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L'approche dialectique pragmatique dans l'analyse des arguments

Beaupré, Sophie January 2009 (has links) (PDF)
Le présent mémoire retrace les éléments théoriques de l'approche dialectique pragmatique dans l'analyse des arguments. C'est en grande partie sur les principes mis de l'avant par Douglas Walton que s'élabore cette théorie. Un des principes fondamentaux de cette approche est qu'un argument, en plus d'être évalué selon sa validité logique, doit être évalué en fonction du contexte dans lequel il s'inscrit. Ainsi, un argument a nécessairement deux dimensions: une logique et une contextuelle. Le respect de l'argument envers son contexte est évalué selon des normes particulières à chaque type de dialogue. L'argument, qui est pris dans un ensemble de règles, doit par conséquent être considéré comme un coup dans un jeu spécifique du dialogue. Nous avons appliqué la théorie de la dialectique pragmatique à une vraie discussion. Le dialogue qui a été analysé est de type critique -type dans lequel les raisonnements basés sur l'abduction et la présomption sont permis. Le fonctionnement de ces logiques non-monotones est également étayé ici car elles sont au centre de la dialectique pragmatique. Enfin, les éléments de cette théorie nous ont permis de reconstituer une liste de sept critères d'évaluation de l'argument. Avec cette nouvelle approche de l'argument vient une nouvelle conception du sophisme, qui n'est plus ni que logique ni que rhétorique.
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Langage et histoire chez Maurice Merleau-Ponty

Balagué, Laurent Escoubas, Éliane. January 2008 (has links)
Thèse de doctorat : Philosophie : Paris Est : 2008. / Titre provenant de l'écran-titre.
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Gestus und Wort : Sprachtheorie und literarische Praxis bei Diderot, mit einleitenden Textanalysen zur Sprachtheorie von Condillac und Rousseau /

Stähli, Peter Eugen. January 1986 (has links)
Diss. : Philosophische Fakultät : Zürich. - Bibliogr. p. 174-188. -
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Medienphilosophie : Musik, Sprache und Schrift bei Friedrich Nietzsche /

Fietz, Rudolf. January 1900 (has links)
Diss.--Philosophische Fakultät--Bonn--Rheinische-Friedrich-Wilhelms-Universität, 1991.
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Sprache und Wissen : zu einer transzendentallogischen Semantik natürlicher Sprachen /

Gladen, Rüdiger, January 1997 (has links)
Texte remanié: Diss.--Linguistik--Berlin--Freie Universität, 1996. / Bibliogr. p. 225-226.
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Sprachreflexion der deutschen Frühromantik : Konzepte zwischen universal Poesie und Grammatischen Kosmopolitismus : mit lexikographischem Anhang /

Bär, Jochen A., January 1999 (has links)
Diss.--Heidelberg Universität, 1998. / Bibliogr. p. 538-572. Index.
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Aspects du sujet dans la philosophie du langage ordinaire / Aspects of the subject in the Ordinary Language Philosophy.

