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Conditions et conséquences des pratiques d'empowerment : une études interdisciplinaire et intersystémique des rapports de pouvoir professionnels <-> clients

Lemay, Louise January 2004 (has links)
Thèse numérisée par la Direction des bibliothèques de l'Université de Montréal.
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Pouvoir et sensibilité à l'influence normative : études expérimentales des effets du pouvoir et du contexte sur le rapport des individus à la norme / Social power and sensitivity to normative influence : experimental studies of the effects of power and context on individual conduct toward social norm

Degraeve, Béatrice 27 November 2015 (has links)
Ces travaux abordent la question de l'impact du pouvoir et du contexte privé ou public sur la sensibilité à l’influence normative. Nous défendons la thèse selon laquelle le contexte régule les effets du pouvoir sur la sensibilité à l’influence normative. Dans une première partie, nous avons testé l'hypothèse selon laquelle la possession de pouvoir, par la désinhibition qu’il suscite, rendrait les individus moins sensibles à la norme. Nous présentons deux études qui montrent que la possession de pouvoir occasionne des comportements moins conformes aux normes ainsi qu’une présentation de soi socialement moins désirable. Dans une seconde partie, nous testons l’hypothèse selon laquelle l’activation d’un pouvoir élevé entrainerait une plus forte désinhibition des conduites en privé et une plus forte inhibition des conduites en public que l’activation d’un pouvoir faible. Deux études ont été réalisées et tendent à soutenir cette idée. Une dernière recherche a été menée en vue d’examiner le rôle de l’activation contextuelle de la responsabilité sociale sur la relation entre le pouvoir et la sensibilité à l’influence normative. Toutefois, il semble que l’activation de la responsabilité sociale ne médiatise pas les effets modérateurs du contexte sur la normativité des jugements effectués. Dans l'ensemble, ces travaux contribuent à éclaircir les effets paradoxaux du pouvoir qui ont été observés dans la littérature, en proposant un modèle permettant de comprendre comment le contexte génère des processus différents en fonction du pouvoir, quand la désinhibition et l’inhibition sont susceptibles de se produire, et quelles en sont les conséquences sur les conduites individuelles. / This work investigates the impact of social power and private or public context on normative influence. We defend the thesis according to which the context (private vs. public) regulates the effects of power on normative influence. In a first series of research, we tested the hypothesis that the possession of power, by generating disinhibition, would make individuals less sensitive to social norms. Two studies are presented and show that the possession of power causes less normative behaviors as well as less socially desirable self-presentations. In a second series of research, we argue that high power primed individuals would exhibit greater disinhibition in private and greater inhibition in public than low power primed individuals. Two studies were conducted and tend to support this idea. A last study examined social responsibility as a potential moderator of the effects of social power and context on normative influence. However, it seems that social responsibility does not mediates the inhibition and disinhibition patterns we observe. Overall, these studies help to clarify the paradoxical effects of power underlined in the literature, by proposing a model which allows to understand how the context generates different processes depending on social power, when disinhibition and inhibition are likely to occur, and what are the consequences for individual behavior.
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Pouvoir féminin à la cour de Louis XV

Goulet, Emmanuelle 11 September 2020 (has links)
Cette thèse analyse le pouvoir social des femmes de la haute aristocratie à la cour de Louis XV (1723-1774). La société de cour, telle que théorisée par le sociologue Norbert Elias, était formée d’une multitude de réseaux de courtisans dans lesquels les femmes jouaient des rôles essentiels. Ne pouvant exercer le pouvoir politique au même titre que les hommes, ces femmes avait tout de même une capacité d’agir (agency) au sein de la cour. Elles développèrent des stratégies utilisant leur pouvoir social, soit leur capacité d’intervenir dans les relations sociales de la cour, pour consolider et favoriser leur mobilité sociale et celle des membres de leur réseau. Ces stratégies furent étudiées par l’entremise des mémoires de cinq femmes ayant fréquenté la cour et les courtisans au XVIIIe siècle, soit Madame de Brancas, Madame du Hausset, Madame de La Ferté-Imbault, Madame Campan et Madame de Genlis. D’abord, cette thèse analyse le temps, soit celui de la cour de Louis XV, celui de la rédaction des mémoires et celui de leur publication, ainsi que l’espace de la cour en tant que composantes qui orientèrent les stratégies féminines. Bien que ces composantes fussent des contraintes à l’action des courtisanes, ces dernières développèrent tout de même leurs stratégies en fonction du temps et de l’espace pour parvenir à leurs fins. Leurs stratégies ont été également façonnées selon des règles d’étiquette et d’éthique comportementale qui régnaient à Versailles. Ne pouvant en faire abstraction, les courtisanes surent les utiliser à leur avantage. Enfin, se trouvant au coeur de réseaux complexes, les femmes de la noblesse développèrent des méthodes d’utilisation de ces réseaux afin d’atteindre leurs objectifs d’ascension sociale. Cette thèse démontre donc que les femmes de la noblesse avaient une capacité d’agir bien réelle par l’exercice de leur pouvoir social et qu’elles étaient essentielles au fonctionnement de la mécanique de la société de cour qui, au XVIIIe siècle, n’était pas en déclin, mais avait plutôt atteint l’apogée du processus de civilisation.

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