• Refine Query
  • Source
  • Publication year
  • to
  • Language
  • 12
  • 2
  • Tagged with
  • 15
  • 15
  • 13
  • 6
  • 5
  • 5
  • 5
  • 5
  • 5
  • 5
  • 5
  • 5
  • 4
  • 4
  • 4
  • About
  • The Global ETD Search service is a free service for researchers to find electronic theses and dissertations. This service is provided by the Networked Digital Library of Theses and Dissertations.
    Our metadata is collected from universities around the world. If you manage a university/consortium/country archive and want to be added, details can be found on the NDLTD website.
11

Les mesures du regroupement spatial des populations. Aspects méthodologiques et applications aux grandes aires urbaines françaises.

Dasre, Aurélien 04 December 2012 (has links) (PDF)
L'étude des phénomènes de regroupement spatial des individus en milieu urbain se focalise souvent sur les espaces les plus fortement polarisés, qu'il s'agisse des " ghettos " de " riches " ou de " pauvres ". Pourtant, ces quartiers ne représentent qu'une partie très congrue de l'espace urbain français. Sans occulter l'existence de ces zones, ce travail se propose d'étudier les phénomènes de regroupement spatial sous un angle exhaustif. Ceci a nécessité le développement d'une méthodologie permettant de rendre compte de la complexité de la spécialisation socioéconomique et sociodémographique des territoires. L'impact de l'échelle géographique retenue dans les analyses sur les résultats aussi bien en terme d'intensité que d'évolution est ainsi apparu comme une donnée centrale de la problématique. En se basant sur cette analyse comparative des échelles géographiques de regroupement, ce travail dresse un panorama des profils de regroupements des individus dans 18 aires urbaines françaises. Il est ainsi apparu qu'il existe une grande similarité de ces phénomènes entre les grandes villes. Les individus s'y distribuent selon un modèle sectoriel d'un point de vue socioéconomique quand ils suivent un schéma concentrique d'un point de vue sociodémographique. La combinaison de ces deux logiques a ainsi permis une analyse globale des phénomènes de regroupement socio-spatial.
12

Habiter et consommer le logement social : une approche stratégique de l'habiter des classes populaires et moyennes sous contraintes de pouvoir d'achat / Living and consume social housing : a strategic approach to inhabit the working and middle classes under constraints of purchasing power

Parise, Fanny 02 February 2015 (has links)
En 2014, quel est le « sens de l’habiter »? L’évolution de la législation française engendre un processus de marchandisation du logement social, déjà amorcé. « Grands ensembliers » et professionnels du logement s’associent pour développer une nouvelle offre d’habitat social à destination des classes moyennes intermédiaires. La montée des classes moyennes mondiales et la crise économique produit des modes de consommer différenciés et une demande de logements prenant en considération de nouvelles tendances sociétales. Le regain d’intérêt depuis les années 2000 pour l’habitat alternatif (notamment le cohousing), positionne l’innovation dans l’habitat dans une démarche de co-construction (constructeur, architecte, sociologue). Ces effets de contexte s’inscrivent dans une démarche compréhensive de la diversité des pratiques habitants des classes moyennes. L’hétérogénéité de ce groupe social, à travers des modes de vie pluriels, illustre le déploiement de stratégies et de choix résidentiels qui rendent compte d’un rapport à l’autre singulier, d’un rapport au monde spécifique ; dont les « grands ensembliers » s’essaient à en saisir le sens et la complexité. / In 2014, what is the "sense of living"? The evolution of French legislation creates a social housing commodification process already begun. "Large contractors" and housing professionals join forces to develop a new offer of social housing to intermediate middle class. The rise of the global middle class and the economic crisis produces differentiated patterns of consumption and housing demand considering new societal trends. The renewed interest since the 2000s for alternative housing (including cohousing) positions innovation in housing in a co-construction approach (builder, architect, sociologist). These context effects are part of a comprehensive approach to the diversity of the inhabitants of the middle class practices. The heterogeneity of this social group, through plural lifestyles, illustrates the deployment strategies and residential choices that reflect a singular relative to each other, a report to the specific world; whose "big contractors" is trying to grasp the meaning and complexity.
13

L'engagement d'une communauté hétéroclite dans la négociation d'une intervention de proximité au carrefour de la revitalisation, de la gentrification et de la mixité sociale

