• Refine Query
  • Source
  • Publication year
  • to
  • Language
  • 8
  • 1
  • Tagged with
  • 8
  • 5
  • 4
  • 3
  • 3
  • 3
  • 2
  • 2
  • 2
  • 2
  • 2
  • 2
  • 2
  • 2
  • 1
  • About
  • The Global ETD Search service is a free service for researchers to find electronic theses and dissertations. This service is provided by the Networked Digital Library of Theses and Dissertations.
    Our metadata is collected from universities around the world. If you manage a university/consortium/country archive and want to be added, details can be found on the NDLTD website.
1

Recherches sur l’habitat domestique à Pompéi à l’époque samnite : les maisons de taille moyenne / L’edilizia privata pompeiana in età sannitica : le case di livello medio / Domestic architecture in Pompeii between the forth and first c. B.C. : the case of middle-class houses

Auria, Addolorata 13 December 2013 (has links)
Cette étude doctorale s’inscrit dans le cadre d’une cotutelle de thèse entre les universités de Paris Ouest Nanterre La Défense et de « l’Orientale » de Naples. Elle vise à étudier les typologies architecturales et décoratives utilisées dans les maisons des classes moyennes de Pompéi entre la fin du IVe et le début du Ier s. av. J.-C. Cette thématique est encore incomplètement traitée par la littérature spécialisée, qui s’est souvent concentrée sur des contextes plus raffinés et des périodes ultérieures. La recherche a été appuyée sur l’analyse conjointe des données de fouilles, si ces dernières sont disponibles, et des structures d’époque samnite encore in situ. Par ailleurs, la participation à un projet de recherche sur la Regio VI, nous a offert l’occasion de travailler sur du matériel inédit et de démarrer notre enquête à partir d’un cas d’étude spécifique, la Casa del Granduca Michele (VI,5,5) et ensuite de vérifier la diffusion des données acquises à l’échelle de la ville. Le travail a été donc divisé en trois parties. La première a été consacrée au cas d’étude, avec une analyse approfondie de la structure et de la décoration de la maison notamment au IIe s. av. J.-C. La deuxième a concerné l’étude des types architecturaux diffusés dans la cité vésuvienne l’époque samnite, avec un regard particulier sur le type de la maison à atrium testudinatum qui n’avait pas fait l’objet d’une étude systématique. La troisième partie a enfin concerné des décors des maisons de taille moyenne. L’analyse a concerné, avec une approche diachronique, d’abord les décorations peintes des parois et des plafonds, ensuite les éléments accessoires et pour finir les revêtements de sols. / This Ph.D is prepared in co-tutorship between the Université de Paris Ouest Nanterre La Défense and the Università degli studi di Napoli « l’Orientale ». Its aim is to analyze the architectural and decorative typologies used in the construction of Pompeian middle class houses between the end of forth and the beginning of first c. B.C. As a matter of fact, if the most luxurious domus of this period are well known, many aspects of the middle-class houses are still to be studied, for they have long been left aside by the scientific research. The study has been based on the analysis of data coming both from excavations and from a survey of the samnitic structures still in situ. Moreover, the participation to a research program centered on the Regio VI has offered the occasion to work with unpublished material and to start the research from a case study, the Casa del Granduca Michele (VI,5,5). The diffusion of data collected in this house have later been verified with a research on the city level. Therefore, work has been divided in three parts. The first one has been dedicated to the case study by a deepened analysis of structure and decoration of this house in the second c. B.C. The second one to the architectural typologies used in middle class houses during the samnite period, with a particular regard to the type of the atrium testudinatum house, which previously had never been systematically studied. The third part has dealt with the decoration of these houses. The analysis, carried out with a diachronic approach, has concerned walls and ceilings’ paintings, floors and other elements like terracotta and main door stone capitals.
2

Étude et essai expérimental sur les costumes antiques : exemples de formes et de couleurs provenant de la peinture de la Villa des Mystères à Pompéi

Boissonneault, Jeanne D'Arc 11 April 2018 (has links)
Les peintures de Pompéi ont été très souvent étudiées surtout celle de la Villa des Mystères. Les vêtements que portent les femmes de cette peinture sont d'un attrait particulier. Une description très détaillée des six principaux vêtements étudiés comparés à des exemples similaires quant à leurs formes et, si possible, quant à leurs couleurs nous permet de noter plusieurs problèmes. C'est pourquoi nous avons approfondi nos connaissances sur les textiles, sur les différentes colorations utilisées à cette époque et sur les diverses techniques connues dans l'Antiquité pour permettre la réalisation de certains de ces vêtements. / Québec Université Laval, Bibliothèque 2013
3

