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Toutes les portes qui menaient à la fortune de cour : stratégies courtisanes et pouvoirs des femmes à la cour de Louis XV

Rose, Fabienne January 2004 (has links)
Mémoire numérisé par la Direction des bibliothèques de l'Université de Montréal.
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Système électoral, Etat particratique, régime représentatif :dix propositions pour réformer la démocratie belge

Sohier, Jérôme 28 June 2021 (has links) (PDF)
Notre régime démocratique est affecté depuis quelques années par une véritable crise de confiance de la part des citoyens, qui est illustrée notamment par un taux d’abstentions toujours croissant lors des élections et un essor des votes populistes au profit de partis extrémistes, et qui nous oblige à mener une réflexion et une remise en question sur les possibilités de retrouver une foi dans nos institutions, en osant quereller certains socles de notre régime constitutionnel qui paraissent périmés à l’heure actuelle, et explorer des voies émergentes qui restent sans doute encore trop confidentielles. Cette distance entre les électeurs et les élus paraît encore aggravée en Belgique par la complexité du fédéralisme belge et par les défauts inhérents au système de représentation proportionnelle, qui entraînent des difficultés substantielles pour la formation d’un gouvernement disposant d’une stabilité minimale. Afin de redonner une vitalité à notre système démocratique et de combler, tant que faire se peut, le fossé qui se creuse irrémédiablement entre les électeurs et les élus, il faut à notre sens, d’une part, réformer substantiellement notre système électoral tant en ce qui concerne le type de scrutin, que ses modalités et le contrôle de sa régularité, mais également, d’autre part, régir le statut et le fonctionnement des acteurs principaux que sont les partis politiques, et inventer enfin d’autres formes de participation des citoyens au processus de décision, impliquant, tout à la fois, une composition radicalement différente des organes délibératifs et une vraie rotation des charges de représentants. L’étude porte ainsi sur trois types de réformes radicales à envisager :- dans un chapitre Ier, c’est le régime électoral de la représentation proportionnelle qui est examiné, avec, en conclusion, la nécessité d’une réforme vers un système mixte, incluant des aspects de scrutin majoritaire et permettant de clarifier les enjeux électoraux et la perception, par les citoyens-électeurs, de ceux-ci ;- dans un chapitre II, c’est le régime particratique qui est examiné, en partant de ce paradoxe que les partis politiques sont de facto devenus les acteurs principaux du régime démocratique, alors qu’ils ne sont même pas reconnus par la Constitution, ce qui nous conduit à proposer, tout à la fois, que leur existence soit consacrée dans la Constitution, de même qu’une série d’obligations qui devraient être mises à leur charge, notamment de structure et de finalité démocratiques ;- dans un chapitre III, c’est le régime représentatif lui-même qui est examiné, à partir de ce constat qu’il ne laisse aucune place à des procédés de représentation directe et confine ainsi les citoyens-électeurs à un rôle totalement passif entre deux élections. Au départ de ce constat, l’étude développe l’idée émergente d’une assemblée tirée au sort, à côté de la Chambre des Représentants issue des élections, qui s’avère, à notre sens, parfaitement compatible avec les idéaux démocratiques.L’étude se veut essentiellement pratique. Afin de promouvoir un vrai « renouveau politique », autour du fil rouge que constitue la confiance que les citoyens doivent retrouver envers le régime démocratique, elle porte, en conclusions, dix réformes très concrètes, soit par une révision de la Constitution, soit par des modifications légales, sur les élections, sur les partis politiques et sur la composition des assemblées. / Doctorat en Sciences juridiques / info:eu-repo/semantics/nonPublished
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La notion de prudence dans la pensée castillane médiévale et moderne (1252-1598) : Du roi Sage au roi Prudent ? / The concept of Prudence in medieval and modern thought in Castile (1252-1598)

