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Christian rebellion theories as delivered by St. Paul from Mars Hill by Augustine, Calvin and AdamsHastings, Jason Michael, University of Lethbridge. Faculty of Arts and Science January 2003 (has links)
This thesis explicates teh rebellion theories of three reowned Christian political thinkers and evaluates the extent that each can communicate an intelligible rebellion theory to a non-Christian audience. Augustine of Hippo, at a dawn of the medieval ages, John Calvin of Geneva during the Reformation and John Adams of the USA in the midst of the Enlightenment are the three thinkers selected for consideration. These thinkers have produced ideas that have transcended time and geographical location. Rebellion is an issue of the utmost political importance as it reveals the limits, and the first principles of politics. The issues surrounding the involovement of religion in politics have created a place for confusion in minds of many people today. The issues surrounding religion and politics need further elucidation. The way these thinkers were able to translate the divine command from Romans 13:1, which decrees an absolute prohibition against rebellion, into an intelligible rebellion theory to non-Christians, is an important consideration in this thesis. / ix, 158 leaves ; 28 cm.
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The viability of the concept of political liberalismYoung, Shaun Patrick 06 1900 (has links)
This thesis examines the viability of the concept of political liberalism. Since its emergence, the idea of a purely political liberalism has been the subject of a voluminous amount of discourse and debate. The concept of political liberalism has been presented as both a solution to the problems of justice and political stability troubling liberal democracies and an exemplar of all that is wrong
with contemporary political philosophy; it has, quite literally, altered the landscape and the
vernacular of contemporary political theory.
Herein it is argued that, despite the significant amount of literature that has been devoted
to the analysis of the idea of a purely political liberalism, the idea itself has yet to be subjected to the type of critique that is required if one is to assess its viability effectively. Though there have been a number of contemporary political theorists who have developed conceptions of political liberalism which they believe differ in important ways from those of their doctrinal colleagues, detailed analyses of the concept of political liberalism have and remain focussed almost exclusively
on a single formulation: namely, Rawlsian political liberalism. This singular focus has precluded
the completion of a comprehensive assessment of the viability of the concept (as opposed to a
single conception) of political liberalism as represented both by Rawlsian and non-Rawlsian
models.
This thesis confronts this problem by expanding the scope of investigation to include a
fulsome examination of other prominent paradigmatic conceptions of political liberalism namely,
those developed by Charles Larmore and Judith Shklar and in so doing provides a more
inclusive and, subsequently, thorough critique than has previously been offered. Adopting such an approach reveals that, despite protestations to the contrary, the prominent paradigmatic
conceptions of political liberalism are sufficiently similar in all important respects to enable their
conflation for the purpose of analysis; and when subjected to a thorough analysis, the idea of a
purely political liberalism proves itself to be untenable. / Political Science / D. Litt. et Phil. (Politics)
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Logiques et contraintes de l'intégration politique en Afrique centrale: la théorie de la justice de John Rawls à l'épreuve de la réalité africaineKudada Banza, Damien 11 June 2012 (has links)
Nous partons d’un constat :plusieurs Etats d’Afrique, en général, et d’Afrique centrale, en particulier, connaissent un déficit très aigu de justice et de démocratie dans la répartition de biens sociaux premiers. En outre, ces Etats ne sont pas bien organisés politiquement, économiquement et socialement. Par conséquent, ils ne respectent pas les principes de justice politique à l’échelle domestique, ni les principes du droit des peuples au niveau international ou supranational. <p>Devant ce constat amer, nous nous sommes proposé de réfléchir en profondeur sur la théorie de la justice politique de Rawls en vue de nous imprégner de principes susceptibles de garantir les droits et devoirs fondamentaux des citoyens et des peuples bien ordonnés.