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Métaphysique de l'évolution : la substance, le jugement téléologique, la vie créatrice /East, Georges. January 1998 (has links)
Thèse (Ph. D)--Université Laval,1998. / Bibliogr.: f. 332-343. Publié aussi en version électronique.
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Geometry and monadology : Leibniz's Analysis Situs and philosophy of space /De Risi, Vincenzo. January 2007 (has links)
Texte remanié de: Doctoral dissertation--Philosophy--Pisa--Scuola normale superiore, 2004. / Bibliogr. p. 631-650.
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La monadologie bonaventurienneOzilou, Marc Imbach, Ruedi January 2007 (has links)
Reproduction de : Thèse de doctorat : Philosophie : Paris 4 : 2006. / Titre provenant de l'écran titre. 157 références bibliographiques.
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Aussage und Anweisung : zwei Auslegungs- und Verständigungsmuster dargestellt an Texten von Leibniz und Nietzsche /Rodingen, Hubert. January 1975 (has links)
Inaug.-Diss.: Philosophische Fakultät: Mainz: 1975. _ Bibliogr. p. 116-147. Index.
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Métaphysique de l'évolution : la substance, le jugement téléologique, la vie créatriceEast, Georges 30 August 2021 (has links)
Cette thèse est l'étude visant la fondation métaphysique de l'évolution naturelle. La recherche fondationnelle est motivée par l'effort d'analyse et de synthèse en vue de dégager un concept intégrateur autant que signifiant pour tout aspect créatif de l'évolution. Ce concept procède de la recherche et de la confrontation des auteurs de la Monadologie et de l'Évolution créatrice, dont les œuvres représentent une approche privilégiée pour contribuer à élucider cette thématique. Ce discours soulève également le problème téléologique dont la critique Kantienne offre le passage pour signifier et délimiter le sens d'un télos de la substance de l'évolution. Enfin, nous montrons ce que peut signifier le grand mouvement ascendant qui porte -- au niveau de la conscience humaine-- celui-là à se dépasser dans la contemplation et dans l’action.
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Antonio Lamarra, Roberto Palaia, Pietro Pimpinella: Le prime traduzioni della Monadologie di Leibniz (1720-1721), Florenz : Olschki, 2001 (Lessico intellectuale Europeo ; 85) (Rezension)Schneider, Ulrich Johannes 25 September 2014 (has links) (PDF)
Dankbar nimmt man nun aus den Händen italienischer Forscher eine vergleichende begriffsgeschichtliche Untersuchung über die ersten Übersetzungen der Monadologie von Leibniz in die Hand. Deren Übersetzung las das Publikum nämlich früher als das Original, das 1714 entstand. Diese Schrift bestimmte - neben der 1710 veröffentlichten Theodizee - die frühe Wirkung von Leibniz, allerdings eben nicht in der originalen (französischen) Form, denn diese wurde erst 1840 in einer Leibniz-Ausgabe des Hegel-Schülers Johann Eduard Erdmann publiziert. Schon im Jahre 1720 jedoch erschien eine deutsche Übersetzung der Monadologie von Heinrich Köhler, gefolgt im Jahre 1721 von einer anonymen Übersetzung ins Lateinische, veröffentlicht in den Leipziger Acta Eruditorum. Was Antonio Lamarra, Roberto Palaia und Pietro Pimpinella vorlegen, ist ein Vergleich der beiden frühen Übersetzungen mit dem Original.
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Antonio Lamarra, Roberto Palaia, Pietro Pimpinella: Le prime traduzioni della Monadologie di Leibniz (1720-1721), Florenz : Olschki, 2001 (Lessico intellectuale Europeo ; 85) (Rezension)Schneider, Ulrich Johannes 25 September 2014 (has links)
Dankbar nimmt man nun aus den Händen italienischer Forscher eine vergleichende begriffsgeschichtliche Untersuchung über die ersten Übersetzungen der Monadologie von Leibniz in die Hand. Deren Übersetzung las das Publikum nämlich früher als das Original, das 1714 entstand. Diese Schrift bestimmte - neben der 1710 veröffentlichten Theodizee - die frühe Wirkung von Leibniz, allerdings eben nicht in der originalen (französischen) Form, denn diese wurde erst 1840 in einer Leibniz-Ausgabe des Hegel-Schülers Johann Eduard Erdmann publiziert. Schon im Jahre 1720 jedoch erschien eine deutsche Übersetzung der Monadologie von Heinrich Köhler, gefolgt im Jahre 1721 von einer anonymen Übersetzung ins Lateinische, veröffentlicht in den Leipziger Acta Eruditorum. Was Antonio Lamarra, Roberto Palaia und Pietro Pimpinella vorlegen, ist ein Vergleich der beiden frühen Übersetzungen mit dem Original.
