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La théorie de la signification en contexte davidsonien

Hidri, Chokri 06 1900 (has links) (PDF)
Donald Davidson cherche à montrer comment le langage est produit et compris. Parti de la conviction que l'on ne peut parler de langage que dans le contexte social d'une « triangulation » qui marque l'interaction mutuelle entre les interlocuteurs et leur interaction avec un environnement qu'ils partagent, il appréhende la signification au sein de la communication. Pour l'expliquer et élaborer une théorie qui en rend compte, il replace le langage dans le contexte global de ce qu'on a pris l'habitude de qualifier de « programme sémantique de Davidson », qui soulève plusieurs questions eu égard essentiellement à la vérité, à l'interprétation et à la nature de la relation qui relie le langage à la pensée et à la réalité. Ce mémoire présente alors le fruit d'un travail tout au long duquel on a retracé élément par élément les composantes de l'environnement philosophique dans lequel Davidson insère son programme sémantique. C'est ainsi qu'on a pu le reconstituer et en donner un aperçu assez complet, à partir duquel l'originalité et l'unité du projet de ce philosophe peuvent être mises en évidence. Ce faisant, on a pu montrer que Davidson offre à la philosophie du langage une nouvelle perspective dans laquelle il conçoit le langage dans l'unité organique qui le rattache, par une relation de survenance mutuelle, autant à la pensée qu'à la réalité, formant ainsi la triade Langage-Pensée-Réalité. Désormais, il est possible de voir comment le fonctionnement du langage, de la signification, de la vérité et de l'interprétation culmine dans et est porté par la structure, le contenu et la dynamique que représente cette Triade. ______________________________________________________________________________ MOTS-CLÉS DE L’AUTEUR : langage, signification, vérité, interprétation, interprétation radicale, réalité, pensée, sémantique, triade, ontologie, métaphysique, épistémologie.
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Lecture et interprétation : le langage à l'épreuve du sens

Plante, Maxime 03 1900 (has links) (PDF)
On a coutume de voir dans l'absurde l'échec du langage à communiquer son sens. Une telle absence de sens au cœur même du langage ne devrait-elle pas remettre en question son efficacité? L'auteur tente de montrer que le concept d'absurde est pris dans les rets de la dialectique, car il est toujours assimilé à une négativité toujours productive. N'y a-t-il pas lieu pourtant de penser l'absurde en dehors de toute pensée dialectique - sans référence à une finalité, une utilité ou un sens ultime - en se basant sur l'expérience du texte dans la lecture? Une telle tentative nous projette au cœur du jeu de l'écriture et montre qu'en dehors de tout volontarisme de la part de l'auteur ou du lecteur un certain poétique les frappe avant toute intériorisation. Une telle rencontre n'est pas un prélude à la donation de sens mais la nuit de la désorientation. Celle-ci sera porteuse d'une expérience marquante pour la subjectivité du sujet sans posséder une quelconque valeur dans l'ordre de la connaissance. Le toucher du poétique engage le lecteur à la dissolution de sa subjectivité dans l'optique d'une communication qui serait pré-politique. Que signifie cet engagement lorsqu'on le confronte à des auteurs comme Derrida et Lévinas qui placent l'intentionnalité et la décision au cœur de leur pensée? Loin de compromettre la pensée du poétique, la réflexion de ces auteurs permet de la pousser plus avant vers une redéfinition de la liberté autour du motif de responsabilité à l'égard de l'Autre. Une telle responsabilité peut-elle être finalement le noyau constitutif de la subjectivité et le lien entre éthique et politique qui permet de penser une justice inconditionnelle? ______________________________________________________________________________ MOTS-CLÉS DE L’AUTEUR : lecture, écriture, interprétation, absurde, poétique, langage
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Les recherches philosophiques du jeune Heidegger /

Quesne, Philippe. January 1900 (has links)
Th. doct.--Philosophie--Paris 10, 1999. N°: 1999PA100030. / Bibliogr. p. 253.
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Discours de l'émotion, du contrôle au management contribution à une sociolinguistique de l'efficace /

Cornillet, Alban Blanchet, Philippe Jucquois, Guy January 2007 (has links)
Thèse de doctorat : Sciences du langage. Méthodologie des sciences : Rennes 2 : 2005. Thèse de doctorat : Sciences du langage. Méthodologie des sciences : Université catholique de Louvain-la-Neuve : 2005. / Thèse soutenue en co-tutelle. Bibliogr. p. 529-563. Annexes.
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Bild und Sprache und ihre Beziehung zur Welt : überlegungen zur Bedeutung von Jung und Heidegger für die Psychologie /

