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Pour une lecture énonciative du documentaire : un pays sans bon sens de Pierre Perrault

Desjardins, Denys January 1991 (has links)
Mémoire numérisé par la Direction des bibliothèques de l'Université de Montréal.
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Tourisme culturel sur les traces de Pierre Perrault : étude ethnologique à l'Île aux Coudres /

Huot, Pascal. January 2008 (has links) (PDF)
Thèse (M.A.) -- Université Laval, 2008. / Bibliogr.: f. 110-123. Publié aussi en version électronique dans la Collection Mémoires et thèses électroniques.
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Cinge a musa o or?culo da tradi??o: revela??es perenes da narrativa em contos de Perrault

Medeiros, M?cio Alves de 12 July 2010 (has links)
Made available in DSpace on 2014-12-17T15:07:09Z (GMT). No. of bitstreams: 1 MacioAM_TESE.pdf: 2068615 bytes, checksum: 01f8e2972e730d2576293b3b027281a9 (MD5) Previous issue date: 2010-07-12 / Coordena??o de Aperfei?oamento de Pessoal de N?vel Superior / Le pr?sent ouvrage comprend des versions comparatives de neuf contes de Perrault, parmi les plus c?l?bres, publi?s dans des ?ditions int?grales, au Br?sil, entre 1934 et 2005. L analyse comparative donne la priorit? ? l identification des ?l?ments relatifs ? l oralit?, comme ceux qui appartiennent, selon Ong (1998) et Havelock (1996), ? des contextes de cultures ant?rieures ? l ?panouissement de l ?criture et qui donc ?laboraient ses propres structures de pens?e et d expression pour interagir dans la vie pratique comme dans la cr?ation, dans la transmission et la manutention des coutumes et traditions. Issus des premiers r?cits, les contes de Perrault, traduits ou adapt?s au Br?sil, gardent en eux l esprit du langage narratif auquel l auteur fran?ais a consagr? une attention sp?ciale, pour transposer dans l ?crit quelques r?cits de la grande exp?rience humaine n?e dans le milieu populaire et qui d?sormais int?grent l espace de l ?criture ? chaque nouvelle version produite. Les bagages formulaires, comme les ?pith?tes, les interventions du narrateur et la propre relation des signifations de l intrigue avec les structures de l imaginaire toujours pr?sentes dans l humanit?, d?montrent le rapprochement entre l oralit? et ?criture. En suivant les discussions th?oriques de Zumthor (1993, 1997, 2000) et par l interation du lecteur avec le texte, on constate que ces ?l?ments relatifs ? l oralit? rendent possibl existence d une performance dans l ?crit a partir des impressions cinesth?siques qui chaque lecture provoque chez le lecteur et r?cepteur d un texte narratif qui revendique, automatiquement, la construction d une ouvrage seulement possible ? chaque instant de l interation, par le processus esth?tique de la r?ception. M?me au niveau d ?crit, ou l intensit? de sa pr?sence est diminu?e en raison de l absence d un corps physique qui transmet, qui d?veloppe, qui opere litt?ralement le texte par la voix et qui r?unit l ?coute et la vision de l auditeur, la performance produite s interpose entre le corps du lecteur qui agit sur le texte et en m?me temps re?oit les sensations lui permettant l exp?rience esth?tique. Ainsi, dans l exp?rience de la lecture de Contes de Perrault est possible percevoir les ?l?ments qui renvoient ? la forme du conte de tradition populaire. M?me d?j? influenc?e par l ?crit, le lecteur peut identifier, dans cette oeuvre, les possibilit?s determinantes de la dynamique perp?tuel dans la transmission de