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La diplomatie énergétique de la Russie envers la Chine : manipulation stratégique ou vulnérabilité négligée?

Mascotto, Guillaume 11 1900 (has links) (PDF)
Cette recherche a pour objet d'étude les implications de la diplomatie énergétique de la Russie sur ses relations avec la Chine et sur sa stature de grande puissance énergétique. À l'aide d'un cadre théorique s'inspirant de l'économie politique internationale, des études énergétiques et des études de sécurité, l'analyse est guidée par trois concepts clés : (1) « Complexe régional de sécurité »; (2) « Sécurité économique »; et (3) « Manipulation stratégique ». Cette recherche avance qu'en dépit d'une interdépendance sur le plan des intérêts énergétiques, des tensions politiques et économiques freinent l'approfondissement de la coopération entre la Chine et la Russie, en particulier en raison de la polarisation de leurs conceptions de la sécurité énergétique. Résultat, le degré de symétrie de cette interdépendance est perçu comme une menace et devient sujet à des démarches sécuritaires qui, en retour, créent des lignes de divisions entre les deux États en ce qui concerne leur sécurité énergétique mutuelle et réduit les perspectives de coopération russo-chinoise. La recherche propose de retenir l'hypothèse de travail suivante: par crainte de se retrouver dépendante de la demande étrangère (en l'occurrence, chinoise) et dans le but de garder le contrôle sur la production ainsi que sur les flux énergétiques entre l'Europe et l'Asie, la Russie conduit une diplomatie visant à « manipuler » le comportement des pays dépendants de ses ressources naturelles. La recherche conclut que si la Russie est en mesure de manipuler certains pays européens (e.g. Italie, Allemagne), elle n'est pas capable de manipuler la Chine qui a su développer des options d'ajustement à l'interne et des alternatives à l'approvisionnement russe, augmentant ainsi la vulnérabilité de la Russie envers la dépendance de marché. ______________________________________________________________________________ MOTS-CLÉS DE L’AUTEUR : Russie/Chine, Sécurité énergétique, Sécurité économique, Manipulation stratégique, Risque, Interdépendance sécuritaire, Pétrole/gaz, Firmes, Compétitivité/coopération, Marché mondial de l'énergie, Complexe régional de sécurité énergétique.
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Les relations entre la France et le Canada à la fin du XIXe siècle : la revue Paris-Canada (1884-1909)

Garneau, Philippe January 2008 (has links) (PDF)
En 1882, le gouvernement Macdonald décide de créer à Paris, sur l'initiative de la province de Québec, un commissariat chargé de s'occuper des intérêts du Dominion du Canada en France. Dépourvu de reconnaissance officielle, le commissaire canadien à Paris devait encourager le commerce et le recrutement d'émigrants français.Le poste fut confié à Hector Fabre, sénateur et journaliste propriétaire de L'Événement. Pendant 28 ans celui-ci s'occupe à la fois des intérêts de la province de Québec et du Dominion en France. Son action à Paris se situe quelque part entre les relations publiques et la propagande. En 1884, il fonde la revue Paris-Canada. Organe officiel du commissariat canadien, mais également revue des Canadiens à Paris, Paris-Canada constitue une véritable chronique du rapprochement entre la France et le Canada à la fin du XIXe siècle. La revue porte sur l'immigration, la colonisation et le potentiel économique du Canada. Elle informe sur les questions qui touchent les relations franco-canadiennes comme la création d'une ligne de navigation directe et la négociation de traités de commerce. On n'hésite pas à justifier le rapprochement économique par des appels aux sentiments et à la solidarité culturelle des français. La diversité des sujets traités par la revue montre également que les Canadiens recherchent une forme de reconnaissance culturelle de la part de la France. Paris-Canada publie des extraits et de nombreux comptes rendus d'oeuvres littéraires. Elle consacre des articles aux visites d'hommes politiques canadiens en France, publie des résumés des fêtes franco-canadiennes et informe sur les diverses activités des Canadiens installés dans la capitale française. Surtout, elle permet de donner un point de vue canadien sur l'actualité politique du Dominion. Par ses éditoriaux, Hector Fabre, explique au public français les subtilités du lien colonial et donne son avis sur l'avenir de la nation canadienne. En somme, Paris Canada, revue française d'une population d'origine française vivant dans une colonie britannique, est à l'image des relations qui existent entre le Dominion et la France à la fin du XIXe siècle. Relations qui tiennent davantage du lien affectif que des intérêts économiques partagés. ______________________________________________________________________________ MOTS-CLÉS DE L’AUTEUR : Relations internationales, Hector Fabre, Paris, Canada, France Canada, Commerce, Immigration, Culture, XIXe siècle.
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Le triangle stratégique Chine - Russie - Inde : possible contrepoids à l'hégémonie américaine?

