In this thesis I will attempt to develop a phenomenological account for Political Liberalism. My hypothesis is that a re-articulation of the main issues in transcendental phenomenology as it relates to social philosophy, first in a genetic sense (as developed by Alfred Schutz), but also in a generative context (as developed by Bernhard Waldenfels), provides us with a methodological ground that can instigate a more complex account for the questions of social choice and the way in which we establish preferences. My thesis is that such a complex account of social choice can motivate us to focus on the disordered nature of our constitution of preferences, and point at the importance of a deep comprehension of historicity, along with a defense of freedom of speech as a tool for resignification of social values.

abstract: This thesis seeks to defend transitivity as a rational constraint on preferences against two putative counterexamples to transitivity. This thesis is divided into three sections. In the first section, I consider two famous and popular arguments in defense of transitivity and argue they are insufficient to adequately defend transitivity. I then outline a desiderata for successful arguments in defense of transitivity and identify some basic assumptions I will be making throughout the thesis. In section two, I consider the first putative counterexample to transitivity: Quinn’s Puzzle of the Self-Torturer. I offer two plausible interpretations of Quinn’s puzzle and argue that both fail. One because it does not genuinely induce intransitive preferences, and the other because the situation it requires is logically impossible. I conclude this section by defending my arguments against known objections in the literature. Finally, in the third section, I consider a counterexample to transitivity from Larry Temkin that has received little attention in the literature. I argue that while the initial counterexample is unpersuasive it can be augmented and made into a more forceful argument. I then argue that this improved counterexample fails due to some erroneous assumptions prevalent in the literature on incomparability. I conclude the thesis with a brief summary and some closing remarks. / Dissertation/Thesis / Masters Thesis Philosophy 2015

La théorie moderne de la dissuasion et la rationalité coûts/bénéfices sont étroitement liées l’une à l’autre. En fait, sans cette dernière, la théorie de la dissuasion n’aurait plus de fondements puisqu’elle repose sur la croyance voulant que sous certaines conditions — ayant trait notamment à sa sévérité et à sa certitude — la sanction pénale peut décourager quiconque aurait l’audace de défier la norme pénale. La rationalité coûts/bénéfices constitue donc cette prémisse selon laquelle l’être humain gouvernerait son comportement, incluant le comportement criminel, à partir d’un calcul fait de coûts et de bénéfices. La généralisation de la portée de cette théorie de la décision constitue notre objet de recherche. La question qui se pose est celle de savoir si la théorie elle-même n’aurait pas trop exagéré la portée de cette rationalité coûts-bénéfices. Il ne s’agit pas tant de remettre en question le fait qu’elle puisse opérer ici et là, mais bien de réfléchir aux limites de sa généralisation, de se poser la question de savoir si compte tenu des données dont on dispose il est encore raisonnable, aujourd’hui, d’entretenir cette croyance à l’effet que tous les comportements dits criminels sont opérés dans le cadre de cette rationalité coûts/bénéfices. C’est la question que nous posons dans cette recherche exploratoire dont l’objectif est de cerner une rationalité inédite développée théoriquement par Pires (2002) et vérifiée empiriquement par Dubé (2012) : la rationalité du risque. Dans cette recherche, ces dernières considérations nous amènent à traiter les postulats de la rationalité coûts/bénéfices comme des hypothèses et non comme des faits. Cette posture épistémologique se situe en dehors du positivisme et réintroduit le doute dans l’observation. Ce doute est alors confronté à une empirie particulière : il ne s’agit plus de tester la sévérité ou la certitude des peines telles que les conçoivent le droit criminel, mais bien de comprendre comment, dans la commission de leurs infractions, les individus se les représentent, comment ils les perçoivent, et quel poids leur attribuent-ils dans la décision de commettre ou de commettre à nouveau une infraction. Dans cette perspective qui s’inspire directement des approches phénoménologiques, la dissuasion est ainsi conçue comme un phénomène d’abord et avant tout subjectif. Au plan méthodologique, nous avons cherché à saisir ces « réalités subjectives » à partir d’entretiens qualitatifs semi-dirigés réalisés auprès d’individus ayant commis des crimes graves. Dans ces entretiens, plusieurs postulats de la théorie de la dissuasion sont ébranlés sous le poids d’une phénoménologie faisant ressortir les traits et fondements de la rationalité du risque, rationalité qui réduit la portée de la rationalité coûts/bénéfices tout en frappant d’impertinence le réductionnisme qui associe à la qualité de la peine la qualité de l’effet dissuasif. À partir de nos observations empiriques, nous avons élaboré quatre (4) idéaux-types de trajectoires décisionnelles : pris dans leur ensemble, ceux-ci suggèrent que l’effet dissuasif de la sanction pénale est loin d’être aussi déterminant que nous a habitués à le croire le droit criminel moderne. Les résultats de notre recherche semblent en effet indiquer que dans bien des cas, la menace de la conséquence pénale se retrouve neutralisée par la rationalité du risque qui intervient dans l’esprit de l’individu pour reconvertir la « certitude » du coût en incertitude, en probabilité. Le coût n’est alors plus vécu comme un coût, mais bien comme un risque, comme une possibilité parmi d’autres et que l’individu a l’impression de pouvoir contrôler. La dissuasion générale se retrouve ainsi fragilisée. Par ailleurs, face à la condamnation, lorsque l’individu l’associe à l’échec du passage à l’acte, la rationalité du risque intervient encore pour remettre en question non pas tant, dans l’absolu, la décision de commettre le crime, mais bien la manière de le commettre. L’échec est alors associé soit à une mauvaise décision (qui n’est pas celle de commettre le crime), soit au fruit du hasard contre lequel on ne pouvait rien. Dans un cas comme dans l’autre, la dissuasion spécifique se retrouve ainsi fragilisée.

