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La répartition de la richesse et des revenues : performances gouvernementales du Nouveau parti démocratique de la Colombie-Britannique et du Parti québécois

Éthier, Jean. January 1983 (has links)
No description available.
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Nationalisme et racisme : analyse de dix ans de discours du Parti Québécois à l'égard des communautés minoritaires du Québec (1981- 1990)

Desrosiers, Eric K. January 1992 (has links)
No description available.
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Dépenses fiscales et sites désignés, la politique québécoise de développement de la nouvelle économie, 1997-2002

Proulx, Henri January 2002 (has links)
Mémoire numérisé par la Direction des bibliothèques de l'Université de Montréal.
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Le Parti Québécois et le marketing de la confiance

Quirion, Martin 18 April 2018 (has links)
La fluctuation du niveau de confiance des citoyens canadiens envers les acteurs et les institutions politiques que révèlent de nombreuses études d’opinion s’exprime entre autres par une montée du désengagement ou de l'indifférence envers le processus électoral. Les partis politiques sont ainsi les premiers concernés par ce désaveu des citoyens. En outre, la théorie du marketing politique pose que la confiance du citoyen envers un parti est un facteur déterminant dans la conclusion de la transaction électorale. Les partis doivent donc élaborer des stratégies permettant d’alimenter et de maintenir la confiance des citoyens en leur offre : leurs idées, leurs projets, leurs leaders. L’exercice de marketing politique devient alors un exercice de marketing de la confiance. Au Québec, le Parti québécois (PQ) doit faire la promotion d’un projet politique, la souveraineté du Québec, qui est constamment présenté et décrit par ses opposants comme porteur d'incertitude. Notre recherche tente d’identifier quelles sont les stratégies de communication mises en forme par ce parti afin de contrer ce discours d’incertitude et de relever la place qu’y occupe la notion de confiance. Par le biais d’une série d’entrevues réalisées auprès de stratèges péquistes ayant participé à l’élaboration des campagnes électorales du parti depuis 1995, l’étude permet de cerner les mécanismes tactiques mis en place par le parti souverainiste afin d’établir et de maintenir une relation de confiance avec les électeurs québécois. L’étude permettra de contribuer à l’avancement des connaissances sur la pratique du marketing politique au Québec et au Canada.
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L'instable, le réaliste et le radical : l'intégration institutionnelle de partis nationalistes antisystèmes

Villeneuve-Siconnelly, Katryne 28 October 2019 (has links)
voluant au sein d’un contexte global de crise de la représentativité démocratique, les partis politiques sont plus que jamais remis en question quant à leur légitimité. Ils font face à de nombreux défis, notamment vis-à-vis l’émergence sans cesse grandissante de nouveaux mouvements sociaux et divers partis extrémistes, qui témoignent de ce phénomène. Certains parmi eux arrivent à brouiller les cartes théoriques, soit les partis dits «antisystèmes». Néanmoins, afin d’aspirer à gouverner et de ne pas s’aliéner de potentiels électeurs, des partis autrefois marginaux peuvent décider de participer aux institutions en modifiant leurs agendas et stratégies. Par conséquent, pourquoi et comment des partis à la fois nationalistes et antisystèmes optent pour la voie de l’intégration institutionnelle, alors qu’ils ont initialement pour objectif d’exercer une forme radicale d’opposition envers les autres acteurs et le système politique dans son ensemble? Ce mémoire explore dans une perspective comparative les raisons derrière ce processus d’intégration en étudiant les cas du Parti québécois au Québec, du Scottish National Party en Écosse et du Sinn Féin en Irlande du Nord. Les données utilisées sont théoriques et empiriques, relevant de l’analyse de leur historique grâce à la création de lignes du temps exhaustives ainsi que de leurs plateformes électorales par le biais d’un indice original, l’Indice antisystème pour les plateformes. Ceci permet d’évaluer également leur caractère antisystème, tout en considérant leur contexte sociopolitique respectif. / Evolving within a global context of democratic representation crisis, the legitimacy of political parties is more than ever questioned. They face many challenges, especially in regard to the ever-increasing emergence of new social movements and various extremist parties. Some of them manage to blur the theoretical maps, the "antisystem" parties. Nevertheless, in order to aspire to govern and not alienate potential voters, formerly marginal parties may decide to participate to the institutions by changing their agendas and strategies. Therefore, why and how antisystem nationalist parties opt for the institutional integration path, while initially exercising a radical form of opposition to other actors and the political system as a whole? This thesis explores in a comparative perspective the reasons behind this process of integration by studying the cases of Parti Québecois in Québec, Scottish National Party in Scotland and Sinn Féin in Northern Ireland. The data used is theoretical and empirical, based on the analysis of their history through the creation of exhaustive timelines and their electoral platforms via an original index, the Antisystem Index for Party Platforms. This also makes it possible to evaluate their antisystemness, while considering their respective socio-political context.
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Divergences et solidarité. Une étude sociopolitique des rapports entre le Québec et les francophones d'Amérique