Billette, Marc-André January 2008 (has links) (PDF)
En 1998, Evgeni Primakov, Premier Ministre russe de l'époque, évoque lors d'une visite en Inde, l'idée d'une relation triangulaire entre la Russie, l'Inde et la Chine. Pour lui un tel partenariat triangulaire stratégique représenterait une force pour une plus grande stabilité régionale et internationale. Aussi, ce triangle stratégique devrait servir à contrebalancer les États-Unis au niveau international. Quelques articles publiés dans des périodiques spécialisés ont traité de ce sujet, mais aucune recherche d'envergure n'a été produite à ce jour. Les articles cherchent à savoir si ce triangle a réellement pris forme. Ce texte s'inscrit donc la lignée des travaux effectués, mais à une échelle plus grande, et cherchera à son tour à répondre à la question que les auteurs se sont posée à propos du triangle Chine-Russie-Inde. Ce texte cherche à savoir, en premier lieu, si, depuis l'annonce de Primakov en 1998, le partenariat stratégique triangulaire entre New Delhi, Moscou et Beijing est bel et bien devenu une réalité. La typologie des triangles de Lowell Dittmer nous permettra d'établir la conformité ou non du triangle stratégique. Pour arriver à démontrer la validité de la relation triangulaire, une analyse des relations bilatérales nous aidera à démontrer s'il y a ou non partenariat stratégique entre les trois pays. En plus, l'implication des États-Unis dans chaque relation bilatérale viendra enrichir l'évaluation faite des relations. Par la suite, une analyse des relations de la Chine, de la Russie et de l'Inde, à travers l'Organisation de Coopération de Shanghai, permettra de démontrer dans quelles mesures l'OCS peut contrebalancer les États-Unis en Asie centrale. Aussi, l'analyse des relations bilatérales qu'entretiennent la Chine, la Russie et l'Inde avec l'Iran, rehaussera l'analyse des capacités du triangle dans leur stratégie de contrepoids vis-à-vis de Washington. Le texte conclut en affirmant que la positivité des relations bilatérales entre Beijing, Moscou et New Delhi, en plus des rencontres bilatérales qui sont organisé entre les trois capitales, permet de conclure qu'il y a bel et bien un partenariat stratégique triangulaire. Le concept de Soft Power, quant-à-Iui, nous permet de comprendre dans quelle mesure le triangle peut faire contrepoids à Washington. Le triangle, principalement à l'aide de l'OCS, peut contrebalancer les États-Unis dans la gestion des relations internationales en limitant les options disponibles et en obligeant la Maison Blanche à tenir compte des intérêts des ses partenaires. ______________________________________________________________________________ MOTS-CLÉS DE L’AUTEUR : Politique étrangère, Chine, Russie, Inde, États-Unis, Partenariat stratégique, Triangle stratégique, Soft power, Organisation de Coopération de Shanghai.
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Chine-Afrique : évolution de la coopération sino-malienne entre 1960 et 2008