Vallée Dore, Boromir 27 January 2024 (has links)
Le quartier Saint-Roch de la ville de Québec est marqué par un processus de revitalisation, une mixité sociale et divers défis sociaux. La présente recherche qualitative vise à explorer et comprendre une intervention de proximité qui s’y déploie et qui vise à améliorer la cohabitation entre les divers groupes sociaux. Il s’agit du travail de l’agent.e1de mixité. Ce mémoire vise à répondre à la question de recherche suivante : Comment la fonction de l’agent.e de mixité est-elle négociée à l’intersection des perceptions qu’ont les acteurs sociaux concernés par les défis entraînés par le contexte de revitalisation du quartier Saint-Roch et de leurs attentes envers cette fonction? Le cadre théorique de la recherche repose sur le constructivisme et s’inscrit plus précisément dans l’interactionnisme symbolique. La collecte de données a été réalisée auprès de sept participants.es issus.es de cinq groupes sociaux : citoyens.nes, citoyens.nes en situation de pauvreté, travailleurs.euses du communautaire,commerçants.es et travailleurs.euses dans une institution. Les résultats permettent de connaître leurs perceptions des défis présents dans le contexte de revitalisation et de mixité sociale du quartier tels que la cohabitation, la gentrification, la marginalisation et la judiciarisation, mais aussi leurs attentes concernant la fonction, la posture et les compétences de l’agent.e de mixité. Par la suite, les résultats de ces entrevues individuelles ont été présentés à un groupe de 12personnes impliquées auprès du Projet Vie de parvis. Les échanges lors de cette rencontre mettent en lumière les dimensions de la fonction d’agent.e de mixité qui sont négociées à l’intersection de ces différentes attentes et perceptions telles que la temporalité, les contours, la portée et l’étendue de cette fonction. Tout le contenu a été compilé et analysé à l’aide de Dedoose. / The Saint-Roch district of Quebec City is marked by a process of revitalization, a societal mix,and diverse social challenges. This qualitative research aims to explore and understand a local intervention which is deployed there and aims to improve cohabitation between the various social groups. This is the job of the agent.e de mixité. This thesis aims to answer the following research question : How is the function of the agent.e de mixité negotiated at the intersection of the perceptions of social actors concerned by the challenges brought about by the context of revitalization of the Saint-Roch district and their expectations for this function? The theoretical framework of the research is based on constructivism and is more precisely inscribed in symbolic interactionism. Data collection was carried out with seven participants from five social groups: citizens, citizens living in poverty, community workers, traders, and workers in an institution. The results allow us to understand their perceptions of the challenges present in the context of revitalization and social mix of the district such as cohabitation, gentrification, marginalization, and judiciarisation. It also allows understanding of their expectations regarding the function, position, and skills of the agent.e de mixité. Subsequently, the results of these individual interviews were presented to a group of 12 people involved with the Projet Vie de parvis. The discussions during this meeting shed light on the dimensions of the function of the agent.e de mixité which are negotiated at the intersection of these different expectations and perceptions such as temporality, outlines, scope, and extent of function. All content has been compiled and analyzed using Dedoose.
14

