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La contractualisation de compagnies militaires privées dans la guerre : retour à l'utilisation des mercenaires ou nouvelle configuration de l'exercice de la violence légitime?

Druetz, Thomas 17 April 2018 (has links)
La privatisation des fonctions étatiques s'est étendue, depuis une quinzaine d'années, à un domaine que Weber jugeait intrinsèque à l'État moderne : l'exercice de la violence légitime. En effet, des gouvernements délèguent désormais à des firmes privées l'accomplissement de missions qui relevaient traditionnellement du secteur militaire. Ce retour du privé dans les conflits incite inévitablement au rapprochement entre la privatisation militaire et le mercenariat. Nous nous proposons d'examiner dans ce mémoire la pertinence d'un tel rapprochement sous les angles juridique et sociopolitique. L'analyse qualitative réalisée suggère que la contractual isation de firmes privées dans les conflits interétatiques constitue davantage une configuration nouvelle et inachevée de l'exercice de la violence légitime qu'un regain du mercenariat.
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La participation de personnes privées à des opérations militaires : aspects juridiques / The participation of individual or legal entities to military operations : legal questions

Dupont, Chloe 10 June 2014 (has links)
La participation de personnes privées à des opérations militaires n’est pas récente et s’est longtemps illustrée par le phénomène des mercenaires, mais elle a pris beaucoup d’ampleur depuis les années 1990 et le recours à des sociétés militaires privées. Ces sociétés se voient confier des tâches qui ne sont pas directement liées au cœur de métier des armées étatiques, mais certaines d’entre elles peuvent concerner des prestations armées. Le recours à des personnes privées dans le cadre d’opérations militaires soulève de nombreuses difficultés juridiques. Il est en effet essentiel de déterminer le droit qui est applicable à ces personnes, qu’elles soient qualifiées de mercenaires ou qu’il s’agisse d’employés de sociétés militaires privées. La définition de leur statut est quant à elle fondamentale afin d’examiner la possibilité de retenir leur responsabilité en cas de nécessité. La question de la responsabilité des sociétés militaires privées elles-mêmes est également posée, tout comme celle, primordiale, de la responsabilité des États qui emploient de telles sociétés. / Private persons whether individuals or legal entities have always taken part in military operations and the best and most famous example was the one of mercenaries. But, since the 1990’s, this participation has been renewed by the increasing activity of the private military companies. These companies have contracts for various tasks and some of them are directly linked to armed missions. The participation of private entities in military operations raises a lot of legal questions. It is necessary to as certain the law which will apply to them, whether they are mercenaries or employees of private military companies. The definition of their status is also crucial in order to determine the liability for their acts. Several fundamental questions arise not only as far the liability of these companies is concerned but also, and perhaps even more, as far as the liability of States employing these companies is concerned.
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S’entendre et combattre. Grecs et Thraces, d’Homère à la disparition du royaume de Macédoine en 168 avant J.-C. / War and philia. Greeks and Thracians from Homer to the end of the Macedonian kingdom

Rufin Solas, Aliénor 11 December 2013 (has links)
Dès l’époque archaïque, les Grecs combattirent en Thrace contre mais aussi aux côtés des guerriers de la région, tandis que les Thraces, recrutés par les armées extérieures, guerroyaient, de plus en plus nombreux, sur les divers champs de bataille du monde grec. Au cours de la période hellénistique, l'intégration des Thraces aux armées grecques est telle que leur nom en vient à désigner un type de troupes, armées à la légère. Elle est le fruit d'un long processus, marqué par l’importance des relations personnelles nouées entre aristocraties guerrières grecques et thraces, depuis l’épopée homérique jusqu’à la disparition du royaume de Macédoine.La politique thrace de Philippe II est réinterprétée : la notion de conquête, évoquée par les Anciens comme les Modernes, ne peut rendre compte de la réalité des rapports entretenus avec les Thraces. Les relations établies avec les chefs des peuples guerriers de la région firent figure de modèle pour ses successeurs jusqu'au dernier roi de Macédoine. La pacification que cette politique a entraînée comme les recrutements massifs qu’elle permit contribuèrent, pour une très large part, aux succès d’Alexandre le Grand en Asie. L’étude des rapports diplomatiques et guerriers entre Grecs et Thraces s’impose finalement comme le meilleur angle d’étude pour appréhender à la fois les mécanismes de l’intégration de la Thrace à l’histoire du monde grec, et l’histoire propre de cette région à travers l’évolution de ses structures sociales, politiques et militaires. Il conduit en particulier à réinterpréter l’histoire du royaume odryse et à redéfinir ses limites géographiques. / From the Archaic period, the Greeks fought in Thrace against but also at the sides of the warriors of the region, while the Thracians, recruited by foreign armies, were increasingly waging war on the various battlefields of the Greek world. During the Hellenistic period, the integration of the Thracians warriors within Greek armies is such that their name has come to designate a lightly-armed type of troops. It is the result of a long process, underlining the importance of the personal relationships established between Greek and Thracian aristocracies. The literary sources provide such examples of philia allowing various forms of military cooperation from the Homeric epic to the reign of the last Antigonids, albeit these examples often get overlooked by Modern historians. The reign of Philip II saw an intensification and remarkable geographical extension of this phenomenon. His Thracian policy, presented in a misleading manner by some ancient texts and misunderstood by the Moderns, must be reinterpreted. Innovative in many ways, it was one of his highest priorities and was a model for his successors until the last kings of Macedonia. The success of his Thracian policy can be observed in its achievements : the pacification of the region, and the massive recruitment of Thracian warriors, that contributed to a very large extent to the successes of Alexander the Great in Asia.The thesis finally offers a reappraisal of the history and geographical limits of the Odrysian Kingdom, through a study of the tribal and warlike structures in Thrace.
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La place de Venise dans le parcours militaire et politiques de notables ruraux corses au XVIIIe siècle. / The place of Venice in the military and political careers of Corsican notables in the XVIIIth century