Le tablinum à Pompéi : formes, fonctions, décors / The tablinum in Pompeii : forms, functions, decorations

Maquinay, Alexia 15 December 2018 (has links)
Le tablinum est une salle que l’on trouve dans presque toutes les demeures du monde romain : il s’agit de la pièce principale de l’atrium, entièrement ouverte sur celui-ci et située au terme de son axe longitudinal, en face de l’entrée. Son étymologie dérive du terme latin tabula, signifiant tablette, registre de comptes. On a donc déduit qu’il s’agissait d’un espace servant à conserver les documents administratifs et juridiques de la famille, inscrits sur ces tablettes et réunis sous forme d’archives. Les sources latines confirment, par ailleurs, cette hypothèse. Le tablinum serait alors un réceptacle de la mémoire officielle de la familia. Il existe toujours, néanmoins, plusieurs interprétations contradictoires sur la nature du tablinum, sa définition, son apparition dans la maison romaine ainsi que sur son évolution architecturale et stylistique. À travers les témoignages du genre les mieux conservés du monde romain : ceux de la cité campanienne de Pompéi, nous tentons dans la présente étude de retracer l’histoire du tablinum romain, son origine étrusque, ses différentes formules et articulations, d’exposer toute la gamme de décors qui ornaient ses murs et de revenir sur les différentes fonctions qu’il put occuper au cours des siècles. / The tablinum is a room found in almost all homes in the Roman world: it is the main room of the atrium, fully open on it and located at the end of its longitudinal axis, in front of the entrance. Its etymology derives from the Latin word tabula, meaning tablet, account register. It was therefore deduced that this was a space used to store the family’s administrative and legal documents, inscribed on these tablets and collected in the form of archives. Moreover, Latin sources confirm this hypothesis. The tablinum would then be a receptacle of the official memory of the familia. There are still, however, several contradictory interpretations about the nature of the tablinum, its definition, its appearance in Roman houses as well as its architectural and stylistic evolution. In this study, through the best-preserved testimonies of the Roman world – those found in the Campanian city of Pompei –we attempt to retrace the history of the Roman tablinum, its Etruscan origin, its different forms and articulations, to expose all the range of decorations that adorned his walls and to rediscover the different functions that it could occupy over the centuries.
4

Aux marges de la ville antique en Méditerranée occidentale, de l’urbain au périurbain : de l'approche diachronique à l'étude de cas campaniens, Cumes et Pompéi. / On the fringes of the ancient City in the western Mediterranean, from urban to periurban : from a diachronic approach to two case studies in Campania, Cumae and Pompeii.

Lemaire, Bastien 11 December 2017 (has links)
Les espaces de la Cité antique sont définis par la traditionnelle dichotomie opposant intérieur et extérieur, ville et campagne. Le travail présenté ici s’intéresse à l’ensemble formé par la ville et ses espaces périurbains en Méditerranée occidentale, dans le but de réviser notre vision du fait urbain antique. L’évolution récente de la recherche et le développement des études périurbaines tendent à considérer les marges urbaines comme un tissu conjonctif entre la cité et son territoire rural. Par la diversité des exemples présentés et les fenêtres d’étude de Cumes et de Pompéi, nous tentons d’identifier les processus de croissance ou de régression de ces espaces, leurs éléments constitutifs et leurs relations avec la cité ainsi que leurs aspects spatiaux, religieux, économiques et sociaux. Sans remettre en question le rôle central de la ville, nous soulignons les imbrications et les complémentarités existant entre ces divers composants des agglomérations antiques. La démarche historiographique, diachronique et comparatiste, complétée par deux études inédites de terrain à Cumes et à Pompéi, vise à définir les limites urbaines, les fonctions périurbaines, les zones de contrôle, d’influence et d’exclusion et les interdépendances dans une dynamique montrant les pulsations à l’œuvre dans l’ensemble composé par la ville antique et ses périphéries sur la longue durée. / The areas of the ancient City are defined by the traditional dichotomy opposing inside and outside, city and countryside. This work studies the couple formed by the city and its periurban spaces in the western Mediterranean, in order to revise our vision of the ancient urban fact. The recent evolution of research on this topic and the development of peri-urban studies tend to consider urban margins as a connective tissue between the city and its rural territory. Through the diversity of the examples analyzed and through the case studies of Cumae and Pompeii, we try to identify the processes of growth and/or regression of these areas, their constituent elements and their relationships with the city as well as their spatial religious, economic and social aspects. Without challenging the central role of the city, we emphasize the interlinkages and complementarities between the main components of the ancient agglomerations: centre, periphery and countryside. The historiographic, diachronic and comparative approach, completed by two unpublished archaeological excavations at Cumae and Pompeii, aims to define urban boundaries, periurban functions, zones of control, influence and exclusion as well as interdependencies in a dynamics showing the historical pulsations of the couple formed by the ancient city and its peripheries over the longue durée.
5

