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The fur trade at Lesser Slave Lake, 1815-1831

Baergen, William Peter, January 1967 (has links)
Thèse (M.A.)--University of Alberta, 1967. / In Nos racines. Publié aussi en version papier.
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Going public a history of public programming at the Hudson's Bay Company Archives /

Gregor, Allison A. P. January 1900 (has links) (PDF)
Thesis (M.A.)--University of Manitoba, 2001. / Includes bibliographical references.
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Puissance et résistance dans le Nord-Ouest : les réseaux politiques des Métis et de la Compagnie de la Baie d'Hudson à la Rivière-Rouge

Bériault, Xavier 23 October 2018 (has links)
Cette étude examine les rapports politiques entre les communautés métisses de la vallée de la rivière Rouge et le gouvernement colonial que la Compagnie de la baie d’Hudson (CBH) a implanté dans la colonie de la rivière Rouge. L’argument principal de cette étude avance que les dirigeants de la CBH ont été obligés de nouer des alliances avec les principaux leaders métis de la région pour accorder de la légitimité aux institutions politiques et juridiques de la colonie. Chaque fois que les gouvernants de la colonie ont tenté d’imposer leur autorité sur les communautés métisses sans leur consentement, ces dernières se mobilisent au sein de leurs propres formes d’organisation politique pour réaffirmer leur indépendance et rétablir une forme d’équilibre dans leurs rapports politiques. Pour démontrer cet argument, nous combinons l’approche de l’analyse des réseaux aux concepts arendtiens de la grammaire de l’action et de la syntaxe de la puissance. L’analyse des réseaux nous permet de cartographier les rapports politiques entre les leaders métis et le gouvernement de la CBH. Les réseaux présentés dans cette étude illustrent le fait que les Métis ont d’abord effectivement résisté à l’implantation d’un gouvernement colonial à la rivière Rouge et ensuite réussi à imposer leur présence au sein des institutions politiques et juridiques de la CBH. Le vocabulaire conceptuel inspiré de la pensée politique d’Arendt nous permet de réfléchir à la formation et à l’organisation du pouvoir. La grammaire de l’action, d’une part, désigne les pratiques par lesquelles les acteurs créent des espaces publics et génèrent de la puissance par le fait même qu’ils agissent ensemble. La syntaxe de la puissance, d’autre part, désigne les pratiques par lesquelles les acteurs structurent, articulent et coordonnent les espaces publics en un corps politique cohérent pour leur conférer de la permanence et empêcher que la puissance ne se dissipe lorsque les participants se dispersent. Ces deux concepts nous permettent d’analyser le processus de formation et d’organisation du pouvoir qui est illustré dans les réseaux. La contribution principale de cette étude consiste à renverser le narratif dominant de l’historiographie canadienne qui insiste que les Métis étaient soumis au gouvernement colonial de la CBH en démontrant au contraire que ce sont les Métis qui ont fini par contrôler le gouvernement de la CBH.
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La subsistance des Naskapis et les intérêts de la compagnie : une perspective territoriale sur le commerce des fourrures (1830-1870)

Tremblay, Sigfrid January 2007 (has links) (PDF)
Le présent mémoire est consacré à l'étude des relations économiques qu'ont entretenues les Naskapis de l'Ungava-Labrador et la Compagnie de la Baie d'Hudson (CBH) durant la période allant de 1830 et 1870. Il cherche plus précisément à identifier les stratégies utilisées par la compagnie pour développer son commerce dans la région et à dégager leurs effets sur les pratiques économiques des Naskapis. S'inscrivant dans le cadre des travaux qui, depuis les années 1970, cherchent à cerner les impacts du commerce des fourrures sur les populations autochtones, notre étude éclaire aussi certaines facettes de l'histoire des Naskapis (formation et transformation des bandes régionales, modalités d'occupation du territoire, comportements économiques des chasseurs, etc.) Nous avons adopté une perspective territoriale sur le commerce des fourrures. Cette approche s'inspire de travaux qui ont mis en évidence les rapports étroits entre le territoire et les manifestations économiques. Deux postulats sont à la base de notre étude: 1) que la géographie et la distribution des ressources déterminent en grande partie les variations régionales des manifestations du commerce des fourrures; 2) que les rapports des populations avec le territoire constituent des paramètres essentiels à la compréhension de ces manifestations. Les sources sont constituées pour l'essentiel des Archives de la Compagnie de la Baie d'Hudson (HBCA). Nous avons privilégié une approche diversifiée de la documentation afin de maximiser les perspectives d'interprétation. En plus des informations qualitatives, tirées principalement de la correspondance et des rapports des commis de la compagnie, nous avons traité des données «brutes» et quantitatives contenues dans les journaux de poste et les livres de compte. Nos conclusions soutiennent que les relations entre la CBH et les Naskapis ne correspondent pas au modèle d'interdépendance économique, plus ou moins égalitaire mais somme toute positif, décrit dans plusieurs études régionales récentes. L'économie des Naskapis s'est plutôt développée dans un contexte de contraintes économiques et territoriales imposées par la compagnie pour atteindre ses objectifs de rentabilité. Nous faisons ressortir que les restrictions imposées sur la mobilité des Naskapis n'ont pas favorisé le développement de leur propre modèle économique adapté aux conditions biophysiques régionales. ______________________________________________________________________________ MOTS-CLÉS DE L’AUTEUR : Naskapis, Histoire amérindienne, Commerce des fourrures, Compagnie de la Baie d'Hudson.
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Les traditions ancestrales, au sein de l'école d'aujourd'hui, chez les Cris de la Baie James : le cas de l'école Wiinibekuu à Waskaganish

