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Religiöse Rede von Gott /Dalferth, Ingolf Ulrich, January 1981 (has links)
Les parties I et II de ce vol. constituent le texte remanié de : Diss. : Evangelische Theologie : Tübingen : 1977. - Bibliogr. p. 713-737. Index. -
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Kants Logikvorlesungen als neuer Schlüssel zur Architektonik der "Kritik der reinen Vernunft" : die Ausarbeitung der Gliederungsentwürfe in den Logikvorlesungen als Auseinandersetzung mit der Tradition /Conrad, Elfriede. January 1900 (has links)
Diss.--Fachbereich I--Universität Trier, 1991. / Contient un résumé en anglais. Bibliogr. p. 121-145. Index.
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Logica e filosofia pratica nello Hegel di Jena : dagli scritti giovanili al "Sistema dell'eticità /Valenza, Pierluigi, January 1999 (has links)
Texte remanié de: Tesi di dottorato, 1994. / Bibliogr. p. 399-413.
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Die Offenheit des Sinns : Untersuchungen zu Sprache und Logik bei Martin Heidegger /Steinmann, Michael. January 1900 (has links)
Habilitationsschrift--Philosophische Fakultät--Freiburg--Albert-Ludwigs-Universität, 2005. / Bibliogr. p. 391-405.
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Ética y filosofía analítica : estudio histórico-crítico /Santos Camacho, Modesto. January 1975 (has links)
Tesis doct.--Filos.--Pamplona--Universidad de Navarra, 1972. Titre de soutenance : La obra y la tradición ética de Toulmin. / Bibliogr. p. 811-818 et bibliogr. des oeuvres de S.-E. Toulmin, p. 818-822.
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Der eleatische Satz vom WiderspruchRanulf, Svend, January 1924 (has links)
Thesis--Copenhagen. / "Resumé paa dansk" (1 leaf) laid in.
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L'articulation des aspects logique et "mystique" du Tractatus de Wittgenstein : forme et origines de la distinction entre dire et montrer / The articulation between the logical and the ‘mystical’ aspects of Wittgenstein’s Tractatus : form and origins of the distinction between saying and showingDecauwert, Guillaume 06 September 2013 (has links)
La présente thèse de doctorat propose une interprétation du Tractatus logico-philosophicus qui prend pour fil directeur l'analyse de la distinction opérée par Ludwig Wittgenstein entre « ce qui peut être dit » et « ce qui se montre ». Il s'agit, à partir d'une étude de la relation entre les développements logiques du Traité et son aspect « mystique » (c'est-à-dire ses considérations concernant la notion de valeur absolue), de poser le problème de son unité structurelle. L'unité du premier ouvrage de Wittgenstein s'avère étroitement liée à la distinction entre dire et montrer en laquelle résident selon l'auteur l'« argument principal » de son livre et le « problème cardinal de la philosophie ». Afin d'expliquer l'unité du Tractatus, ce travail de recherche s'efforce d'élucider la nature de la distinction dire/montrer, d'abord par une analyse de ses applications dans les remarques dont le Traité est composé, puis par une enquête sur ses origines dans les œuvres de Gottlob Frege, Bertrand Russell, Arthur Schopenhauer, Otto Weininger, William James et Léon Tolstoï. Selon la lecture du texte ici présentée, tous les emplois de cette distinction participent d'une forme commune qui est liée à la notion de réflexivité (ou d'autoréférence). / This PhD thesis deals with Wittgenstein's Tractatus Logico-philosophicus and intends to construct an interpretation of the book by using the distinction between ‘what can be said' and ‘what shows itself' as a central thread. Starting from a study of the relationship between the logical developments of the treatise and its ‘mystical' aspect (i.e. its remarks on the idea of an absolute value), the thesis raises the problem of the structural unity of Wittgenstein's early work. It appears that this unity is intimately related to the distinction between saying and showing, which is, according to Wittgenstein, the ‘main point' of his book and ‘the cardinal problem of philosophy'. To explain the unity of the Tractatus, the present work tries to elucidate the nature of the say/show distinction—first, through an analysis of its use in the book, and second, through an investigation into its origins in the works of Frege, Russell, Hertz, Schopenhauer, Weininger, James, and Tolstoy. According to the reading presented here, all the uses of this distinction pertain to a common form, which is linked to the concept of reflexiveness (or self-reference).
