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Workshop Audiovisuelle MedienEibl, Maximilian, Kürsten, Jens, Ritter, Marc 03 June 2009 (has links)
Audiovisuelle Medien stellen Archive vor zunehmende Probleme. Ein stark wachsender (Web-)TV-Markt mit Sende- oder Rohmaterial, zunehmender Einsatz von medial aufbereitetem Lehrmaterial in Schulen, Hochschulen und Firmen, die Verbreitung der Videoanalyse als Forschungs- und Lehrmethode, die Ausbreitung von Überwachungskameras sowie die immer günstigeren Produktionsbedingungen vom professionellen Produzenten bis zum Heimvideo sind nur einige Stichworte um die neuen quantitativen Dimensionen zu umreißen. Die archivarischen und dokumentarischen Werkzeuge sind heute mit dieser Situation überfordert.
Der Workshop versucht hier Probleme und Lösungsmöglichkeiten zu umreißen und beschäftigt sich mit den technologischen Fragestellungen rund um die Archivierung audiovisueller Medien, seien es analoge, digitalisierte oder digitale Medien. Dabei werden zum einen die technologischen Probleme angesprochen, die zum Aufbau und Management eines Archivs bewältigt werden müssen. Zum anderen wird der praktische Einsatz von der Gestaltung der Benutzungsoberfläche bis zur Frage des Umgangs mit kritischem Material diskutiert.:Interaction
MedioVis 2.0 - A novel User Interface for Seeking Audio-Visual Media Libraries
Harald Reiterer, Mathias Heilig and Sebastian Rexhausen
SIVA Suite – Konzeption eines Frameworks zur Erstellung von interaktiven Videos
B. Meixner, B. Siegel, G. Hölbling, H. Kosch und F. Lehner
Online-Werbung als digitales Kulturgut: Analyse, Erschließung und Archivierung
Christian Wolff
Beyond Basic Blanks – Vertrauenserhaltende, schrittweise Implementierung neuer Funktionen im Information Retrieval
Arne Berger
Beyond Basic Blanks – Akzeptanz adaptiver Annotations- und Rechercheoberflächen
Arne Berger
Media Usage
Nutzung von Mediatheken öffentlich-rechtlicher Fernsehsender
Sven Pagel, Carina Bischoff, Sebastian Goldstein und Alexander
Jürgens
Video-Tools im Schulunterricht: Psychologisch-pädagogische Forschung zur Nutzung audiovisueller Medien
Carmen Zahn, Karsten Krauskopf und Friedrich W. Hesse
Special Issues in Multimedia Archiving
Einsatz Pixelbasierter Datenfusion zur Objektklassifikation
Jan Thomanek, Holger Lietz, Basel Fardi, Gerd Wanielik
Grundlagen für das Retrieval rotationssymmetrischer Gefäße
Stefan Wagner, Christian Hörr, David Brunner und Guido Brunnett
Verschmelzendes Clustering in Artmap
Frederik Beuth und Marc Ritter
Von der Bildrepräsentation zur Objekterkennung – Bewegungsanalyse als mächtiges Werkzeug der automatischen Bildinterpretation
Tobias John, Basel Fardi und Gerd Wanielik
Aspekte zur Archivierung audiovisueller Unterlagen im Sächsischen Staatsarchiv
Stefan Gööck
FusionSystems GmbH Systeme zur Sensor-Daten-Fusion und Szeneninterpretation
Ullrich Scheunert und Basel Fardi
Multimedia Analysis and Retrieval
Visualisierung von Prozessketten zur Shot Detection
Marc Ritter
Textdetektion und -extraktion mit gewichteter DCT und mehrwertiger
Bildzerlegung
Stephan Heinich
Sprechererkennungssystem auf Basis der Vektorquantisierung mit Störgeräuschfilterung
Stephan Heinich
Metadatenstandards und –formate für audiovisuelle Inhalte
Jens Kürsten
Entwurf einer Service-orientierten Architektur als Erweiterung einer Plattform zum Programm-Austausch
Jens Kürsten
Untersuchungen zu semantischem Retrieval von Bildern mit Hilfe von MPEG7 anhand einer Beispielapplikation
Daniel Pötzinger
Distribution Aspects
Dynamische Distribution personalisierten Mobilfernsehens in hybriden Netzen
Albrecht Kurze, Robert Knauf und Arne Berger
Multimedia Archives – Music
Evaluation of an Image and Music Indexing Prototype
Peter Dunker, Ronny Paduschek, Christian Dittmar, Stefanie Nowak
and Matthias Gruhne
Aspekte inhaltlicher Modellierung von Musikdokumenten in digitalen
Archiven
Michael Rentzsch und Frank Seifert
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Grafické intro 64kB s použitím OpenGL / Graphics Intro 64kB Using OpenGLGeršl, Jan January 2008 (has links)
The field of this project is size restricted graphic intro. The paper deals with motivation creating such an intro and talks briefly about history. Main focus is put on general description of various principles common in demo development, techiques used achieving the practical assignment are provided with more detailed description.
