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Caractérisation du profil et de la modulation immunitaire et inflammatoire chez les femmes atteintes de la prééclampsie du post-partum

Kebiche, Yasmine 01 1900 (has links)
La prééclampsie du post-partum (PPPE) est une pathologie de grossesse qui se développe 48 heures à 6 semaines après l’accouchement, à la suite d’une grossesse d’apparence normale. Les symptômes cliniques de la maladie sont les mêmes que ceux de la prééclampsie (PE) antepartum, soit de l’hypertension et le dysfonctionnement d’au moins un organe. Lors d’une PE classique, le placenta joue un rôle prédominant dans le développement de la pathologie. Toutefois, le placenta ne peut expliquer l’étiologie post-partum de la maladie et, par conséquent, l’implication du système immunitaire maternel est potentiellement prédominant. Nous avons précédemment publié le profil immunitaire et inflammatoire spécifique dans une petite cohorte de patientes atteintes de PPPE. L’objectif de cette maîtrise était d'étendre ce travail et tenter de caractériser la modulation immunitaire et inflammatoire observée durant la pathologie, et ce par l’analyse des populations de cellules immunitaires, ainsi que par la mesure des médiateurs inflammatoires dans la circulation maternelle. Nous avons aussi analysé en détail le placenta pour déterminer la présence d’atteinte, ou non, et ainsi mieux comprendre la physiopathologie de la maladie. Dans ces travaux, nous avons démontré que les patientes atteintes de PPPE présentaient une incidence plus élevée d'antécédents d'hypertension et de prééclampsie, ainsi qu’un indice de masse corporelle avant grossesse élevé. Contrairement à nos travaux précédents, nous avons observé une diminution importante des monocytes en PPPE vs contrôle ainsi qu'une augmentation du pourcentage de cellules NK. De plus, l’analyse histologique des placentas a révélé des macrophages de type M2 élevés suggérant une initiation prénatale de la pathologie. En conclusion, les patientes atteintes de PPPE présentent des caractéristiques démographiques et un profil immunitaire distinct en comparaison aux femmes du groupe contrôle. Les résultats nous suggèrent qu'il s'agit d'une pathologie d’origine immunitaire, dans laquelle le placenta pourrait jouer un rôle dans la période prénatale bien que les signes cliniques ne deviennent apparents qu’après l'accouchement. / Postpartum preeclampsia (PPPE) is a pregnancy related pathology that develops 48 hours to 6 weeks after delivery, following a seemingly normal pregnancy. The clinical symptoms are the same as those of antepartum preeclampsia (PE), namely hypertension and end organ damage. In classic PE, the placenta plays a predominant role in the development of the pathology. However, unlike PE, the placenta cannot explain the postpartum etiology of the disease and, therefore, the involvement of the maternal immune system is potentially predominant. We have previously published a specific immune and inflammatory profile in a small cohort of patients with PPPE. The objective of this master’s degree was to extend this work and attempt to characterize the immune modulation observed during the pathology, by analyzing the populations of immune cells, as well as measuring inflammatory mediators in the maternal circulation. We also analyzed the placenta in depth to determine the presence or absence of damage, and thus better understand the pathophysiology of the disease. In this work, we demonstrated that patients with PPPE had a higher history of hypertension and preeclampsia, as well as a higher pre-pregnancy body mass index. Contrary to our previous work, we observed a significant decrease in monocytes in PPPE vs Ctrl as well as an increase in the percentage of NK cells. In addition, histological analysis of the placentas revealed elevated M2- type macrophages suggesting prenatal initiation of the pathology. In conclusion, patients with postpartum preeclampsia have distinct demographic characteristics and immune profile compared to women in the control group. The results suggest an immune involvement in the pathology, and a possible role of the placenta and a prenatal initiation of the disease, although the clinical symptoms only become detectable after delivery.
