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Du spectateur à l'usager : les objets médiateurs dans la construction sociale des technologies du virtuelDozois, Martin January 1997 (has links)
Mémoire numérisé par la Direction des bibliothèques de l'Université de Montréal.
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Art et utopie dans le cinéma d'Andreï TarkovskiPelletier, Vicky January 2005 (has links)
Mémoire numérisé par la Direction des bibliothèques de l'Université de Montréal.
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Les marques de la subjectivité du réalisateur dans les films documentaires sur des artistesLépine, Marie-Hélène January 2008 (has links) (PDF)
L'objet d'étude de ce mémoire est la présence de marques de la subjectivité du réalisateur dans les films documentaires portant sur des artistes. Je base cette subjectivité principalement sur les prises de position et l'opinion du cinéaste face à son sujet. Dans cette perspective, l'influence du réalisateur sur la présentation d'un portrait cinématographique d'un artiste est alors analysée selon le traitement de celui-ci dans le cadre d'une oeuvre documentaire. Dans un premier temps, les problématiques reliées à la pratique documentaire sont mises en évidence, puis juxtaposées à l'idée du portrait et de la figure de l'artiste, afin d'établir le questionnement de base de ce projet de recherche. Effectivement, en observant les rapports entre les discours de vérité et les discours subjectifs que l'on retrouve au coeur de la pratique documentaire, ainsi que dans la reproduction d'une image à la fois physique et psychologique d'une personnalité, on peut se demander s'il est réellement possible de dissocier objectivité et subjectivité lors de cette constitution du portrait de l'artiste. De plus, comme la réalisation d'un film demande une attitude esthétique face à la composition à la fois visuelle et sonore de celui-ci, le cinéaste agrémente le fil conducteur du film par toutes sortes de subterfuges cinématographiques. Dans le cadre de cette recherche, je distingue trois catégories principales où la présence du réalisateur peut se faire visible, soit dans la construction d'un récit autour d'un sujet tiré de la réalité, dans la présentation des images au coeur d'un montage ainsi que dans la création d'un univers sonore. Les films Barbeau, libre comme l'art de Manon Barbeau, À la recherche de Louis Archambault de Werner Volkmer et Pellan d'André Gladu sont alors analysés selon ces trois critères. Les marques de leur subjectivité sont alors mises en évidence à la fois par l'analyse qui est menée, mais aussi par le fait qu'elles se présentent de façons bien différentes d'un film à l'autre. Ainsi, notre approche conclut que la présence de la subjectivité du réalisateur dans la constitution d'un portrait cinématographique ne se fait pas au détriment de la volonté d'objectivation qui se trouve à l'origine de la pratique documentaire. Au contraire, elle permet plutôt de mettre en évidence des aspects singuliers de la figure de l'artiste, qui ont été observés par le cinéaste lors de sa recherche. ______________________________________________________________________________ MOTS-CLÉS DE L’AUTEUR : Subjectivité, Documentaire, Réalisateur, Portrait, Artiste.