Denault, Anne-Andrée 26 March 2013 (has links)
La question des relations entre le Québec et les collectivités francophones en Amérique n’est pas nouvelle, mais sa conceptualisation revêt aujourd’hui une forme particulière. Ancrées dans l’idée que le Québec a abandonné les francophones des autres provinces vers la fin des années 1960, ses relations avec ces derniers sont perçues comme des tentatives de réparation de la part d’un État québécois, peut-être repentant, mais distant. C’est en effet ce qui ressort de notre analyse des discours politiques des leaders québécois, des prises de parole des représentants des communautés francophones et des positions intellectuelles des auteurs s’étant penchés sur le sujet. Le but de cette recherche est de montrer par le moyen d’une étude sociopolitique et historique que les relations entre le Québec et la francophonie hors Québec peuvent aussi être caractérisées par des positions et des actions qui témoignent d’un fort sentiment de solidarité. Depuis les années 1990, cette solidarité a été renouvelée et repensée en lien avec de nouveaux discours comme celui sur la mondialisation. Cette thèse vise à mieux comprendre les transformations au sein des représentations et des pratiques du Québec à l’égard des collectivités francophones d’Amérique.
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Divergences et solidarité. Une étude sociopolitique des rapports entre le Québec et les francophones d'Amérique

Denault, Anne-Andrée 26 March 2013 (has links)
La question des relations entre le Québec et les collectivités francophones en Amérique n’est pas nouvelle, mais sa conceptualisation revêt aujourd’hui une forme particulière. Ancrées dans l’idée que le Québec a abandonné les francophones des autres provinces vers la fin des années 1960, ses relations avec ces derniers sont perçues comme des tentatives de réparation de la part d’un État québécois, peut-être repentant, mais distant. C’est en effet ce qui ressort de notre analyse des discours politiques des leaders québécois, des prises de parole des représentants des communautés francophones et des positions intellectuelles des auteurs s’étant penchés sur le sujet. Le but de cette recherche est de montrer par le moyen d’une étude sociopolitique et historique que les relations entre le Québec et la francophonie hors Québec peuvent aussi être caractérisées par des positions et des actions qui témoignent d’un fort sentiment de solidarité. Depuis les années 1990, cette solidarité a été renouvelée et repensée en lien avec de nouveaux discours comme celui sur la mondialisation. Cette thèse vise à mieux comprendre les transformations au sein des représentations et des pratiques du Québec à l’égard des collectivités francophones d’Amérique.
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Divergences et solidarité. Une étude sociopolitique des rapports entre le Québec et les francophones d'Amérique

Denault, Anne-Andrée January 2013 (has links)
La question des relations entre le Québec et les collectivités francophones en Amérique n’est pas nouvelle, mais sa conceptualisation revêt aujourd’hui une forme particulière. Ancrées dans l’idée que le Québec a abandonné les francophones des autres provinces vers la fin des années 1960, ses relations avec ces derniers sont perçues comme des tentatives de réparation de la part d’un État québécois, peut-être repentant, mais distant. C’est en effet ce qui ressort de notre analyse des discours politiques des leaders québécois, des prises de parole des représentants des communautés francophones et des positions intellectuelles des auteurs s’étant penchés sur le sujet. Le but de cette recherche est de montrer par le moyen d’une étude sociopolitique et historique que les relations entre le Québec et la francophonie hors Québec peuvent aussi être caractérisées par des positions et des actions qui témoignent d’un fort sentiment de solidarité. Depuis les années 1990, cette solidarité a été renouvelée et repensée en lien avec de nouveaux discours comme celui sur la mondialisation. Cette thèse vise à mieux comprendre les transformations au sein des représentations et des pratiques du Québec à l’égard des collectivités francophones d’Amérique.
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L'indépendance à droite : l'histoire politique du Regroupement national et du Ralliement national entre 1964 et 1968

