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The sessional papers of Ontario, 1920-1948 a cumulated list of contents and index /

Edgar, Shirley Parker. January 1961 (has links)
Thesis (A.L.M.S.)--University of Michigan, 1961.
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Bird's-foot violet (Viola pedata) optimal microhabitat characteristics in Ontario tallgrass prairie remnants

Thompson , Melinda J. January 2006 (has links) (PDF)
La violette birds-foot (Viola pedata) est une plante herbacée qui occupe les milieux ouverts, perturbés, bien drainés et à sols sableux de l'Est de l'Amérique du Nord. Au Canada, où cette espèce est désignée «en voie de disparition», toutes ses populations se retrouvent uniquement dans le sud de l'Ontario dans des habitats extrêmement rares, les prairies à hautes herbes et/ou savanes de chênes. Les objectifs de cette étude étaient de déterminer les exigences de microhabitat optimales permettant à Viola pedata de survivre, fleurir et produire des graines, ainsi que de fournir des valeurs seuil pour recommander des brûlages dirigés ou d'autres formes d'aménagement. Des données détaillées d'habitat, en particulier la quantité de lumière disponible sous le couvert des arbres, les espèces associées, les caractéristiques du sol et le recouvrement de différents types de litière, ont été récoltées dans 180 microquadrats localisés dans quatre populations de Viola pedata en Ontario. Ces données ont été utilisées pour évaluer trois catégories de conditions d'habitat de Viola pedata (microquadrats avec Viola pedata; microquadrats sans Viola pedata, mais à proximité de microquadrats avec Viola pedata; microquadrats sans Viola pedata, mais très éloignés de microquadrats avec Viola pedata) dans un site récemment brûlé et dans trois sites non brûlés. Des analyses de régression indiquent que le nombre de feuilles produites par les plants de Viola pedata est corrélé positivement avec le pourcentage d'ouverture du couvert arborescent. L'analyse canonique des correspondances révèle que les microquadrats qui contiennent Viola pedata sont associés à un pourcentage de sol à nu plus élevé. La perturbation par le feu produit une augmentation du nombre de fleurs et de la vigueur des plants de Viola pedata, ainsi qu'une augmentation des probabilités de germination des graines suite à la réduction de la quantité de litière. Les analyses ont déterminé que les facteurs écologiques les plus importants affectant Viola pedata, sur tous les sites, étaient le pourcentage d'ouverture du couvert arborescent et de sol à nu. L'ouverture du couvert arborescent affecte directement la survie, la vigueur et la production de fleurs, alors que le sol à nu affecte la régénération et la germination en réduisant la compétition. De ces analyses, il ressort qu'une valeur seuil d'au moins 15 pourcent d'ouverture du couvert arborescent est requis pour assurer la survie d'individus reproducteurs de Viola pedata dans le sud de l'Ontario. Les résultats de cette étude seront utilisés pour développer des critères d'aménagement pour la conservation de Viola pedata au Canada. ______________________________________________________________________________ MOTS-CLÉS DE L’AUTEUR : Viola pedata, Plante menacée, Habitat, Vestiges de prairie, Conservation.