Les pinacothèques fictives dans la peinture murale romaine au Ier s. av. J.-C. à Rome et en Campanie / The fictitious pinacothecas in 1st c. B.C. roman wall painting in Rome and in Campania

Loiseleur des Longchamps, Albane 24 June 2014 (has links)
Cette étude a pour objet un motif de la peinture murale romaine, le pinax à volets. Il s’agit de montrer qu’au-delà de son caractère de motif secondaire, il a sa place dans l’introduction du volume et de la figuration dans le décor mural. Représentation d’un accessoire en trompe-l’œil dans les architectures illusionnistes du deuxième style pompéien, le pinax à volets reste un objet mobile et indépendant ; support d’une représentation figurée, il s’intègre à un ensemble décoratif du point de vue formel comme thématique. La première partie rassemble des sources littéraires, archéologiques et iconographiques au sujet de l’apparition du pinax réel depuis la Grèce archaïque jusqu’aux collections romaines. La deuxième partie définit le motif du pinax à volets en trompe-l’œil dans le décor mural de deuxième style pompéien. La troisième partie est une étude de cas qui replace les collections de pinakes à volets dans le contexte de l’habitat domestique et du décor de la pièce, en Campanie et à Rome, jusqu’à leur abandon au profit du tableau central. / This essay focuses on a motif of the roman wall painting, the shuttered pinax. It aims at showing that, beyond its nature as a motif of secondary importance, it has a part in the introduction of volume and figurative art in wall painting decoration. As the depiction of an accessory in trompe-l’oeil in the illusionistic architectures of the second Pompeian style, the shuttered pinax remains a mobile and independent item; as the medium of figurative representation, it fits into the decorative scheme, formally as well as thematically. The first part collects literary, archeological and iconographical sources on the emergence of real pinax from archaic Greece to Roman collections. The second part defines the shuttered pinax motif in trompe-l’oeil in the second Pompeian style wall-painting. The third part is a case study within context of domestic habitat and room decoration, in Campania and in Rome, until their disuse in favour of the central panel.
6

Le théâtre dans la ville : recherches sur l’insertion urbaine des théâtres romains / The Theatre in the City : Urban Perspectives on Roman Theatres

Letellier, Éloise 04 July 2015 (has links)
Les théâtres romains, dont on peut observer les vestiges dans de très nombreuses villes tout autour de la Méditerranée, sont des objets familiers et pourtant souvent encore mal connus. Ils n’ont bénéficié que de rares études synthétiques. Inspiré par les recherches menées sur les théâtres et autres édifices de spectacles des époques plus récentes, ce travail porte un regard résolument urbain sur des édifices polyvalents caractéristiques de l’urbanitas : à la fois lieux de spectacles, de vie quotidienne et de cérémonies, lieux de rassemblements civiques et religieux, lieux de mixité sociale. Les innovations architecturales apportées par les Romains à la forme théâtrale inventée par les Grecs leur permettaient en effet de déterminer plus librement la place des théâtres dans leurs villes et de les intégrer à des programmes urbains concertés et signifiants. En confrontant l’analyse des représentations antiques - figurées ou littéraires - des théâtres romains et quelques études de cas archéologiques approfondies, l’objectif était d’explorer et de clarifier l’ensemble des liens qui pouvaient se nouer entre le théâtre et la ville à l’époque romaine, des plus matériels aux plus symboliques. La multiplication des échelles d’approche et l’attention portée à l’insertion dynamique et subjective des théâtres dans les paysages urbains les fait apparaître comme des objets à la fois typiques et singuliers, complexes et immédiatement lisibles et pour finir remarquablement efficaces dans la composition et l’incarnation de l’image des villes. / The vestiges of Roman theatres are ubiquitous throughout the Mediterranean Basin; these structures are familiar, yet remain relatively unexplored, with only a few studies considering their general place in Roman life. Inspired by research on the theatres and entertainment buildings of more recent times, this study offers an urbanistic perspective on these multipurpose edifices; characteristic of the urbanitas, these were at the same time buildings for theatrical performances, ritual ceremonies, and daily activities; civic and religious meeting places; centres of social interaction. The innovations the Romans made to the architectural theatrical form invented by the Greeks enabled them to redefine the theatre’s place in the city and to incorporate it purposefully into their plans for urbanization. Combining the analysis of ancient textual and pictoral representations of Roman theatres with archaeological case studies, this thesis explores and clarifies the practical and symbolic relationships between the theatre and the city in Roman times. By broadening the scope of investigation and by exploring the dynamic and affective positioning of the theatre into the Roman urban landscape, this thesis reveals these architectural structures to be simultaneously typical and unique, complex and understandable, and ultimately remarkably effective in establishing and embodying the image of the city.
7