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Entre contorsion et écriture scénique : la prouesse comme technique évocatrice de sensLeclerc, Andréane 04 1900 (has links) (PDF)
Étant donné les origines ancestrales des disciplines qui le composent, le cirque possède une tradition séculaire. La prouesse est ce qui constitue l'essence de cet art et elle en organise, par le fait même, le langage acrobatique. En raison de la charge de risque qui lui est inhérente, rarement a-t-elle été remise en question. Toutefois, le sensationnalisme empêche qu'un rapport plus sensible puisse être créé avec le spectateur, car il fait écran à un possible devenir dramaturgique de la prouesse. Dans ce mémoire-création, nous nous sommes demandé si le corps circassien, en l'occurrence celui de la contorsion, jusqu'alors dédié à l'art du spectaculaire, pouvait être un véhicule et une matière apte à soutenir un propos cohérent, dans le contexte d'une représentation. Cet essai effectue, dans un premier temps, une mise en contexte historique et esthétique de la prouesse circassienne spectaculaire. Ensuite, nous examinons plus précisément le corps de contorsion : nous abordons cette discipline circassienne telle qu'elle est enseignée et apprise dans les écoles de cirque, c'est-à-dire selon une technique corporelle précise et transmissible. Cette réflexion sur la discipline sert de tremplin pour notre recherche, dont l'objectif est de déconstruire le système qui constitue la contorsion, afin de s'éloigner de l'écran spectaculaire associé à la prouesse. Cette déconstruction de la prouesse de contorsion nous a permis d'élaborer un nouveau langage physique, davantage autonome sur le plan de l'évocation artistique, et apte à ouvrir un espace sensible pour les spectateurs. Dès lors, nous avons cherché, pour notre essai scénique, à écrire le corps de contorsion, de façon à ce que ce dernier stimule un imaginaire et génère des interprétations possibles, à partir de la forme présentée. La contorsion permet ici de créer une dramaturgie du corps fondée sur le devenir-animal du corps, et de rapprocher, par la contorsion, l'acrobate du spectateur, plutôt que de garder un rapport spectaculaire.
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MOTS-CLÉS DE L’AUTEUR : contorsion, dramaturgie, prouesse, devenir-animal, cirque
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L'artiste aux prises avec la société et l'histoire dans l'œuvre de Pierre Michon / Artiste struggling with society and history in the work of Pierre MichonNabavi, Seyed Mohammad Nasser 21 September 2018 (has links)
Cette thèse porte sur le thème de l’artiste dans l’œuvre de Pierre Michon. L’artiste comme pratiquant d’une carrière liée à la création (picturale, poétique, musicale, etc.) est une figure compliquée, car il habite à la lisière d’un monde intérieur propre à lui seul et de l’univers socio-historique qui l’entoure et qui oriente ses essais. Ayant beaucoup écrit sur les peintres et les écrivains Michon est l’un des auteurs contemporains qui ont largement traité le processus labyrinthique du devenir-artiste. D’ailleurs, la question de l’artiste chez cet auteur ne peut être abordée qu’en compagnie des aspects socio-historiques de son œuvre. Ainsi, notre objectif durant ce travail consiste à analyser la formation de l’artiste, de même que le rôle crucial que jouent les instances socio-historiques dans le devenir-artiste, à partir de l’œuvre de Michon, afin de formuler le point de vue de cet auteur en ce qui concerne les diverses dimensions de la création artistique. / This thesis focuses on the theme of the artist in the works of Pierre Michon. The artist as a practitioner of a career linked to creation (pictorial, poetic, musical, etc.) is a complicated figure, because he lives on the edge of an inner world proper to himself and of the socio-historical world that surrounds it and that guides its trials. Having written extensively about painters and writers, Michon is one of the contemporary writers who has widely dealt with the labyrinthine process of becoming-artist. Moreover, the question of the artist in this author can only be approached in the company of the socio-historical aspects of his works. Thus, the objective of this work is to analyze the formation of the artist, as well as the crucial role played by the socio-historical bodies in the becoming-artist, in the works of Michon, in order to formulate the point of view of this author with regard to the various dimensions of artistic creation.
