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Die Burggrafschaft Altenburg : Studien zu Amt und Herrschaft im Übergang vom hohen zum späten Mittelalter /

Thieme, André, January 2001 (has links)
Texte remanié et abrégé de: Diss.--Philosophische Fakultät--Dresden--Technische Universität, 1999/2000. / Bibliogr. p. 605-644. Index.
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Adel und Kirche in der Grafschaft Armagnac : das cluniacensische Priorat Saint-Jean-Baptiste de Saint-Mont (1036-1130) /

Averkorn, Raphaela. January 1997 (has links)
Texte remanié de: Diss.--Philosophische Fakultät--Münster--Westfälische Wilhelms-Universität, 1990. / Contient des pièces annexes en latin. Bibliogr. p. 387-414. Index.
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Patrizi e bottegai a Siena sotto Napoleone : il notabilato urbano di primo Ottocento nell'economia, nella politica e nell'amministrazione /

Vigni, Laura, January 1997 (has links)
Texte remanié de: Th. dott.--Storia urbana e rurala--Perugia, 1994. Titre de soutenance : Notabili e ceti dirigenti a Siena in età napoleonica (1808-1814). / Bibliogr. p. 279-300. Index.
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Wider den Erbfeind christlichen Glaubens : die Rolle des niederen Adels in den Turkenkriegen des 16. Jahrhunderts /

Liepold, Antonio, January 1900 (has links)
Texte remanié de: Diss.--Fachbereich Geschichtswissenschaft--Universität Mainz, 1995. / Bibliogr. p. 452-480.
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Das Niederrheinisch-Westfälische Reichsgrafenkollegium und seine Mitglieder : 1653-1806 /

Arndt, Johannes. January 1991 (has links)
Diss.--Fakultät für Geschichtswissenschaften--Bochum--Ruhr-Universität, 1987.
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Campagnes et monts de Tolède du XIIe au XVe siècle /

Molénat, Jean-Pierre. January 1997 (has links)
Texte remanié de: Th. d'État--Hist.--Paris 4, 1991. / Bibliogr. p. 627-661. Index.
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Plaisir et Pouvoir. Usages des récits chevaleresques à l'âge classique / Pleasure and power. The use of chivalric tales in the classical period

Roussillon, Marine 11 June 2011 (has links)
En montrant la présence d’un imaginaire médiéval dans la production littéraire des années 1600-1750 et en étudiant ses usages, cette thèse rend visible la construction d’un imaginaire moderne et galant utilisé pour susciter l’adhésion au pouvoir, en particulier dans le cadre d’une redéfinition de la noblesse.L’étude d’une fête de cour et d’un traité historique présente d’abord les enjeux politiques de la mise en récits du passé médiéval : il s’agit de figurer les origines et les valeurs de la monarchie. La deuxième partie étudie la construction narrative du passé médiéval à partir du corpus des récits chevaleresques, tel qu’il a été constitué par les pratiques éditoriales et critiques depuis la fin du Moyen Âge. Le recensement des récits chevaleresques tout au long de l’âge classique et l’étude chronologique de ce corpus, de ses métamorphoses et de ses dynamiques, fait apparaître la deuxième moitié du XVIIe siècle comme une période charnière.Les trois parties suivantes reviennent sur cette période à partir d’études de cas (la production d’un imprimeur, un traité des tournois, des épopées chrétiennes…) associant l’analyse textuelle, l’étude d’images et la construction de contextes. Elles montrent comment une interprétation moderne de la tradition chevaleresque a été construite par les milieux lettrés (dans les années 1640 et 1650), puis appropriée par le pouvoir dans le cadre de la politique de la gloire (1664-1674), avant d’étudier son devenir à la fin du siècle dans les genres nouveaux de l’opéra et du conte de fées. Pour finir, un épilogue met en perspective les récits chevaleresques avec d’autres textes figurant les valeurs de la noblesse et ses relations avec le roi. / By demonstrating the presence of medieval imagery in the literary production of 1600-1750, andstudying how this trope is employed, this thesis reveals the construction of a modern, gallant ideology,used to incite belief in and support for political power, especially through a redefinition of nobility.The initial study of a courtly festival and an historical treatise sets out the political questions raised by this storytelling about the medieval past: namely, a representation of the origins and the values of the monarchy.The second section studies the narrative construction of this medieval past, beginning from thecorpus of chivalric tales, as constituted by editors and critics since the late Middle Ages. An analysis of chivalric tales throughout the classical period, and the chronological study of this corpus, its metamorphoses and its dynamic, reveal the second half of the XVIIth century as a pivotal moment.The following three sections return to this period with a series of case studies (the production of a printer, a tournament treatise, Christian epics etc), combining close textual analysis, the study of images and contextualisation. They show how a modern interpretation of the chivalric tradition was first constructed by the literary world (in the 1640s and 1650s) then appropriated by political power to support its politics of glory (1664-1674), before moving on to study its fate at the end of the century, in the new genres of opera and fairy tales. To conclude, an epilogue puts chivalric tales into context alongside other texts representing the values of the nobility and its relationship with the king.
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Mariage et altérité : les alliances mixtes chez la noblesse canadienne après la Conquête (1760-1800)