Sanogo, Oumou Niogho January 2010 (has links) (PDF)
En opérant un revirement spectaculaire lui ayant permis de passer d'une économie fermée aux influences extérieures à l'une des plus grandes puissances commerciales au monde, la Chine a, en l'espace de quelques années, brisé tous les dogmes qui voulaient qu'une économie initialement faible ne puisse que très difficilement accéder à la suprématie économique. La réforme de son économie, entamée en 1978 sous l'impulsion du gouvernement de Deng Xiaoping et plus tard son accession à l'OMC, a permis l'ouverture graduelle du pays aux marchés internationaux et a engendré la croissance phénoménale qui est survenue par la suite. Les relations entre la Chine et l'Afrique remontent toutefois aux années 1960. Très tôt, la Chine a développé des contacts diplomatiques avec ses « frères » africains. Pékin a en effet épaulé les pays africains nouvellement indépendants et a activement participé à la consolidation des mouvements de libération locaux dans une logique de lutte contre les impérialismes. Au Mali, depuis le régime socialiste de Modibo Keïta, sous la Première République, la Chine a fourni son aide dans l'édification du tissu industriel du pays et dans le développement d'usines textiles et pharmaceutiques, importantes à la création de toute nation voulant entamer sa croissance. Grâce à des contacts et visites fréquemment organisés entre les deux gouvemements, le Mali et la Chine ont réussi, au fil des régimes politiques, à développer un partenariat et des relations bilatérales particulièrement solides dans le cadre de la sous-région. Aujourd'hui encore, la Chine entreprend de grandes réalisations et projets de construction au Mali, à l'image du 3ième pont de la capitale malienne, qui constitue actuellement le plus grand projet de construction jamais entrepris par la Chine en Afrique de l'Ouest. L'inauguration de ce véritable « cadeau » de la Chine envers le Mali est prévue pour septembre 2010 et commémorera à la fois le cinquantenaire de l'indépendance du pays et celui de la coopération Chine-Mali. Dans ce document, nous voulions étudier l'évolution des relations entre la Chine et le Mali entre les années 1960 et 2008. Pour ce faire, nous avons employé 2 méthodes de recherche principales: le sondage et l'entrevue. Le sondage nous a permis de recueillir les opinions et connaissances des répondants chinois quant au commerce sino-africain et de comprendre leur perspective unique par rapport au phénomène. Les entrevues effectuées au Mali au mois de mars 2009, nous ont quant à elles fourni des témoignages utiles sur la réalité des échanges entre les 2 pays et les relations interpersonnelles existant entre les maliens et les chinois. L'utilisation conjointe de méthodes de recherche qualitative et quantitative a eu pour avantage de nous gratifier d'une vue d'ensemble sur un phénomène particulièrement complexe. Nous avons donc déduit de nos recherches que malgré les nombreux effets bénéfiques qu'ont les échanges bilatéraux entre les deux régions, incluant, entre autres, la construction d'infrastructures de base et l'octroi de prêts préférentiels, la présence chinoise de plus en plus accrue au Mali dans plusieurs secteurs de la vie courante, soulève aussi de nombreux enjeux au niveau local. En contrepartie d'une aide ponctuelle peu coûteuse et très efficace, la Chine puise indéniablement dans les ressources domestiques pour combler ses propres besoins-à la mesure de l'envergure de son territoire et de sa population-en plus d'inonder les marchés maliens de ses produits à la qualité douteuse. De ce fait, même si Pékin répond aux urgences africaines sans la longue liste de conditions et pré-requis qui caractérisent la coopération avec les bailleurs de fonds occidentaux, il est donc plus que jamais nécessaire que le Mali et les pays africains touchés par le phénomène chinois, demeurent conscients des conséquences aussi bien positives que négatives pour la croissance et le développement de leurs nations respectives. ______________________________________________________________________________ MOTS-CLÉS DE L’AUTEUR : Chine-Afrique, Relations sino-maliennes, Coopération « donnant-donnant », Croissance chinoise.
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Faux espoirs : la Pologne, l'Allemagne et l'échec du désarmement sous l'égide de la SDN (1932-1934)