Boutevin-Bonnet, Valérie 28 June 2012 (has links)
De quelle notion de sujet avons-nous besoin rendre compte de nos pratiques et notamment de notre pratique du langage ? Cette question du sujet et de la subjectivité se pose à nouveaux frais dans le cadre de la philosophie du langage ordinaire et tout particulièrement à partir de la théorie des actes de parole de J.L. Austin. En effet, si le langage n’a de signification qu’en tant que parole, et même qu’en tant qu’acte d’un sujet qui prend la parole, le langage ne saurait être un processus sans sujet. Un acte nécessite un agent et si cet acte est un acte de parole, il faut un agent capable de comprendre la signification de ce qui est dit, en d'autres termes, il semble bien qu’il faille un sujet pensant, un sujet psychologique. C’est dans cette voie que s’engagèrent les premières interprétations d’Austin. Les actes de parole donnèrent naissance d’une nouvelle discipline : la pragmatique, où le rôle de l’intention dans la signification est primordial. Or, la philosophie du langage ordinaire se situe dans le projet initial de la philosophie analytique, tel que mené par Frege, Russell et le premier Wittgenstein, qui détachaient la signification de la subjectivité des représentations en la liant à la référence ou dénotation. Le sujet psychologique se trouve alors hors du champ de la pensée et de la vérité. Austin poursuit et radicalise ce projet : dans la théorie des actes de parole, la vérité devient la dimension d’évaluation de certains énoncés à l’intérieur de la catégorie plus générale de la félicité, évaluation qui n’est possible qu’en situant l’énonciation dans son contexte. C’est donc le contexte, et non l’intériorité du sujet parlant qui permet la compréhension. Ainsi, Le sujet des actes de paroles n’est pas le sujet intentionnel du mentalisme. C’est en fait un sujet pensant dont la pensée se lit dans le comportement, un sujet dont la pensée publique se fonde et s’exprime dans des conventions sociales qui le rendent responsables de ses paroles. Le sujet parlant est un sujet social pour qui l’enjeu est de parvenir à trouver et faire entendre sa voix alors même qu’il parle dans les mots des autres, un sujet responsable et mis en position de fragilité car il doit répondre de plus qu’il ne le voudrait. / What kind of a notion of subject do we need in order to account for our practices, and especially our practice of language? The issue of subject and subjectivity is raised anew within the ordinary language philosophy, more particularly within J.L. Austin's speech acts theory. As a matter of fact, if language has a meaning only inasmuch as it is a speech—the speech act of a subject—language cannot be a process devoid of subject. There must be an agent to perform an act, and if the act is a speech act, the agent must be able to understand what is meant, in other words, what seems to be needed is a thinking, psychological subject. Austin's first interpretations actually went down that path. Speech acts gave birth to a new theory: pragmatics, in which intention plays a key role in meaning. Nevertheless, ordinary language philosophy is in continuity with the original project of analytical philosophy as conducted by Frege, Russell and the first Wittgenstein, who separated the meaning from the subjectivity of representations and linked it instead to the reference or denotation. The psychological subject is then excluded from the field of thought and truth. Austin continues and toughens that project. Within the speech acts theory, truth becomes the assessment dimension of some utterances within the more general category of felicity—such an assessment being possible only when the issuing of the utterance is inserted in its whole context. Therefore, what enables comprehension is context, not inwardness. So, the subject of speech acts isn't the intentional subject of mentalism. In fact, it's a subject whose thought is to be read in their behaviour, a subject whose public thought is based on and expressed in social conventions which make them responsible for what they say. The speaking subject is a social subject whose issue is to find their voice and make themselves heard, although they speak in other people's words, a responsible subject in a vulnerable position as they must answer for more than they care for.
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L'indissociabilité de la pensée et du langage

Simard, Yanik 18 December 2021 (has links)
Les écrits semblent poser en principe un lien étroit entre langage et pensée. Autant on semble affirmer le principe de l'indissociabilité de ce lien entre le langage et la pensée, autant on explique peu comment s'établit ce lien. L'objectif de ce mémoire est d'étudier de plus près comment certains auteurs expliquent ce lien indissociable. L'objet second constitue une critique de cette indissociabilité. A l'aide de certains ouvrages, dont ceux de Gusdorf, Sapir et Wittgenstein, j'ai observé que les liens entre la pensée et le langage ont des similitudes et des divergences. Par exemple, par des chemins différents, Gusdorf et Sapir ont des positions qui se ressemblent. La réciprocité et le mutualisme semblent les principaux liens qui expliquent, selon ces auteurs, l'indissociabilité entre la pensée et le langage. Dans Investigations philosophiques, Wittgenstein suggère, pour sa part, l'indissociabilité entre la pensée et le langage. Pour cet auteur, le langage est antérieur à la pensée. Et c'est le langage qui fait apparaître la pensée. Dans Tractatus logico-philosophicus, de même que dans Remarques philosophiques, la pensée et le langage semblent dissociables. La pensée est plutôt affirmée comme étant antérieure au langage. Ce n'est pas le langage qui rend nécessairement manifeste la pensée; celle-ci doit se rendre manifeste d'elle-même. Si les philosophes semblent plutôt d'accord pour affirmer l'indissociabilité entre la pensée et le langage, je suis surpris de constater que les argumentations sont peu élaborées pour expliquer cette sorte de lien. L'indissociabilité entre la pensée et le langage serait-il un principe premier? Se peut-il que la culture, l'éducation aient indirectement fait en sorte que ce principe de l'indissociabilité du langage et de la pensée ne puisse être remis en question?
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Samuel Beckett et les écrivains de Port-Royal / Samuel Beckett and the Writers of Port-Royal