Söderbom, Johanna January 2003 (has links)
Mémoire numérisé par la Direction des bibliothèques de l'Université de Montréal.
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Colonialism's currency : a political history of First Nations money-use in Quebec and Ontario, 1820-1950

Gettler, Brian Matthew 11 1900 (has links) (PDF)
Cette étude analyse l'utilisation de l'argent dans le contexte du colonialisme canadien des XIXe et XXe siècles. Elle émet l’hypothèse que l'argent, en tant qu'objet et idée économique par excellence de la société occidentale, était au cœur des interactions entre les Premières Nations, l'État et le capital. À travers une analyse de l'utilisation de l'argent, tant en ce qui concerne son aspect matériel que son côté abstrait, cette thèse conclut que le rôle joué par l'argent dans le colonialisme canadien ne fut pas monolithique, fournissant à tout acteur historique un moyen d'exercer du pouvoir, parfois de manière étonnante. Elle affirme que le rôle incontournable qu'une grande partie de l'historiographie accorde à l'État (plus particulièrement au Département des affaires indiennes) et le carcan législatif qu'il a développé en ce qui concerne l'expérience vécue des Autochtones est, du moins au sujet des affaires monétaires, au mieux surfait et au pire caricatural. En effet, cette étude démontre qu'en dépit du discours musclé que certains bureaucrates et politiciens ont employé dans la correspondance, les rapports publiés et la législation, les conséquences de l'intervention monétaire de l'État dans des communautés amérindiennes n'a que rarement correspondu aux objectifs officiellement énoncés, allant même parfois jusqu'à contredire ces derniers. En s'appuyant sur l'analyse de l'expérience de trois Premières Nations distinctes sur les plans culturel, historique et géographique (au Québec, les Huron-Wendat de Wendake et les Innus de Mashteuiatsh et, en Ontario, les Cris de Moose Factory), cette étude affirme que les politiques nationales de l'État ont eu des effets différents selon le contexte dans lequel elles furent mises en œuvre. Ainsi, la présente thèse remet en question les interprétations de l'histoire du colonialisme de la première moitié du XXe siècle qui dresse trop facilement des parallèles entre les objectifs énoncés d'un État apparemment hostile et les difficultés socioéconomiques qu'expérimentent actuellement beaucoup de Premières Nations. Cette thèse affirme plutôt que l'interaction de la politique et de la pratique, en ce qui a trait à l'utilisation de l'argent aux XIXe et XXe siècles, a souvent produit des résultats inattendus, créant ainsi un nouvel espace permettant à la fois l'expression de l'« agency » autochtone et l'imposition de l'autorité étatique et capitaliste. Au cours des années 1820 et 1830, certains débats entre les autorités impériales et coloniales quant à la monétisation des présents amérindiens contribuaient à la réification discursive de l’« Indien imprévoyant ». Jusqu'au milieu du XXe siècle, cette figure influençait le discours étatique de deux façons. D'abord, elle permettait aux Affaires indiennes de légitimer le statut légal des Amérindiens en tant que pupille de l'État. Ensuite, elle offrait à cette même institution un moyen efficace de repousser les prétentions d'autres agences étatiques qui tentaient de fournir aux Premières Nations des services au même titre que les autres Canadiens, et ce, en affirmant posséder l'expertise nécessaire pour protéger cette population particulièrement vulnérable. Cette façon de dépeindre les Autochtones, profondément influencée par la conviction très répandue que les pauvres des régions urbaines étaient incapables de gérer l'argent liquide de manière judicieuse, amène à concevoir ceux-ci comme une masse indifférenciée qui, dans les termes employés par le discours de la politique indienne, devait être « protégée », « civilisée » et « assimilée ». Cependant, les actions concrètes des Affaires indiennes ont fréquemment influencé la société autochtone de manière à défier ce genre de représentations unitaires, notamment en ce qui concerne la création et l'entretien des divisions de classes, ceci révélant l'écart important entre le discours officiel et l'expérience vécue. Au même moment, les grandes corporations du commerce des fourrures (institutions qui dominaient l'activité économique dans la région subarctique jusqu'au milieu du XXe siècle) dépeignaient également les Amérindiens comme des êtres imprévoyants par nature, ce qui leur permettait de justifier à la fois leur politique de ne pas utiliser l'argent en espèces pour les paiements ainsi que leurs fréquents efforts pour diminuer les sommes qu'elles accordaient en crédit aux Amérindiens. Toutefois, en pratique, la concurrence et la place grandissante occupée dans le Nord québécois et ontarien par les Eurocanadiens qui n'étaient pas directement impliqués dans la traite de fourrures compliquaient l'utilisation de l'argent, faisant souvent en sorte que la Compagnie de la Baie d'Hudson et ses principaux rivaux, en dépit des souhaits de leurs dirigeants, étaient obligés d'employer davantage l'argent. Néanmoins, la politique corporative adoptée par ces compagnies à partir du XVIIe siècle, qui consistait à n'utiliser qu'une seule monnaie d'échange (le castor) avec les Premières Nations, facilitait l'implantation de l'argent étatique dans le subarctique aux XIXe et XXe siècles. Un symbole particulièrement visible de sa souveraineté sur un territoire grandissant est ainsi fourni à l'État-nation canadien en plein essor. Cette thèse cherche à démontrer trois principaux points. Premièrement, elle soutient que l'argent doit être analysé à la fois sur les plans économique et politique, puisque l'espace monétaire dans le contexte colonial servait à légitimer l'autorité responsable de son maintien (quelles soit corporative ou étatique) tout en facilitant les activités du marché. Deuxièmement, elle affirme qu'en tant que phénomène fondamentalement social, l'argent fournissait un moyen par lequel certains acteurs arrivaient à imposer leur domination coloniale et d'autres réussissaient à résister à celle-ci ou à l'esquiver, ce dernier résultat étant souvent créé par l'application de la domination elle-même. Troisièmement, cette thèse affirme que l'histoire des relations entre les Premières Nations et les Eurocanadiens doit être examinée en des termes discursifs et matériels, car la juxtaposition de ces deux registres d'analyse distincts révèle des inconsistances importantes qui seraient autrement demeurées invisibles. ______________________________________________________________________________ MOTS-CLÉS DE L’AUTEUR : Amérindiens, Huron-Wendat, Innu, Cri, Monnaie, Impérialisme, Formation de l'État, Département des affaires indiennes, Compagnie de la baie d'Hudson, XIXe siècle, XXe siècle
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Droit et métissages, évolution et usages de la loi à la colonie de la Rivière Rouge, 1811-1869