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Risque et rendement du capital humain, chômage des immigrants et décision d'investissement en éducation : cas du Canada

Mami, Sana 08 1900 (has links) (PDF)
Cette thèse se compose de trois articles ayant trait au capital humain. Le premier porte sur le risque et le rendement du capital humain des immigrants au Canada. Le deuxième s'intéresse à l'activité et au chômage des immigrants au Québec et en Ontario. Quant au dernier, il porte sur la relation entre l'aversion au risque de l'individu et l'investissement en éducation. Dans le premier article, nous avons considéré que l'immigrant détient un portefeuille de capital humain constitué de l'éducation, de l'expérience de travail et des langues et que chacun de ces actifs est caractérisé par un risque et un rendement. Nous avons adopté l'approche de Mincer (1974) afin de déterminer les rendements de ces différentes composantes du capital humain tout en tenant compte de l'effet de la similarité entre le Canada et le pays d'origine sur le salaire. Ensuite, nous avons utilisé la méthodologie de Pereira et Martins (2002) pour évaluer les risques associés au capital humain, i.e. le risque pour un individu de se retrouver dans la partie basse de la distribution des revenus. Nos résultats indiquent que le capital humain n'est pas parfaitement transférable et montrent que la relation entre le risque et le rendement du capital humain est similaire à celle relative aux actifs financiers : elle est négative pour les actifs qui représentent une assurance pour leurs détenteurs et positive pour les autres. Nous avons aussi trouvé que l'accumulation de l'expérience de travail au Canada et dans un pays similaire est accompagnée d'une hausse du risque et d'une baisse du rendement. Contrairement à nos attentes, nos résultats indiquent que le risque ne diminue pas avec le niveau d'études. Dans le deuxième article, nous avons utilisé un logit bivarié et un logit multinomial pour analyser les déterminants de l'activité et du chômage des immigrants au Québec et en Ontario. L'objectif étant d'identifier les difficultés que rencontrent les immigrants sur ces deux marchés de l'emploi. Nos résultats indiquent que les immigrants québécois font face à une discrimination moins forte comparativement à leurs homologues ontariens et que les employeurs québécois semblent être plus ouverts à l'embauche des immigrants. Nous avons aussi trouvé qu'un immigrant faisant partie d'un groupe de minorités visibles fait face à un risque de chômage relativement élevé par rapport à un natif canadien. De manière similaire, la probabilité que l'immigrant soit actif est négativement affectée par son appartenance à une minorité visible et l'expérience de travail acquise à l'étranger. A l'opposé, les diplômes facilitent l'intégration de l'immigrant sur les marchés de l'emploi ontarien et québécois alors que les compétences acquises à l'étranger semblent ne pas avoir d'impact sur le risque de chômage. Dans le dernier article, nous avons d'abord considéré que l'individu fait face au choix de poursuivre ses études ou aller sur le marché de travail sachant qu'il y a un risque qu'il se retrouve au chômage. Nous avons déterminé un seuil de probabilité critique au-delà duquel l'individu choisira de poursuivre ses études. Nous avons trouvé que dans le cas où le revenu moyen d'emploi est supérieur au revenu potentiel une fois le diplôme obtenu, cette probabilité critique diminue avec l'aversion relative au risque, ce qui signifie que l'individu aurait tendance à investir davantage en éducation. Ensuite, nous avons construit un indice d'aversion au risque basé sur le type d'emploi et avons utilisé la méthode d'estimation à deux étapes décrite dans Sajaia (2008). Nous avons montré que plus l'individu est averse au risque, plus il aurait tendance à choisir d'investir davantage en éducation, ce qui concorde avec nos résultats théoriques. ______________________________________________________________________________
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La confrontation des civils québécois et ontariens à la Première Guerre mondiale, 1914-1918 : les représentations de la guerre au Québec et en Ontario

Djebabla-Brun, Mourad January 2008 (has links) (PDF)
