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Du bonheur dans sa relation au crime. Approche ethico-poetique du texte sadien / Of Happiness in its Relation to Crime. An ethico-poetical Approach of the Sadian TextKoumba, Brice 07 September 2010 (has links)
Dans l'économie générale du texte sadien, pourquoi y-a-t-il du crime plutôt que toute autre chose ? Sans doute parce que le verbe écrire est-il toujours déjà lié au verbe tuer. Cela non pas de façon contingente mais de façon naturelle. Le texte dit autrement la nature, nature qui a pour mode d'exister le crime : mouvement mécanique dont la finalité demeure la destruction. Expression de la nature, le crime advient à la conscience comme ce qui dit le mieux le coeur de l'homme, mais plus encore... la condition humaine. Le crime est la dramatisation de la condition humaine, une condition marquée par la pénitence. Partout, de par le fait d'exister, l'homme vit la peine et la souffrance. Sa condition est bien tragique, le crime lui est fatal. Fatal parce que le crime se présente in fine comme la seule réalité de l?existence. Vivre, c'est nécessairement expérimenter le crime. Le crime accule au malheur. Toutefois, lui résister c'est s'interdire la félicité. C'est pourquoi, de manière pragmatique, le bonheur implique l'avènement de l'homme criminel, de l'homme devenu nature, de l'homme devenu bestialité pure et dure. / In Sade's text, why is there crime rather than anything else? Probably because the verb to write is always already bound to the verb to kill, not contingently but essentially. The text tells of Nature in another way, and crime is nature's mode of existence: mechanical movement whose goal is always destruction. As an expression of nature, crime is perceived as what best expresses Man's heart, but more than that ... the human condition. Crime is the dramatization of the human condition, a condition marked by penance. Everywhere, simply by virtue of his existence, man is experiencing pain and suffering. His condition is tragic indeed; crime is fatal to him. Fatal because, in fine, crime appears as the only reality of existence. Living is necessarily experiencing crime. Misfortune drives people to crime. However, resisting crime makes it impossible to reach bliss. This is why, pragmatically, happiness implies the advent of the criminal, a man who has become nature, a man who has become pure unadulterated bestiality.
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La topique du sacré et des passions dans la tragédie française du XVIe siècleFrappier, Louise January 2003 (has links)
Thèse numérisée par la Direction des bibliothèques de l'Université de Montréal.
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L'analyse rhétorique des discours organisationnels annuels prononcés devant les membres de la National Riffle Association (1999, 2000, 2001, 2003)Talih, Nayla January 2005 (has links)
Mémoire numérisé par la Direction des bibliothèques de l'Université de Montréal.
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La lettre de voyage au XVIIIe siècle : éléments de poétiqueBadet, Valérie January 2002 (has links)
Mémoire numérisé par la Direction des bibliothèques de l'Université de Montréal.
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Oracles et décision: étude philologique et rhétorique de la preuve oraculaire dans la littérature grecque classiqueDainville, Julie 26 April 2019 (has links) (PDF)
Ma thèse de doctorat étudie la dimension rhétorique des oracles dans la littérature grecque d’époque classique. Les considérations sur la divination récoltées dans les traités de rhétorique antiques constituent le point de départ de ce travail. On y apprend, d’une part, que l’oracle serait une forme de témoignage (Aristote, Rhét. I, 15, 1375b 26 – 1376a 6 ;Cicéron, Sur les divisions de l’art oratoire, 2, 6 et Topiques, 76-77 ;Quintilien V, 7, 35-36 et 11, 42), qu’il faut comprendre dans le sens relativement large de preuve extra-technique dont la force persuasive provient de l’autorité. Ceci m’amène, dans la première partie du travail, à m’intéresser à l’établissement de l’autorité oraculaire et à examiner son rôle dans le fonctionnement de la divination. Je m’appuie pour cela sur les données fournies par les traités de rhétorique sur l’établissement de l’autorité testimoniale, mais aussi plus largement sur ce qui renforce l’autorité d’un orateur en rhétorique.D’autre part, certains traités mentionnent les oracles lorsqu’ils abordent le traitement rhétorique de l’ambiguïté, qui est une caractéristique souvent associée aux réponses oraculaires. Le premier auteur à en parler est Aristote (Rhét. III, 5, 1407 a-b). Il condamne les oracles ambigus (ainsi que l’ambiguïté de manière plus générale) et soutient qu’elle vise à tromper le consultant. Les autres auteurs (Hermogène, Sur les états de la cause, XII, 1-10 ;L’Anonyme de Séguier, 188 et Sopatros, Διαίρεσις ζητημάτων, LXXIX [= p. 377-382, vol. 8 Walz]) mentionnent l’oracle dans leurs développements sur l’amphibologie. Il s’agit alors de proposer une méthode pour argumenter pour ou