ses textes: le plaisir de la pratique de l ?coute des histoires cont?es oralement et le plaisir de la pratique de lectures silencieuses et solitaires. Dans ce chemin le lecteur devoit chercher les sens perdus, ici, rencontr?s avec l aide des discours litt?raires, linguistique, folklorique, anthropologique et psycanalytique sur la surface du texte narratif merveilleux. Outre cela, ces discours collaborent avec le lecteur qui retrouvent les voix emprisonn?es par l ?crit dans la virtualit? et dans ?mergence d une performance / O presente trabalho compreende vers?es comparativas de nove dos mais conhecidos contos de Perrault publicados em edi??es integrais, no Brasil, entre 1934 e 2005. Na an?lise comparativa prioriza-se a identifica??o de elementos relacionados ? oralidade, dentre estes, aqueles relacionados, segundo Ong (1998) e Havelock (1996) a contextos de culturas anteriores ao florescimento da escrita e que, portanto, elaboravam suas pr?prias estruturas de pensamento e de express?o para interagir tanto na vida pr?tica quanto na cria??o, transmiss?o e manuten??o de costumes e tradi??es. Oriundos das narrativas primitivas, os contos de Perrault, traduzidos e/ou adaptados no Brasil, conservam em si o esp?rito da linguagem narrativa ? qual o autor franc?s dedicou especial aten??o ao transpor e recriar, na escrita, estratos narrativos da grande experi?ncia humana nascida no meio popular e que, agora, integra tamb?m o espa?o da escritura a cada nova vers?o produzida. As bagagens formulares, como os ep?tetos, as interven??es do narrador e a pr?pria rela??o das significa??es do enredo com as estruturas do imagin?rio, sempre presentes na Humanidade, demonstram a aproxima??o entre oralidade e escrita. Com base nas discuss?es te?ricas de Zumthor (1993, 1997, 2000), e pela intera??o do leitor com o texto, percebe-se que esses elementos relativos ? oralidade possibilitam a manifesta??o de uma performance no espa?o da escrita a partir das impress?es sinest?sicas que cada leitura provoca no leitor e receptor de um texto narrativo que reivindica, automaticamente, a constru??o de uma obra somente poss?vel a cada momento de intera??o pelo processo est?tico da recep??o. Mesmo no n?vel da escrita, cuja intensidade de presen?a ? diminu?da em fun??o da aus?ncia de um corpo f?sico que transmite, que se expande, que opera o texto literalmente pela voz e que alcan?a os ouvidos e os olhos do ouvinte, a performance gerada se interp?e entre o corpo do leitor que age sobre o texto e ao mesmo tempo recebe as sensa??es permitidas pela experi?ncia est?tica. Assim, na experi?ncia da leitura de Contos de Perrault ? poss?vel perceber os elementos que remetem ao formato do conto na tradi??o popular. Mesmo influenciado pela escrita, o leitor pode identificar, nesta obra, as possibilidades determinantes da din?mica perene na transmiss?o de seus textos: tratase do prazer conservado e vindo da pr?tica de ouvir hist?rias contadas oralmente e do prazer vindo da pr?tica da leitura silenciosa e solit?ria. Neste processo o leitor deve sair em busca dos sentidos perdidos os quais, aqui, s?o recuperados com o aux?lio dos discursos liter?rio, lingu?stico, folcl?rico, antropol?gico e psicanal?tico sobre a superf?cie do texto narrativo maravilhoso. Ademais, na virtualidade e na emerg?ncia de uma performance, esses discursos colaboram para que o leitor recupere as vozes aprisionadas pela escrita
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Le détournement des contes dans la littérature de jeunesse