Même si un océan les sépare du théâtre des opérations et des réalités meurtrières du conflit, les Québécois et les Ontariens n'en sont pas moins confrontés à la Première Guerre mondiale. De 1914 à 1918, les autorités militaires, politiques, religieuses, scolaires, ainsi que l'élite socioéconomique ou culturelle, produisent ou diffusent des représentations du conflit. Ces dernières visent à confronter les civils québécois et ontariens aux caractéristiques, aux enjeux et aux besoins de la lutte se menant principalement en Europe. Par ce qu'elles communiquent de la Grande Guerre, les représentations tiennent un discours sur le conflit qui encadre la compréhension de l'événement, ou amène à justifier la mobilisation de la société. Quel que soit l'âge, le sexe, le statut social, la confession ou le bagage culturel, les Ontariens et les Québécois sont confrontés à des représentations de la guerre qui exploitent des éléments de leur identité sociale ou culturelle pour les inscrire dans l'événement. Les interprétations proposées du conflit doivent alors permettre de maintenir le moral des civils, notamment autour de la croyance en une victoire prochaine, ou de la justesse de la lutte engagée. Cette approche vise à rechercher une contribution active pour l'enrôlement, les levées de fonds, ou le soutien de l'économie de guerre du Canada. Montréal et Toronto permettent dans ce cas de fournir une base de comparaison utile en tant que principales métropoles des deux provinces étudiées. Par le bassin d'hommes potentiels à recruter, la densité de leur population urbaine, et la vigueur de leur vie culturelle, ces deux villes constituent une cible privilégiée pour les autorités militaires. Elles concentrent alors nombre de stratégies de diffusion de représentations de la guerre à destination de la population civile. Dans les limites permises par la censure, des représentations du conflit sont diffusées au sein de la société ontarienne et québécoise par l'intermédiaire de différents supports. C'est le cas avec les mots, que ce soit par des publications, des harangues, ou par le biais du monde culturel. Les images sont également retenues pour rapprocher les Ontariens et les Québécois de leurs combattants au front. Les photographies, les films ou les illustrations permettent ainsi d'entrouvrir une fenêtre sur l'environnement des zones de combats. Enfin, en jouant sur des représentations en trois dimensions, par le biais de gestes ou d'objets, la guerre et ses impératifs s'introduisent dans le quotidien des civils du front arrière ontarien et québécois. Le Québec et l'Ontario laissent cependant apparaître des différences quant à l'ampleur de l'investissement de leur population et ce, à différents niveaux, que ce soit d'un point de vue social, culturel, voire religieux. Des influences supranationales confrontent néanmoins les deux provinces à une même représentation globale de la lutte. Au Québec et en Ontario, les images, les mots et les gestes font en sorte que les civils tiennent. ______________________________________________________________________________ MOTS-CLÉS DE L’AUTEUR : Canada, Québec, Ontario, Front arrière, Représentations, Première Guerre mondiale, Enfants, Femmes, Religion, Littérature, Théâtre, Films, Rumeurs, Censure, Propagande.
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Colonialism's currency : a political history of First Nations money-use in Quebec and Ontario, 1820-1950

Gettler, Brian Matthew 11 1900 (has links) (PDF)
Cette étude analyse l'utilisation de l'argent dans le contexte du colonialisme canadien des XIXe et XXe siècles. Elle émet l’hypothèse que l'argent, en tant qu'objet et idée économique par excellence de la société occidentale, était au cœur des interactions entre les Premières Nations, l'État et le capital. À travers une analyse de l'utilisation de l'argent, tant en ce qui concerne son aspect matériel que son côté abstrait, cette thèse conclut que le rôle joué par l'argent dans le colonialisme canadien ne fut pas monolithique, fournissant à tout acteur historique un moyen d'exercer du pouvoir, parfois de manière étonnante. Elle affirme que le rôle incontournable qu'une grande partie de l'historiographie accorde à l'État (plus particulièrement au Département des affaires indiennes) et le carcan législatif qu'il a développé en ce qui concerne l'expérience vécue des Autochtones est, du moins au sujet des affaires monétaires, au mieux surfait et au pire caricatural. En effet, cette étude démontre qu'en dépit du discours musclé que certains bureaucrates et politiciens ont employé dans la correspondance, les rapports publiés et la législation, les conséquences de l'intervention monétaire de l'État dans des communautés amérindiennes n'a que rarement correspondu aux objectifs officiellement énoncés, allant même parfois jusqu'à contredire ces derniers. En s'appuyant sur l'analyse de l'expérience de trois Premières Nations distinctes sur les plans culturel, historique et géographique (au Québec, les Huron-Wendat de Wendake et les Innus de Mashteuiatsh et, en Ontario, les Cris de Moose Factory), cette étude affirme que les politiques nationales de l'État ont eu des effets différents selon le contexte dans lequel elles furent mises en œuvre. Ainsi, la présente thèse