Mackowiak, Wit 05 1900 (has links) (PDF)
Le 2 février 1932 ouvre à Genève la Conférence pour la réduction et la limitation des armements. Celle-ci devait finalement mettre en branle le désarmement généralisé des puissances membres de la Société des Nations qui fut promise depuis le désarmement imposé à l'Allemagne en 1919. Il va s'en dire que cette tentative s'avéra être un échec total et s'effondra suite au retrait allemande de la Conférence en octobre 1933. L'historiographie s'étant penchée sur le sujet s'est généralement contentée de présenter l'événement comme étant une progression linéaire vers un échec prédestiné. Or, une telle lecture fit en sorte que beaucoup de nuances furent perdues autant au sujet des événements qui ont transpiré à la Conférence, qu'au sujet du rôle que joua la SDN dans les politiques étrangères des pays membres. Ainsi, l'étude suivante aborde la Conférence des yeux polonais et allemands dans le but de démontrer deux choses. D'une part, il sera argumenté que la progression vers l'échec s'est fait de manière erratique et beaucoup plus complexe que ce que nous serions portés à croire. D'autre part, il sera démontré que la SDN ne détient pas une place purement secondaire dans les politiques étrangères de la Pologne et de l'Allemagne : les intérêts sécuritaires des deux pays sont intimement liés à l'organisation genevoise et ils voient pertinemment les avantages que peut leur conférer une Convention de désarmement qui leur est favorable. La SDN est incontournable lorsqu'on aborde la politique étrangère des deux pays dans le premier demi de l'entre-deux-guerres. Elle prend en charge plusieurs mandats issus des traités de paix qui concernent directement l'Allemagne et la Pologne, dont le désarmement, la protection des droits des minorités et la garantie sécuritaire des pays membres. La Pologne doit sa renaissance et la garantie de son existence aux mêmes traités de paix qui ont enchaîné la République de Weimar suite à la Grande Guerre. En résulte qu'à partir de l'entrée de l'Allemagne dans la SDN en 1926, celle-ci devient un forum privilégié autant pour les Allemands souhaitant la révision des clauses discriminatoires du traité de Versailles, que pour les Polonais souhaitant conserver ces mêmes clauses dans leur entièreté. C'est dans cette logique que les deux pays s'engagent à la Conférence du désarmement en hiver 1932. L'Allemagne souhaite se faire reconnaître le droit à l'égalité en matière d'armements, et la Pologne, craignant que cette dernière n'use de son potentiel militaire pour imposer la révision de leur frontière commune, s'engage pour assurer le contraire. Des calculs d'opinion publique entrent en jeu au sein des deux États qui tentent de convaincre la communauté internationale du bien-fondé de leurs exigences respectives dans le but que soit signée une Convention de désarmement leur étant favorables. Toutefois, au fur et à mesure que les discussions s'enlisent, que les militaires gagnent en influence dans une Allemagne devenant progressivement moins flexible et que les Grandes puissances commencent à ignorer les Petites telles la Pologne, les deux pays commencent à chercher des alternatives à la sécurité collective incarnée par la SDN. ______________________________________________________________________________ MOTS-CLÉS DE L’AUTEUR : Pologne, Allemagne, entre-deux-guerres, Société des Nations, sécurité collective, désarmement
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Incidence des politiques migratoires de l'Union européenne sur la gestion migratoire en Afrique de l'Ouest : le cas de la politique étrangère espagnole au Sénégal

Coderre-Proulx, Mylène 09 1900 (has links) (PDF)
Après l'arrivée de nombreuses pirogues de migrants subsahariens à l'archipel espagnol des Canaries, l'Espagne lance une vaste opération diplomatique au Sénégal dans le but de maîtriser ces flux migratoires. La consolidation des relations bilatérales autour de la question migratoire sera majoritairement consacrée aux enjeux de contrôle des frontières et de promotion du développement. Le mémoire actuel se questionne sur l'impact de cette coopération hispano-sénégalaise sur la gestion migratoire au Sénégal. Il s'agit de mesurer les effets collatéraux de cette diplomatie, portée par l'Espagne et soutenue par l'UE, sur la gestion de la migration ouest-africaine au Sénégal, régie par les protocoles de la CEDEAO de libre-circulation, de droit de résidence et d'établissement en Afrique de l'Ouest. Notre hypothèse centrale avance que l'insertion de la question des migrations dans les relations bilatérales hispano-sénégalaises modifie l'agenda migratoire du Sénégal et pourrait avoir comme effet collatéral d'entraver la garantie des droits de libre-circulation, de résidence et d'établissement dont les ressortissants ouest-africains au Sénégal peuvent se prévaloir. Afin de démontrer notre propos, la première partie du mémoire exposera les piliers sur lesquels se forme la coopération migratoire entre l'Espagne et le Sénégal, et la seconde retracera l'évolution du cadre institutionnel et législatif des migrations ainsi que l'application des droits de libre-circulation, de résidence et d'établissement au Sénégal. Il sera démontré, qu'en sécurisant la question de la migration clandestine et en conditionnant l'aide au développement à une meilleure gestion des flux d'émigration, la politique étrangère espagnole et européenne participe à la reconfiguration de la gestion migratoire au Sénégal. Cette gestion de plus en plus eurocentrée des migrations est marquée par l'augmentation des mécanismes de restriction de mobilité interrégionale. Elle implique un effacement progressif des enjeux de migrations intrarégionales et une diminution des mécanismes de libéralisation de celles-ci dans les politiques migratoires sénégalaises. ______________________________________________________________________________ MOTS-CLÉS DE L’AUTEUR : Migration, Développement, Sécurité, Espagne, Sénégal, Gestion migratoire

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