La peinture néo-grecque (1847-1874) : réflexions sur la constitution d’une catégorie stylistique / The Neo-Greeks (1847-1874) : establishment of stylistic category

Jagot, Hélène 25 January 2013 (has links)
Au Salon de 1847, Théophile Gautier s’enthousiasme pour l’œuvre d’un tout jeune artiste, Jeunes Grecs faisant battre des coqs par Jean-Léon Gérôme, élève de Delaroche et Gleyre. Scène de genre « à l’antique », l’œuvre se distingue par son charme, sa grâce et sa fraîcheur, loin de la peinture froide et compassée des suiveurs de la tradition davidienne. L’œuvre est aussi le point de départ de la notoriété publique d’un petit groupe de peintres appelés « néo-grecs » – Jean-Louis Hamon, Henri-Pierre Picou, Gustave-Rodolphe Boulanger, Félix Jobbé-Duval, Auguste Toulmouche, Alphonse Isambert et Louis-Frédéric Schützenberger – tous nés autour de 1825, élèves de Paul Delaroche et Charles Gleyre et installés en phalanstère d’artistes de 1846 à 1863, au Chalet, puis à la Boîte à Thé. Dès 1848 et jusqu’aux années 1860, les critiques rendent compte au fil des Salons des évolutions artistiques de ces artistes. La réception critique importance de ces artistes regroupés au sein d’une « école néo-grecque » est symptomatique de l’influence grandissante de la critique sur la constitution des écoles artistiques et sur l’évolution de la carrière des artistes. Leur esthétique va susciter des débats sur le renouvellement de la peinture à l’antique, par l’introduction des notions de pittoresque et de couleur locale, héritées du romantisme, qui vont devenir les caractéristiques du genre historique comme déclinaison légère et sensible de l’ancienne peinture d’histoire. Les premières œuvres néo-grecques vont emporter l’adhésion des critiques inquiets des derniers développements de l’école française, qui voient dans cette nouvelle peinture matière à contrecarrer le réalisme, en apportant au public un art facile d’accès, moralisant les codes de la scène de genre par le recours à l’Antique et à un classicisme formel gracieux. Pourtant, sous une facture classicisante, leur peinture, délibérément antiacadémique, déstabilise rapidement les critiques qui s’interrogent sur les buts artistiques de ces artistes. A ce groupe originel, les critiques associent rapidement d’autres artistes, issus d’horizons très variés, qui adoptent momentanément les codes de l’esthétique néo-grecque, brouillant encore davantage les différences entre peinture d’histoire et genre historique, et entérinant le changement de conception idéologique du modèle antique dans la peinture, qui sera revendiqué par la génération d’artistes des années 1870-1890. / At the Salon of 1847, Théophile Gautier is enthusiast about the work of art of a young artist, The Cock Fight by Jean-Léon Gérôme, a pupil of Delaroche and Gleyre. This piece of art, an "Antique" genre scene, is a work of elegance, grace and freshness, very different from the cold and formal painting of the Davidian tradition's followers. This artwork is also the starting point of the on coming fame of a small group of painters called "The neo-Greeks" - Jean-Louis Hamon, Henri-Pierre Picou, Gustave-Rodolphe Boulanger, Felix Jobbé-Duval, Auguste Toulmouche, Isambert and Alphonse Louis-Frédéric Schützenberger - all born around 1825. From 1846 to 1863, as students of Paul Delaroche and Charles Gleyre, they all set themselves in a community of artists at the Chalet and the Boite à Thé which one calls a “phalanstère ».From 1848 until the 1860s, all along the Salons, most critics write about the artistic evolutions of these people. The many articles written about the neo-Greeks’works at that time reveales the growing influence of art-critics in the making of artistic schools and the evolution of artists's careers. Their aesthetic will provoke an argument about the renewal of antique theme painting as they introduce the concepts of local color and picturesque, coming from Romanticism, which will become the characteristics of the historical genre as a slight and sensitive declination of the ancient painting of history. The first neo-Greek paintings will gain the support of critics, eager about the latest developments of the French scene. They see in this new stream a way to counteract Realism by giving the public an easy access to art and moralizing the codes of the genre scene by using a formal and graceful classicism with Antique themes. However, though a classical form, their deliberately anti-academic painting soon make the critics wonder about the artistic goals of these artists.In addition to the original group, the critics will soon associate other artists, from very different backgrounds who temporarily adopt the Neo Greek aesthetics's codes, blurring even more the differences between the painting of history and the historical genre. This will also confirm the new ideological conception of Antique model in art, that the painters from the following generation of the 1870’s will claim themselves.
8