Foehn, Melanie 09 July 2012 (has links)
L’objet de ce travail de recherche est de définir la relation de Samuel Beckett au classicisme français du dix-septième siècle. L’analyse préliminaire de différents manuscrits permet d’identifier les sources primaires et secondaires de ce dernier sur Pascal et Racine, et de mettre en avant, dans un second temps, les différentes correspondances, esthétiques et littéraires, entre l’œuvre de l’écrivain irlandais et Port-Royal. L’arrière-plan philosophique se définit par la conjonction de la logique, de l’éloquence et de la passion au cœur de l’œuvre racinienne, que l’on retrouve dans la rhétorique des Pensées, et l’analyse du langage dans la Logique ou l’art de Penser (1662) d’Arnauld et de Nicole. Les différents aspects de cette filiation intellectuelle sont établis à partir de l’analyse comparée des propos de Beckett dans ses séminaires sur la ‘modernité’ de Racine à Trinity College, Dublin, et des écrits théoriques de contemporains français parmi les plus illustres autour du ‘classicisme moderne’ et de ‘l’antirhétorique’. L’étude de l’essai sur Proust, écrit en 1931, suivra ce bilan historiographique afin démontrer que l’œuvre de Beckett se situe dans le prolongement de l’augustinisme littéraire français,qu’il connaissait au moins à partir des écrits et en particulier du roman de Sainte-Beuve, Volupté. En outre, les thèmes augustiniens parcourent l’œuvre plus tardive, notamment la trilogie de romans français, Molloy, Malone Meurt, et L’Innommable comme les textes courts tels que Le Dépeupleur et Sans. L’intertextualité entre les écrits de Pascal et ceux de Beckett, doublée d’une analyse stylistique, démontrera que la syntaxe appauvrie de l’œuvre beckettienne est profondément inspirée du pessimisme augustinien vis-à-vis du langage. En effet, Beckett, adoptant le français comme principale langue d’expression, choisit le style des Pensées comme l’un de ses modèles les plus fondamentaux. / This thesis examines Samuel Beckett’s understanding of seventeenth century French classicism. Thepreliminary analysis of genetic material, that allows the identification of Beckett’s primary andsecondary sources on Pascal and Racine, leads to a discussion of literary and aesthetic connectionsbetween the works of Beckett and the writers of Port-Royal. The philosophical backdrop of thatinfluence derives from the unique fusion of logic, eloquence, and passion manifested in the works of Racine, together with the conception of language in the Pensées and Arnauld and Nicole’s1662 Logique ou l’art de Penser. Literary theories on style and ‘modern literature’ that are contemporary to Beckett’s Trinity College lectures and early critical writings are examined here in the aim to define the different aspects of that intellectual filiation. A close reading of Beckett’s 1931 monograph on Proust’s A la recherche du temps perdu follows the initial historiographical study, so as to show that the presence of French literary Augustinianism, manifested in the works of Sainte-Beuve, particularly his only novel Volupté, also underlies some of Beckett’s later prose. This includes the trilogy of French novels, Molloy, Malone Dies, and The Unnamable, and pieces belonging to the later period, particularly Le Dépeupleur/The Lost Ones, and Sans/Lessness. Beckett’s ‘syntax of weakness’, based on reduction and impoverishment, is inspired by the Augustinian pessimism towards language at work in the Logique. As such, the anthropological vision of Port-Royal anticipated Beckett’s definition of being as chaos, so much so that Pascal’s style crucially defined his use of the French language itself.
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La décision de l'expérimentation à l'interprétation : l'apport de Donald Davidson

Harnay, Pôl-Vincent 08 December 2008 (has links) (PDF)
Cette thèse s'intéresse à la théorie de la décision telle que la propose le philosophe américain Donald Davidson. Après avoir lu et discuté les théories de Ramsey (1926), von Neumann et Morgenstern (1954), Savage (1954), Davidson propose es propres axiomatiques et procédures de test en introduisant, à la différence des expériences antérieures de la théorie de l'utilité espérée, des probabilités subjectives. Les résultats de ces expériences qu'il mène entr 1957 et 1959 le conduisent toutefois à critiquer, voire à rejeter ses premières analyses de la décision. Il se tourne alors vers la philosophie de l'action et du langage et étaye ses critiques dont la plus importante est celle qui consiste pour l'expérimentateur à faire l'impasse sur les significations que les sujets attribuent aux issues. Pourtant, fort de son expérience philosophique, il propose dans les années 1980 une nouvelle théorie de la décision qui intègre une théorie de l'interprétation du langage. S'appuyant sur le modèle Bolker-Jeffrey (1965), Davidson propose d'analyser simultanément les désirs (utilités), les croyances (probabilités) et les significations. <br />Nous cherchons à montrer si cette seconde version enrichie de la théorie de la décision, pour le moins originale, répond aux différentes critiques que l'on pouvait adresser à la première. Et, d'une manière plus générale, nous mettons en lumière l'apport d'une théorie de la décision au carrefour de l'économie et de la philosophie.

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