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Faits, valeurs et non-cognitivisme : une analyse critique

Froidevaux, Sandra January 2006 (has links)
Mémoire numérisé par la Direction des bibliothèques de l'Université de Montréal.
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Faits moraux et évolution : un dilemme pour le réalisme moral

Aubé Beaudoin, Félix 20 April 2018 (has links)
Tableau d'honneur de la Faculté des études supérieures et postdorales, 2014-2015 / Plusieurs philosophes estiment que le réalisme moral est incompatible avec la reconnaissance du rôle majeur joué par l'évolution dans le façonnement de la moralité. Sharon Street formule ce problème sous la forme d’un « dilemme darwinien ». Le problème pour les réalistes consiste à expliquer la relation entre les vérités morales indépendantes dont ils supposent l’existence et les pressions évolutionnistes. Deux options s’offrent à eux: nier ou affirmer l'existence d’une telle relation. La première option mène, selon Street, à la conclusion selon laquelle nos jugements moraux sont probablement faux puisqu'ils sont déformés par les pressions évolutionnistes. La seconde option est indéfendable sur le plan scientifique. Deux stratégies argumentatives ont été déployées à ce jour par les réalistes afin de résoudre le dilemme, soit la réponse naturelle et l'explication par un troisième facteur. Nous soutenons dans le mémoire qu'aucune de ces stratégies ne constitue une réponse satisfaisante au dilemme darwinien.
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Réalisme moral ou volontarisme théologique ? : le problème de l’objectivité des valeurs et des normes morales en contexte théiste (perspectives médiévales et contemporaines) / Moral realism or theological voluntarism ? : a discussion on the objectivity of moral norms and values in a theistic framework (medieval and contemporary perspectives)

Lévi, Ide 03 December 2016 (has links)
Selon la version courante du « dilemme d’Euthyphron », on considère que lorsque les théistes tentent de décrire la relation entre Dieu et la morale, ils doivent choisir entre volontarisme théologique et objectivisme robuste (le réalisme moral, en particulier). Selon la première option, les statuts moraux fondamentaux dépendent essentiellement des volontés contingentes, ou nécessaires, de Dieu. Selon la deuxième, Dieu agit en conformité avec un ordre moral objectif et nécessaire, en lui-même indépendant de sa volonté, comme il l’est de tout type de volonté ou de pro-attitude, au moins pour ce qui est des statuts moraux fondamentaux (et les propriétés morales sont conséquentielles aux propriétés non morales, sinon réductibles à elles). Ici nous argumentons en faveur de l’existence d’une troisième possibilité pour les théistes, refusant l’externalisme moral assumé par les deux premières options. Selon cette troisième option, on nie qu’objets, états de choses, actions ou personnes puissent posséder une valeur ou générer des obligations morales indépendamment de l’ensemble de nos pro-attitudes et des fins que nous sommes inclinés à poursuivre. Nous proposons, contre les objections réalistes en particulier, la défense d’une version universaliste (ou non relativiste) de cette position métaéthique, et tentons de montrer sa compatibilité avec le théisme classique : la théorie anti-objectiviste de la loi naturelle, selon laquelle les valeurs et les normes pertinentes pour nous dépendent de notre complexe motivationnel, en dépendant de nos inclinations universellement partagées et des fins (ou de la fin) en lesquelles (en laquelle) nous trouvons notre achèvement et notre bonheur. / According to the common version of the “Euthyphro dilemma”, it is generally considered that when theists try to describe the relation between God and morality, they must either opt for theological voluntarism or for hard objectivism (moral realism, in particular). According to the first option, fundamental moral statuses depend essentially on God’s contingent, or even necessary, will. According to the second, God acts in conformity to an objective (and necessary) moral order that is in itself independent of His will, as it is of any kind of pro-attitude, will or desire, at least for the most fundamental and prior moral statuses (and moral properties are consequential upon nonmoral ones, if not reducible to them). I argue here for the existence of a third possibility for theists, rejecting the metaethical externalism assumed by the first two options. According to this third option, it is not the case that objects, state of affairs, actions or persons can have value or generate obligations to us independently of all our pro-attitudes and of the ends we are inclined to pursue. I propose a defence, against realist objections in particular, of a universalist (or non relativist) version of that metaethical position and try to show its compatibility with classical theism : the anti-objectivist natural law theory, according to which values and norms relevant for us depend on our motivational set, depending on our – universally shared – natural inclinations or essential dispositions to love and pursue certain ends (or possibly one ultimate end) preferently to others, and to find our completion and happiness in them (in it).
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Le réalisme phénoménologique subjectiviste : repenser les oppositions métaéthiques