Kawai, Toshio. January 1988 (has links)
Diss.--Philos.--Zürich, 1987.
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Donald Davidsons Theorie sprachlichen Verstehens /

Stüber, Karsten. January 1900 (has links)
Texte remanié de: Diss.--Tübingen--Universität.
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"...die sprach will sich ändern" : zur Vorgeschichte der Autonomie von Sprache und Dichtung /

Rathmann, Thomas. January 1900 (has links)
Texte remanié de: Diss.--Fachbereich für Kommunications und Geschichtswissenschaften der Technische Universität Berlin, 1989. / Bibliogr. p. 133-150.
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Vers une philosophie du Web : le Web comme devenir-artefact de la philosophie (entre URIs, tags, ontologie (s) et ressources) / Towards a philosophy of the Web : the Web as philosophy becoming artefact (between URIs, tags, ontologies and resources)

Monnin, Alexandre 08 April 2013 (has links)
Cette thèse entend prendre acte de l'importance du Web d'un point de vue philosophique. Importance double : à la fois comme objet de recherche, qui, dans le sillage du Web Sémantique et de l'architecture du Web, à des titres divers, entre en résonance évidente avec les problématiques classiques de la métaphysique et de la philosophie du langage. Dans cette perspective, nous étudions quelques-uns de ses composants principaux (URI, ressources, tags, etc.). En parallèle, nous soulignons son importance au regard de la question du devenir de la philosophie elle-même. En effet, le travail entrepris ne s'est nullement contenté de projeter les concepts à priori d'une philosophia perennis. Il a consisté, au contraire, à interroger les architectes du Web eux-mêmes pour faire émerger leur métaphysique empirique, en observant les controverses qu'elle a suscitées. Prendre acte de la portée ontogonique d'une pratique telle que « l'ingénierie philosophique », selon l'expression de Tim Berners-Lee, pensée ici comme la production de nouvelles distinctions dans un monde en train de se faire, nous conduit à mener une réflexion plus vaste sur la nature de l'objectivation. Celle-ci rejoint en fin de compte des préoccupations politiques, dans la perspective de l'établissement d'un monde commun, auquel le Web participe activement. / The aim of this thesis is to account for the importance of the Web from a philosophical point of view. In a twofold fashion: as an object for research that, in the wake of the Semantic Web and Webarch, in different ways, is obviously consonant with many classical issues in metaphysics and the philosophy of language. From this perspective, we study some of its main building blocks (URI, resources, tags, etc.). Along with this aspect, we underline its importance as regards what's becoming of philosophy itself. This is all the more important since the task at hand demanded that we did not project philosophical categories a priori and lend ourselves to commit the "inscription error" acutely described by Brian Cantwell Smith, by resorting to a form of philosophia perennis. Conversely, we tried to focus our attention on Web architects themselves in order to bring their empirical metaphysics to the forefront, observing the controversies to which it lent itself. By acknowledging the « ontogonic » scope of such a practice as « philosophical engineering », an expression coined by no other than Tim Berners-Lee himself, understood as the production of new distinctions and entities like resources in a world that unfolds, we were made to ponder broader topics like the nature of objectivation. In the end, this gave rise to politic al concerns in line with the establishment of a shared world, in which the Web is heavily involved.
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Vous avez dit fiction ? Analyse contextualiste du jugement de fictionalité et approche pragmatiste des oeuvres romanesques. / Did you say "Fiction" ? A contextualist analysis of the judgment of fictionality and a pragmatist approach of novels

