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La crainte de l'égalité : essai sur un fondement symbolique de l'État au Canada 1791-1867

Larue, Richard 11 April 2018 (has links)
L'objet de cette recherche est le problème de l'égalité rapporté À la formation de l'Etat au Canada, dans la période allant de 1791 à la confédération. L'hypothèse générale en est que la question de l'égalité est ce par quoi on a problématisé l'autonomie de l'Etat au Canada. Il s'agit, à travers la reconstruction de la polémique liée à la qualité de sujet britannique au Bas-Canada et au problème de la représentation politique dans le Canada-Uni, de montrer comment la légitimité de l'Etat canadien se fonde sur le rejet de l'individualisme. Rejet qui se vérifiera, au moment de la formation de l'État canadien, dans la mise en place des formes institutionnelles des sphères publique et privée. Ainsi, le système du droit privé et le dispositif constitutionnel de la représentation politique exprimeront ils la mise en oeuvre du modèle canadien de l'égalité tel qu'il émerge de la période précédente. / Québec Université Laval, Bibliothèque 2013
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La permanence de la refondation dans l'imaginaire et l'identitaire politiques des Canadiens : de la Nouvelle-France au Canada moderne (1663-1867)

Trépanier, Anne 11 April 2018 (has links)
La rencontre entre les différents éléments mémoriels et historiques des Canadiens prend place de façon cyclique pour faire émerger ou renaître un réfèrent identitaire. Ce réfèrent ne saurait être fixe dans la longue durée en ce qui concerne sa couleur, autrement dit, sa qualité. La permanence de la refondation est liée à l'existence dans la longue durée de quatre pôles structurants, accueillant des formes d'expressions variables : le péril, l'appartenance, l'excentration et la rénovation de l'héritage. La perpétuelle quête d'équilibre entre ces éléments, mise à l'épreuve au cours d'événements mentalitaires, constitue la tension qui nous permet de poser la thèse de la refondation comme résultante et comme permanence de l'imaginaire et de l'identitaire politiques du groupe historique canadien. Il est possible de mettre en relief le tracé particulier de l'idée de refondation dans l'histoire, au Canada, entre 1663 et 1867, en s'attachant aux «textes-événements» qui contribuent à renommer ou redéfinir l'imaginaire et l'identitaire politiques du groupe canadien. En posant comme hypo événements successifs la reconstruction matérielle de la Nouvelle-France, l'Acte de Québec, les Rébellions des Patriotes, l'Union des Canadas et le projet de Confédération, nous suivons un parcours d'histoire politique qui soutient la quête marginale des Canadiens pour la reconquête symbolique de leur identité. Déclinée sur le topos du gain et de la perte, en regard d'idée de refondation, l'identité canadienne va gagner en imaginaire politique ce qu'elle perd en pratiques identitaires, jusqu'à ce que l'identitaire politique accepte le métissage complexe imposé par les événements mentalitaires. Ce passage légitime la lecture historique et contribue à définir la représentation de soi du groupe canadien, en permettant le développement de l'imaginaire de la non-contradiction entre l'être et le devenir et son inscription dans le monde, partagée et définie par les notions de frontière et d'altérité. La mise au jour de ce réseau complexe de tensions constitue l'apport principal de notre thèse à l'historiographie du Canada et du Québec. / Québec Université Laval, Bibliothèque 2014
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« C’est icy le pays du monde le plus propre a faire des chanvres... si on s’en vouloit donner la peine » : le discours officiel sur le chanvre au Canada, 1660-1840