<p>Nous avons ainsi examiné les conditions de possibilité de l’application de la théorie de la justice politique de Rawls pour une intégration politique réussie à l’échelle interne, en République Démocratique du Congo, et au niveau international ou supranational des Etats de l’Afrique centrale. Il ressort que la mise en place des institutions politiques, économiques, socioculturelles viables, de l’Etat de droit et du modèle de la démocratie représentativo-délibérative constituent, à notre sens, des préalables indispensables en vue de postuler, à un second niveau, une intégration politique supranationale dans la sous-région de l’Afrique des Grands Lacs caractérisée par des guerres récurrentes interétatiques. Les principes rawlsiens du droit des peuples peuvent aider à repenser la politique étrangère des pays de la sous-région de l’Afrique centrale et celle des organisations supranationales existantes. <p>Néanmoins, nous avons soutenu que l’application de certains principes rawlsiens du droit des peuples, comme celui du respect des traités et des engagements, nécessite que ceux-ci soient signés au sein d’une « fédération pacifique » des Etats. En effet, dans l’entendement d’Emmanuel Kant, des traités signés dans une « fédération pacifique » mettent fin à la fois aux guerres présentes et futures.<p>Dans cet ordre d’idées, nous avons souligné qu’une « fédération pacifique » des Etats pourra créer un cadre important pour l’émergence d’une « communauté de sécurité » au sens deutschien du terme, nécessaire pour la paix durable dans la sous-région de l’Afrique des Grands Lacs. La « communauté de sécurité » préconise que les Etats entretenant des relations réciproques ne recourent pas à la violence physique et règlent leurs problèmes par des « mécanismes de changement pacifique ». Dans cette logique, la guerre n’est plus facilement envisageable. De plus, nous avons estimé, en nous inspirant d’Habermas, qu’il est pertinent que les pays de l’Afrique centrale s’engagent sur la voie de l’« afrofédération », assurant la transformation des traités interétatiques conclus en une Constitution politique que chaque Etat de la fédération devra respecter.<p> / Doctorat en Philosophie / info:eu-repo/semantics/nonPublished
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Le rapport des adhérents à l'idéologie: un facteur discriminant entre partis ?contribution à l'analyse de l'idéologie et de l'adhésion au sein du CD&V et du VLD en FlandreVan Haute, Emilie 18 January 2008 (has links)
Notre analyse se centre sur l’étude approfondie du rapport des adhérents à l’idéologie. Nous avons opté pour une approche qui envisage ces positionnements comme des facteurs explicatifs potentiels. En effet, nous partons du postulat selon lequel l’homogénéité idéologique qui peut être perçue entre partis au sein d’un système, ou même entre partis auxquels on attribue une place similaire sur l’échelle générique gauche-droite, reflète en réalité des sensibilités parfois très divergentes. Nous avançons, à l’instar de Sartori, que les différences en termes d’idéologie ont un potentiel explicatif fort .Ce postulat va à contre-courant de beaucoup d’études qui prennent comme point de départ l’homogénéisation des idéologies, la convergence au centre, la dissolution des différences.<p>Le choix d’envisager le rapport des adhérents à l’idéologie comme facteur explicatif a été opéré au terme d’une revue de la littérature ayant mis en évidence les lacunes et axes de recherche originaux potentiels. Cette revue de la littérature a mené à l’élaboration d’un cadre synthétique des recherches sur la participation politique et l’adhésion (Chapitres I et II). Celui-ci distingue six grands types d’études, selon que l’adhésion soit envisagée en tant que variable dépendante ou indépendante, et en fonction du niveau d’analyse (macro, méso, micro). Au vu de ce grand nombre d’approches potentielles, il nous a fallu effectuer des choix pour élaborer notre problématique.<p>Parmi l’ensemble des analyses possibles, nous avons opté pour une approche au niveau méso. La littérature sur les partis aborde la question de l’adhésion, mais de façon souvent périphérique, et sur base de postulats qui sont rarement appuyés. Ce rapport indirect à l’adhésion a suscité notre curiosité et notre volonté de l’approfondir. Parmi les études envisageant les rapports entre adhésion et organisation, plusieurs approches sont développées en parallèle dans la littérature (approche fonctionnaliste, de choix rationnel, institutionnelle et génétique). Au final, nous en avons retenu deux, complémentaires :les approches institutionnelle et génétique des partis. Toutes deux postulent un certain rapport à l’adhésion et à l’idéologie. Ces deux approches sont complémentaires plus qu’exclusives. Sur base de ces deux approches, nous avons formulé deux hypothèses centrales. La première vise à vérifier si les caractéristiques de l’adhésion en termes d’idéologie permettent ou non de différencier les types d’organisations partisanes entre elles (approche institutionnelle). La seconde vise à vérifier si les positionnements idéologiques des adhérents permettent de confirmer ou d’infirmer la structuration des clivages à l’œuvre au sein des partis (approche génétique).