Renauld, Marion 02 July 2013 (has links)
Le but de cette thèse est de clarifier le concept de « fiction » tel qu’il apparaît dans ses usages ordinaires et techniques, en en explicitant les présupposés et les effets. Dans un premier temps sont étudiées les théories de la fiction formulées par les philosophes analytiques, de Frege à Walton ; ces analyses aboutissent à une définition mentaliste en termes de conditions nécessaires et suffisantes, comme attitude prescrite de croyance feinte (make-believe), caractérisation dont on mesure les mérites et les limites. Contre une approche essentialiste, nous proposons, dans un deuxième temps, une analyse contextualiste du jugement de fictionalité, de ses motifs et motivations. Pour ce faire, un appareillage semi-formel est introduit, qui articule les sept règles du jugement, ainsi que les métarègles requises et les standards à partir desquels nos attributions de fictionalité sont variables, dépendantes d’enjeux externes ontologiques, épistémiques et éthiques. Afin d’éviter le risque de relativisme excessif, nous nous focalisons enfin sur les actes d’invention qui interviennent autant dans la genèse que dans la réception des œuvres dites de fiction, et en particulier, des œuvres romanesques. Une approche pragmatiste, entée sur une grille conceptuelle tripartite (Information, Interprétation, Invention), et couplée à une étude de quelques théories littéraires de la fiction, permet alors d’esquisser des réponses cohérentes aux principales questions concernant ces expressions issues de l’imagination et de la créativité humaine. / The goal of this thesis is to clarify the concept of “fiction” as it appears in its ordinary and technical uses, by making explicit its presuppositions and effects. First, we study several theories of fiction given by analytical philosophers, from Frege to Walton; these analyses lead to a mentalist definition in terms of necessary and sufficient conditions, as a prescribed attitude of make-believe, a characterization for which we appreciate the merits and limits. Then, against an essentialist approach, we offer a contextualist analysis of the judgment of fictionality, its patterns and motivations. So we introduce a semi-formal apparatus which articulates the seven rules of judgment, their meta-rules and standards that make variable our attributions of fictionality, depending on external ontological, epistemical and ethical issues. Finally, in order to avoid the risk of excessive relativism, we focus on the acts of invention which are at play in the genesis and reception of so-called works of fiction, especially, novels. A pragmatist approach, together with a ternary conceptual framework (Information, Interpretation, Invention) and a study of some literary theories of fiction, allow us to sketch coherent answers to central questions about these expressions coming from our imagination and human creativity.
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L'articulation des aspects logique et "mystique" du Tractatus de Wittgenstein : forme et origines de la distinction entre dire et montrer / The articulation between the logical and the ‘mystical’ aspects of Wittgenstein’s Tractatus : form and origins of the distinction between saying and showing

Decauwert, Guillaume 06 September 2013 (has links)
La présente thèse de doctorat propose une interprétation du Tractatus logico-philosophicus qui prend pour fil directeur l'analyse de la distinction opérée par Ludwig Wittgenstein entre « ce qui peut être dit » et « ce qui se montre ». Il s'agit, à partir d'une étude de la relation entre les développements logiques du Traité et son aspect « mystique » (c'est-à-dire ses considérations concernant la notion de valeur absolue), de poser le problème de son unité structurelle. L'unité du premier ouvrage de Wittgenstein s'avère étroitement liée à la distinction entre dire et montrer en laquelle résident selon l'auteur l'« argument principal » de son livre et le « problème cardinal de la philosophie ». Afin d'expliquer l'unité du Tractatus, ce travail de recherche s'efforce d'élucider la nature de la distinction dire/montrer, d'abord par une analyse de ses applications dans les remarques dont le Traité est composé, puis par une enquête sur ses origines dans les œuvres de Gottlob Frege, Bertrand Russell, Arthur Schopenhauer, Otto Weininger, William James et Léon Tolstoï. Selon la lecture du texte ici présentée, tous les emplois de cette distinction participent d'une forme commune qui est liée à la notion de réflexivité (ou d'autoréférence). / This PhD thesis deals with Wittgenstein's Tractatus Logico-philosophicus and intends to construct an interpretation of the book by using the distinction between ‘what can be said' and ‘what shows itself' as a central thread. Starting from a study of the relationship between the logical developments of the treatise and its ‘mystical' aspect (i.e. its remarks on the idea of an absolute value), the thesis raises the problem of the structural unity of Wittgenstein's early work. It appears that this unity is intimately related to the distinction between saying and showing, which is, according to Wittgenstein, the ‘main point' of his book and ‘the cardinal problem of philosophy'. To explain the unity of the Tractatus, the present work tries to elucidate the nature of the say/show distinction—first, through an analysis of its use in the book, and second, through an investigation into its origins in the works of Frege, Russell, Hertz, Schopenhauer, Weininger, James, and Tolstoy. According to the reading presented here, all the uses of this distinction pertain to a common form, which is linked to the concept of reflexiveness (or self-reference).

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