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Hautepierre : un éco-quartier modèle pour la ville de Strasbourg : utopie ou réalité ? / Hautepierre as an "eco-area" model for Strasbourg city : utopia or reality ?

Vodouhe, Sèlognon Gilles 22 September 2015 (has links)
Le choix de la ville de Strasbourg de faire du Projet de Rénovation Urbaine (PRU) de Hautepierre un « quartier jardin » questionne. Cette thèse se donne pour matière d’analyser les potentiels du quartier Hautepierre à être réhabilité en éco-quartier et s’intéresse au processus d’élaboration du PRU, à l’implication des habitants et aux discours des acteurs (habitants, bailleurs sociaux, professionnels et élus). L’évaluation de la participation des habitants au PRU de Hautepierre à l’aune de l’approche par les capabilités montre qu’il n’y a pas une participation active de ces derniers. Le « quartier jardin » semble être un compromis entre les exigences de l’ANRU en matière sécuritaire et la demande de préservation des espaces verts par les habitants. Ce choix est aussi symbolique au regard de l’histoire du quartier Hautepierre et de ses caractéristiques socio-économiques. / Strasbourg City choice of a “garden area” method of urban planning as the Urban Renewal Project (PRU) of Hautepierre area is not without questioning specialists interested in the subject. This thesis analyzes the potential resources of Hautepierre area to be reorganized into a “garden area”. This research sheds also lights on the elaborating process of the PRU, the involvement of the inhabitants, and the principal actors of this project (inhabitants, social landlords bailleurs sociaux, professionals and political representives). Evaluating the participation of Hautepierre inhabitants in the elaboration of the Urban Renovation Project (PRU) in term of capability reveals that there is no real active participation of these inhabitants. The “garden area” appears as a compromise between the National Urban Renewal Agency (ANRU) security requirements and the demand made by the inhabitants to preserve green areas. This choice is also symbolic in regard to the history of Hautepierre area and its socio-economic caracteristics.
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Les enclaves résidentielles introverties dans la communauté métropolitaine de Montréal, une étape ultime vers la fermeture résidentielle.

Bouguessa, Abdelhak 03 1900 (has links)
Ce projet de recherche s'articule sur la validation de notre hypothèse qui affirme que l’introversion résidentielle dans la communauté métropolitaine de Montréal (CMM), ce n’est qu'une étape ultime vers la fermeture résidentielle. Ainsi, que ces lotissements prennent d’autres formes d’enclosure, qui diffèrent du modèle des Gated Communities (GCs) étatsuniennes. Ce dernier se caractérise par la clôture, la gouvernance privée, le marquage d’entrée par les portails et le flicage à travers la vidéosurveillance. Cette enclosure introvertie se réalise par la forme urbaine ̶ semi-fermée ̶ des ensembles résidentiels. Cependant, ces enclaves montréalaises se dirigent vers le modèle d’enclavement francilien; qui se caractérise par le passage doux (inaperçu) vers la fermeture résidentielle (Paquot, 2009). Précisément, nous viserons à étudier la typo-morphologie du phénomène des GCs et ses impacts par la rupture physico-spatiale, et par la ségrégation socio-spatiale sur le territoire urbain et suburbain. Notre champ d’expérimentation est la CMM. Cependant, une revue critique de la littérature sur le phénomène dans quatre territoires des pays suivants : au Canada, dans l’Ouest canadien, en France, dans l’Île-de-France, au Mexique, dans la région métropolitaine de Puebla et aux États-Unis à Los Angeles, nous a permis de tirer des conclusions en matière de définition et de divergence. La définition des GCs selon la littérature actuelle est très restreinte, elle exclut d’autres types enclos qui ne se renferment pas avec leurs clôtures, mais beaucoup plus avec leurs formes urbaines semi-fermées. Ces derniers types nous l’avions destinée à une nouvelle désignation : enclaves résidentielles introverties (ERI). Cela est après avoir réfuté la désignation d'« enclave résidentielle » utilisée par les auteurs francophones. Cette dernière n’est pas précise, elle inclut notamment tous les ensembles résidentiels qui se distinguent avec leur style individualisé par apport à leurs alentours, voire même si leur forme urbaine est ouverte. En outre, nous voulons démontrer que ces formes urbaines semi-fermées sont vraiment des lacunes au niveau des ententes conclues entre la ville (autorité locale) et les promoteurs au Québec. Ces formes urbaines sont en antinomie avec les principes du développement durable. Elles rendent la possibilité d’offrir un transport écologique impossible, leur structure est irréversible sauf si l'on va recourir à la démolition de certaines maisons pour désenclaver l’ensemble. Ces lotissements semi-fermés empêchent la circulation en éliminant la connexion de leurs rues intérieures avec le reste des voies passantes qui tissent le tissu urbain toutes autour. Parfois