Jecker, Mélanie 24 September 2016 (has links)
Ce travail de thèse porte sur la notion de prudence dans la pensée castillane médiévale et moderne, depuis le début du règne d'Alphonse X de Castille, dit « le roi Sage », en 1252, jusqu'à la mort de Philippe II, dit « le Prudent », en 1598. Le choix d'une période longue a permis d'analyser dans toute sa complexité le processus de réception et d'adaptation des doctrines classiques sur la prudence par les traducteurs, commentateurs et penseurs politiques castillans. La thèse montre comment ce concept défini dans les textes de l'Antiquité grecque et latine a nourri leur réflexion sur la double nature, rationnelle et politique, de l'homme : la prudence est en effet la vertu intellectuelle qui définit l'homme comme animal politique, et plus particulièrement, chez Aristote, le gouvernant et le législateur. La transmission, fidèle ou non, de la doctrine aristotélicienne des vertus intellectuelles en général, et de la prudence en particulier, se révèle le lieu d'un affrontement entre deux paradigmes royaux dans la Castille d'alors : face au modèle d'un roi sage (sapiens, sabio) disposant d'un pouvoir absolu, que les monarques successifs s'attachent à maintenir tout au long de la période, la haute noblesse et les maîtres ès arts salmantins posent l'image d'un roi simplement prudent au sens où l'entend Aristote, c'est-à-dire faillible, pour mieux l'inviter à gouverner en s'appuyant sur les élites de son royaume. / This PhD thesis deals with the notion of prudence in medieval and modern Castilian thought, from the beginning of the reign of Alfonso X of Castile, known as “the Wise King”, in 1252, until the death of Philip II, called “the Prudent King”, in 1598. The choice of a long period enabled to analyze in all its complexity the process of reception and adaptation of classical doctrines of Prudence by Castilian translators, commentators and political thinkers. The thesis shows how this concept defined in Greek and Latin Antiquity texts nourished their thougt on the dual nature of man (rational and political): Prudence is indeed the intellectual virtue that defines Man as a Political animal ; in Aristotle's Ethics and Politics, this virtue defines more particularly the ruler and the legislator. This study shows how the transmission, faithful or not, of the Aristotelian doctrine of intellectual virtues in general, and of Prudence in particular, was in Castile the place of a confrontation between two royal paradigms: opposite the model of a Wise king (sapiens, sabio) possessing absolute power, which the successive monarchs strove to maintain throughout the period, the high nobility and the Salmantine Masters of Arts proposed the image of a merely prudent ruler. This latest model, defined by Aristotle as being fallible, allowed them to claim their participation in the governance of the Kingdom.
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SOS-Racisme, histoire d'une mobilisation "apolitique". Contribution à une analyse des transformations des représentations politiques après 1981