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L'esthétique relationnelle : une étude de cas : les actions artistiques de Sylvie CottonFullum-Locat, Geneviève January 2007 (has links) (PDF)
Cette recherche propose une enquête sur cinq oeuvres de Sylvie Cotton réalisées à Montréal entre 1998 et 2006. Cette recherche démontre que ces dernières relèvent de la théorie de l'« esthétique relationnelle », une pratique artistique en arts visuels où la rencontre fait office d'oeuvre; théorie formulée en 1998 par le théoricien de l'art Nicolas Bourriaud et rééditée en 2002 dans l'ouvrage Esthétique relationnelle. Cette enquête met de l'avant le thème de la communauté dans trois actions artistiques et, le thème de la relation interpersonnelle, dans deux autres. Elle définit, pour chacune des cinq actions, le « modèle de socialité » en relevant les notions de collaboration et de proximité. Pour ce faire, elle exhibe le caractère social et communicatif de la rencontre entre l'artiste et le participant comme faisant indéniablement partie du tissu de l'oeuvre. Elle relève les attraits tactiles et kinesthésiques de la rencontre. De plus, cette recherche établit un rapprochement entre l'art et la vie comme principe fondamental du processus artistique en démontrant comment s'opère le modelage de l'oeuvre par l'entremise du participant. Cette recherche fut élaborée par une enquête exhaustive recueillant le témoignage de l'artiste, son intention, et celui de 16 participants. Nous les avons interrogés sur la façon dont ceux-ci on perçu leur collaboration et proximité au projet artistique. Ce travail d'enquête demeure la trace conservée de ces actions qui, sans ça, seraient vouées à l'oubli à cause de leur caractère éphémère. En définitive, cette recherche démontre que le caractère participatif de l'oeuvre constitue le lien social par lequel se construit l'oeuvre. Ces expériences artistiques qui véhiculent le « modèle de socialité » émettent une limite envers l'élaboration d'une possible communauté, car celles-ci exigent la collaboration soutenue entre les participants et l'intention de l'artiste. Puisque ces actions laissent beaucoup de place à la spontanéité et à l'imprévu, l'intention initiale de l'artiste devient arbitraire dans le jeu des rencontres. En contrepartie, la relation interpersonnelle agit, elle, comme principe même du lien social car, c'est grâce à ce lien que l'oeuvre prend réellement forme. ______________________________________________________________________________ MOTS-CLÉS DE L’AUTEUR : Sylvie Cotton, Esthétique relationnelle, Art et public.
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Importance de l'attaché de presse dans la gestion d'une rumeur chez un artisteDuguay, Caroline January 2009 (has links) (PDF)
Dans ce mémoire, l'auteure tente d'expliquer le phénomène de la rumeur dans le domaine artistique. Elle utilise comme axe principal l'influence de l'attaché de presse sur le positionnement médiatique de l'artiste aux prises avec une rumeur. Elle explore donc la perception qu'ont les artistes de l'importance du travail des attachés de presse dans la gestion des rumeurs les concernant. La rumeur est une co-construction entre les divers acteurs sociaux que sont les artistes, les fans, les médias et les attachés de presse. L'hypothèse de départ propose que la présence d'un attaché de presse contribue à diminuer l'impact négatif d'une rumeur sur la carrière d'un artiste. L'auteure a donc mené son étude de manière à cerner cette problématique en analysant les rôles et les responsabilités de chacun des acteurs sociaux dans la transmission de la rumeur, et ce, de son point d'origine jusqu'à ce qu'elle s'éteigne. Afin d'y parvenir, l'auteure a utilisé une méthode mixte qualitative de cueillette de données lui permettant d'interroger des artistes, dans le but de connaître leur perception par rapport aux différents acteurs sociaux engagés dans la transmission d'une rumeur, et des attachés de presse, pour comprendre leur importance dans la gestion des rumeurs chez les artistes. Les résultats obtenus ont permis de conclure que la présence de l'attaché de presse dans la gestion d'une rumeur concernant un artiste est importante, voire primordiale. Elle aide à la fois à réduire l'impact négatif que la rumeur pourrait avoir sur la carrière de l'artiste, en plus de lui permettre de se concentrer sur ses engagements professionnels. ______________________________________________________________________________ MOTS-CLÉS DE L’AUTEUR : Rumeur, Artiste, Relations publiques, Attaché de presse, Culturel, Agent d'artistes.