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Haec est logica nostra : le concept de ressemblance dans la pensée de Bonaventure. / Haec est nostra logica : the concept of ressemblance in Bonaventure's toughtSolignac, Laure 02 February 2011 (has links)
Comment définir la déroutante pensée de Bonaventure ? Étienne Gilson y voyait à l’œuvre une « logique de l’analogie », tandis que Hans Urs von Balthasar la présentait comme une « monadologie sans harmonie préétablie ». Dans les deux cas, c’est l’expressionnisme du Docteur séraphique qui se trouve mis en valeur : les créatures représentent leur Créateur par tout leur être, et le Créateur lui-même exprime ses créatures. Toutefois, cet expressionnisme universel et divin n’est que la face visible d’une structure dynamique et tripartite plus vaste que l’on peut appeler, en s’appuyant sur d’importantes déclarations de Bonaventure, la logique de la ressemblance. S’émancipant des restrictions et des interdits dionysiens et augustiniens, Bonaventure a étendu le champ sémantique et conceptuel de similitudo en réunissant sous ce vocable toutes les entités « mineures », c’est-à-dire tous les êtres dépendant radicalement d’une origine qu’ils expriment et vers laquelle ils reconduisent ou sont reconduits : le Fils, les créatures images, les créatures vestiges, les espèces sensibles, etc. Dans ce dispositif dont l’homme et le Christ occupent le centre, c’est la réconciliation du ciel et de la terre, de Dieu et du monde, de la théologie et de la métaphysique, que Bonaventure donne à voir. / Bonaventure’s puzzling thought seems to challenge any attempt to define it. Étienne Gilson saw it as a « logic of analogy », while Hans Urs von Balthasar summed it up as a « monadology without preestablished harmony ». Both of them thus emphasize the seraphic Doctor’s expressionism : each creature represents its Creator through its whole being, and the Creator himself expresses his creatures. However, this universal and divine expressionism is but the visible side of a dynamic and threefold structure that we suggest to call, according to several Bonaventure’s important texts, the logic of resemblance. Liberating himself from Dionysian and Augustinian restrictions and proscriptions, Bonaventure broadened the semantic and conceptual field of similitudo by gathering in this noun all « minor » entities, i.e. all beings that completely depend on an origin that they express and towards which they lead or are led back : these are the Son, the image creatures, the vestige creatures, the sensible likenesses (species), etc. Throughout this device, whose center is occupied by the human being and Christ, Bonaventure makes us see the reconciliation of heaven with earth, of the world with God, of theology with metaphysics.
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Nouvel éclairage sur la notion de concept chez Gödel à travers les Max-Phil / A new insight into Gödel's notion of concept through the Max-PhilMertens, Amélie 12 December 2015 (has links)
Notre travail vise à étudier les Max-Phil, textes inédits de Kurt Gödel, dans lesquels il développe sa pensée philosophique. Nous nous intéressons plus spécifiquement à la question du réalisme conceptuel, position déjà défendue dans ses écrits publiés selon laquelle les concepts existent indépendamment de nos définitions et constructions. L’objectif est de montrer qu’une interprétation cohérente de ces textes encore peu connus est possible. Pour ce faire, nous proposons une interprétation de certains passages, interprétation hypothétique mais susceptible d’apporter de nouveaux éléments à des questions laissées sans réponse par les textes publiés, telles celles relatives au réalisme conceptuel. Cette dernière position ne peut être comprise que par un éclairage de la notion de concept chez Gödel. Les concepts sont des entités logiques objectives, au cœur du projet d’une théorie des concepts conçue comme une logique intentionnelle et inspirée de la scientia generalis de Leibniz. L’analyse des Max-Phil souligne que la notion de concept et la primauté du réalisme conceptuel sur le réalisme mathématique ne peuvent se comprendre qu’à la lumière du cadre métaphysique que se donne Gödel, à savoir d’une monadologie d’inspiration leibnizienne. Les Max-Phil offrent ainsi des indices sur la façon dont Gödel reprend et modifie la monadologie de Leibniz, afin, notamment, d’y inscrire les concepts. L’examen de ce cadre métaphysique tend également à éclaircir les rapports entre les concepts objectifs, les concepts subjectifs (tels que nous les connaissons), et les symboles (par lesquels nous exprimons les concepts), mais aussi les rapports entre logique et mathématiques. / Our work aims at studying the unpublished texts of Kurt Gödel, known as the Max-Phil, in which the author develops his philosophical thought. This study follows the specific issue of conceptual realism which is adopted by Gödel in his published texts (during his lifetime or posthumously), and according to which concepts are independent of our definitions and constructions. We want to show that a consistent interpretation of the Max-Phil is possible. To do so, we propose an interpretation of some excerpts, which, even if it is only hypothetical, can give new elements in order to answer open questions of the published texts, e.g. questions about conceptual realism. This last position is not understandable without explaining Gödel’s notion of concept. For him, concepts are logical and objective entities, and they are at the core of a theory of concepts, which is conceived as an intensional logic, following Leibniz’s scientia generalis. The analysis of the Max-Phil underlines that we can understand the notion of concept and the primacy of conceptual realism over mathematical realism only in the light of Gödel’s metaphysical frame, i.e. of a monadology inspired by Leibniz. Thus the Max-Phil shows how Gödel reinvestigates Leibnizian monadology, and offers some clues on the modifications he makes on it in order to include concepts. The examination of this metaphysical frame tends to elucidate the relationships between objective concepts, subjective concepts (as we know them) and symbols (through which we express concepts), and also the relationship between logic and mathematics.
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