<p>Afin de tester ces hypothèses et de mener à bien notre démonstration, la recherche est présentée sous forme de trois grandes parties correspondant aux étapes du raisonnement et de l’argumentaire. <p>La première partie a pour objectif de définir le cadre d’analyse et la problématique de notre recherche. Elle s’attache dans un premier temps à définir les concepts centraux de notre étude et à proposer des cadres analytiques pour chacun d’eux (Partie I, Chapitres I et II). Ces deux concepts centraux sont les notions de participation politique et de participation partisane, ou d’adhésion. Ces deux premiers chapitres reviennent sur ces deux notions de participation politique et de participation partisane ou d’adhésion, en définissent les contours, les modalités, et proposent des cadres d’analyse pour leur étude. Ils permettent de mieux cerner notre objet d’étude par un triple travail de définition et de classification, d’état de la littérature, de présentation et de discussion critique d’un cadre d’analyse pour les approches retenues.<p>Cette démarche facilite et autorise dans un deuxième temps l’élaboration de notre problématique (Partie I, Chapitre III). Le chapitre consacré à la précision de celle-ci revient dans un premier temps sur la notion de positionnement idéologique. Nous précisons la notion à l’aide des travaux de Sartori, qui distingue deux niveaux au concept :un aspect cognitif (rapport à la connaissance) et un aspect émotif (degré d’attachement) ,et quatre formes de rapport à l’idéologie en fonction de la position sur chaque niveau (fixe, souple, ferme, flexible). Cette distinction originale est appliquée aux approches institutionnelle et génétique développées dans le Chapitre II. Cette démarche autorise à préciser les hypothèses qui guident la suite de l’analyse. Après avoir ainsi déterminé le cœur de la problématique, le Chapitre III revient sur la justification de la sélection des cas retenus pour l’analyse (CD&V et VLD). Il s’attarde également sur la méthode adoptée et les sources mobilisées pour mener à bien la démonstration et vérifier les hypothèses (méthode d’enquête par questionnaire principalement). Toutes les informations relatives à la sélection et au traitement des sources sont fournies.<p>La deuxième partie de la recherche a pour objectif de présenter les informations nécessaires au test de nos hypothèses. Trois chapitres y sont consacrés. Le premier (Chapitre IV) a pour ambition de situer les deux partis retenus pour l’analyse dans le paysage politique belge en général, et flamand en particulier. Il adopte pour cela une perspective chronologique, mettant en évidence les évolutions en termes de structuration progressive des clivages en Belgique, et les impacts éventuels sur le système partisan belgo-flamand, et sur nos deux cas d’étude en particulier. Cette vision met en avant l’origine différente des deux partis. Elle attire également l’attention sur l’accroissement progressif des clivages actifs au sein du système de partis.<p>Après cette mise en perspective générale, les deux chapitres suivants fournissent une série d’informations sur les partis retenus. Le Chapitre V présente quatre caractéristiques du parti en relation avec l’adhésion, retenues par l’approche institutionnelle :les effectifs d’adhésion, l’activité des adhérents, leur profil, et leur place dans l’organisation. Le Chapitre VI vise pour sa part à esquisser le projet idéologique et la structuration des clivages au sein du CD&V et du VLD.<p>Après avoir recueilli ces informations, la troisième et dernière partie de la recherche se constitue du test de nos hypothèses (Chapitre VII). Elle s’attache au rapport à l’idéologie et aux positionnements idéologiques des adhérents des deux partis. Dans un premier temps, elle tente de les qualifier et d’en identifier le caractère fixe, souple, ferme ou flexible, soit de manière générale (test de la première hypothèse), soit sur des thématiques particulières liées aux clivages (test de la seconde hypothèse). Dans un deuxième temps, l’objectif est de vérifier si ce rapport des adhérents à l’idéologie permet de prédire le type de parti auquel l’adhérent est affilié, et de confirmer une certaine structuration des clivages au sein des deux partis. Dans un troisième temps, nous discutons les implications des résultats empiriques pour nos postulats théoriques.<p>Enfin, la conclusion revient sur les hypothèses de départ. Elle s’attache à mettre en évidence les aspects originaux de notre travail, et revient sur les apports principaux. Elle effectue également un retour sur les hypothèses de départ, et met en évidence le rôle et l’impact du rapport des adhérents à l’idéologie, à la fois dans la capacité à identifier un type de parti, mais aussi à en identifier la configuration des clivages en interne.<p><p> / Doctorat en sciences politiques / info:eu-repo/semantics/nonPublished
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Perspective vol. 18 no. 1 (Feb 1984)Vos, Jack, Zylstra, Bernard, Wolters, Albert M., Gousmett, Chris, VanderVennen, Robert E., Vanderkloet, Kathy 28 February 1984 (has links)
No description available.