Giappiconi, Thierry 17 December 2010 (has links)
En 1729, la Corse débute quarante ans de révolte militairement organisée, justifiée par des arguments historiques, juridiques et théologiques contre la République de Gênes. L’instabilité d’une île de la Méditerranée occidentale occupant une position stratégique de première importance pour le commerce et la guerre maritimes, devient un enjeu dans les rivalités des monarchies occidentales. Sous l’impulsion de Luigi Giafferi, capitaine à Venise lors de la première guerre de Morée, porte-parole des Nobles XII, le mouvement s’appuie sur un réseau de notables de la côte orientale de la Corse et d’officiers corses résidant dans les États de Venise : le lieutenant colonel Giafferi, frère de Luigi, les colonels Giappiconi et Zicavo, au service de la République, et le brigadier général Boeri, ancien colonel vénitien passé au service de la Cour de Parme puis de l’Espagne. A partir de sources originales d’archives, cette thèse rétablit le rôle central des prédécesseurs de Pascal Paoli, illustre quelques aspects mal connus de la complexité des rivalités internationales autour de la Corse, et met en lumière le rôle des entrepreneurs de guerre corses dans l’orientation et le financement de l’insurrection. / In 1729, Corsica entered a forty year period of militarily organised revolt against the Republic of Genoa, justified by historical, legal and theological arguments. The instability of this western Mediterranean island, situated as it was at a strategic position of prime importance for commerce and naval warfare, made it an important factor in the rivalries between Western monarchies. Under the leadership of Luigi Giafferi, a captain in the Venetian army during the first Morean War and the representative of the “Noble Twelve”, the movement was supported by a group of clan leaders from the East coast of Corsica and Corsican officers based in the Venetian States: Lieutenant Colonel Giafferi, the brother of Luigi, Colonels Giappiconi and Zicavo, in the service of the Venetian republic, and the Brigadier General Boeri, a former colonel in the Venetian army who had gone on to serve at the courts of Parma and of Spain. Based on original archival sources, this thesis reconstructs the central role played by the predecessors of Pascal Paoli, sheds light on some lesser known aspects of the complex international rivalries over Corsica and underlines the role of Corsican “entrepreneurs de guerre” in financing and influencing the direction of the insurrection.
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Le statut de combattant dans les conflits armés non internationaux : etude critique de droit international humanitaire / The Status of Combatant in Non-international armed Conflicts : critical Study of International Humanitarian Law

Aivo, Gérard 14 October 2011 (has links)
Avant les Conventions de Genève de 1949, seuls les conflits armés internationaux étaient réglementés par le droit de la guerre. Ce dernier ne pouvait s’appliquer dans les guerres civiles qu’après la reconnaissance des forces rebelles comme partie belligérante. Or, depuis la Seconde guerre mondiale on a assisté à une multiplication des conflits armés non internationaux. Mais les Conventions de Genève de 1949 leur ont consacré seulement l’article 3 commun ; puis le Protocole II additionnel de 1977 est venu le compléter. Ces deux textes comportent de nombreuses lacunes, notamment l’absence de définition des « combattants » et des « civils », rendant ainsi difficile le respect du principe de distinction pourtant essentiel à la protection des populations civiles. Ces dispositions ne réglementent pas non plus les moyens et méthodes de guerre. Outre les lacunes normatives, il y a des problèmes matériels qui compliquent la mise en œuvre efficace des règles pertinentes. Il s’agit notamment de la participation des populations civiles aux hostilités, y compris les enfants-Soldats et les mercenaires. L’absence du statut de combattant dans les conflits armés non internationaux apparaît comme le problème principal compromettant l’efficacité du DIH. Celle-Ci ne contribue-T-Elle pas au non respect de ce droit par les groupes armés ? Faudrait-Il conférer ce statut à ces derniers en vue de les amener à appliquer le droit international humanitaire ou envisager d’autres moyens ? Lesquels ? / Before the Geneva Conventions of 1949, only the international armed conflicts were regulated by the law of the war. This last one could apply in the civil wars only after the recognition of the rebel forces as belligerent party. Now, since the Second World War we attended an increase in non-International armed conflicts. But the Geneva Conventions of 1949 dedicated them only the common article 3; then the additional Protocol II of 1977 came to complete it. These two texts contain numerous gaps, in particular the absence of definition of the "combatants" and the "civilians", making so difficult the respect for the principle of distinction nevertheless essential for the protection of the civil populations. These rules do not regulate either the means and the war methods. Besides the normative gaps, there are material problems which complicate the effective implementation of the relevant rules. It is in particular about the participation of the civil populations in the hostilities, including the children-Soldiers and the mercenaries. The absence of combatant's status in the non-International armed conflicts appears as the main problem compromising the efficiency of the international humanitarian law. Does not this one contribute to the non compliance with this law by the armed groups? Would it be necessary to confer this status to these last ones to bring them to apply the international humanitarian law or to envisage the other means? Which one?

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