Laudicina, Nelly 10 January 2013 (has links)
A l’arrivée des premiers colons eurocanadiens à Assiniboia en 1811, le territoire n’est encore qu’un terrain de chasse pour les grandes compagnies de commerce des fourrures, qui obéissent aux codes d’une lex non scripta propre au milieu et à l’économie des Territoires Indiens. La colonie dépend ensuite de la tutelle juridique de la Compagnie de la Baie d’Hudson, qui gère ses institutions gouvernementales, législatives et judiciaires à l’abri d’interventions canadiennes ou britanniques. Jusqu’à son annexion au Canada en tant que province du Manitoba en 1869, Assiniboia est le seul district de l’Ouest continental canadien doté de telles institutions. Cette thèse analyse l’évolution de la culture juridique de la société métissée de la Rivière Rouge (Assiniboia). A travers les sources des fonds législatifs et judiciaires de la colonie, les récits, correspondances et journaux de dirigeants, de missionnaires et d’habitants d’Assiniboia, ce travail observe les usages de l’outil juridique et ses effets normatifs sur les colons. Cette étude postule qu’un demi-siècle après sa création, la Rivière Rouge est un espace juridique hybride, où les lois coutumières coexistent avec celles du code civil de la colonie. Cette recherche démontre l’importante participation de la population à sa propre gouvernance et l’établissement progressif d’un pluralisme juridique, qui savait reconnaître et respecter les altérités sociales de la Rivière Rouge, où se rassemblaient des Eurocanadiens, des Autochtones et une majorité d’individus métissés et semi-nomades. Enfin, cette étude met en évidence le rôle fondamental des Métis et du métissage dans tous les processus de changements juridiques du territoire.
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Droit et métissages, évolution et usages de la loi à la colonie de la Rivière Rouge, 1811-1869

