d’abord intuitivement, puis avec une conscience maîtrisée, Guy Debord convoque une grande variété de figures et de récits exemplaires dont, analogiquement, il vise à diriger vers soi une partie de la puissance et du prestige. Par la constitution d’un cadre imaginatif mythique et mythographique, Guy Debord s’affronte à un nécessaire dépassement de l’intériorité imaginante vers la réalisation du récit dans la matérialité historique. / Theoretician, “Strategist” – as he defined himself –, film director, actor in his own films exclusively, memorialist, revolutionary, member of the Lettrist movement (initiated by Isidore Isou) and member of Socialism or Barbarism, a political organisation ; co-founder of the Lettrist International (1952-1957) and of the Situationist International (1957-1972), Guy Debord aimed for nothing but project features of the exceptional on his works. To do so, he surrounded himself with a few dozens companions, which constitutes the extrinsic basis of the Guy Debord myth. Through the fabric of anecdotes, the first part of this research brings up the key figures he socialised with and the political or artistic avant-garde movements he momentarily supported, and more often confronted, but which determined in part the courses taken by his life and thought. At first, for Guy Debord, it was a case of projecting the emancipatory promises of art and modern poetry onto the urban space and social relations. Then, the realisation of this project becomes subordinated to the project of revolution. However, this goal can not be separated from an aesthetic form, that is to say from an intrinsic basis, “the style of negation”, according to Guy Debord. The second part of this work will focus on this subject. “Drift”, “Influential metagraphy”, “psychogeography”, “situation” and “diversion” are but a few concepts outlining an aesthetic of political and artistic action. Besides, Guy Debord summons a large variety of characters and exemplary narratives – first intuitively, then with a fully controlled conscience –, the power and prestige of which he analogically aims to direct partly at himself. By elaborating an imaginative, mythical and mythographical framework, Guy Debord faces the necessity to overtake the mind-wandering inwardness, towards the accomplishment of the narrative within the historical materiality.
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Médiatisation technologique et voix du réel. : une anthropologie historique du regard — de la trace à l'écran. / Technological Mediatisation and Voices of the Real : an Antropological History of Gaze – from the Trace to the Screen

Morales Hernandez, Mauricio 02 May 2017 (has links)
Nous partons du constat de l’importance de l’image dans le processus d’anthropogénèse, car la fixité de l’image se dévoile comme une médiation temporelle, c’est-à-dire, comme la création d’un temps rapporté médiatisant notre rapport au réel et transgressant par là notre champ perceptif. À ce titre, l’histoire de l’image apparaît comme le développement de divers modèles eidétiques statiques qui vont être en négociation et relation permanente avec les modèles eidétiques dynamiques : le langage, les gestes, l’outillage, la musique, la danse, l’habitat ; modèles qui en contrepartie sont des médiations nous permettant d’investir l’espace et de le délimiter. L’interpénétration des deux types de modèles, dynamiques et statiques, constituerait, dans la pléthore et la diversité d’éléments composant chaque culture, le caractère définissant l’homme comme animal politique. C’est ainsi que l’on a pu discerner une différence ontologique lors de l’apparition de la trace photographique, trace résultant, non d’une idéalisation formelle et symbolique, mais de l’idéalisation d’une distance, à partir de laquelle se matérialise l’écran en articulant le regard depuis une nouvelle échelle opératoire. L’apport essentiel de l’image serait entré donc dans une nouvelle phase qui, au bout de presque deux siècles, aurait transformé l’homme en animal médiatique. C’est là que l’histoire de la nouvelle trace, sous l’essor de la technologie numérique, centre tout enjeu politique dans sa manifestation la plus conséquente, celle de l’expression cinématographique.Dans ce cadre nous avons abordé et privilégié une histoire du cinéma à des moments où celle-ci développe des enjeux spécifiques dans son rapport au réel, comme notamment dans l’exemple de l’œuvre du cinéaste mexicain Téo Hernández, réalisée pour l’essentiel en Europe entre 1968 et 1992. Sa forte dimension phénoménologique, l’importance du corps dans l’acte de filmer, tout autant que sa fine réflexion sur le médium et son rapport au réel, nous ont fournit une clé de voûte nous permettant de comprendre les grands changements médiatiques qui sont survenus dans les années 80, et qui ont déterminé le regard politique du monde actuel. / We begin by observing the importance of the image in the anthropogenesis’ process because the fixed image reveals temporal mediation, namely, the creation of reported time, mediatizing our relation to the real and thus, transgressing our fields of the perceptual. On this basis, the image’s history appears as a development of various static eidetic models that are going to be in a negotiation and permanent relationship with dynamic eidetic models: language, gestures, equipment, music, dance, the habitat; models that, in return, are mediations enabling us to invest the space and divide it up. The intermingling of the dynamic and static models would constitute the character defining man as a political animal, in the myriad and diversity of the elements that are components for each culture. That is how we are able to detect an ontological difference at the time when the photographic trace appears, a trace not resulting from a formal, symbolic idealization but from an idealization of distance, from which the screen materializes by articulating the eye from a new operative scale. The image’s essential contribution would thus have entered a new phase that would have transformed man into a media animal after almost two centuries. That is where the history of the new trace becomes the core of all political issues in its most consistent manifestation, under the surge of digital technology, that of cinematographic expression.In doing so, we have addressed and favoured one of cinema’s histories at a time when there was a development of specific issues in relation to the real, notably using the work of a Mexican filmmaker, Téo Hernández, mainly done in Europe between 1968 and 1992 as an example. Its powerful phenomenological dimensions — the importance of the body while filming — and also the deep reflexion on the medium and its relation to the real, have provided us with a keystone that enables us to understand the major changes in media that happened during the 1980s and determined the political outlook of the world today.
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Du collage au cut-up (1912-1959) Procédures de collage et formes de transmédiation dans la poésie d'avant-garde