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Association entre une supplémentation en lévothyroxine pour l’hypothyroïdie à la fin de la grossesse et le risque d’accouchement prématuré

Laham, Maya 05 1900 (has links)
Introduction : Les troubles hypothyroïdiens au cours de la grossesse sont associés à des complications obstétricales et fœtales comme l’accouchement prématuré. Cependant, il n’est pas clair jusqu’à présent si leur prise en charge par la lévothyroxine affecte le risque d’accouchement prématuré. Méthodologie : Une étude cohorte a été conduite dans la Cohorte des grossesses du Québec en incluant des grossesses ayant une hypothyroïdie entre le 1er janvier 1998 et le 31 décembre 2015. Dans les analyses primaires, l’exposition à la lévothyroxine (oui/non), la durée totale d’exposition, la dose journalière moyenne et la dose cumulative dans les deux derniers mois avant l’accouchement (en cas d’accouchement prématuré) ou avant la 37e semaine de gestation (en cas d’accouchement à terme) ont été considérées. Dans les analyses secondaires, la dose de lévothyroxine avant et après le début du deuxième trimestre de gestation ont été comparées et les grossesses ont été catégorisées en un groupe pour lequel la dose était augmentée et un groupe pour lequel la dose était maintenue constante. Enfin, une exposition journalière à la lévothyroxine dépendante du temps a été considérée à partir de la 14e semaine de gestation jusqu’à l’accouchement (en cas d’accouchement prématuré) ou la 37e semaine de gestation (en cas d’accouchement à terme). L’accouchement prématuré a été défini par un accouchement avant la 37e semaine de gestation. Les accouchements à terme ont été censurés à partir de la 37e semaine de gestation, vu qu’ils n’étaient plus à risque d’accouchement prématuré par la suite. Les équations d’estimations généralisées et un modèle de Cox ajustés pour des facteurs de confusion potentiels ont été utilisés pour calculer les rapports de risque ajustés (RRa) et les rapports de risque instantanés ajustés (HRa), respectivement. Résultats : 9 489 personnes enceintes ayant une hypothyroïdie étaient incluses. Parmi elles, 6 667 (70.3 %) étaient exposées à la lévothyroxine dans les deux mois de la période d’intérêt. Après ajustement pour les facteurs de confusion potentiels, l’exposition à la lévothyroxine n’était pas associée au risque d’accouchement prématuré relativement à une absence d’exposition (RRa, 0.98; IC à 95%, 0.81 – 1.20). En plus, la durée d’exposition à la lévothyroxine (>= 30 jours: RRa, 0.99; IC à 95%, 0.81–1.21), la dose cumulative (>= 7 125 microgrammes: RRa, 0.97; IC à 95 %, 0.73– 1.27) et la dose journalière moyenne (> 125 microgrammes/jour: RRa, 0.95; IC à 95 %, 0.72-1.26) n’étaient pas associées au risque d’accouchement prématuré relativement à une absence d’exposition. Enfin, le risque n’a pas varié entre le groupe de grossesses qui a reçu une augmentation de dose et celui pour lequel la dose était maintenue constante (RRa, 0.84; IC à 95 %, 0.67-1.05). D’une manière similaire, le modèle de Cox considérant une exposition journalière à la lévothyroxine dépendante du temps n’a montré aucune association entre l’exposition et le risque d’accouchement prématuré (HRa, 0.95; IC à 95 %, 0.81–1.11). Conclusion : Une supplémentation en lévothyroxine à la fin de la grossesse auprès des personnes ayant une hypothyroïdie n’a pas été associée au risque d’accouchement prématuré. Par conséquent, la lévothyroxine peut être considérée pour réduire les complications de l’hypothyroïdie pendant la gestation. Mots-clés : troubles hypothyroïdiens, grossesse, lévothyroxine, accouchement prématuré. / Background: Hypothyroidism in pregnancy is associated with obstetrical and fetal complications such as prematurity. However, whether its management by levothyroxine affects the risk of prematurity is not yet clear. Methodology: We conducted a cohort study within the Quebec Pregnancy Cohort including pregnancies with hypothyroidism from January 1, 1998, through December 31, 2015. In primary analyses, we considered levothyroxine exposure (yes/no), total duration, mean daily dose and cumulative dose in the 2 months period before delivery (for preterm deliveries) or before 37th weeks’ gestation (for term deliveries). Secondly, levothyroxine dosage before and after the beginning of the second trimester were compared, and pregnancies were categorized in increased or constant dosage groups. Lastly, levothyroxine was also defined as a time-varying daily exposure from the 14th weeks’ gestation until delivery or 37th weeks’ gestation, whichever came first. Prematurity was defined as giving birth before the 37th weeks’ gestation. Term pregnancies were censored at 37th weeks’ gestation because they were no longer at risk of prematurity afterwards. Generalized estimating equations and Cox-proportional hazard models, adjusted for potential confounders, were used to calculate adjusted relative risks (aRRs) and hazard ratios (aHRs), respectively. Results: 9,489 pregnant individuals with hypothyroidism were included. Among them, 6,667 (70.3%) were exposed to levothyroxine in the 2-months time-window. Adjusting for potential confounders, no association was observed between levothyroxine exposure (aRR, 0.98; 95%CI, 0.81–1.20) and the risk of prematurity compared to non-exposed. Also, no association between levothyroxine duration (>=30 days: aRR, 0.99; 95%CI, 0.81–1.21), cumulative dose (>=7,125 micrograms: aRR, 0.97; 95%CI, 0.73–1.27) or mean daily dose (>125 micrograms/day: aRR, 0.95; 95%CI, 0.72-1.26) and the risk of prematurity was observed, compared to non-exposure. Finally, the risk of prematurity did not vary between increased or constant dosage groups (aRR, 0.84; 95% CI, 0.67-1.05). Similarly, time-varying exposure analysis did not show any association between levothyroxine exposure and the risk of prematurity (aHR, 0.95; 95%CI, 0.81–1.11). Conclusion: Levothyroxine supplementation in late pregnancy among individuals with hypothyroidism was not associated with the risk of prematurity. Hence, it may be considered as a safe treatment to reduce the complications of hypothyroidism during gestation.