Denna studie ämnar belysa vad det är som fick studenter att välja just Uppsala universitet för vidarestudier och vad studenterna prioriterade i sin valprocess. Individernas prioriteringar kategoriseras in i olika faktorer, där faktorerna ämnar förklara de olika konsekvenserna av valet, exempelvis de geografiska avståndet till universitetet eller universitetets akademiska rykte. För att identifiera detta har studien använt sig av en kvantitativ metod, nämligen en enkät. Enkäten riktade sig till individer som studerar eller har studerat på Uppsala universitet och var ämnad att identifiera hur en större mängd individer resonerade kring sin valprocess, exempelvis vad de prioriterade i valet eller hur informerade de ansåg sig själva vara om sina valmöjligheter. Resultaten påvisade med stor likhet till tidigare studier att Akademiskt Rykte, Universitetsstadens Atmosfär och tillgängligheten till studentaktiviteter är de tre mest inflytelserika faktorerna. För att vidare identifiera hur valprocessen kan beskrivas tillämpades de teoretiska ramverken sociologiska modeller samt rational choice theory vilket ämnar att identifiera ifall en rationell beslutsprocess har tagit form. En rationell beslutsprocess identifieras av att faktorer som förbättrar ens framtida möjligheter och vinst maximeras, medans temporära bekvämligheter som är mindre värda ur samma perspektiv förminskas. Studien har dock funnit att valprocessen uppvisar tendenser på både rationella beslutstaganden samt icke-rationella så som de geografiska faktorerna. Vad detta innebär är således att om man vill förstå hur valprocessen sker kan man inte göra de utifrån antagandet att individ agerar rent rationellt.

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In this paper I examine how closeness between the traditional political blocks affects voter turnout in the Swedish municipal elections 2014 and 2018. The results of the two elections shows that closeness between the traditional blocks is not a relevant factor for individuals when they decide to vote or abstain. The voter turnout do not increases when its close between the political blocks. The rapport argument for the complexity in predicting coalition government in multi-party systems. This makes voters consider other factors then closness when they decide to vote or abstain. Despite the none statistic significant results of closeness and turnout, the most relevant factors when individuals decide to vote or abstain is based on socioeconomic variabels. The voter turnout is therefore more likley to be affected by socioeconomic characteristics than a tight race between political blocks.

In recent years rational choice approaches have increasingly been employed in the sociological study of religion; however, theory and research from this perspective typically overlook the role of emotionally efficacious collective rituals. This study synthesizes interactive ritual theory with the rational choice concept of strictness, which highlights the level of behavioral prohibitions religious groups place on adherents. Analyses of data from the first wave of the National Congregations Study indicate a positive relationship between a group's level of behavioral strictness and the production of an enthusiastic, outwardly emotive worship style. In general, the effort is made to highlight the utility of combining a focus on the production of collective, social "goods" in religious groups with considerations of interactive rituals and emotion.

The purpose of this thesis is to increase our knowledge about corruption issues. It examines the connection between the institutional frame and the individual’s choice made in his institutional role. The study is based on the theories of rational choice institutionalism and public ethos and the empirical data is analyzed from a social constructivist perspective. The addressed research questions are:-How is the institutional frame within the Mauritian public sphere being created, with special focus on shaping the norms saying that corruption is not accepted?-Does the institutional frame, and specifically the public ethos as a norm, influence the individual’s rational choice when deciding not to act corruptly?The empirical material has been collected in Mauritius, and the study uses the Mauritian local government as the example for the institution. According to the theory of rational choice institutionalism, public servants make rational choices, within the frames of the institution. Institutions are to be seen as a wider concept, where both the formal and informal institutions are included, such as norms, institutionalized actions and processes. The public ethos, a norm specifically connected to the democratic, public areas of the society, states that the public servant’s institutional role is different from a private person’s role. According to the theory about the social construction of the reality, the individual’s perception and understanding of his surroundings, the image of his reality, is shaped by the institutional frame and this frame delimits the options to choose among. The analysis is made with the help of a model which illustrates the layers of the institution, and the individual in the institutional frame, which thereby affects his rational calculations. The model is also used to illustrate the result of the analysis, by showing the factors that influence the norm-shaping process. The analysis and the conclusions of the study indicate that the creation of the institutional frame is strongly influenced from the society with an anti-corruption agenda, in form of legislation and government agencies, which have a resilient effect on the norm-shaping. Further, the presence of the public ethos norm is shown as an element of the institutional frame. The public servant, when making a rational calculation to decide to act or not to act corruptly, is situated within this institutional frame. The conclusion of the thesis indicates that the individual’s rational choice is strongly affected by the institutional frame, showing that the public servant does take in consideration the public ethos norms in his institutional role. Even though economic reasons influence how the public servant decides to act, those are reinforced by the institutional norms.

Following the mid 1990s, a drop in Swedish contributions to UN led peacekeeping have been evident and EU and NATO led operations have taken preference. However, in 2013 Sweden invested in a substantial troop contribution to a UN led peacekeeping operation in Mali. There is a lack of existing sources providing arguments for this sudden increase of support to a UN peacekeeping operation. This thesis looks at governmental documents and declarations of Sweden in order to find an understanding of why Sweden decided to contribute to the United Nations Multidimensional Integrated Stabilisation Mission (MINUSMA) in Mali in 2013. In light of the past trends of increased focus towards operations led by NATO or the EU, this research was interested in what motivated Sweden to implement a substantial troop contribution to an UN led operation. Through tracing the arguments used by the Swedish government regarding their involvement in Mali and looking at core concepts of rational choice to find if the decision was rational.

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