Juhem, Philippe 09 December 1998 (has links) (PDF)
L'émergence d'organisations militantes ou de mouvements politiques nouveaux présente toujours un caractère d'étrangeté et de contingence : pourquoi certains mouvements suscitent-ils un engagement particulièrement fort et rencontrent-ils des soutiens multiples alors que d'autres éprouvent des difficultés à faire parler d'eux et à élargir leur audience au-delà du cercle initial de leurs fondateurs ? Cette thèse portant sur SOS-Racisme – mouvement antiraciste français fondé en 1984 – a donc pour origine une interrogation sur le succès en politique. Pourquoi un groupe de militants syndicaux étudiants relativement marginaux réunis autour de Julien Dray a-t-il souhaité fonder une nouvelle organisation antiraciste, domaine dont ils ignoraient tout ? Comment ont-ils pu rencontrer un succès aussi rapide et quelles ont été les causes de leur déclin relatif ? Comment en outre expliquer que cette mobilisation ait revêtu la forme, discréditée quelques années auparavant, d'un mouvement « apolitique » ? Cette thèse s'efforce de répondre à ces questions en cherchant à lier une interrogation sur les caractéristiques et les motivations des entrepreneurs politiques et un effort pour comprendre les conditions objectives du succès de leur entreprise.<br /> <br />Ce travail s'est d'abord intéressé aux conditions de la fondation de SOS. Il s'agissait de comprendre comment d'anciens militants étudiants d'extrême gauche qui se situaient alors à l'aile gauche du PS avaient pu envisager de constituer une organisation se présentant comme « apolitique ». Il s'agissait aussi d'expliquer pourquoi les fondateurs de SOS avaient choisi de constituer leur nouvelle association à ce moment précis alors qu'ils appartenaient déjà à plusieurs organisations partisanes (PS, MJS, Unef-Id). Mené à partir d'entretiens biographiques avec les membres fondateurs (environ une vingtaine, complétés par une cinquantaine d'entretiens de cadres et de militants de l'association), ce travail tend à montrer que les raisons qui ont déterminé la création de SOS provenaient davantage de la position minoritaire qu'occupaient ses fondateurs au sein des organisations dans lesquelles ils militaient et des chances de reclassement qui étaient alors les leurs au sein du PS, que d'une stratégie antiraciste qu'ils auraient poursuivie. La fondation de la nouvelle association répond donc notamment aux contraintes militantes et professionnelles propres à ses futurs dirigeants. Elle a constitué un moyen déterminant de l'accumulation des ressources politiques de ses fondateurs, ressources qui seront ultérieurement reconverties au sein du PS dans la construction d'un nouveau courant, celui de la Nouvelle Ecole Socialiste (NES).<br />Pourtant, l'analyse des logiques particulières ayant conduit à la formation d'une nouvelle organisation antiraciste ne nous renseignait pas sur les causes de son succès.Ce travail s'attache donc à comprendre les raisons pour lesquelles certaines rédactions avaient initialement consacré autant d'articles et de reportages à une association dont les effectifs et la capacité d'action étaient alors aussi faibles. Il s'agissait de déterminer si la forme adoptée initialement par SOS-Racisme et en particulier l'effort de neutralisation politique mené par sa direction, mais aussi la mise en scène de la spontanéité et de la jeunesse de ses militants, avait pu constituer un élément favorisant l'intérêt surprenant que les journalistes lui ont rapidement manifesté. La constitution d'une base de données des articles ayant été publiés sur l'association dans la presse nationale et la réalisation d'une trentaine d'entretiens auprès des journalistes ayant écrit sur SOS, a permis de déterminer les logiques de la fluctuation des jugements journalistiques portés sur SOS. C'est l'adaptation de la forme adoptée par la nouvelle organisation aux besoins nouveaux de la presse qui va être à l'origine de son succès. En effet, une association antiraciste « apolitique » permet alors à la presse associée à la gauche (Libération, le Matin de Paris, le Nouvel Observateur) de maintenir un positionnement idéologique d'allure progressiste tout en adoptant des stratégies de prise de distance avec leur ancien engagement militant et notamment en rompant avec les pratiques de soutien au gouvernement alors réputées être à l'origine de la baisse des tirages que connaît la presse de gauche. Au contraire, lorsque l'image publique de SOS-Racisme sera de façon croissante associée au PS, à travers la figure de son fondateur Julien Dray, l'appui des journalistes envers SOS s'affaiblira avant que sa mise en cause ne devienne profitable. Le déclin relatif de SOS aura pour origine un retournement de l'attitude de la presse de gauche à son égard lorsque le soutien à l'association ne servira plus les intérêts professionnels des rédactions.<br />Mais pour rendre compte des conditions structurelles d'émergence d'une entreprise de mobilisation «apolitique» sur la question du racisme, il nous restait à expliquer comment cette mise en forme particulière, difficilement envisageable en 1979 ou en 1980 lorsque l'ensemble des organisations antiracistes s'opposait à la politique d'aide au retour des immigrés du gouvernement de Raymond Barre, devient en 1985 la condition même du succès de la nouvelle association. Il fallait comprendre par quels processus politiques et sociaux, l'accession de la gauche au gouvernement en 1981 avait pu transformer la nature et le contenu de l'offre politique des partis de gauche mais aussi entraîner la « neutralisation » des lignes rédactionnelles des journaux qui en étaient proches et le rétrécissement de l'éventail des thématiques politiques disponibles pour les acteurs sociaux. La baisse de la popularité de tout ce qui apparaît lié au gouvernement et à la gauche va ainsi contraindre les fondateurs de SOS-Racisme à mettre en œuvre une mise en forme « apolitique » de leur nouvelle organisation. <br />Ce travail entend donc être une contribution à l'analyse des mouvements sociaux et politiques mais aussi à celle du fonctionnement de la presse. Plus généralement, et au-delà du cas historique étudié, cette étude permet de comprendre les relations qui, au tournant des années 80, unissent différents acteurs de la sphère publique : acteurs politiques, journalistes, experts économiques, intellectuels, etc. En montrant comment les transformations de l'offre politique de la gauche avaient pu modifier « l'ambiance » idéologique de la décennie quatre-vingt – c'est-à-dire la fréquence objective d'utilisation des thématiques politiques en raison de leur inégal rendement social – ce travail représente une contribution à l'analyse des conditions de structuration du débat public en France.
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Art, culture et société à Parme pendant la première moitié du Cinquecento : les portraits d'homme de Parmigianino (1503 -1540)