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L'intégration de la dimension créatrice dans la pratique pédagogique d'une enseignante en arts visuelsBenoit, Danielle 06 1900 (has links) (PDF)
Cette recherche prend naissance avec la remise en question professionnelle d'une enseignante spécialisée en arts plastiques. Après une douzaine d'années dans l'enseignement au niveau secondaire, une enseignante constate que l'absence de la pratique créatrice s'avère un manque qu'il lui devient essentiel de combler. Ce constat nécessite une recherche de sens par rapport à la création et à la pédagogie. Effectivement, l'enseignement requiert beaucoup de temps et d'énergie, ce qui amène fréquemment les enseignants à mettre de côté la pratique créatrice. Plusieurs parmi eux témoignent avec émotion de cette situation. Le double rôle qu'essaient de jouer les enseignants ayant à cœur la poursuite d'une pratique créatrice est un sujet très actuel. Cette recherche raconte la démarche effectuée par une pédagogue afin de réintégrer la création dans sa vie. L'absence de la pratique créatrice engendre un déséquilibre au sein de l'identité de l'enseignante. « Suis-je une artiste, une enseignante ou une artiste-enseignante? » La raison profonde qui l'a amenée à l'enseignement des arts, soit la pratique de la création, n'est plus présente. Une quête de sens afin de trouver un équilibre identitaire se met en marche. C'est avec la méthodologie phénoménologique que se bâtit cette recherche. L'observation, à partir de diverses expériences effectuées sur une période de deux années, amène la pédagogue à se transformer. La méthode heuristique étroitement liée à la phénoménologie émerge comme étant le meilleur moyen de structurer les expériences et la réflexion. La métaphore du « voyage » permet de conceptualiser la recherche. Les concepts mis de l'avant dans cette recherche sont : la remise en question, l'identité, la création, la pédagogie, la formation et la communauté réfléchissante. L'objectif de cette démarche consiste, dans un premier temps, à réintégrer la pratique créatrice dans la vie d'une pédagogue. À l'aide de multiples expériences en création, les conduites créatrices se dévoilent et la confiance revient. Ensuite, des moyens sont mis de l'avant afin d'installer une continuité dans la pratique créatrice de l'artiste-enseignante. Cette dernière peut alors intégrer de nouvelles attitudes qui transforment sa pédagogie.
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MOTS-CLÉS DE L’AUTEUR : Artiste-enseignant, création, remise en question professionnelle, communauté réfléchissante, méthode heuristique.
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L'artiste au coeur des politiques urbaines pour une sociologie des ateliers-logements à Paris et en Ile-de-France / The artist and urban policies. Towards a sociology of studio-residence in Paris and in Ile-de-FranceBillier, Dominique 16 November 2011 (has links)
À travers la longue et complexe odyssée que traverse l'artiste, depuis la culture grecque antique jusqu'à nous, son atelier se révèle bien plus qu'un espace de travail. S'il est l'endroit où sont réalisées les images religieuses et politiques qui permettent à l'artiste de se distinguer de l'artisan, l?atelier, installé à proximité des cours royales ou du Vatican, devient un indice certes artistique, mais surtout social de son inscription dans la ville et dans la société. L'expulsion des artistes académiciens de la Grande Galerie du Louvre, au début du XIXe siècle finit par libérer l'artiste de ses liens avec l'académie et contribue à l'inscrire différemment dans la ville. Contrainte de s'installer « en ville », l'élite artistique se regroupe dans les quartiers habités par la bourgeoisie d'affaires. Les grands travaux de transformation que le baron Haussmann impose à Paris, déplace les plus démunis de sa population dont les artistes non reconnus. Tandis que la capitale ne cesse d'attirer les artistes étrangers. À la fin du XIXe et au début du XXe siècle, Montmartre et Montparnasse, récemment rattachés à la capitale, concentrent la vie artistique dans des cités improvisées. Inspirée des initiatives philanthropiques menées à l'égard des ouvriers, la Ville de Paris construit à ses portes des logements sociaux destinées aux employés et aux ouvriers entre les deux guerres. La politique de solidarité s'étend aux peintres et aux sculpteurs et elle est renforcée par l'action que le ministère des Affaires Culturelles engage dans les années 1960 auprès des artistes. Cette politique manifeste l'action de l'État-providence en faveur des artistes. La construction d'ateliers-logements dans les nombreux programmes de logements sociaux participe à la rénovation de Paris et de sa banlieue. L'atelier-logement, impliqué dans la ville devient un support de reconnaissance sociale de l'artiste professionnel. / Throughout the long and complex odyssey the artist has been traversing from the times