Tremblay, Hugo 20 April 2018 (has links)
Les oppositions entre réalisme et antiréalisme puis entre cognitivisme et non-cognitivisme jouent un rôle central dans la typologie des théories métaéthiques. Elles n’arrivent toutefois plus à bien délimiter les positions en jeu. La théorie métaéthique développée dans ce mémoire se heurte à ce problème. Ainsi, l’objectif de ce mémoire est triple. Il tente, d’abord, de remettre en question les oppositions entre réalisme et antiréalisme, puis entre cognitivisme et non-cognitivisme. Il propose ainsi, d’une part, de remplacer la première opposition par une tripartition des familles métaéthiques et, d’autre part, de réconcilier les aspects en apparence contradictoires du cognitivisme et du non-cognitivisme. Il cherche, ensuite, à défendre une théorie métaéthique particulière – le réalisme phénoménologique subjectiviste. Cette théorie impliquant le relativisme moral, il veut, enfin, répondre aux objections communément présentées contre celui-ci. / The oppositions between realism and anti-realism and between cognitivism and non-cognitivism play a central role in the typology of metaethical theories. However, they cannot correctly circumscribe the positions at stake nowadays. The metaethical theory developed in this paper faces this problem. Thus, the objective of this paper is threefold. It attempts, first, to question the opposition between realism and anti-realism, and between cognitivism and non-cognitivism. It thus proposes, in the beginning, to replace the first opposition by a tripartite division of metaethical families and, afterward, to reconcile the apparently contradictory aspects of cognitivism and non-cognitivism. It seeks then to defend a particular metaethical theory – the subjectivist phenomenological realism. This theory involving moral relativism, it wants to finally overcome the objections commonly brought against it.
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Constructivisme moral : la question de l’objectivité des faits moraux

Soucy, Guillaume 01 1900 (has links)
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La justice à l'épreuve des points de vue : repenser l'impartialité avec Thomas Nagel / Justice in the Test of Points of Views : rethinking Impartiality with Thomas Nagel

Desbiolles, Blondine 06 November 2018 (has links)
L’impartialité constitue une condition et un élément essentiels du concept de justice ; mais en quoi consiste-t-elle précisément ? Les théories de justice contemporaines tendent à l’aborder en termes strictement politiques, en laissant de côté ou en limitant ses aspects épistémologiques et moraux. Ce travail se propose d’exposer, d’analyser et de discuter de manière critique la manière dont Thomas Nagel aborde à nouveaux frais, à partir de sa thèse du conflit des perspectives, l’idée d’impartialité en termes à la fois épistémologiques, moraux et politiques. L’impartialité est en effet d’abord une affaire de jugement objectif et rationnel ; mais un tel jugement doit aussi tenir compte de la division des points de vue personnels et impersonnels en nous, ainsi que du pluralisme des raisons et des valeurs qu’elle engendre. Le concept d’impartialité requiert alors un examen attentif de cette division des perspectives, et des types ou degrés d’objectivité qui seraient possibles dans les débats tant moraux que politiques. Peut-on dégager des critères, des conditions, une méthode de l’impartialité ? Comment la garantir, au niveau moral mais aussi en termes politiques et distributifs ? Et quels principes, raisons ou valeurs une justice pleinement impartiale peut-elle avancer et promouvoir de manière cohérente et légitime ? À travers notre examen des thèses, originales et hybrides, de Thomas Nagel, nous défendons la nécessité de remonter à ces conditions et questions fondamentales afin d’élaborer une conception satisfaisante et réaliste de la justice impartiale. Une telle conception prend avec Nagel un visage libéral, démocratique, pluraliste et fortement égalitarien, qui est certes proche des théorisations de Rawls ou Scanlon, mais est façonné à partir de thèses originales et hybrides offrant des alternatives novatrices. Ces thèses, affinées et modifiées par Nagel au cours des années et souvent non encore traduites en français, n’avaient encore pas fait l’objet d’une étude francophone et spécialisée dans les débats contemporains autour des théorisations de la justice. Dans notre travail, nous en analysons les facettes épistémologiques, métaéthiques, éthiques, politiques et économiques, en mettant en perspective les conceptions de Nagel par rapport à celles des penseurs modernes et contemporains dont il se démarque, et en dégageant la manière dont ces thèses se combinent, se complètent, se limitent respectivement aussi parfois. À partir de l’analyse de ces différentes thèses, nous avançons des éléments de discussion critique et des prolongements du concept d’impartialité qui en résulte, ainsi que du type de justice sociale – libérale, pluraliste, fortement égalitarienne – qu’il porte. Nous défendons la perspective réaliste et rationaliste de Nagel, son refus de toute forme d’utopie et sa conception plurielle, hybride mais exigeante de l’impartialité, tout en prenant au sérieux les difficultés que ces thèses soulèvent et les points de blocage auxquels Nagel se heurte. Mais nous considérons que ces difficultés peuvent trouver, dans les options envisagées par Nagel et dans les éléments de critique que nous avançons dans notre thèse, des solutions ou du moins des pistes de résolution qui constituent autant de perspectives stimulantes pour prolonger l’effort philosophique au sujet de la justice, de l’impartialité et de l’équité, dans et pour le monde d’aujourd’hui. / Impartiality is an essential condition and element of the concept of justice. But what exactly is impartiality in itself? Contemporary theories of justice tend to approach it in strictly political terms, and to leave aside or to limit its epistemological and moral aspects. This work offers to expose, analyse and critically discuss the way Thomas Nagel, from his conception of the conflict of perspectives, renews the approach to the idea of impartiality in epistemological, moral and political terms. Indeed impartiality is first a matter of objective and rational judgment; but such a judgement must also take into account the division of personal and impersonal points of view within us, as well as the pluralism of reasons and values it creates. The concept of impartiality then requires a scrutiny of this division of perspectives, and of the types or degrees of objectivity that could be possible in both moral and political debates. Can we determine impartiality’s criteria, conditions or method? How are we to guarantee it, morally but also politically and distributively? Which principles, reasons or values can a fully impartial justice consistently and legitimately advance or promote? Through our examination of Thomas Nagel’s original and hybrid conceptions, we defend the necessity of going back to these fundamental conditions and questions in order to elaborate a satisfying and realistic conception of impartial justice. Such a conception takes in Nagel’s approach a liberal, democratic, pluralistic and strongly egalitarian shape. It is surely close to Rawls’ or Scanlon’s theorizations of justice, but it is based on original and hybrid theses that offer innovative alternatives. These theses, which Nagel refined and modified over years and which, for most of them, have not yet been translated into French, had not until then been studied in France with a specialized focus on contemporary debates around theories of justice. In our work, we analyse their epistemological, metaethical, ethical, political and economic aspects, while putting into perspective Nagel’s conceptions in relation to those of modern and contemporary thinkers whom he stands out. We also show and explain how his theses combine, complete but also sometimes limit each other. With this analyse, we offer elements of critical discussion and possible extensions of the concept impartiality hence built, as well as of the type of social justice – liberal, pluralist, strongly egalitarian – that it carries. We defend the realist and rationalist perspective of Nagel, his refusal of any form of utopia and his plural, hybrid but demanding conception of impartiality. We also take seriously the difficulties his theses raise and the blockings Nagel faces. But we consider that these difficulties can find, in the options he explores and in the critical elements we suggest in our dissertation, solutions or at least possible resolutions that constitute as many stimulating perspectives to pursue the philosophical effort about justice, impartiality and equity, within and for our actual world.
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La décidabilité morale au regard de la métaéthique