Laudicina, Nelly 10 January 2013 (has links)
A l’arrivée des premiers colons eurocanadiens à Assiniboia en 1811, le territoire n’est encore qu’un terrain de chasse pour les grandes compagnies de commerce des fourrures, qui obéissent aux codes d’une lex non scripta propre au milieu et à l’économie des Territoires Indiens. La colonie dépend ensuite de la tutelle juridique de la Compagnie de la Baie d’Hudson, qui gère ses institutions gouvernementales, législatives et judiciaires à l’abri d’interventions canadiennes ou britanniques. Jusqu’à son annexion au Canada en tant que province du Manitoba en 1869, Assiniboia est le seul district de l’Ouest continental canadien doté de telles institutions. Cette thèse analyse l’évolution de la culture juridique de la société métissée de la Rivière Rouge (Assiniboia). A travers les sources des fonds législatifs et judiciaires de la colonie, les récits, correspondances et journaux de dirigeants, de missionnaires et d’habitants d’Assiniboia, ce travail observe les usages de l’outil juridique et ses effets normatifs sur les colons. Cette étude postule qu’un demi-siècle après sa création, la Rivière Rouge est un espace juridique hybride, où les lois coutumières coexistent avec celles du code civil de la colonie. Cette recherche démontre l’importante participation de la population à sa propre gouvernance et l’établissement progressif d’un pluralisme juridique, qui savait reconnaître et respecter les altérités sociales de la Rivière Rouge, où se rassemblaient des Eurocanadiens, des Autochtones et une majorité d’individus métissés et semi-nomades. Enfin, cette étude met en évidence le rôle fondamental des Métis et du métissage dans tous les processus de changements juridiques du territoire.
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Droit et métissages, évolution et usages de la loi à la colonie de la Rivière Rouge, 1811-1869

Laudicina, Nelly January 2013 (has links)
A l’arrivée des premiers colons eurocanadiens à Assiniboia en 1811, le territoire n’est encore qu’un terrain de chasse pour les grandes compagnies de commerce des fourrures, qui obéissent aux codes d’une lex non scripta propre au milieu et à l’économie des Territoires Indiens. La colonie dépend ensuite de la tutelle juridique de la Compagnie de la Baie d’Hudson, qui gère ses institutions gouvernementales, législatives et judiciaires à l’abri d’interventions canadiennes ou britanniques. Jusqu’à son annexion au Canada en tant que province du Manitoba en 1869, Assiniboia est le seul district de l’Ouest continental canadien doté de telles institutions. Cette thèse analyse l’évolution de la culture juridique de la société métissée de la Rivière Rouge (Assiniboia). A travers les sources des fonds législatifs et judiciaires de la colonie, les récits, correspondances et journaux de dirigeants, de missionnaires et d’habitants d’Assiniboia, ce travail observe les usages de l’outil juridique et ses effets normatifs sur les colons. Cette étude postule qu’un demi-siècle après sa création, la Rivière Rouge est un espace juridique hybride, où les lois coutumières coexistent avec celles du code civil de la colonie. Cette recherche démontre l’importante participation de la population à sa propre gouvernance et l’établissement progressif d’un pluralisme juridique, qui savait reconnaître et respecter les altérités sociales de la Rivière Rouge, où se rassemblaient des Eurocanadiens, des Autochtones et une majorité d’individus métissés et semi-nomades. Enfin, cette étude met en évidence le rôle fondamental des Métis et du métissage dans tous les processus de changements juridiques du territoire.
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Le Fonds des Voyageurs : un fonds de secours atypique, 1790-1823

Simonet, Thierry 14 April 2022 (has links)
À la fin du XVIIIe siècle, l’embauche de Canadiens français, surnommés les voyageurs, s’inscrit dans un système de travail de la traite des fourrures qui s’articule à Montréal autour de contrats notariés. Les engagés se lient pour plusieurs mois, voire plusieurs années à un marchand qui les emploie afin d’acheminer en canot des marchandises dans les territoires du Nord-Ouest et en revenir chargé de pelleteries. Conscients des dangers encourus et de l’imprévoyance de leurs employés, les « négociants des Pays d’en haut » orchestrent une société de secours, dès 1790, appelé le « Fonds des voyageurs ». Ce dernier, atypique dans sa conception et dans son organisation, est le « soutien des voyageurs infirmes, de leurs veuves et des orphelins » dans la détresse. Cette étude a pour but de mettre en exergue l’atypie de cette institution d'aide. Elle apparaît dans une conjoncture de métamorphose sociale et économique du Bas-Canada, ainsi que dans le contexte d’une évolution culturelle de prévoyance et d’un communautarisme émergeant. Cette élite marchande venue d’Écosse est liée à une histoire commune de l’« habitus » avec ses employés. Elle applique les préceptes avant-gardistes des Lumières écossaises dans une société montréalaise confrontée à un courant libéral naissant. Ce faisant, ces bourgeois écossais de la société marchande, souvent décrits comme mercantiles, se présentent en fin de compte comme des membres d'un « monde du voyage » solidaires de leurs semblables. Cette nouvelle perspective invite à un ajustement des interprétations de l’historiographie sur la communauté qui exerce le commerce des fourrures à Montréal entre 1790 et 1821.

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