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Perspective vol. 18 no. 1 (Feb 1984) / Perspective (Institute for Christian Studies)Vos, Jack, Zylstra, Bernard, Wolters, Albert M., Gousmett, Chris, VanderVennen, Robert E., Vanderkloet, Kathy 26 March 2013 (has links)
No description available.
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Les idéologies politiques africaines: mythe du pouvoir ou instance du développement ?réflexion épistémologique sur le nationalisme congolais à la lumière de la théorie rawlsienne de la justiceTshilumba Kalombo Muadiamvita, Gilbert 03 October 2008 (has links)
Les idéologies politiques africaines :mythe du pouvoir ou instance du développement ?<p>Réflexion épistémologique sur le nationalisme congolais à la lumière de la théorie rawlsienne de la justice.<p><p>Panafricanisme, négritude, consciencisme, socialisme et nationalisme ont eu en gros sur le sol africain, une double mission :-délivrer les pays du joug colonial<p>sortir ces pays du sous-développement par un travail d’une <p>-\ / Doctorat en Philosophie / info:eu-repo/semantics/nonPublished
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Vers une convivialité mondiale en philosophie politique contemporaineMichez, Jean-Claude 30 January 2008 (has links)
La convivialité mondiale :Résumé.<p><p>L’occasion de cette thèse fut à la fois le déclenchement de la première bombe nucléaire à Hiroshima en 1945 et le développement de nouveaux moyens de télécommunications qui révolutionnèrent les domaines informatiques au début des années cinquante. Pour mémoire, les frères Gutenberg, au milieu du XVème siècle, avaient mis au point un procédé typographique qui utilisait les caractères mobiles découvert en Chine au XIème siècle. L’imprimerie, puis l’édition, puis la presse écrite aboutirent finalement à l’avènement des médias de masse contemporains. Convaincus des conséquences fondamentales des débuts de l’informatique de masse sur l’évolution de la géo-sociologie, nous avons commencé dans notre travail, par la recherche d’un modèle sociologique pouvant représenter l’ensemble des habitants de notre planète. Norbert Elias nous apporta le résultat de son étude sur la monopolisation progressive dans des sociétés, dans son livre la « Dynamique de l’Occident ». S. Huntington, de son coté, développa dans « Le choc des civilisations », la réalité sociologique des huit principales civilisations actuellement en développement. A l’occasion de voyages dans des pays appartenant à ces différentes civilisations, nous avons entrepris de construire (p.p. 48bis et 52bis) une trame sociologique mondiale de départ, c’est-à- dire avant l’arrivée d’Internet. L’approche des paradigmes de Kuhn (p. 57), nous donna un support pour expliquer comment l’arrivée d’Internet dans le monde pouvait provoquer un changement, probablement irréversible, de paradigme sociologique.<p><p>La « fusion » des 6 niveaux d’Elias et des 8 civilisations de Huntington, provoquée, de proche en proche, par l’arrivée d’Internet, nous a conduit à définir un concept de convivialité (p. 62). Un tel concept existait déjà, à l’initiative de Brillat-Savarin au XIXème siècle, au niveau d’un groupe d’amis réunis en vue de faire bonne chère et de passer un moment agréable. Ivan Illich d’autre part (voir annexe 1), penseur de l écologie politique (1926-2002), donna un sens tout différent à son concept de convivialité. Nous avons entrepris quant à nous de définir et caractériser un concept adaptable aux quelques 48 domaines similaires mais distinct d’une recherche étendue à l’ensemble de la planète. Pour rappel, la « philia » d’Aristote ne dépassait pas le niveau sociologique de la cité-Etat, et renvoyait le reste du monde connu vers l’appellation de « barbaroi ».<p><p>Après le moment de convivialité décrit par Aristote dans « L’étique à Nicomaque », le monde retomba pendant plus de 2.000 ans dans le règne des autocrates et il fallut de timides débuts de démocratie en Angleterre, puis aux Etats-Unis et en France en 1789, pour constater un changement durable. Depuis une trentaine d’années par contre un grand nombre d’Etats-nations ont successivement évolué et basculé vers des régimes démocratiques :d’abord dans l’Europe du sud, puis dans les quelques pays de l’Asie du Sud Est. L’implosion de l’URSS en 1989 provoqua la création de démocraties beaucoup plus proches des modèles d’Europe occidentale que les pseudo-démocraties populaires de l’ex-bloc soviétique. Simultanément, la plupart des Etats-nations d’Amériques du Sud et du Centre connurent des transformations pacifiques profondes et évoluèrent vers des structures démocratiques. Aujourd’hui, la majorité des Etats-nations parmi les 190 que compte l’ONU, sont devenues des démocraties, au moins en cours de devenir.