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Le jardin botanique de Bruxelles (1826-1912) Miroir d'une jeune nation.Diagre, Denis 20 April 2006 (has links)
L’histoire du Jardin botanique de Bruxelles offre l’opportunité de prendre le pouls de la capitale et de ses développements successifs ; de la bourgeoisie du XIXème siècle, de ses passions et de ses fantasmes ; de la science nationale et internationale ; des rêves coloniaux qui habitèrent les souverains belges ; bref de la société belge dans ses multiples composants… quand elle n’entrouvrait pas la porte de l’intimité psychologique de certains intervenants majeurs du passé scientifique national.
En effet, le Jardin botanique fut d’abord l’expression d’une société anonyme créée sous le régime hollandais (1826) : la Société Royale d’Horticulture des Pays-Bas. Cette dernière devait enfin doter la capitale méridionale du pays d’un indispensable marqueur de sa modernité, à moindres frais pour la couronne. Dans ce modus operandi se lisaient la passion bourgeoise pour la nature (surtout exotique), certes, mais aussi son utopie, laquelle faisait dépendre le bien être de la société de l’esprit d’entrepreprise d’une classe. Il s’agissait d’une des premières sociétés anonymes belges, et l’immaturité de cet outil se paierait bien vite.
Alors qu’il avait été inspiré par le Jardin des Plantes du Muséum d’Histoire Naturelle de Paris – archétype de l’institution scientifique nationale totalement soutenue par l’état – le jardin de Bruxelles revêtit une forme commerciale qui devait bien le servir, lorsque la crise qui suivit la Révolution de 1830 frappa les finances publiques du nouvel état belge. Dès ce moment, le Jardin botanique se lança dans une recherche effrénée de revenus, laquelle ne cesserait qu’avec le rachat du site par l’état belge, en 1870. Unanimement considéré comme magnifique, il n’avait survécu jusque là que grâce à l’écrin qu’il offrait aux réjouissances bourgeoises de la capitale, grâce à la vente d’une partie de sa surface à la faveur de la construction de la Gare du Nord, et à des augmentations successives des subsides versés par le gouvernement et par la capitale. En réalité, la science n’avait alors jamais vraiment élu domicile à la Porte de Schaerbeek… tout au plus avait-on tenté de la singer pour feindre de mériter les subventions nationales que les Chambres devaient approuver. La beauté remarquable de la propriété, sa fonction sociale d’écrin pour la vie événementielle bruxelloise, et sa fonction symbolique de révélateur d’état de civilisation, avaient été les clefs de sa longévité.
Le site fut donc racheté en 1870, à la suite d’une entreprise de persuasion, tenant parfois du lobbying, menée par Barthélémy Dumortier (1797-1878), célèbre homme politique catholique, et botaniste de renom. Il avait pour objectif de monter un équivalent belge des Royal Botanic Gardens de Kew, sur les ruines de ce jardin que la bourgeoisie avait abandonné à l’Etat, contre une somme ridicule et en sacrifiant les bénéfices de ses actionnaires.
Dumortier voulait donc créer un grand centre voué à la taxonomie, et avait fait acheter le célèbre herbier brésilien de F. von Martius à cette fin.
Après des années d’incertitude, marquées par des querelles internes, parfois fort menaçantes, le Jardin botanique de l’Etat échut à François Crépin, l’auteur de la fameuse Flore de Belgique.
Le Rochefortois ne cesserait de tenter de déployer son institution, parfois avec succès, mais elle pâtissait d’un handicap de taille : des liens trop étroits avec la Ville de Bruxelles et son université, bastions libéraux et maçonniques. Il en découla, dans une série de ministères uniformément catholiques, une intrumentalisation du Jardin botanique, teintée de mépris, à des fins politiques, et un sous- financement chronique peu propice à la modernisation scientifique de l’institution.
Le secours vint du besoin d’expertise scientifique et agronomique dont le Congo léopoldien avait cruellement besoin. Sous le bouclier du souverain de cet état indépendant, une institution scientifique belge trouva protection contre la malveillance des ministres belges, des milliers de feuilles d’herbier qui lui permirent de pratiquer légitimement une discipline bien essoufflée (la taxonomie), de s’y faire une niche et de devenir un des plus grands centres mondiaux en matière de botanique africaine. Ainsi, la colonisation donna-t-elle une base de replis à de grands fonds scientifiques, alors que les universités s’étaient emparées de la physiologie, et des nouvelles disciplines prometteuses. Ces bases de données sont aujourd’hui impliquées, en première ligne, dans les recherches suscitées par la grande inquiétude écologique contemporaine.
Miroir de la Belgique, le Jardin botanique de Bruxelles refléta beaucoup de ses gloires et de ses tourments, de ses querelles politiques et philosophiques, et même de ceux qui eurent le Congo pour cadre. Son rayonnement, jadis comme aujourd’hui, doit beaucoup à ce continent. Ainsi peut-on légitimement affirmer que le Jardin botanique fut et reste un enfant de l’Afrique.
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Le jardin botanique de Bruxelles (1826-1912): miroir d'une jeune nationDiagre, Denis 20 April 2006 (has links)
\ / Doctorat en philosophie et lettres, Orientation histoire / info:eu-repo/semantics/nonPublished
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