Misery, Nicolas 26 November 2015 (has links)
La thèse est consacrée à l’œuvre de portraitiste de Parmigianino au cours des deux périodes parmesanes de sa carrière, depuis sa naissance en 1503 jusqu’à son départ pour Rome en 1524, puis de 1531 à 1540, date de son décès. L’objet de la recherche est d’élucider les significations propres à chacune des effigies du corpus et d’analyser les processus plastiques et sémantiques par lesquels le peintre a élaboré les discours figuratifs que constituent ses portraits, dans le contexte de leur commande, production et réception. A cette fin, on a opté pour une approche pluridisciplinaire. La thèse débute par une étude de l’histoire artistique de Parme de 1500 à 1540 et une analyse des pratiques du portrait dans cette ville, au regard de ses nombreuses relations avec d’autres centres culturels et artistiques (Milan, Venise, Bologne, Florence et Rome). L’histoire sociale et politique de Parme pendant la première moitié du Cinquecento est un autre sujet de la recherche. Son objet est l’articulation des transformations institutionnelles au sein de la comune, les conquêtes par plusieurs pouvoirs étrangers entre 1499 et 1520 jusqu’à la création du duché de Parme et Piacenza par Paul III en 1545 avec le marché et les pratiques du portrait. Après cette étude du contexte, chacun des portraits de Parmigianino est examiné de façon approfondie, à travers une approche trans-disciplinaire qui associe histoire de l’art, histoire culturelle (littérature, du livre et de l’édition, emblématique, traditions de la rhétorique, débats linguistiques), histoire sociale et politique. / The dissertation deals with Parmigianino’s activity as a portraitist during the two periods of time he spent in his native Parma, between 1503 and 1524 and then between 1531 and 1540. Its aim is to analyze the painter’s male portraits in particular, that is to to clarify their specific significances and, at the same time, to elucidate the visual and semantic processes through which Parmigianino elaborated the figurative discourses that his portraits convey, in the artistic, cultural, social and political context of their creation. To reach this goal, several methodological approaches are used. The disseration begins with a close study of the artistic history of Parma between 1500 and 1540 and an analysis of the traditions related to portraiture in the city, with regard to its many cultural and political relations to other regions and states (Milan, Venice, Bologna, Florence and Rome). The political history of Parma during the first half of the Cinquencento is an other field of research. Its purpose is to articulate the many institutionnal transformations of the comune, the conquest of Parma by several foreign powers between 1499 and 1520, until the creation of the Duchy of Parma and Piacenza by Pope Paul III, with the market and practices of portraiture. After this close examination of the context, Parmigianino’s portraits are analyzed through a trans-disciplinary approach that deals with art history, cultural history (literature, history of the book, emblems, traditions of rethoric, linguistic debates), social and political history).
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Approche cognitive des comportements politiques / Cognitive approach of political behavior

Onkerekakoula, Louis-Ange 18 June 2010 (has links)
L’objectif de cette étude est de rechercher les facteurs qui sous-tendent les comportements politiques chez les étudiants. L’approche développée est cognitive et conative. À ce titre, les connaissances, les représentations et les mécanismes de raisonnement sont invoqués comme éléments explicatifs des comportements. Ces processus sont appréhendés à l’aide d’outils linguistiques. L’analyse des résultats suggère l’existence de représentations politiques plutôt négatives, au sein de la population. Ces représentions génèrent des raisonnements qui induisent des d’attitudes critiques, méfiantes, à l’égard de la sphère politique, avec en toile de fond l’expression de nombreuses attentes. Pour autant, ces représentations, globalement négatives, ne doivent pas occulter la présence de perceptions positives à l’égard de l’univers politique, développées par les sujets experts qui envisagent la politique dans ses liens avec des domaines connexes. En outre, l’analyse des choix politiques fait ressortir deux formes de raisonnement sous-jacentes : des raisonnements motivés, davantage utilisés par les sujets sans proximité partisane, et des raisonnements plus heuristiques, fondés sur un savoir mémorisé adoptés par les répondants plus politisés. / . The objective of this study to seek the factors which underlie the political behaviors in the students. The developed approach is cognitive. For this reason knowledge, representations, and the mechanisms of reasoning are called upon like explanatory elements of the behaviors. These cognitive processes are apprehended using linguistic tools. The analysis of the results suggests the existence within the population of the political representations rather negative. These represented generate reasoning which induces of critical attitudes, being wary with regard to the political sphere within background the expression of many waiting. For as much, these overall negative representations should not occult the presence of positive perceptions of the political universe developed by the expert subjects which consider the policy in its bonds with related fields. Moreover, the analysis of the political choices emphasizes two subjacent forms of reasoning: the reasoning justified, more used by the subjects without proximity partisan, and the more heuristic reasoning founded on a memorized knowledge adopted by the more politicized guarantors

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