le panneau « cul-de-sac » garantit l’exclusivité des rues intérieures de l’ensemble résidentiel. Cette forme urbaine encourage les déplacements massifs en automobile vers les lieux de travail, étant donné qu'elle est localisée souvent loin des voies desservies par le transport en commun. En outre, cette forme semi-fermée complique l’intervention des pompiers en cas d’incendie. / This research focuses on the validation of our hypothesis which states that residential introversion in the metropolitan community of Montreal (MCM) is only the last step of residential closure. These developments are taking other forms of enclosure which differ from the design of American gated communities (GCs). These communities are characterized by the enclosure, private governance, policing through video surveillance and the marking of entry by gates. The introverted enclosure is achieved by the urban form semi-closed of residential development. However, these enclaves are like the model of closed developments in Île-de-France. This later is characterized by the uncontrolled progression to closed residential development (Paquot, 2009). Precisely, we shall study the typo-morphology of the phenomenon of GCs and their impacts of physical rupture and social-space segregation of urban and suburban territory. Our area of experimentation is the MCM, however, a criticized review of literature that analyses the phenomenon in four countries (the Canadian West; Île-de-France, France; Puebla, Mexico; and Los Angeles, United States of America) allowed us to draw conclusions regarding the divergence of definitions. The definition of GCs according to the current literature is very limited. It excludes other types of residential closing that are not characterised by their fences, but more with their semi-enclosed urban forms. So, we have refuting the label of "residential enclave" used by French authors, and then we have assigned these types a new designation: introverted residential enclaves (IRE). Our resentment is that the term of enclave residential is not precise: it includes the residential development that stands out with individual style by contributing to its surroundings, even if the urban form is open. Furthermore, we show that these semi-enclosed urban forms are indeed gaps in conventions between the local authorities and developers in Quebec. These urban forms are in contradiction with the principles of sustainable development. They imped the possibility of providing an ecological transport. Their structure is irreversible, without the demolition of certain houses in order to open up the whole. These shapes prevent also pedestrian traffic. Sometimes the panel "cul-de-sac" guarantees exclusivity of internal streets to their resident. / Plusieurs logiciels utilisés dans la réalisation des pièces graphiques incluses dans ce mémoire : ArcGIS 10; Autocad 2012; GIS Consortium de la Ville de Chicago; PowerPoint 2010, Photoshop... etc. Notre recherche est la première et la seule qui aborde le phénomène de l'introversion résidentielle au Québec. Elle se focalise sur le postulat de la représentation du phénomène de l’introversion résidentielle autant qu’une forme urbaine fermée ou semi-fermée d’une descendance accouplée aux GCs étatsuniennes. De la gated community américaine vers l’enclave francilienne, à l’introversion résidentielle montréalaise. À l'aide de notre analyse typo-morphologique, basée principalement sur la théorie de Rossi (1966), nous avons dévoilé sur un nouveau fait urbain qui existe dans la communauté métropolitaine de Montréal. Nous l'avions désigné par : enclaves résidentielles introverties (ERI).
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La cohabitation dans les espaces publics: Conflits d'appropriation entre riverains et personnes marginalisées à Montréal et Paris

Margier, Antonin 12 December 2013 (has links) (PDF)
Constituant des réflecteurs d'urbanité, les espaces publics font aujourd'hui l'objet d'une attention accrue de la part des aménageurs et des planificateurs dans un contexte de compétition urbaine où l'attractivité devient l'une des principales stratégies de développement (Harvey, 1989). Dans cette perspective, de nombreuses transformations touchent les espaces publics, à l'instar de leur privatisation (Zukin, 1995 ; Le Goix et Loudier Malgouyres, 2005), de leur marchandisation (Sorkin, 1992 ; Zukin, 1995) ou de leur sécurisation (Németh et Hollander, 2010), soulevant alors des conflits d'appropriation. Les fonctions associées aux espaces publics, de sociabilité, d'interaction et de libre accessibilité (Ghorra-Gobin, 2001), évoluent donc considérablement. Ces changements ont été analysés par de nombreux auteurs, lesquels ont révélé les dynamiques de mise à l'écart et d'exclusion des personnes les plus marginalisées (Smith, 1996 ; Mitchell, 1997), dont la visibilité limite la portée des politiques urbaines de revitalisation. Pourtant, au-delà des espaces publics centraux et iconiques et de l'action des pouvoirs publics, des conflits d'appropriation se manifestent également dans les espaces publics ordinaires (Paddison et