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Impact du statut d’immigration sur le vécu des soins obstétricaux au Québec

Ammar, Rania 07 1900 (has links)
Mon mémoire est par article. Mon article a été soumis au Canadian Journal of Public Health et est actuellement en cours de révision. Je n'ai pas encore de réponse et je n'ai pas d'indication précise concernant les délais de traitement. / Contexte : Les soins obstétricaux non respectueux sont un phénomène de plus en plus reconnu partout dans le monde. Ce problème touche particulièrement les personnes appartenant à un groupe marginalisé, telles que les personnes immigrantes. Objectifs : Comparer l'expérience des soins obstétricaux au Québec entre les personnes immigrantes et celles nées au Canada, en identifiant les facteurs influents. Méthodes : Une enquête transversale a été menée auprès de personnes ayant reçu des soins obstétricaux au Québec entre 2016 et 2023. Beaucoup de démarches ont été effectuées en collaboration avec les partenaires du projet pour le recrutement des participants via les médias sociaux, en répondant au questionnaire en ligne entre juillet et décembre 2023. Les expériences de soins obstétricaux, y compris l'autonomie mesurée par l'échelle MADM (Mothers Autonomy in Decision Making Scale) et la maltraitance évaluée par l'indice MIST (Pregnant Persons Experience of Mistreatment by Providers Index), l'accès aux soins et la satisfaction envers le savoir-être du personnel soignant, ont été comparés entre les deux groupes. Résultats : Parmi les 686 participants, 11,2 % étaient des immigrants, dont 69 % ayant un statut permanent et 14,3 % avec un statut temporaire. Aucune différence significative n'a été trouvée dans l'échelle MADM entre les groupes (p = 0,903), mais les immigrants avec un statut temporaire étaient 9,25 fois plus susceptibles d'avoir une faible autonomie comparativement aux personnes nées au Canada (IC à 95% : 0,98 - 75,3, p = 0,044). Selon l'indice MIST, 28,6 % des immigrants ont signalé au moins une forme de maltraitance contre 35,8 % des personnes nées au Canada (p = 0,172). De plus, 9,1 % des immigrants ont payé les soins par des fonds personnels comparativement à 4,4 % des personnes nées au Canada (p = 0,173). La satisfaction à l'égard du savoir-être des professionnels de santé était similaire entre les groupes, mais une faible autonomie diminuait significativement cette satisfaction de 60 % (IC à 95% : 0,02 - 0,09, p < 0,001). Conclusion : L'étude révèle quelques différences dans l'expérience des soins obstétricaux entre les immigrants et les personnes nées au Canada, mettant en lumière les besoins spécifiques des immigrants. / Context: Disrespectful obstetric care is an increasingly recognized phenomenon worldwide. This issue particularly affects individuals belonging to marginalized groups, such as immigrants. Objectives: To compare the experience of obstetric care in Quebec between immigrants and individuals born in Canada, identifying the influencing factors. Methods: A cross-sectional survey was conducted with individuals who received obstetric care in Quebec between 2016 and 2023. Extensive efforts were made in collaboration with project partners to recruit participants via social media, who completed the online questionnaire between July and December 2023. Obstetric care experiences, including autonomy measured by the MADM (Mothers Autonomy in Decision Making Scale), mistreatment evaluated by the MIST (Pregnant Persons Experience of Mistreatment by Providers Index), access to care, and satisfaction with the interpersonal skills of healthcare staff, were compared between the two groups. Results: Among the 686 participants, 11.2% were immigrants, with 69% having permanent status and 14.3% having temporary status. No significant difference was found in the MADM scale between the groups (p = 0.903), but immigrants with temporary status were 9.25 times more likely to have low autonomy (CI: 0.98 - 75.3, p = 0.044). According to the MIST index, 28.6% of immigrants reported at least one form of mistreatment compared to 35.8% of individuals born in Canada (p = 0.172). Additionally, 9.1% of immigrants paid for care out of pocket compared to 4.4% of individuals born in Canada (p = 0.173). Satisfaction with the professionalism of healthcare professionals was similar between the groups, but low autonomy significantly decreased this satisfaction by 60% (CI: 0.02 - 0.09, p < 0.001). Conclusion: The study reveals some differences in the experience of obstetric care between immigrants and individuals born in Canada, highlighting the specific needs of immigrants.