Le retour de l'art mural à l'époque contemporaine / The return of the Mural art in the contemporary period

Malbranche, Chloë 01 October 2011 (has links)
Le retour de l'Art mural à l'époque contemporaine" tourne autour de la problématique suivante: en quoi l'Art Mural est-il une nouvelle forme de métaphysique puisqu’elle permet à l'homme de projeter son âme sur un support et se retrouve ainsi dévoilée aux yeux de tous sous cette forme qui s’apparente à l" ekstase "soit un au dehors mis en mouvement par une "corporéité habitée" car le peintre muraliste est celui qui revendique l'esprit d'une époque et fusionne avec le mur pour créer une image, celle de l'invisible rendue visible. Le concept de « mur » sera abordé comme une pierre angulaire au travers des âges, comme support dans l’art moderne, art qui permet de faire un lien avec le passé mais surtout se démarque des arts contemporains car il sera nécessaire d’approcher les œuvres murales et le graffiti en général qui sera défini et fera l’objet d’une étude approfondie. Ainsi l’art rupestre qu’il est possible de comprendre d’après les études de Henri LHOTE, d’André LEROI-GOURHAN et de l’Abbé BREUIL pourra être mis en lumière notamment en décrivant les peintures pariétales retrouvées dans la grotte de Niaux, de Kapova, de Altamira, de Lascaux et de Chauvet qui représentent la première forme d’art humain et le commencement d’une spiritualité naissante. Le lien pourra être fait avec le symbolisme de l’Art égyptien et sa construction de l’image pour arriver à l’art décoratif des fresques de Pompéi et d’Herculanum où les graffitis de ces villes ont été étudiés par Eva CANTARELLA. De manière chronologique il sera intéressant de rappeler que le Moyen Age fut l’époque de la naissance des fresques romanes en vue de promouvoir une spiritualité qui évolue au cours des âges. Il existe aussi des techniques selon Cennino CENNINI qui explique les procédés de l’« intonaco » et de la fresque « a fresco » associés au père Ignazio POZZO. Enfin la période contemporaine fera l’objet de cette réflexion car les mouvements en peinture sont faits de liens mais surtout font rupture avec ce qui précède pour s’établir dans le temps selon l’expression de Valérie DUPONT, historienne de l’Art. / The return of Mural Art in the contemporary period” revolves round the following issue: In what way can one consider art to be a new form of metaphysics, since it allows man to project his soul on a support thus unveiling it to all in this form, which is close to a kind of “ecstasy”, i.e. an outside that is made to move through a “lived-in corporality”, for the mural painter claims the spirit of a period and merges with the wall so as to created an image – that of the invisible made visible. The “wall” concept will be examined as a foundation stone through the ages, as a support in modern art, a type of art that can create a link with the past but which especially stands out from contemporary art types, since we'll be studying mural works made by muralists as well as graffiti in general, which will be defined and studied in depth. Thus, rupestral art, which may be understood through the studies of Henri LHOTE, André LEROI-GOURHAN and Abbot BREUIL, can be explained most notably by looking at parietal paintings found in the Niaux, Kapova, Altamira, Lascaux and Chauvet caves, which represent the first form of human art and the beginning of a nascent spirituality. A link may be made to the symbolism of Egyptian art and its construction of image before reaching the decorative art of the Pompei and Herculanum frescoes – graffitis in those cities were studied by Eva CANTARELLA. It will be interesting, from a chronological point of view, to remember that the Middle Ages were the period when romanesque frescoes were born in order to further foster that age-old evolving spirituality. Such art was considered by Cennino CENNINI, who, along with father Ignazio POSSO explains the processes of “intonaco and the “a fresco” fresco. Finally, we'll have to study the modern period, since painting movements are made up of links and, more importantly, make a break with what preceded them, in order to last in time, as Valérie DUPONT, an arti historian, says.

Page generated in 0.4248 seconds