Amalvi, Cécile January 2008 (has links) (PDF)
Longtemps méprisé par la littérature générale en raison de son origine populaire, le conte a connu ces trente dernières années un regain d'intérêt général, autant de la part des milieux de la critique et de la recherche que du grand public. Cette attention nouvelle pour un genre qui a été l'apanage de la culture enfantine depuis le succès des Contes de Perrault témoigne de la capacité du conte à s'adapter à toutes les époques. La réécriture des contes que nous nous proposons d'étudier dans ce mémoire traduit un tournant dans l'évolution de ce genre, car ce phénomène florissant est relativement récent dans la littérature de jeunesse. Dans une approche à la fois historique, littéraire et ethnocritique, ce travail vise à étudier, à partir d'un corpus de livres pour enfants, les modes de détournement des contes classiques dans la littérature de jeunesse afin de savoir si la réécriture participe d'un renouvellement du genre. Le premier chapitre retrace l'évolution historique du conte depuis la tradition populaire orale jusqu'à la littérature et sa catégorisation comme genre exclusivement destiné aux enfants, montrant ainsi les liens qui existent entre le conte et la littérature de jeunesse. Après avoir esquissé un panorama des modes de détournement présents dans les récits du corpus, le second chapitre rappelle les principales théories sur la réécriture en littérature. Il se concentre ensuite sur l'analyse des contes détournés à partir des principales composantes du conte merveilleux (espace-temps, personnages et structure). Il s'avère alors que la réécriture conduit à un bouleversement de la forme, des motifs et de la fonction des contes d'origine, puisque sa visée est essentiellement divertissante et ludique. Le dernier chapitre, à teneur plus ethnocritique, se consacre entièrement à l'étude du Petit Chaperon rouge, en montrant la fonction initiatique qu'il possède dans la littérature orale et en expliquant la signification symbolique incarnée par la figure du loup dans l'imaginaire collectif traditionnel. À la lumière des analyses du corpus, il apparaît que la plupart des réécritures de ce conte provoquent son appauvrissement ou tout du moins son altération, dans la mesure où le loup n'est plus générateur d'angoisse pour les lecteurs. En définitive, la réécriture participe à la fois de la redéfinition et du renouvellement du conte, car d'une part elle relève d'un genre distinct dans la mesure où elle rompt avec les valeurs ainsi que le rôle culturel et social que le conte joue toujours dans notre société, et d'autre part elle se situe dans la continuité de son évolution perpétuelle à travers les époques. ______________________________________________________________________________ MOTS-CLÉS DE L’AUTEUR : Conte, Réécriture, Littérature de jeunesse, Détournement, Petit chaperon rouge, Loup, Charles Perrault.
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The role of Charles Perrault in the Bâtiments du roi /

Vaillancourt, Veronica. January 1981 (has links)
No description available.
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The role of Charles Perrault in the Bâtiments du roi /

Vaillancourt, Veronica. January 1981 (has links)
No description available.
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Il était une fois la ville : les réécritures des contes de Perrault dans l’espace urbain / Once upon a town : Rewriting Perrault’s fairy tales in the urban space