<p><p>Par ailleurs, au-delà du niveau des Etats-nations se développèrent des Rgionalismes Politiques (R.P.), constitués par le rapprochement d’un certain nombre d’Etats, y compris, depuis quelques décennies, les R.P. de l’Inde, de la Chine et de l’Union Européenne qui regroupe actuellement 27 pays. D’autres R.P. tels que l’ASEAN en Asie du Sud-Est ou le MERCOSUR en Amérique Latine prirent corps de façon progressive. On peut constater ces développements suivant des étapes qui commencent en général par des ententes sécuritaires modestes, suivies d’échanges commerciaux croissants, puis des accords financiers et douaniers. Tous ces développements correspondent à des degrés de convivialité croissants et progressifs ;la véritable interconnexion mondiale et instantanée qui est ainsi en voie d’établissement et qui s’étend à tous les domaines de l’économie, est encore rendue plus complexe par l’entrée en jeu de multiples sociétés transnationales cherchant à chevaucher et ignorer les Etats. Ce nouveau tissu de sociétés multinationales ou transnationales spécialisées et efficaces profite pleinement des techniques mondiales d’informatique. Sur le plan des relations politiques, les relations intra-régionales et inter-régionales ont incorporé les spécificités propres aux différentes cultures, provoquant un brassage exponentiel, quoique difficile à suivre tant son ampleur et sa variété sont grandes.<p><p>Nous avons tenté de résumé le degré de convivialité, suivants les domaines, à l’échelle globale de notre planète devenue aujourd’hui rétrécie et interconnectée. En fait, nous constatons que l’aspiration vers la paix, et la suppression des cas de non-convivialité dans tous les domaines est telle que la convergence des activités spécialisées, agit vite et un peu partout simultanément dans le monde. Nous avons examiné successivement quelques domaines spécialisés et avons abouti à la conclusion qu’il existe déjà aujourd’hui un grand nombre de consensus dans les sciences de la nature et les sciences humaines.<p>Tous les domaines sont-ils concernés ?Non, on peut constater par exemple que la convivialité inter-religions est toujours nulle, sinon conflictuelle en particulier lorsqu’il n’y a pas séparation bien définie et acceptée entre religion et politique, comme c’est le cas pour l’Islam. Les religions d’Asie, souvent plus anciennes que celles du Moyen-Orient et de l’Europe, semblent plus accoutumées à la convivialité par respect mutuel. <p>Nous avons esquissé d’autre part l’évolution contemporaine en philosophie où les positions radicales du XIXème siècle nous apparaissent évoluer vers « La Nouvelle Alliance », titre du dernier ouvrage de I. Prigogine. Celui-ci, en phase avec les nombreuses interrogations nées d’un relativisme généralisé et plein de nouvelles inconnues, oriente nos recherches sans a priori et dans le méthode pragmatique des essais-erreurs, qu’aborde de son coté H. Putman en philosophie.<p><p>Dans le domaine de la philosophie politique enfin, un renouvellement d’intérêts provoqué par les nouveaux dangers de destruction de la planète par les hommes, stimule les efforts de convivialité et la recherche de nouveaux objectifs d’écologie et de progrès raisonnables, bien éloignés des traditions classiques de recherche de pouvoir à tout prix.<p><p>Notre antithèse a cherché où il est devenu nécessaire de temporiser et réglementer nos volontés trop excessives. Notre conclusion enfin veut souligner que nous sommes parvenus aujourd’hui à nous consacrer à un plein travail de recherche dans tous les domaines et qu’il n’est pas temps de conclure mais au contraire d’avancer vers l’accomplissement d’un monde plus humain, plus juste et plus convivial.<p><p> / Doctorat en Philosophie / info:eu-repo/semantics/nonPublished
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