Normand, Janie 10 1900 (has links) (PDF)
En septembre 1964, plus de sept membres de la région de l'Est-du-Québec quittent le Rassemblement pour l'indépendance nationale principalement pour cause de divergence idéologique. De surcroît, ces dissidents prennent la décision de fonder un nouveau parti indépendantiste et traditionaliste, le Regroupement national. Le docteur René Jutras, pédiatre à l'Hôtel-Dieu d'Arthabaska, devient le chef de ce nouveau parti et il est appuyé par une équipe dont fait partie, entre autres, Lucien Lessard, Jean Garon et Jean Miville-Dechêne. Les regroupistes présentent leur pensée politique dans leur journal de parti, La Nation. En résumé, ils combinent le projet d'indépendance du Québec avec une idéologie traditionaliste qui met de l'avant l'idée de continuité de la tradition et de la culture canadienne-française. En mars 1966, le Regroupement national se fusionne au Ralliement des créditistes du Québec pour donner naissance au Ralliement national dont la coprésidence est assurée par René Jutras et Laurent Legault. À l'aube des élections provinciales du 5 juin 1966, le parti nouvellement fusionné propose un programme électoral toujours fidèle à l'idéologie traditionaliste, tout en alliant les théories du crédit social. De plus, il suggère la formule d'États-associés pour l'établissement d'un Québec indépendant. Au scrutin de juin, le Ralliement national récolte 2,3 % des suffrages exprimés. Cependant, le parti obtient de bons résultats dans certains comtés régionaux. Au congrès postélectoral d'août 1966, Gilles Grégoire est élu nouveau président du RN. Sa présidence est marquée par une plus grande ouverture ainsi qu'une volonté d'alliance avec le RIN, tout en proposant les mêmes valeurs traditionalistes. À l'automne 1967, un autre groupement indépendantiste voit le jour, le Mouvement souveraineté-association dirigé par René Lévesque. L'arrivée de Lévesque accélère les négociations entre les partis indépendantistes afin de former un seul grand parti durant l'année 1968. Finalement, dû à des conflits d'ordre idéologique avec le RN et le MSA, le RIN est évincé des pourparlers. Donc, le Ralliement national et le Mouvement souveraineté-association s'associent pour fonder le Parti québécois en octobre 1968. Gilles Grégoire en devient le vice-président. Plusieurs anciens regroupistes et d'anciens rallinistes seront parmi les principaux architectes du Parti québécois des années 1960, 1970 et 1980. En somme, une meilleure connaissance de l'histoire politique du Regroupement national et du Ralliement national permet de saisir la composante traditionaliste non négligeable à l'origine du Parti québécois. ______________________________________________________________________________ MOTS-CLÉS DE L’AUTEUR : Regroupement national, Ralliement national, Rassemblement pour l'indépendance nationale, Mouvement souveraineté-association, René Jutras, Pierre Bourgault, René Lévesque, Laurent Legault, Gilles Grégoire, Indépendance, Souveraineté.
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La représentation politique des femmes au Québec : obstacles et résistances à une égalité de fait

Guay-Dussault, Charlotte 02 1900 (has links) (PDF)
La représentation politique des femmes au Québec n'a que très peu évolué au cours de la dernière décennie. Toujours sous le seuil du tiers, les femmes peinent à tailler leur place à l'Assemblée nationale. La définition même de la démocratie libérale, basée sur l'individualisme et une conception de l'universel pensée au masculin, ne permettent pas aux femmes d'accéder à une citoyenneté égalitaire. Bien qu'elles soient davantage présentes que les hommes sur les bancs des universités québécoises, le pouvoir politique résiste encore à leur faire la place qui leur revient. Malgré une égalité de droits entre les femmes et les hommes, ce n'est pas seulement la socialisation des femmes qui pose obstacle à leur représentation politique égalitaire, mais les discriminations systémiques qu'elles vivent encore malgré leurs avancées dans les secteurs de l'éducation et de l'emploi. Les tentatives d'amélioration de leur représentation politique que sont la réforme du mode de scrutin et les programmes gouvernementaux pour l'égalité n'ont su apporter les solutions espérées. La prise en compte des difficultés des femmes comme individus et non comme groupe discriminé dans l'élaboration des politiques d'égalité a fait en sorte de viser les mauvaises cibles et de ne pas permettre une augmentation significative du nombre de femmes en politique provinciale et municipale au Québec. L'étude du Parti québécois, du Parti libéral et de Québec solidaire démontre la résistance des institutions politiques en place, exception faire de Québec solidaire, un nouveau parti encore minoritaire, qui a su jusqu'à intégrer les femmes et le féminisme à ses structures et à son programme. Le manque de volonté politique et d'implication du mouvement des femmes en faveur d'une plus grande représentation politique des citoyennes nuisent à une prise de pouvoir égalitaire et paritaire par les femmes. Les partis politiques font malgré tout divers efforts pour tendre vers l'égalité, mais sans une volonté politique réelle et un lien fort avec le mouvement des femmes, il semble difficile d'atteindre les résultats escomptés. ______________________________________________________________________________ MOTS-CLÉS DE L’AUTEUR : Représentation politique, Femmes, Féminisme, Égalité, Québec solidaire, Parti québécois, Parti libéral du Québec, Démocratie libérale, Universalisme, Citoyenneté, Mode de scrutin, Programmes gouvernementaux, Mouvement des femmes

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