contre une interprétation lorsque plusieurs hypothèses sont envisageables, selon un modèle qui s’inscrit dans le genre délibératif. L’obscurité oraculaire et l’importance de la délibération dans la prise en compte de l’oracle pour l’action sont au cœur de la deuxième partie de la thèse.Mon objectif est de montrer que ces différentes approches rhétoriques de l’oracle, bien qu’elles n’aient a priori rien en commun, sont en fait complémentaires :l’établissement de l’autorité est une condition sine qua non au bon fonctionnement de la divination. Si elle n’est pas reconnue, la parole du devin ou du prophète n’aura aucun poids. En revanche, si elle l’est, sa parole sera considérée comme vraie et pertinente. Toutefois, il arrive fréquemment que l’oracle nécessite alors un processus délibératif, qui peut porter sur l’établissement du sens de la réponse lorsqu’elle est obscure, ou sur la meilleure manière d’en tenir compte dans la prise de décision et dans l’action à mener. Par ces deux aspects, la divination telle qu’elle est présentée dans la littérature classique s’inscrit pleinement dans un cadre rhétorique et laisse aux consultants la responsabilité de leurs choix et de leurs actions. / Doctorat en Langues, lettres et traductologie / info:eu-repo/semantics/nonPublished
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Le rapport à la vérité chez Augustin entre vérité biographique et vérité philosophique : le problème de l'authenticité d'Augustin dans les "Confessions" remet-il en cause la vérité de son oeuvre philosophique?Bélisle, Liette January 2011 (has links)
Nous avons rencontré Augustin dans les Confessions , pour la première fois, au milieu des années 90.Nous avons été conquise par le style, le ton, mais ce qui nous a le plus frappée, c'est l'impression de transparence, d'authenticité qui s'en dégage. Cependant, des lectures subséquentes révèlent des contradictions, des emprunts et des omissions dérangeantes. Cette constatation nous a paru paradoxale, compte tenu qu'Augustin se pose lui-même comme chercheur de vérité. C'est pourquoi nous avons décidé que notre mémoire de maîtrise porterait sur Augustin et son rapport à la vérité. Il peut sembler un peu inhabituel de traiter d'un problème philosophique à partir d'une autobiographie. Une justification conjointe de la problématique et de la source s'imposait. Il est généralement admis qu'Augustin est le maître à penser de l'Occident, il est le seul Père de l'Église de son époque qui ait été l'auteur d'une école de pensée : l'augustinisme. Or, la recherche de la vérité est le domaine par excellence de la philosophie. Plusieurs philosophes de tous les temps admettent avoir été sous influence augustinienne. Lui-même a été influencé par la philosophie platonicienne et par le néoplatonisme, sans oublier les oeuvres de Cicéron. Il est donc, bien incontestablement, un philosophe. Par ailleurs, la teneur philosophique des Confessions est indéniable, bien qu'on lui assigne un classement d'autobiographie. Les neuf premiers livres sont plus évidemment autobiographiques, mais ils contiennent néanmoins beaucoup d'éléments philosophiques. Cependant, les trois derniers livres sont absolument philosophiques. Si donc, Augustin est un philosophe, s'il se proclame un chercheur de vérité et si, par ailleurs, il prend des libertés avec la vérité dans les Confessions , nous avons indubitablement un problème. On pourrait nous objecter que dans une autobiographie, malgré l'existence d'un pacte autobiographique, la vérité fait problème et cela pour plusieurs raisons : l'éloignement temporel, une défaillance de la mémoire, le désir de plaire, de se montrer autre que l'on est. Mais nous pensons qu'Augustin savait qu'il introduisait des distorsions dans son oeuvre et qu'il savait également pourquoi il le faisait. Augustin est un rhéteur. Il a enseigné la rhétorique pendant de nombreuses années. La rhétorique est l'art de persuader et les moyens pour le faire sont parfois discutables. Deux axiologies gouvernent la vie d'Augustin : l'ambition matérielle et le désir de réformer ses frères dans une perspective de salut. Nous pensons que le pragmatisme d'Augustin lui fait voir dans le catholicisme, le moyen de réaliser ses deux objectifs. Ambroise le convainc qu'il existe certaines similitudes entre le néoplatonisme et le christianisme et Augustin croit qu'une conversion au christianisme ne fera pas obstacle à son adhésion à la philosophie néoplatonicienne. Devenu prêtre et évêque d'Hippone, Augustin devra se conformer à la ligne de pensée du christianisme, participer à l'élaboration des dogmes et de l'orthodoxie catholique, assujettir la philosophie à la théologie chrétienne, dont il se fera le défenseur contre les hérésies. Cette charge de l'évêque d'Hippone et la responsabilité qui en découle lui interdisent de faire valoir son approbation et son attachement à la philosophie. Pour toutes ces raisons, nous pensons qu'Augustin a dit trafiquer la vérité, écrire entre les lignes, pour rejoindre un auditoire d'initiés dans une période de persécution tout en restant loyal envers l'Église.