Pépin, Karine January 2016 (has links)
Le 8 septembre 1760, la Nouvelle-France s’incline devant son opposant, la Grande-Bretagne, après six années de conflits armés. La fin des hostilités en Europe, concrétisée par la signature du traité de Paris le 10 février 1763, marque un tournant pour les habitants de la vallée du Saint-Laurent qui ont désormais un nouveau souverain. Le changement de régime est lourd de répercussions, particulièrement pour la noblesse canadienne. Étant donné qu’ils sont dépendants des dirigeants afin d’obtenir des postes de choix, les membres de ce groupe privilégié ayant décidé de rester dans la colonie doivent s’adapter s’ils désirent maintenir leur statut social. L’arrivée des nouvelles élites militaires, administratives et commerciales britanniques oblige la noblesse à se renouveler. Les familles nobles ont-elles usé de stratégies matrimoniales en mariant leurs enfants à des individus non francophones dans le but de se rapprocher des autorités? En contrepartie, ces alliances interethniques ont-elles permis aux conjoints « étrangers » de s’insérer dans les réseaux seigneuriaux? Les unions mixtes impliquant un membre de la noblesse sont peu nombreuses (38) et concernent surtout les filles nobles. La présence de fils nobles n’est pas pour autant inexistante, bien que les comportements de ceux-ci se distinguent de leurs compatriotes féminines. Ayant des caractéristiques hétérogènes, les mariages mixtes perpétuent tout de même les pratiques en place sous le régime français, notamment sur le plan sociodémographique. Les parcours religieux variés sont toutefois le reflet de la période de transition que constitue la deuxième moitié du XVIIIe siècle. Sur le plan socioprofessionnel, les conjoints non francophones ont relativement bien tiré profit de leur alliance avec une noble canadienne, contrairement aux pères nobles. Malgré leur nombre restreint, l’étude des mariages mixtes permet de documenter un phénomène jusque là méconnu, en plus d’approfondir les connaissances en histoire de la famille et du genre pour les quarante années qui suivent la Conquête.
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Les hôtels aristocratiques à Bruxelles (1600-1730): Etude sociale, spatiale, économique et symbolique d'un enracinement nobiliaire en ville