Sharp, 2007) et résidentiels. En construisant leurs " mondes ", certains groupes peuvent restreindre celui d'autres groupes et déclencher des cohabitations parfois difficiles. Comprendre ces conflits nécessite alors d'intégrer à l'analyse les rapports qu'entretiennent les citadins à leurs espaces de vie, primordiaux dans la structuration des espaces publics. En effet, dans leurs pratiques, dans la projection de soi dans l'espace urbain, les citadins participent à leur production (De Certeau, 1990 ; Lefebvre, 2000), et les appropriations mises en œuvre peuvent être vectrices de conflits, de mises à l'écart ou d'inaccessibilité à certains espaces publics. Plus particulièrement à une époque où les espaces publics tendent à être investis comme une extension du chez-soi, leur production dans la proximité et la participation des résidents peuvent déclencher des processus d'exclusion (Fleury, 2007) et de résistance des populations marginalisées qui investissent aussi ces lieux comme un " chez-soi ". Nous proposons dans cette thèse d'analyser ce type de conflits d'appropriation. Dans cette perspective, nous inscrivons notre réflexion dans l'interprétation de l'espace géographique comme structure topologique de positions (Desmarais, 1992 ; Hubert, 1993 : Parazelli, 1997). Ces préceptes épistémologiques nous permettent d'aborder le partage des espaces publics à travers les concepts d'appropriation et d'habiter, et de porter une attention particulière aux pratiques mises en œuvre par les riverains et les personnes marginalisées dans leurs espaces de vie. Cela nous permet notamment d'éclairer le sens de l'appropriation des espaces publics et d'expliciter les significations relatives aux conflits. En tissant également des liens théoriques avec les concepts de purification de l'espace (Sibley, 1995) et d' " out of place " (Cresswell, 1996), il s'agit de comprendre comment les pratiques mises en œuvre dans ces appropriations peuvent se contraindre les unes les autres et marginaliser davantage les personnes marginalisées. Nous nous sommes alors intéressés à deux quartiers, la Goutte d'Or à Paris et le Village Shaugnessy à Montréal, à vocation davantage résidentielle qu'iconique, et au sein desquels se manifestent des conflits pour l'appropriation des espaces publics. À travers une cinquantaine d'entrevues avec divers acteurs : des riverains et des personnes marginalisées ou des travailleurs communautaires mais également des responsables politiques, des urbanistes et architectes, nous montrons comment les espaces publics s'avèrent particulièrement importants dans les pratiques d'habiter. Ceux-ci constituent des positions attractives que les personnes marginalisées et les riverains investissent de manière à se les approprier et à pouvoir s'y reconnaître. Par les socialisations et leur occupation, les personnes marginalisées parviennent ainsi à constituer un " chez-soi " identificatoire tandis que par leur réappropriation, par l'animation et leur embellissement, les riverains les instituent comme une extension résidentielle du " chez-soi ". Or, ces dynamiques d'appropriation, et les prégnances qu'elles inscrivent dans l'espace, vont à l'encontre les unes des autres. L'inadéquation de la présence et des comportements des personnes marginalisées avec le mode de vie résidentiel désiré du quartier constitue l'un des éléments moteurs de la mobilisation des riverains et des désirs de purification de l'espace (Sibley, 1995). Face aux pratiques des personnes marginalisées s'affirment alors le " commun " des valeurs résidentielles désirées et la constitution d'un " nous ". Or ces exigences résidentielles renvoient à la volonté des riverains de créer un " intérieur coexistentiel " (Sloterdijk, 2005) protecteur dans l'ensemble des espaces publics du quartier, au sein duquel les personnes marginalisées ne sont pas incluses, à moins de s'y conformer. La diffusion de valeurs résidentielles dans les espaces publics limiterait ainsi les prégnances associées à la marginalité, réduisant leur sentiment d'appartenance au quartier et la reconnaissance de soi, et les incitant alors à se déplacer, à adopter des tactiques de résistance pour maintenir leur occupation des lieux ou à normaliser leurs comportements. De fait, dans ces espaces publics ordinaires, des rapports de force se manifestent également pour leur appropriation, mettant en lumière des rapports de pouvoir qui s'éloignent du revanchisme ou de la tolérance zéro. Ceux-ci prennent une forme plus subtile de dispersion, à travers le contrôle des références topologiques associées aux diverses positions. Ces résultats invitent alors à interroger le partage des espaces publics à travers la cohabitation et à réfléchir aux moyens de faire des espaces publics des lieux dans lesquels l'ensemble des habitants d'un quartier puisse se reconnaître.
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Les enclaves résidentielles introverties dans la communauté métropolitaine de Montréal, une étape ultime vers la fermeture résidentielle

Bouguessa, Abdelhak 03 1900 (has links)
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