Une Géographie Socioculturelle

Raibaud, Yves 07 December 2009 (has links) (PDF)
Cet essai pose la question de la géographie sociale aujourd'hui. La première partie fait un retour sur son histoire et sur les questions que lui posent l'hypothèse d'un « tournant géographique » et le développement des approches culturelles en géographie. L'énoncé : « Est-ce la façon de faire la géographie ou le monde qui change ? » interroge la géographie sociale à partir de deux hypothèses. La première est celle proposée par une géographie de l'individu qui replace le sujet, l'individu ou l'acteur au cœur de la construction d'espaces marqués par les processus de métropolisation. La seconde, énonçant le fait que la géographie est elle-même une production culturelle pose la question de la place de la culture dans la géographie et invite à une démarche d'autoanalyse envisageant les variations d'interprétation de la notion de culture dans les sciences sociales. A partir de ces deux hypothèses l'auteur questionne la position des géographes et invite à un renouvellement des postures et des objets. Dans la deuxième partie trois « nouveaux objets géographiques » servent de support à la démonstration. Le premier, la musique, est abordé à partir de la question « Comment la musique vient-elle aux territoires ? ». A travers les exemples proposés la musique apparaît comme un géoindicateur, un vecteur de transitions entre échelles territoriales, un fixateur des adhésions territoriales, un constructeur d'images, un mode de gouvernance. On peut ainsi décrire le parcours d'un auditeur dans la ville en fête ou en festival comme une « expérience de la ville » conforme aux nouveaux modes de sociabilité d'un individu postmoderne. On peut aussi envisager les rapports entre musique et territoires dans leurs temporalités, à l'échelle d'un espace-monde parcouru en tous sens par des ondes et des flux musicaux. Le deuxième objet, le « sexe et le genre », est examiné aussi bien du point de vue d'un « sexe social » (prescrivant des rôles de genre propres à chaque lieu) que d'un « sexe intime » faisant appel à l'expérience unique que chacun peut avoir de son corps dans l'espace. Plusieurs courtes monographies permettent d'illustrer ce propos. La présentation d'une recherche en cours sur l'agglomération urbaine de Bordeaux montre comment la construction théorique d'un objet « sexe et genre » peut renouveler les analyses du tissu urbain et de ses composantes sociales. Le troisième objet, l'ethnicité, est présenté à partir d'un travail interdisciplinaire sur l'usage de l'ethnicité dans les sciences sociales, d'une recherche sur le volet culturel de la politique de la ville et d'un travail d'enquête sur les travailleurs sociaux issus des « communautés » de Guyane française. La troisième partie tente de définir ce que pourrait être une géographie socioculturelle. La distinction entre approche sociale et approche culturelle devient ténue dès lors qu'on n'envisage plus le couple individu/social comme un rapport dialectique et qu'on prend en compte les variations d'interprétation de la notion de culture. Dans la suite et la fin de cet essai, l'auteur pose l'hypothèse d'un paradigme socioculturel qui aurait son origine dans l'avènement des sociétés démocratiques et le développement de l'accès au savoir. Le projet d'une géographie socioculturelle s'appuie donc à la fois sur des méthodes renouvelées pour comprendre l'espace des sociétés et sur une approche éthique qui analyse les effets sociaux de la production de savoirs. La conclusion affirme l'intérêt d'une géographie socioculturelle s'intéressant aux faits de culture et son inscription logique dans le courant de la géographie sociale française.
15

Le choix de l’école secondaire par des parents dans le marché scolaire montréalais. Une étude compréhensive des conditions, stratégies et effets sociaux de l'exercice d'un devoir parental