Bénard-Saumur, David 12 1900 (has links)
La culture du chanvre au Canada sous les Régimes français et britannique attire l’attention des historien.ne.s depuis longtemps. Jusqu’à récemment, on s’est surtout intéressé aux tentatives répétées des administrateurs pour développer cette culture au Canada. Un autre élément est resté largement ignoré : le discours que formulent les autorités coloniales au sujet du chanvre, produit agricole aussi mal aimé de la paysannerie canadienne qu’il est chéri des administrateurs coloniaux. Qu’il soit français ou britannique, le programme officiel, centré sur les fournitures navales (le chanvre sert notamment à la fabrication des voiles et cordages) et associé à des desseins mercantilistes, vise à remplacer par du chanvre canadien celui que les métropoles successives importent de l’étranger, principalement de l’Europe du Nord. Pourtant, cette politique ne répond que difficilement aux conditions coloniales. Malgré tout, depuis Québec, les dirigeants coloniaux tant français qu’anglais s’obstinent pendant longtemps à la mettre en place, lui consacrant de longs passages dans leur correspondance avec les différents ministères à Paris ou à Versailles, puis à Londres. En énumérant les obstacles à la culture chanvrière, ils élaborent un discours foncièrement stéréotypé sur la paysannerie canadienne, voire sur la population créole en général. Ces images auront la vie dure, traversant la césure de la Conquête et influençant autant les auteurs contemporains que les récits historiques qui seront réalisés jusqu’en plein XXe siècle. Néanmoins, il y a un apprentissage à signaler. Il se manifeste en deux temps : dans les propos plus lucides des administrateurs du Régime français finissant et, près d’un demi-siècle plus tard, dans le discours agronomique émergent dans les environs de l’Assemblée coloniale plus sensible aux possibilités de l’agriculture locale. / The cultivation of hemp in Canada under the French and British Regimes has long attracted the attention of historians. Until recently, the focus has been on repeated attempts by administrators to develop this culture in Canada. Another element remained largely ignored: the discourse formulated by the colonial authorities on the subject of hemp, an agricultural product as unloved by the Canadian peasantry as it was cherished by the colonial administrators. Whether French or British, the official program, centred on naval supplies (hemp was used in particular for the manufacture of sails and ropes) and associated with mercantilist designs, aimed to replace with Canadian hemp that which successive metropolises import from abroad, mainly from Northern Europe. However, this policy responded only with difficulty to colonial conditions. Despite everything, from Quebec, the colonial administrators, both French and English, persisted for a long time in introducing it, devoting long passages to it in their correspondence with the various ministries in Paris or Versailles, and later in London. By listing the obstacles to hemp culture, they developed a fundamentally stereotyped discourse on the Canadian peasantry, and even on the Creole population in general. These images will have a long life, surviving then change of regime at the Conquest and influencing both contemporary authors and the historical narratives that would be produced until the middle of the 20th century. Nevertheless, there was a learning process. It manifested itself in two stages: in the more lucid formulations of the administrators of the late French Regime and, nearly half a century later, in the agronomic discourse emerging in the vicinity of the Colonial Assembly, more sensitive to the possibilities of local agriculture.
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"Supplient très humblement-- We humbly beg--" : les pétitions collectives et le développement de la sphère publique au Québec, 1764-1791 / Pétitions collectives et le développement de la sphére publique au Québec, 1764-1791.

Giral, Gisela 19 April 2018 (has links)
Ce mémoire porte sur la contribution des pétitions collectives au développement de la sphère publique québécoise de la seconde moitié du XVIIIe siècle. À cette fin, plusieurs notions ont été mises en relation : le public, la sphère publique, l’opinion publique, les espaces de sociabilité. La présente étude est basée sur une analyse détaillée de quelque 278 pétitions collectives depuis la mise en place du gouvernement civil en 1764 jusqu’à la création du système parlementaire en 1791. En l’absence d’institutions représentatives traditionnelles, la pratique de pétitionner collectivement aux autorités coloniales est devenue un outil essentiel pour influencer les décisions politiques et administratives. Pratique de longue date en Angleterre, mais rare en Nouvelle-France, les pétitions collectives ont permis la participation d'un large groupe de la population de la colonie dans la sphère publique coloniale : les anciens et les nouveaux sujets, les hommes et les femmes, les élites et les gens ordinaires. / This thesis examines the contribution of collective petitions to the development of Quebec's public sphere in the second half of the eighteenth century. It examines these using the concepts of public, public sphere, public opinion, and spaces of sociability. The study is based on a detailed analysis of some 278 collective petitions from the establishment of civil government in 1764 until the creation of the parliamentary system in 1791. In the absence of traditional representative institutions, collective petitioning to colonial authorities became an essential tool for influencing political and administrative decisions. A long-standing practice in England but rare in New France, collective petitioning allowed for the participation of a broad swathe of the colony's population in the colonial public sphere: old and new subjects, men and women, elites and ordinary people.
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La controverse historique entourant la survie du titre aborigène sur le territoire compris dans les limites de ce qu'était la province de Québec en 1763