Brière-Haquet, Alice 10 December 2016 (has links)
Il était une fois les réécritures de contes, une production particulièrement vivante dans le monde de l’édition aujourd’hui. L’actualisation y est fréquente : petits chaperons rouges et chats bottés se promènent aujourd’hui dans les rues de la ville où ils rencontrent des loups en voiture ou des ogres de l’industrie. La parodie a bien sûr une fonction ludique, mais pas seulement, car en croisant le conte et la ville, ce sont deux univers de références qui se font face et qui se jaugent : les schémas hérités des contes classiques sont revus et corrigés au nom de nouvelles valeurs tandis que le pays des merveilles interroge celui de la réalité, avec son béton, sa circulation et sa logique toute capitaliste, si bien que c’est la ville qui sort finalement révélée de ce passage en féérie. Mais le phénomène est surtout à replacer dans l’histoire du genre. Grâce aux récents travaux de chercheurs re-contextualisant l’émergence du conte de fées sur la scène européenne, l’on s’aperçoit qu’il ne s’agit pas d’une pratique propre à l’époque contemporaine, mais au contraire de ce qui pourrait bien apparaître comme un trait du genre. Perrault déjà, par la scénographie de la vieille conteuse, offrait à son public de citadins des récits pseudo-naïfs l’invitant à dépasser l’illusion d’une parole décrochée pour trouver la « Morale trés-sensée ». Ainsi, par leur caractère polyphonique, les contes entrent moins dans une logique de transmission que de dialogue entre les générations, et pourraient pour cela être considérés comme les mythes de la modernité. / Once upon a time there were rewritten fairy tales, a very dynamic product in today’s publishing world. Updated fairy tales are the most common type: many Little Red Riding Hoods or Pusses in Boots are now walking through cities, meeting wolves who drive cars or ogres running industrial empires. Though parodies may be amusing, fun is not their only function. Intercrossing the urban imaginary with the fairy-tale means putting two referential universes face to face, each one gauging the other: traditional plots, inherited from classic tales, are twisted and corrected to fit new ideologies, and meanwhile the wonderland judges reality, with its concrete, its traffic, and its capitalist logic, so that in the end, it is the city which is reborn of the fairy tale experience. But the phenomenon should be replaced within the history of the genre. Thanks to recent academic studies, we can re-contextualize the emergence of the fairy tale in the European literary stage, and we have to note that updating fairy tales is not a contemporary practice, but could indeed be a generic characteristic. Perrault, already, by the scenography of the old maid telling tales to young kids, offered his urban public falsely naive stories, inviting them to look above the illusion of fiction, in order to find the “Morale trés-sensée”, the very wise moral. Therefore, because of their intrinsically polyphonic nature, fairy tales exist less within a logic of transmission than within a logic of conversation between generations, and for that they should be considered myths of modernity.
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Les décisions du traducteur de la littérature de jeunesse sous contraintes lectoriales : une étude sur les traductions chinoises des contes de Charles Perrault (1910-2016) / The Reader’s Constraints and the Decision-making in the Translation of the Children’s Literature : a study on Chinese translations of Charles Perrault’s tales (1910-2016)

Zhang, Wen 06 July 2017 (has links)
Cette thèse se propose d’étudier les contraintes lectoriales susceptibles d’exercer une influence sur les décisions du traducteur de la littérature de jeunesse en se servant d’un grand corpus composé des traductions chinoises des contes de Charles Perrault (1910-2016). Elle s’articule autour de trois questions centrales : Qu’est-ce que les contraintes lectoriales ? Quelles sont les contraintes lectoriales en traduction de la littérature enfantine ? Quelles sont les contraintes lectoriales qui ont existé dans la pratique traductive chinoise des contes de Perrault ? Pour mener à bien cette investigation, nous avons suivi les trois étapes suivantes : 1) à la lumière des travaux traductologiques antérieurs, nous avons d’abord tenté de définir la notion de « contrainte lectoriale » et de proposer un modèle d’analyse qui permet de mieux saisir les décisions traductives prises en situation de ces contraintes ; 2) nous focalisant ensuite sur la littérature de jeunesse, champ d’application de notre problématique, nous avons ensuite relevé, de manière générale, les spécificités du lectorat enfantin à l’appui des discours théoriques de la littérature de jeunesse et de la pédopsychologie ; 3) à la fin, une longue partie a été consacrée aux analyses du corpus, lesquelles seront en mesure de tester les hypothèses que nous avons formulé dans le développement théorique et de révéler les normes traductives propres à la traduction pour la jeunesse en Chine à une époque donnée. D’un point de vue communicationnel de la traduction, les contraintes lectoriales constituent pour nous l’ensemble hétérogène des facteurs liés au sujet lisant et pouvant entraver la liberté du traducteur dans sa prise de décisions. Elles varient selon le temps et l’espace avec les changements dans la langue-culture d’accueil, dans notre cas le contexte d’arrivée chinois. / The present thesis aims to study the “reader’s constraints” that can influence the decisions of the translator of children’s literature by using a large corpus of Chinese translations of Charles Perrault’s tales (1910-2016). It focuses on three central questions: What are the “reader’s constraints”? What are the “reader’s constraints” in the translation of children's literature? Which are the “reader’s constraints” that existed in the Chinese translation of Perrault's tales? To carry out this investigation, we have followed the three steps outlined below: 1) in the light of previous research in translation studies, we first tried to define the notion of "reader’s constraint" and propose a model of analysis that allows us to find the translational decisions made in the context of those constraints; 2) then we have focused on the children’s literature, in order to examine the features of the young readers by aid of the theoretical discourses of youth literature and child psychology; 3) finally, a long section has been devoted to the analyzes of the corpus, which will be able to test the hypothesis formulated in our theoretical development and to reveal the translational norms which can be applicated to the translation for the youth in China at a given time. From a communicational view of translation, the reader’s constraints constitute a heterogeneous set of factors related to the reader and which can hinder the translator's freedom in his decision-making. They vary according to time and space with changes in the target language-culture, which is the Chinese context in case of our study.
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Mamãe Ganso à brasileira: as personagens de Perrault no Sítio do Picapau Amarelo