Guri, Shipé 23 October 2019 (has links) (PDF)
La présente étude interroge le processus d’ancrage de la noblesse titrée, aussi connue sous le syntagme « noblesse de cour » à partir du XVIIe siècle, dans la ville de Bruxelles. Ce rapport est étudié par le biais résidentiel matérialisé par l’hôtel aristocratique. Par là, nous postulons qu’un basculement vers la résidentialité urbaine s’est produit au sein de cette noblesse à partir du XVIIe siècle durant un processus qui l’a enracinée durablement dans la ville, devenue son séjour de prédilection. Nous postulons également que l’hôtel a joué, en la matière, un rôle majeur, devenant un point d’arrimage pour une haute noblesse encore très mobile.Pour mettre en exergue la place de l’hôtel dans ce basculement, nous en proposons une définition intégrée qui le positionne dans le mode de vie et l’identité nobiliaire, dans l’espace urbain, dans la sphère sociale et économique. Cette définition intégrée ne peut se réaliser qu’au prix d’une double lecture qui se traduit par le versant matériel et le versant social de l’hôtel. Les schémas résidentiels de la noblesse se déploient sur un espace élargi et selon des impératifs divers, révélant une mobilité aiguë qui se maintiendra tout au long du XVIIe siècle. C’est pourquoi la possession d’hôtels à Bruxelles depuis la fin du XVe ou le XVIe siècle n’équivaut pas pour autant à une fréquentation intensive de la ville par les grandes lignées de la cour bourguignonne. Par la sédentarisation définitive de la cour, Bruxelles tend néanmoins à prendre une place prépondérante à l’extrême fin du XVIe siècle. Ce statut et le développement démographique et économique concomitant de la ville vont accroître son attrait pour en faire progressivement le lieu de résidence principal de la majorité de la noblesse titrée.Les caractéristiques de l’hôtel de la période moderne révèlent beaucoup de la façon dont la noblesse va s’approprier la ville. L’hôtel se compose de plusieurs corps bâtis (corps de logis, dépendances) et d’espaces non-bâtis (cours et jardins), parcelles souvent acquises progressivement dans un environnement urbain déjà dense. L’emprise foncière de la noblesse se développe sur des pans considérables et la met sur le même pied que les institutions publiques ou les établissements religieux. L’hôtel exprime l’ambivalence des rapports de la noblesse avec la ville :s’intégrer dans le tissu urbain tout en le dominant et en conservant une distance marquant la différence de condition. Ses espaces intérieurs sont à l’avenant, s’assortissant d’un minimum d’une trentaine de pièces dont la spécialisation se confirme en résonance avec les nouvelles fonctionnalités apparues dans les hôtels français.Ces vastes intérieurs se prêtent aisément à la constitution de plusieurs unités résidentielles occupées par plusieurs ménages de la même famille ou pas. A cet égard, il y a lieu de souligner l’intensité du phénomène de la location pratiquée sur l’entièreté ou une partie des hôtels. Dans un marché immobilier aussi réduit que celui des hôtels, toutes les familles ne peuvent accéder à la propriété. L’enjeu économique y prend une part non-négligeable. Certes, le prix d’un hôtel ne pèse pas lourd dans le patrimoine global de la noblesse mais celui-ci se trouve de plus en plus obéré au cours du XVIIe siècle, au fur et à mesure des conflits armés et de l’endettement des familles. C’est pourquoi employer l’hôtel comme outil de crédit ou comme investissement est largement pratiqué par la haute noblesse, à l’instar de la bourgeoisie bruxelloise. Les relations qui s’établissent entre ces deux groupes sociaux notamment autour de l’hôtel en tant que bien immobilier sont multiples et prennent la forme de la rente, de la caution, de la location comme de l’achat. La consommation courante comme celle de luxe ont souvent été la première amorce de ces relations. L’enracinement nobiliaire se produit, par conséquent, aussi économiquement parlant.Si l’hôtel se fait facilement objet économique, si les droits seigneuriaux ne s’attachent pas à lui, il y a lieu de s’interroger sur la valeur symbolique que la noblesse lui accorde. En être propriétaire ne constitue pas un impératif absolu de l’identité nobiliaire en ville. Il suffit d’en être occupant et démontrer à tous la nécessité de disposer d’un espace vaste permettant d’abriter famille, domestiques, chevaux et voitures, insignes reflétant sa condition. Être propriétaire d’un hôtel conserve une aura de prestige auquel nombre de nobles se sont résignés à renoncer. Cependant cela ne les empêche guère de pratiquer une sociabilité axée sur l’ostentation au travers des fêtes, des dîners et des bals. Les visites, manifestation ordinaire de la sociabilité de la bonne société, représentent sans doute la manifestation la plus visible des conséquences de l’ancrage urbain. C’est au XVIIe siècle que se développent ces pratiques sociales facilitées par une proximité géographique entre membres de la noblesse jamais égalée jusque-là. Le parachèvement de l’enracinement urbain de ce groupe social s’exprime de cette manière-là également.En dépit des idées reçues liées à l’hôtel, à aucune autre période, il n’a été mieux associé à l’aristocratie en Europe. Dans les Pays-Bas autrichiens, ce sera également le cas avant que les hôtels ne soient également convoîtés par une noblesse récente et par les institutions de l’Etat, ce qui augure des conversions ultérieures de l’hôtel. / Doctorat en Histoire, art et archéologie / info:eu-repo/semantics/nonPublished
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Drôlerie et noblesse : l'esthétique et l'éthique du corps des aristocrates à l'épreuve des dramaturgies comiques et tragi-comiques du XVIIe siècle français / Drollery and nobility : the esthetics and the ethics of the aristocratic body to the test of comic and tragi-comic seventeenth century French dramaturgies