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Analyse coût-utilité du dépistage de l’infection primaire à cytomégalovirus chez les femmes enceintes au Québec.

El Hachem, Gebrael 01 1900 (has links)
Contexte L'infection congénitale à cytomégalovirus (CMV) est la principale cause non génétique de déficience neurosensorielle. Bien que largement méconnues du grand public, ses manifestations néonatales ont un impact plus important que celui de nombreuses autres maladies pour lesquelles un dépistage prénatal est proposé. Actuellement, le dépistage prénatal de l'infection congénitale à CMV au Québec est basé sur l’échographie morphologique au deuxième trimestre. Cependant, l’échographie prénatale n'est ni un outil de dépistage sensible ni spécifique. Le dépistage sérologique est également possible : il permet d'évaluer le risque d'infection congénitale à CMV secondaire à une infection primaire à CMV, et de proposer une prophylaxie de la transmission verticale par antiviraux. Objectif Ce projet vise à comparer trois stratégies de dépistage pour évaluer si le dépistage sérologique universel de l'infection primaire à CMV pendant la grossesse est plus efficient en termes de ratio coût-utilité que le dépistage échographique prénatal seul ou le dépistage sérologique ciblé des femmes à haut risque. Méthodes Un modèle d'analyse décisionnelle et d'efficience a été élaboré, évaluant trois stratégies de dépistage pour une cohorte hypothétique de 80 000 naissances au Québec : le dépistage sérologique universel, le dépistage des femmes à haut risque uniquement, et le dépistage basé sur l'échographie prénatale seule. Les probabilités et les coûts ont été tirés respectivement de la littérature et des données nationales québécoises. Le principal résultat est exprimé en années de vie ajustées sur la qualité (QALY), avec un seuil de coût de 50 000 CAD par QALY perdu évité. Trois patients partenaires ont contribué à la conception de l'étude afin de cibler les critères d'utilité les plus pertinents. Résultats Dans le cadre de notre analyse comparative des différentes approches de dépistage, le dépistage universel s'avère plus efficace que le dépistage échographique et le dépistage ciblé sur les femmes à haut risque dans 95 % des cas. Dans les 5 % restants, le dépistage ciblé sur les femmes à haut risque est la meilleure stratégie de dépistage. Cette conclusion est également étayée par des analyses de sensibilité adaptées à diverses situations, y compris en l'absence d'efficacité du valacyclovir pour prévenir la transmission verticale. La mise en place de ce dépistage permettrait de prévenir 29 cas d'infection congénitale à CMV par an, avec un coût supplémentaire de 96 037,76 CAD par cas évité. Conclusion Le dépistage sérologique universel de l’infection primaire à CMV présente un rapport coût-utilité plus avantageux que la stratégie de dépistage standard au Québec, basée sur l'échographie morphologique. / Background Congenital Cytomegalovirus (CMV) infection is the primary cause of non-genetic sensorineural impairment in childhood. Although largely unknown to the public, its neonatal manifestations have a greater impact than many other diseases, for which prenatal screening is offered. Currently, prenatal screening for congenital CMV infection in Quebec is based on morphological ultrasound in the second trimester. However, prenatal ultrasound is neither a sensitive nor a specific screening tool. Serological screening is also possible: it allows for assessing the risk of congenital CMV infection following a primary CMV infection and to offer prophylaxis of vertical transmission with antivirals. Objective This project aims to compare three screening strategies to assess whether universal serological screening for primary CMV infection during pregnancy has a better cost-utility ratio than prenatal ultrasound screening alone or targeted screening of high-risk women. Study design A decision analysis and cost-effectiveness model was developed, evaluating three screening strategies for a hypothetical cohort of 80,000 births in Quebec: universal serological screening, screening of high-risk women only, and screening based on prenatal ultrasound alone. Probabilities and costs were derived from the literature and Quebec national data, respectively. The primary outcome is expressed in quality-adjusted life years (QALYs), with a cost threshold of 50,000 CAD per QALY lost avoided. Three patient partners contributed to the study design to target the most relevant utility criteria. Results In our comparative analysis of different screening approaches, universal screening demonstrates a superior cost-utility ratio in 95% of cases compared to ultrasound-based screening and screening of high-risk women only. In the remaining 5% of cases, targeted screening for high-risk women proves to be the optimal strategy. This conclusion is supported by sensitivity analyses tailored to various scenarios, including instances where valacyclovir lacks efficacy in preventing vertical transmission. Implementation of this screening could prevent 29 cases of congenital CMV infection per year, with an additional cost of 96,037.76 CAD per case avoided. Conclusion Our research suggests that a population-based maternal serological screening exhibits a more favorable cost-utility ratio for serological CMV screening than Quebec's current standard procedure, which is based on the ultrasound examination during pregnancy.

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