Ducharme, Jean-Philippe 12 1900 (has links)
Notre pratique morale ordinaire, l’éthique normative ainsi que l’éthique appliquée présupposent que nos questions morales sont décidables non arbitrairement. Autrement dit, ces activités présupposent qu’il existe des réponses non arbitraires à nos questions morales. Le présent travail de recherche vise à questionner ce présupposé en explorant les réponses des trois principales familles de théories métaéthiques, soient le réalisme moral, l’antiréalisme moral et le constructivisme métaéthique, à la question « Les questions morales sont-elles décidables de manière non arbitraire? ». Notre but n’est pas de déterminer quelle théorie métaéthique est la meilleure, mais plutôt d’évaluer la possibilité que les questions morales soient décidables non arbitrairement. Nous défendrons que le réalisme moral semble compatible avec la décidabilité des questions morales et qu’au contraire, l’antiréalisme ainsi que le constructivisme semblent plus difficilement compatibles avec la décidabilité morale. Nous défendrons également que l’indécidabilité des questions morales, un problème pratique engendré par ces cadres métaéthiques, implique une aporie bien gênante. Si a priori on admet que ces trois familles de théories métaéthiques sont équiprobables, on pourrait alors affirmer grossièrement que nous avons deux chances sur trois de faire face, en pratique, au problème de l’indécidabilité morale et donc à l’aporie qu’elle implique. Cela justifiera pour nous l’intérêt d’explorer la possibilité d’une solution à cette aporie. Nous proposerons donc l’hypothèse selon laquelle la pratique du questionnement moral de manière aporétique, considérée comme une activité non cognitive, implique une certaine manière d’être qui n’est pas arbitraire. / Our ordinary moral practice, normative ethics and applied ethics presuppose that our moral questions are decidable non-arbitrarily. In other words, these activities presuppose that there are nonarbitrary answers to our moral questions. This very research aims to question this presupposition by exploring the answers of the three main families of metaethical theories, namely moral realism, moral antirealism and metaethical constructivism, to the question "Are moral questions decidable non-arbitrarily?". Our goal is not to determine which metaethical theory is the best, but rather to assess the possibility that moral questions are decidable non-arbitrarily. We will defend that moral realism seems to be compatible with the decidability of moral questions and that, on the contrary, antirealism and constructivism seem less compatible with moral decidability. Also, we will argue that the undecidability of moral questions, a practical problem generated by these metaethical frameworks, would involve a troublesome aporia. If a priori we admit that these three families of metaethical theories are equiprobable, we could then roughly affirm that we have two out of three chances to face the problem of moral undecidability and therefore the aporia it implies. This will justify for us the interest of exploring the possibility of a solution to this aporia. We will therefore propose the hypothesis according to which the practice of moral questioning in an aporetic way, considered as a non-cognitive activity, implies a certain way of being that is not arbitrary.

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