Jaziri, Anissa 15 January 2019 (has links)
Alors que le corps des gens du peuple a inspiré beaucoup d'approches sociologiques et anthropologiques, notre recherche s’est focalisée sur les images du corps des personnages issus de l’aristocratie données par les dramaturgies comiques et tragi-comiques du XVIIe siècle français. Si la présence souvent héroïsée de cette catégorie sociale est de mise dans le genre dit « noble » de la tragédie, elle est, et selon une longue tradition aristotélicienne, bannie du genre comique considéré comme plus susceptible à accueillir le médiocre, voire le laid, physique et moral et de considérer les choses du corps.Basée sur un corpus d’une soixantaine de comédies et tragi-comédies datant de 1629 à 1690, notre étude des représentations des nobles a permis de dégager une esthétique toute particulière de leurs aspects physiques et de nous interroger sur la compatibilité entre ces personnages d'"honnêtes hommes" à ce point idéalisés et le rire. Cependant, pour mieux dire la présence plaisante du corps noble sur scène, nous avons recouru à une notion moins franche que celle de comique, celle de la drôlerie, qui réside entre l’agrément de la célébration des beautés des aristocrates concernés par l’action et la conscience plaisante des excès de cette perfection, entre la déconcertante inventivité, voire la grandeur, des nobles qui se déguisent et les éclats de rire qu'inspirent certains de leurs défauts/défaillances corporels, naturels ou acquis, entre le spectacle amusé de leur sensualité peu contrariée ou désinvolte, l’exultation suscitée par leur libertinage militant, qui fait réfléchir, et une sorte de malaise devant le cynisme de quelques-uns, entre l'admiration des talents de comédiens permettant les bons tours, grâce à une belle dextérité gestuelle, et la jubilation qu’inspire la réussite des protagonistes bien nés. Affleure souvent une certaine gravité des enjeux, quand il s'agit des désirs de liberté qu’expriment les corps sur scène, surtout lorsqu'on a affaire à des femmes, quand sont représentés des excès violents ou encore des comportements hypocrites. Autant d'impressions fort riches qu'amplifie la mise en espace et en voix par des comédiens qui laissent aussi entendre une sorte de mystère des mots. Toutes les nuances de la drôlerie, d'un comique qu'on perçoit comme un peu étrange, semblent avoir été expérimentées par nos poètes dramatiques pour faire accéder les nobles à la scène comique et, un temps, au genre mêlé de la tragi-comédie." / While the body of the common people has inspired many sociological and anthropological approaches, our research has focused on the study of the body image of aristocratic characters in french seventeenth century comic and tragic dramaturgies.Although the often heroic presence of this social category is part of the so-called "noble" genre of tragedy, it is, and according to a long Aristotelian tradition, banned from the comic genre considered more susceptible to the mediocre, even the ugly, physical and moral, and to consider things of the body. Based on a corpus of sixty comedies and tragicomedies dating from 1629 to 1690, our study of the physical images of the nobles then leads to a particular aesthetic that makes us question the compatibility between the often idealizing representation of the "honest men" and laughter. However, to highlight the pleasant presence of the noble body on stage, we referred to a more subtle notion than the comic, that of the drollery which lies between the approval of the celebration of the beauties of the aristocrats concerned by the action and the pleasant awareness of the excesses of this perfection, between the disconcerting inventiveness, even the grandeur, of the nobles who disguise themselves and the bursts of laughter inspired by some of their bodily or natural defects or failures, between the amused spectacle of their sensuality little annoyed or casual, the exultation aroused by their militant libertinism, which makes you think, and a kind of unease in front of the cynicism of the few, between the admiration of the talents of actors allowing good tricks, thanks to a beautiful gestural dexterity, and the jubilation inspired by the success of well-born protagonists. The stakes become even higher when it comes to the desire for freedom that the bodies express on stage, especially those of women when violent excesses or hypocritical behavior are represented. So many rich impressions that amplifies the setting in space and in voice by actors who also let hear a kind of mystery of the words. All the shades of drollery, of a comic that we perceive as a little strange, seem to have been experienced by our dramatic poets to bring the nobles to the comic scene and, at one time, to the mixed genre of tragi-comedy.

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