Dumoulin, Gilles 19 March 2012 (has links) (PDF)
Le collage et le cut-up sont deux " procédés " apparus, comme pratique et comme concept, dans le courant du XXe siècle : dans la première décennie pour ce qui est du collage et, pour le cutup, à la fin des années cinquante. Le terme de collage est issu des arts plastiques, et des pratiques qui ont succédé aux expérimentations des " papiers collés " de Georges Braque et Pablo Picasso à partir de 1912, tandis que celui de cut-up est emprunté à l'écrivain américain Brion Gysin expérimentant cette technique, avec William Burroughs, en 1959. Une cinquantaine d'années sépare les deux " procédés ", qui ne recouvrent pas exactement les mêmes pratiques, comme le notait Brion Gysin : " L'écriture a cinquante ans de retard sur la peinture ", en entendant par là appliquer à la lettre - et à la littérature - la pratique même des " papiers collés " des expérimentations cubistes. Cinquante ans de retard ? Rien n'est moins sûr en réalité, si l'on examine l'histoire de la pratique dans la littérature, notamment à travers les expérimentations des premiers courants d'avant-garde, puisque se mettent en place, dès 1912-1913, des procédures de transmédiation qui font progressivement glisser l'esthétique du collage des arts plastiques à la poésie. C'est sur l'histoire de ces cinquante années " de retard " que voudrait revenir cette étude, pour examiner les différentes formes que prend cette transmédiation de l'esthétique du collage dans les courants d'avant-garde, jusqu'à l'invention du cut-up.
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Penser l’art et le monde après 1945 : Isidore Isou, essai d’archéologie d’une pensée / Think about art and world after 1945 : Isidore Isou, essay about an archeology of a thought

Alix, Frédéric 08 December 2015 (has links)
La présente recherche a eu pour ambition de comprendre les modalités de fonctionnement théorique du lettrisme au travers d'une étude précise du substrat intellectuel d'Isidore Isou entre 1945 et 1968. L’activité artistique et intellectuelle d’Isou s’inscrit complètement dans le contexte ces années. Mais au moment important d’une reconsidération et d’une remise en question des valeurs universalistes occidentales, le lettriste montre une filiation intellectuelle claire avec celles-ci. Le but d’Isou est clairement de mettre au jour des lois d’analyse et de fonctionnement universelles, tant en ce qui concerne les choses de l’art que de chaque domaine de la connaissance, lois de fonctionnement issus d’une lecture téléologique et évolutionniste de l’ « Histoire », permettant la mise au point de critères, notamment formels, de la nouveauté. Dans le champ global des avant-gardes de l’après-Seconde-Guerre, il est un restaurateur d’un certain type de valeurs et de certaines traditions qui ont forgé la culture de l’humanisme occidental. Mais tout en étant dans la prolongation des « traditions », il est connecté aux problématiques de son temps. Celle de la communication, nouvelle utopie du XXème siècle, créée dans les laboratoires américains pendant la Seconde-Guerre mondiale. Celle de la sécrétion d’une esthétique permutationnelle comme a pu l’imaginer Abraham Moles dans sa théorie de l’information. D’une esthétique du signe et davantage du signe linguistique auquel était fondamentalement attaché Roland Barthes. L’hypergraphie est elle-même connectée aux recherches contemporaines sur le langage, sur la sémiotique, en tant que nouvelle grande utopie de la communication intégrale. / This research had the ambition to understand the theoretical operating procedures of lettrism through a precise study of the intellectual substrate of Isidore Isou between 1945 and 1968. The artistic and intellectual activity of Isou fits completely in the context of these years. But in an important moment of reconsideration and a questioning of Western universalist values, Lettrist shows a clear intellectual affiliation with them. The aim is clearly for Isou to uncover universal analytical and operational laws, both in terms of art things that every field of knowledge, laws of operation from a teleological reading and evolutionist "History", allowing the development of criteria including formal, novelty. In the overall field of the vanguards of the post-Second-war, it is a restauration of some kind of values and some traditions that have shaped the culture of Western humanism. But while being in the extension of "traditions", Isou is connected to the problems of his time. That of communication, new utopia of the twentieth century, created in the US laboratories during the Second World War. This secretion of an aesthetic permutational as could imagine Abraham Moles in his theory of information. In a further sign and aesthetics of the linguistic sign which was basically tied Roland Barthes. The hypergraphie is itself connected to contemporary language research on semiotics, as a new great utopia of integral communication.

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