of Ancient Greece to the present day his studio has been much more than just a site for work. If for a certain time it had been the place where images for religious and political practices were created allowing the artist to distinguish himself from the craftsman, his studio, located in the proximity of the royal courts or of the Vatican, had become a token of artistic activity but above all of his membership as a citizen of the township and of the society. When in early 19th century the artists, members of the Academy, were expelled from the Grand Gallery of Louvre it signified for them a liberation of their ties with the Academy and opened a new way to be part of the urban milieu. As a consequence, the artists had to settle «in town« the elite of them choosing to find foothold in the neighbourhoods inhabited by the bourgeoisie of business activities. The less fortunate popular strata, including the unrecognized artists, had to move away from the massive transformations of the urban infrastructure imposed by baron Haussman on the city of Paris. At the same time, Paris continued to attract artists from abroad. At the end of the 19th and in the beginning of the 20th century, the newly attached Montmartre and Montparnasse became the favoured neighbourhoods gathering artists living in improvised quarters. Inspired by the philanthropic initiatives benefiting the working population, the City of Paris started constructing between the wars social lodgings for employees and workers at the city's gates. This activity marked by solidarity was extended to include also painters and sculptors. It received new momentum in the 1960's by the Ministry of Culture in form of the actions it undertook in favour of artists. These activities were a concrete expression of the policy of the welfare state promoting the artists. In the housing renovation programmes in Paris and the nearby suburbs the construction of residential studios for artists was included in numerous social housing projects. A residential studio in the urban context became a basis of recognition for the professional artist.
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Den kvinnliga konstnärens övergång från amatör till professionell i Italien under början av 1900-talet. : De första kvinnliga utställningarna och en studie om Tyra Kleens nätverksrelation i Rom.Castrenzi, Chiara January 2022 (has links)
The essay describes the transition of female artists from amateur to professional through an analysis of female participation in professional exhibitions during the early 20th century in Italy. Specifically, it examines the history of the Società delle Artiste, the group of pioneers who want to identify themselves in the field of professional art, and the first two exclusively women's international exhibitions organized in Italy. Furthermore, this study contains the analysis of part of the Swedish artist Tyra Kleen's correspondence with two exponents of the Italian cultural elite, Arnaldo Cervesato and Sibilla Aleramo. The method of analysis used is discourse analysis in combination with Pierre Bourdieu's theory of cultural fields.The study identifies the factors behind the change in the status of female artists in Italy as a product of the influence of the phenomenon of female associations as promoters of the "new woman" and her social positioning as a useful and functional element in general modern renewal. The analysis of Tyra Kleen's correspondence confirms the importance of the relational network required for a female artist in Italy to establish herself and identifies the connections to the sphere of women's associations. / Uppsatsen beskriver kvinnliga konstnärers övergång från amatörmässigt till professionellt slag genom analys av kvinnligt deltagande i professionella utställningar under början av 1900-talet i Italien. Specifikt granskas historien om Società delle Artiste, den gruppen av pionjärer som vill legitimera sig inom området för professionell konst, och de två första exklusivt kvinnliga internationella utställningar som organiserats i Italien. Vidare innehåller denna studie analysen av en del av den svenska konstnären Tyra Kleens korrespondens med två exponenter för den italienska kultureliten, Arnaldo Cervesato och Sibilla Aleramo. Analysmetoden som används är diskursanalys i kombination med Pierre Bourdieus teori om kulturfält. Studien identifierar faktorerna bakom förändringen i status för kvinnliga konstnärer i Italien som en produkt av inflytandet från fenomenet kvinnliga föreningar som främjare av den "nya kvinnan" och hennes sociala positionering som ett användbart och funktionellt inslag i allmänn modern förnyelse. Analysen av Tyra Kleens korrespondens bekräftar vikten av det relationsnätverk som krävdes för att en kvinnlig konstnär i Italien skulle kunna etablera sig och identifierar kopplingarna till de kvinnliga föreningarnas sfär.
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