Castonguay-Payant, Justine 09 1900 (has links)
Notre système d’éducation, comme on le connait, est le fruit de la Révolution tranquille des années 1960. S’appuyant sur un principe de démocratisation, le système scolaire est rapidement devenu le levier de développement économique et social d’une société « en retard » par rapport au reste du pays (Proulx et Charland, 2009). Cependant, d’après Lessard (2019), le système scolaire du Québec fait piètre figure en matière d’équité : il est le moins équitable des systèmes canadiens, et ce, pour plusieurs raisons. Depuis la Révolution tranquille, la Loi sur l’instruction publique québécoise (LIP) régit les droits et obligations des élèves et des institutions scolaires, et reconnait également certains droits des parents d’élèves, comme les choix d’écoles au primaire et au secondaire. Ces choix semblent par ailleurs évoluer de manière croissante, en particulier depuis les années 1980. En effet, sur fond de courants politiques et économiques globaux (la Nouvelle gestion publique – NGP, la Gestion axée sur les résultats - GAR, etc.), et aussi nationaux et locaux (la Loi sur l’instruction publique du Québec, politiques municipales et urbaines diverses, etc.), ces pratiques de choix tendent à profiter d’une conjoncture favorable qui stimule leur montée (Bélanger, 2011; Turmel, 2014; Felouzis et coll., 2013). En outre, ils feraient partie des leviers favorisant ce que Felouzis et ses collègues (2013) appellent les « marchés scolaires » (Felouzis et coll., 2013). Dans les marchés scolaires, les prix ne constituent pas une mesure de la qualité éducative. La relation offre-demande éducative s’appuie alors sur l’élaboration de jugements sur la qualité perçue, une qualité non mesurable basée sur des critères sociaux différents en fonction des intentions éducatives et origines sociales variées des familles (Felouzis et coll., 2013, p. 4). Le fait est que ces jugements différenciés participent ultimement à la construction de possibilités de choix inégalement réparties entre les familles. Considérant que le paysage scientifique québécois abordant les processus de choix scolaires est, à ce jour, relativement vierge, cette thèse a donc pour visée d’éclaircir la question et donner une intelligibilité à la construction de jugements de qualité d’une bonne école secondaire. Embrassant une posture interprétative compréhensive, cette thèse s’inspire de la sociologie interactionniste de van Zanten (2009) sur les choix scolaires de même que de la sociologie de la famille (de Singly, 2010; Déchaux, 2010; Valois, 2009), tout en portant une attention particulière au poids des capitaux dans la sociologie de la reproduction sociale selon la perspective de Bourdieu (1979) et Bourdieu et Passeron (2011). Basée sur vingt-sept entretiens semi-dirigés qui ont été conduits auprès de parents résidant dans cinq arrondissements montréalais (Ahuntsic-Cartierville, Côte-des-Neiges-Notre-Dame-de-Grâce, Mercier-Hochelaga-Maisonneuve, Montréal-Nord, Rosemont-La-Petite-Patrie), l’analyse inductive des données révèle une variabilité importante des processus de choix parentaux, élaborés en fonction de conditions, de ressources différenciées, de perceptions subjectives et contraintes objectives. En effet, celles-ci sont fortement indexées en fonction de l’offre de services éducatifs dans les secteurs de résidence des familles et conditionnées par la position socioéconomique des parents et le statut EHDAA des enfants. Il a également été constaté que les qualités sociales de l’établissement sont souvent, spécialement aux yeux des parents de classes moyennes, corrélées avec les qualités de l’instruction. Ce constat a été noté chez plusieurs répondants, bien que seuls ceux disposant de ressources économiques et culturelles suffisantes soient en mesure de mettre en place des stratégies pouvant satisfaire leurs préférences et leur vision de la qualité éducative souhaitable pour leur enfant. / The Quebec education system is based on a democratization principle and rapidly became a lever for the economic and social development of a society “lagging behind” the rest of the country (Proulx & Charland, 2009). However, according to Lessard (2019), while being above average compared to the rest of OECD countries regarding performance, the Quebec school system does much worse with regards to equity: it is the least equitable of the Canadian systems. Since the Quiet Revolution, the Quebec Education Act (Loi sur l'instruction publique) regulates the rights and obligations of students and institutions, and also recognizes certain rights to the parents. School choice, for elementary or high school, is among the individual rights of parents recognized by the Education Act. Throughout the world, many global political and economic trends (New Public Management or NPM, accountability, etc.) as well as provincial and local policies (the Education Act in Quebec and various municipal and urban policies, etc.) stimulate the growth of choice practices, and the situation in Quebec, especially in Montreal, is no different. Researchers have yet to meaningfully address school-choice processes, but international studies have shown tangible links between the high school-choice processes of middle- and upper-class parents and increased inequality through social segregation (Felouzis et coll., 2013; van Zanten, 2009a). This dissertation aims to clarify the current debates on school choice in Montreal and highlights parental perceptions related to the singular feelings, experiences, and trajectories entailed in the choice of high schools. This research is essentially based on previous work by Felouzis et coll. (2013) and Karpik (2007) on judging quality of a public service. It also borrows conceptual notions from the sociology of the contemporary family (Singly, 2010) as well as studies by Déchaux (2009) and Valois (2009). Furthermore, following Bourdieu (1979) and Bourdieu and Passeron (2012), it illuminates the importance of cultural, economic, and social capital in the judgment and decision-making process of parents when they attempt to choose the right high school for their child. Finally, it feeds off of the interactionist sociology of van Zanten (2009) on school-choice decisions. The study first examined the decision-making processes of twenty-seven Montreal parents whose child is transitioning from elementary to high school. It then studied the educational supply in the five Montreal boroughs in which these parents reside: Ahuntsic-Cartierville, Côte-des-Neiges-Notre-Dame-de-Grâce, Mercier-Hochelaga-Maisonneuve, Montréal-Nord, and Rosemont-La-Petite-Patrie. This thesis also embraces comprehensive and interpretive sociology and is based on semi-structured interviews (Kaufmann, 2011; Boutin, 1997). The inductive data analysis revealed great variability in parents’ school-choice processes following their differentiated conditions and resources. Only some parents could actually consider enrolling their child in the school of their choice. The limitations observed came down to places available in the institutions, the successful completion of a qualifying examination, the payment of relatively high school fees, the limited geographical access to certain schools or their child’s handicaps, social maladjustments or learning difficulties. Finally, the results extracted from the analysis highlight that the subjective perceptions and objective constraints that come into play in the school-choice process are also strongly conditioned by the supply of educational services in the families’ area of residence where there is indeed a differentiated access to education services. It shows that families living in these areas do not all have access to the same provision, to the same “quality” of education services and that the possibility of choosing a school or relocating to a given area of residence is tied to family income.

Page generated in 0.0618 seconds