Duquet, Pascal 24 April 2018 (has links)
Le titre aborigène est un concept juridique découlant de la common law britannique. Il confère aux Autochtones, jouissant d'une présence ancestrale sur un territoire donné, certains droits d'usage analogues à un usufruit. Sur le territoire du Québec de 1763, l'existence de ce titre a longtemps été niée par les tribunaux en vertu de la doctrine qui alléguait que le Régime français, puis le Régime britannique, l'auraient éteint en ne reconnaissant aucun droit ancestral aux Amérindiens fréquentant cette région. Le présent mémoire démontre que, contrairement à l'idéologie dominante, le titre aborigène aurait pu survivre au Régime français. Cela est dû au système de propriété du sol de type féodal, pratiqué à l'époque par les autorités coloniales, qui suppose une superposition des pouvoirs sur un même sol. Les Autochtones fréquentant, depuis des temps immémoriaux, le territoire du Québec de 1763 auraient été faits vassaux du roi de France et auraient conservé le droit d'utiliser le territoire à des fins de subsistance de même qu'à des fins de chasse associées au commerce des fourrures. Le titre aborigène n'aurait pu être éteint dans cette région. Cependant, aucun texte nous permet de croire que le Régime britannique a reconnu un tel titre. / Québec Université Laval, Bibliothèque 2013
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Introduction de la ceinture fléchée chez les amérindiens : création d'un symbole de statut social / Création d'un symbole de statut social

Genest-Le Blanc, Monique 24 April 2018 (has links)
Notre recherche tente de démontrer que les attrayantes «ceintures fléchées» faites de laine colorées et tissées aux doigts qui faisaient partie du costume traditionnel des habitants du Bas Canada, ne sont pas d'origine autochtones comme on a tendance à le croire à la suite de conclusions hâtives, mais qu'elles ont été adoptées par certaines tribus amérindiennes par le biais du commerce des fourrures. Pour étayer cette affirmation, un abondant corpus de documents manuscrits et de sources imprimées a d'abord été étudié, partant des écrits des missionnaires (relations et correspondance), en passant par des récits de voyageurs et des livres de comptes de marchands. Cela, afin de confirmer la présence des ceintures chez les Canadiens français, de même que leur absence à l'origine dans l'habillement des autochtones. Des recherches dans les archives manuscrites des compagnies de traite de fourrures (celle du Nord-ouest et celle de la Baie d'Hudson) ont permis de révéler des transactions concernant l'introduction de ces ceintures chez certaines nations amérindiennes. Un corpus iconographique a permis d'appuyer les informations recueillies dans les écrits concernant la présence ou l'absence des ceintures, de même que leur adoption par les autochtones grâce à la traite des fourrures. L'expertise technique quant à la fabrication des ceintures et la connaissance des fibres et des motifs, a facilité une lecture minutieuse de multiples échantillons de ceintures disséminées dans plusieurs musées en Amérique du Nord et en Europe. Cette opération s'est avérée incontournable pour mener à bien notre étude. La tradition de porter la ceinture en certaines occasions est toujours vivante au sein de quelques nations autochtones qui tiennent cet accessoire vestimentaire comme un symbole identitaire. / Québec Université Laval, Bibliothèque 2013

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