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La logique de l'agent rationnel / Logic of the rational agentKubyshkina, Ekaterina 30 January 2018 (has links)
Les logiques multivalentes sont définies comme une famille de logiques non classiques dont la caractéristique commune est de ne pas restreindre les valeurs de vérité aux seuls « vrai » et « faux ». À cet égard, Kleene (1938) a offert une logique se fondant sur l’intuition que tout énoncé est soit vrai, soit faux ; mais qu’il existe néanmoins des énoncés dont la valeur de vérité n’est pas connue. La formalisation d’une telle intuition amena Kleene à introduire une troisième attribution de valeur de vérité pour les énoncés : « inconnu ». Pour autant, une telle formalisation reste ambiguë : elle échoue à résoudre la dichotomie entre le fait que tout énoncé est soit vrai, soit faux et le fait qu’il existe des énoncés dont l’attribution de valeur de vérité n’est ni « vrai », ni « faux ». L’enjeu de la présente thèse sera l’introduction d’une nouvelle logique multivalente intitulée logique de l’agent rationnel se fondant sur les idées de Kleene tout en en éliminant l’ambiguïté décrite plus haut.La logique de l’agent rationnel permet de modéliser le raisonnement d’un agent en considérant la connaissance (ou l’ignorance) qu’il peut avoir de la valeur de vérité classique des énoncés. D’un point de vue technique, nous introduisons plusieurs définitions de la notion de conséquence logique dans ce cadre, et construisons sur cette base, des sémantiques complètes de notre logique. Nous montrons ensuite l’intérêt d’une telle formalisation en l’appliquant à l’étude d’un problème épistémologique connu sous le nom de « paradoxe de la connaissabilité ». D’un point de vue épistémologique, l’introduction de la logique de l’agent rationnel permet d’analyser la notion d’ignorance comme indépendante de celle de connaissance. Une telle formalisation ouvre ainsi la voie à une position inédite, selon laquelle la notion d’ignorance est primitive et non analysable. / Many-valued logics is a family of non-classical logics, which is characterized by the fundamental fact that they do not restrict the truth values to only truth and falsity. According to this line of inquiry, Kleene (1938) constructed a logic that is based on the idea that every proposition is either true, or false, but there exist propositions for which the truth value is unknown. The formalisation of this idea leads to the introduction of a third assignment of truth value to propositions, interpreted as “unknown”. However, this formalisation contains an ambiguity, because it does not permit the resolution of a contradiction between the fact that every proposition is either true or false, and the fact that there exist propositions for which the assignment of truth value is neither “true” nor “false”. The initial aim of the present thesis is to explore Kleene’s idea in order to introduce and analyse a new many-valued logic, to be called the logic of a rational agent, that is founded on Kleene’s ideas, but that eliminates the above-mentioned ambiguity.The logic of a rational agent models the reasoning of an agent, taking into account the knowledge (or ignorance) of the classical truth value of a proposition that the agent can have. On the technical level, we introduce diverse definitions of entailment relations and construct consistent and complete semantics on this base. We then show the interest inherent in such a formalisation, by proposing an application of this logic to a famous epistemological problem, known as the “knowability paradox”. On the epistemological level, the logic of a rational agent permits us to offer an analysis of the notion of ignorance, as understood independently from the notion of knowledge. Such a formalization.