remet en question les interprétations de l'histoire du colonialisme de la première moitié du XXe siècle qui dresse trop facilement des parallèles entre les objectifs énoncés d'un État apparemment hostile et les difficultés socioéconomiques qu'expérimentent actuellement beaucoup de Premières Nations. Cette thèse affirme plutôt que l'interaction de la politique et de la pratique, en ce qui a trait à l'utilisation de l'argent aux XIXe et XXe siècles, a souvent produit des résultats inattendus, créant ainsi un nouvel espace permettant à la fois l'expression de l'« agency » autochtone et l'imposition de l'autorité étatique et capitaliste. Au cours des années 1820 et 1830, certains débats entre les autorités impériales et coloniales quant à la monétisation des présents amérindiens contribuaient à la réification discursive de l’« Indien imprévoyant ». Jusqu'au milieu du XXe siècle, cette figure influençait le discours étatique de deux façons. D'abord, elle permettait aux Affaires indiennes de légitimer le statut légal des Amérindiens en tant que pupille de l'État. Ensuite, elle offrait à cette même institution un moyen efficace de repousser les prétentions d'autres agences étatiques qui tentaient de fournir aux Premières Nations des services au même titre que les autres Canadiens, et ce, en affirmant posséder l'expertise nécessaire pour protéger cette population particulièrement vulnérable. Cette façon de dépeindre les Autochtones, profondément influencée par la conviction très répandue que les pauvres des régions urbaines étaient incapables de gérer l'argent liquide de manière judicieuse, amène à concevoir ceux-ci comme une masse indifférenciée qui, dans les termes employés par le discours de la politique indienne, devait être « protégée », « civilisée » et « assimilée ». Cependant, les actions concrètes des Affaires indiennes ont fréquemment influencé la société autochtone de manière à défier ce genre de représentations unitaires, notamment en ce qui concerne la création et l'entretien des divisions de classes, ceci révélant l'écart important entre le discours officiel et l'expérience vécue. Au même moment, les grandes corporations du commerce des fourrures (institutions qui dominaient l'activité économique dans la région subarctique jusqu'au milieu du XXe siècle) dépeignaient également les Amérindiens comme des êtres imprévoyants par nature, ce qui leur permettait de justifier à la fois leur politique de ne pas utiliser l'argent en espèces pour les paiements ainsi que leurs fréquents efforts pour diminuer les sommes qu'elles accordaient en crédit aux Amérindiens. Toutefois, en pratique, la concurrence et la place grandissante occupée dans le Nord québécois et ontarien par les Eurocanadiens qui n'étaient pas directement impliqués dans la traite de fourrures compliquaient l'utilisation de l'argent, faisant souvent en sorte que la Compagnie de la Baie d'Hudson et ses principaux rivaux, en dépit des souhaits de leurs dirigeants, étaient obligés d'employer davantage l'argent. Néanmoins, la politique corporative adoptée par ces compagnies à partir du XVIIe siècle, qui consistait à n'utiliser qu'une seule monnaie d'échange (le castor) avec les Premières Nations, facilitait l'implantation de l'argent étatique dans le subarctique aux XIXe et XXe siècles. Un symbole particulièrement visible de sa souveraineté sur un territoire grandissant est ainsi fourni à l'État-nation canadien en plein essor. Cette thèse cherche à démontrer trois principaux points. Premièrement, elle soutient que l'argent doit être analysé à la fois sur les plans économique et politique, puisque l'espace monétaire dans le contexte colonial servait à légitimer l'autorité responsable de son maintien (quelles soit corporative ou étatique) tout en facilitant les activités du marché. Deuxièmement, elle affirme qu'en tant que phénomène fondamentalement social, l'argent fournissait un moyen par lequel certains acteurs arrivaient à imposer leur domination coloniale et d'autres réussissaient à résister à celle-ci ou à l'esquiver, ce dernier résultat étant souvent créé par l'application de la domination elle-même. Troisièmement, cette thèse affirme que l'histoire des relations entre les Premières Nations et les Eurocanadiens doit être examinée en des termes discursifs et matériels, car la juxtaposition de ces deux registres d'analyse distincts révèle des inconsistances importantes qui seraient autrement demeurées invisibles. ______________________________________________________________________________ MOTS-CLÉS DE L’AUTEUR : Amérindiens, Huron-Wendat, Innu, Cri, Monnaie, Impérialisme, Formation de l'État, Département des affaires indiennes, Compagnie de la baie d'Hudson, XIXe siècle, XXe siècle

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