Santos, Geovana Gentili [UNESP] 16 January 2009 (has links) (PDF)
Made available in DSpace on 2014-06-11T19:26:52Z (GMT). No. of bitstreams: 0 Previous issue date: 2009-01-16Bitstream added on 2014-06-13T19:26:59Z : No. of bitstreams: 1 santos_gg_me_assis.pdf: 1750869 bytes, checksum: fb2fb3fe242420c82b061b91478fae9b (MD5) / Coordenação de Aperfeiçoamento de Pessoal de Nível Superior (CAPES) / e travail étude la manière de caractérisation des personnages des contes de fées de Charles Perrault (1628-1703) et le processus de transcontextualisation (Hutcheon) de ces figures pour l’univers fictionel enfantin de Monteiro Lobato (1882-1948). Dans le premier moment, nous analysons cinq récits sélectionnés de l’oeuvre Contes de ma mère l’oye (1967) et son contexte de production, avec l’objectif de determiner le positionnement (Maingueneau) et la conception littéraire de Perrault. Ensuite, nous entreprenons une étude critique des contes de Monteiro Lobato, en vérifiant les adaptations et les transformations que l’auteur brésilien a réalisées dans les personnages de Perrault qui sont introduits dans les aventures du Sítio do Picapau Amarelo. Dans la dernière partie du travail, nous réalisons une appréciation théorique du procédé créatif adopté par Lobato, avec l’ intention de tracer la manière comme est executée la re-présentation (Sant’Anna) des éléments caractéristiques des contes de fées dans la production ficcionnelle de Lobato. / O presente trabalho estuda o modo de caracterização das personagens dos contos de fadas de Charles Perrault (1628-1703) e o processo de transcontextualização (Hutcheon) dessas figuras para o universo ficcional infantil de Monteiro Lobato (1882-1948). Num primeiro momento, são analisadas cinco narrativas selecionadas da obra Contes de ma mère l’oye (1697) e de seu contexto de produção, com vistas a determinar o posicionamento (Maingueneau) e a concepção literária de Perrault. Na seqüência, é elaborado um estudo crítico dos contos de Monteiro Lobato, verificando as adaptações e/ou transformações realizadas pelo escritor brasileiro ao introduzir as personagens de Perrault nas aventuras do Sítio do Picapau Amarelo. Na parte final do trabalho, realizamos uma apreciação teórica do procedimento criativo adotado por Lobato, a fim de delinear o modo como se processa a reapresentação (Sant’Anna) dos elementos característicos dos contos de fada na produção ficcional de Lobato.
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Les enchantements de l'éloquence : contes de fées et stratégies hyperboliques au XVIIème siècle / The charms of eloquence : fairy tales and hyperbolic strategies in the seventeenth century