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La logique et les logiques : la question du pluralismePoirier, Sébastien 08 1900 (has links)
Partant des travaux séminaux de Boole, Frege et Russell, le mémoire cherche à clarifier l‟enjeu du pluralisme logique à l‟ère de la prolifération des logiques non-classiques et des développements en informatique théorique et en théorie des preuves. Deux chapitres plus « historiques » sont à l‟ordre du jour : (1) le premier chapitre articule l‟absolutisme de Frege et Russell en prenant soin de montrer comment il exclut la possibilité d‟envisager des structures et des logiques alternatives; (2) le quatrième chapitre expose le chemin qui mena Carnap à l‟adoption de la méthode syntaxique et du principe de tolérance, pour ensuite dégager l‟instrumentalisme carnapien en philosophie de la Logique et des mathématiques. Passant par l‟analyse d‟une interprétation intuitive de la logique linéaire, le deuxième chapitre se tourne ensuite vers l‟établissement d‟une forme logico-mathématique de pluralisme logique à l‟aide de la théorie des relations d‟ordre et la théorie des catégories. Le troisième chapitre délimite le terrain de jeu des positions entourant le débat entre monisme et pluralisme puis offre un argument contre la thèse qui veut que le conflit entre logiques rivales soit apparent, le tout grâce à l‟utilisation du point de vue des logiques sous-structurelles. Enfin, le cinquième chapitre démontre que chacune des trois grandes approches au concept de conséquence logique (modèle-théorétique, preuve-théorétique et dialogique) forme un cadre suffisamment général pour établir un pluralisme. Bref, le mémoire est une défense du pluralisme logique. / Starting from the seminal work of Boole, Frege and Russell, the dissertation seeks to clarify the issue of logical pluralism in the era of the proliferation of non-classical logics and the developments in theoretical computer science and proof theory. Two “historical” chapters are scheduled: the first chapter articulate the absolutism of Frege and Russell, taking care to show how it condemns the possibility to consider alternative structures and logics; the fourth chapter describes the path that led Carnap from the adoption of the syntactic method to the formulation of the principle of tolerance, then goes on to display Carnap‟s instrumentalism in philosophy of Logic and mathematics. Opening with the analysis of an intuitive interpretation of linear logic, the second chapter then turns to the establishment of a form of logico-mathematical pluralism with the help of order theory and category theory. The third chapter delineates the playground of revisionism (philosophical positions surrounding the debate between monism and pluralism) and then provides an argument against the thesis that denies the reality of the conflict between rival logics, all this being done by adopting the substructural logic point of view. The fifth chapter shows that each of the three main approaches to the concept of logical consequence (model-theoretic, proof-theoretic and dialogical) supplies a framework sufficiently general to establish pluralism. In short, the dissertation is a defence of logical pluralism.
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La logique et les logiques : la question du pluralismePoirier, Sébastien 08 1900 (has links)
Partant des travaux séminaux de Boole, Frege et Russell, le mémoire cherche à clarifier l‟enjeu du pluralisme logique à l‟ère de la prolifération des logiques non-classiques et des développements en informatique théorique et en théorie des preuves. Deux chapitres plus « historiques » sont à l‟ordre du jour : (1) le premier chapitre articule l‟absolutisme de Frege et Russell en prenant soin de montrer comment il exclut la possibilité d‟envisager des structures et des logiques alternatives; (2) le quatrième chapitre expose le chemin qui mena Carnap à l‟adoption de la méthode syntaxique et du principe de tolérance, pour ensuite dégager l‟instrumentalisme carnapien en philosophie de la Logique et des mathématiques. Passant par l‟analyse d‟une interprétation intuitive de la logique linéaire, le deuxième chapitre se tourne ensuite vers l‟établissement d‟une forme logico-mathématique de pluralisme logique à l‟aide de la théorie des relations d‟ordre et la théorie des catégories. Le troisième chapitre délimite le terrain de jeu des positions entourant le débat entre monisme et pluralisme puis offre un argument contre la thèse qui veut que le conflit entre logiques rivales soit apparent, le tout grâce à l‟utilisation du point de vue des logiques sous-structurelles. Enfin, le cinquième chapitre démontre que chacune des trois grandes approches au concept de conséquence logique (modèle-théorétique, preuve-théorétique et dialogique) forme un cadre suffisamment général pour établir un pluralisme. Bref, le mémoire est une défense du pluralisme logique. / Starting from the seminal work of Boole, Frege and Russell, the dissertation seeks to clarify the issue of logical pluralism in the era of the proliferation of non-classical logics and the developments in theoretical computer science and proof theory. Two “historical” chapters are scheduled: the first chapter articulate the absolutism of Frege and Russell, taking care to show how it condemns the possibility to consider alternative structures and logics; the fourth chapter describes the path that led Carnap from the adoption of the syntactic method to the formulation of the principle of tolerance, then goes on to display Carnap‟s instrumentalism in philosophy of Logic and mathematics. Opening with the analysis of an intuitive interpretation of linear logic, the second chapter then turns to the establishment of a form of logico-mathematical pluralism with the help of order theory and category theory. The third chapter delineates the playground of revisionism (philosophical positions surrounding the debate between monism and pluralism) and then provides an argument against the thesis that denies the reality of the conflict between rival logics, all this being done by adopting the substructural logic point of view. The fifth chapter shows that each of the three main approaches to the concept of logical consequence (model-theoretic, proof-theoretic and dialogical) supplies a framework sufficiently general to establish pluralism. In short, the dissertation is a defence of logical pluralism.
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