Rousseau, Christine 19 October 2013 (has links)
Les nombreux contes de fées qui paraissent à la fin du XVIIe siècle sont modélisés par un système hyperbolique omniprésent. Du niveau le plus micro-structural jusqu'aux macrostructures poétiques, l'hyperbole définit, justifie et confirme le genre merveilleux. Profusion, foisonnement, démultiplications, redoublements, dérivations ou créations débridées sont ainsi les déclinaisons prolifiques de l'hyperbole. Saturant les récits par des procédés récurrents, la distribution lexicale déborde des cadres alors insuffisants pour exposer des inventions originales et fantaisistes, et s'amplifie jusqu'à submerger les contes de néologismes, de listes ou de syntagmes figés dans une expansion logorrhéique. A un niveau supérieur, le discours du narrateur, comme celui des personnages, s'énonce et s'affiche ostensiblement dans une mise en scène générique exponentielle qui (se) joue de multiples formes pour divertir et se développer. Entre ingérence auctoriale fréquente et discordances démonstratives, le conte révèle une énonciation scalaire complexe et inédite dans un genre hérité d'une tradition orale univoque. Redoublant une elocutio composite et enchevêtrée, la dispositio supplétive des contes additionne, intercale et annexe les épisodes diégétiques dans une surcharge narrative qui prolonge les limites d'un genre paradoxalement bref. Les nombreux personnages qui dé/re/doublent le protagoniste participent à la mise en œuvre d'intrigues plurielles qui trouvent leur cohérence dans la figure centrale du conte. Marqué par une emphase systématisée qui se propage autour de lui, le héros rassemble et dirige tous les motifs diégétiques. Inscrit dans un environnement à sa mesure, distingué par des attributs outranciers, entouré de spectateurs enthousiastes, le héros domine le récit par la théâtralisation de son statut hors du commun. Genre hybride, kaléidoscopique et protéiforme, le conte propose une politique paradoxale de la surenchère permanente, du surnombre, de la surqualification, du grossissement, saturant le texte, et ce d'autant plus qu'il est bref, dans un processus jubilatoire. En concentrant dans un espace restreint les multiples éléments du conte, l'esthétique de l'hyperbole, si elle peut exister dans d'autres corpus et dans d'autres déclinaisons, permet spécifiquement d'accéder à la vérité du genre tel qu'il est pratiqué dans l'écriture mondaine des années 1690-1710. / Many fairy tales that appear at the end of the seventeenth century are modelled by a pervasive hyperbolic system. From the most micro-structural level to poetic macrostructures, hyperbole defines, justifies and confirms the wonderful genre. Wealth, abundance, repetitions, derivations or unbridled creations are so prolific versions of hyperbole. Saturating stories by recurring processes, the lexical distribution goes beyond the bounds regarded as inadequate to expose the original and fanciful inventions, and builds up to overwhelm tales with neologisms, lists or phrases stuck in a logorrheic expansion. At a higher level, the discourse of the narrator, and of the characters, reads and is ostensibly displayed in a generic exponential scene playing multiple forms to entertain and grow. Between frequent authorial interference and demonstrative discrepancies, the tale reveals a complex and unique scalar enunciation as if inherited from a univocal oral tradition. Repeating a composite, entangled elocutio the proxy from the stories dispositio adds, inserts and attaches the diegetic events in an overloaded narrative that extends the limits of a short paradoxically short genre. The numerous characters who dub the hero and increase his charisma are involved in the implementation of plural intrigues which find some coherence in the hero. Marked by a systematic focus that spreads around him, the hero collects and directs all diegetic motives. Enrolled in a tailor-made environment for him, distinguished by outrageous attributes, surrounded by enthusiastic spectators, the hero dominates the story by dramatizing his unusual status. As a hybrid genre, a kaleidoscopic and protean, the tale offers a paradoxical policy of continuing escalation of redundancy, over-qualification, magnification, saturating the text, and especially since it is short, in a joyful process. By focusing in a confined space the multiple elements of the tale, the aesthetics of the hyperbole, if it does exist in other corpus and other variations, specifically allows access to the truth of the genre, such as is practiced in the worldly writing years of 1690-1710.

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