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O projeto filosófico de Isócrates, no discurso contra os sofistasCosta, Robson Régis Silva January 2010 (has links)
COSTA, Robson Régis Silva. O projeto filosófico de Isócrates, no discurso contra os sofistas. 2010. 94f. – Dissertação (Mestrado) – Universidade Federal do Ceará, Programa de Pós-graduação em Filosofia, Fortaleza (CE), 2010. / Submitted by Gustavo Daher (gdaherufc@hotmail.com) on 2017-09-21T16:47:22Z
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Previous issue date: 2010 / Este trabalho examinou como Isócrates (436-338 a.C.) compreendeu e elaborou sua proposta de filosofia a partir das críticas feitas aos sofistas no discurso Contra os sofistas (aprox. 390 a.C.). Para alcançar seu intento, o presente estudo inicialmente dedicou uma seção aos sofistas, buscando compreender como estes homens tão diferentes contribuíram para o desenvolvimento do pensamento antigo e por que seriam alvo de críticas tão duras de Isócrates, o que possibilitou a articulação entre diversos elementos textuais durante a leitura do aludido discurso de forma a oferecer relevantes noções para a tentativa de compreensão do pensamento isocrático. Apesar do reconhecido esforço em se destacar dos sofistas, pode-se constatar em seus textos que Isócrates não abria mão da importância da retórica para a edificação de uma paidéia. De forma semelhante, Platão reconhece, no Fedro, a participação da retórica – enquanto análise da natureza da alma – no desenvolvimento da filosofia. Dadas tais constatações, tornou-se necessário investigar como retórica e filosofia poderiam ser articuladas de forma a possibilitar um meio que permita um acesso mais seguro ao pensamento isocrático, para que seja identificada com mais nitidez sua ideia de filosofia, assim como a função que lhe é destinada. Posteriormente, fez-se mão do recurso comparativo e procurou-se na análise do sentido de retórica no Fedro aspectos relevantes que possam apontar para uma relação entre Platão e Isócrates caracterizada por semelhanças e diferenças específicas, visando atender ao intento desta pesquisa, qual seja, oferecer elementos que nos aproximem da ideia isocrática de filosofia. Finalmente, foram oferecidas tradução e análise do discurso Contra os sofistas, pois o estudo do texto original é item obrigatório para quem procura se aproximar de uma ideia preeminente e constante no trabalho de Isócrates – que é sua concepção de filosofia – mas que em nenhum de seus textos que nos restaram foi exposta de maneira específica e localizada.
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La rhétorique des passions : le problème du pathosBélanger, Maxime 20 April 2018 (has links)
Tableau d'honneur de la Faculté des études supérieures et postdorales, 2014-2015 / Le présent mémoire a pour but d'exposer la problématicité de la passion telle qu'elle était conçue dans les principaux systèmes d'art oratoire de l'Antiquité gréco-romaine pour ensuite, à l'aide d'ouvrages récents, déterminer ce qui en est toujours d'actualité et ce qui ne l'est plus. Au premier chapitre, nous avons posé les bases de notre réflexion en démontrant les fondements de l'art rhétorique antique de sa naissance en Sicile jusqu'à l'ère romaine. Une attention particulière a été portée à la Rhétorique d'Aristote et sur les preuves techniques de l'ethos et du pathos. Au second chapitre, nous avons analysé plus en profondeur le concept du pathos, notamment en explicitant son opposition à la raison et en procédant à un survol historique des théories des passions majeures de la pensée occidentale. Au troisième chapitre, nous avons présenté quelle est la meilleure conception du pathos d'une nouvelle rhétorique moderne qui intègre celle de l'Antiquité.
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La régénération de la France par l'Antiquité : les références antiques dans la presse révolutionnaire (1789-1794)Guilbault, Marie-Hélène 29 August 2012 (has links)
Alors que les Français de 1789 souhaitaient s’éloigner de tout ce qu’avait été l’Ancien Régime, ils se tournèrent vers les civilisations antiques afin d’y trouver des modèles d’institutions à reproduire et de comportements politiques et moraux pour les citoyens. Cette présence de références antiques ne se retrouva pas seulement dans les discours tenus à l’Assemblée nationale, mais fut aussi très importante dans les journaux révolutionnaires grâce à la liberté de la presse nouvellement acquise. Les journalistes souhaitaient faire de leurs journaux l’agora des citoyens français. Cette thèse étudie donc l’utilisation des références antiques dans la presse révolutionnaire française. Elle s’intéresse à la manière dont les Révolutionnaires français s’en servirent et à la façon dont elles créèrent une rhétorique propre à chaque élément du spectre politique, qui donna naissance à divers types d’hommes politiques. Effectuée à partir d’un échantillonnage de journaux révolutionnaires couvrant l’ensemble du spectre politique, soit le courant radical, modéré et contre-révolutionnaire, de la période allant de 1789 à 1794, la méthode employée permit de démontrer les évolutions au sein des idéaux politiques et à travers le temps. Ce furent les événements tels que la fuite de Louis XVI à Varennes, le procès du roi ou encore les luttes de factions entre les Girondins et les Montagnards qui justifièrent le recours à l’Antiquité. Confrontés à l’inconnu, les journalistes tentèrent de se rassurer en cherchant des précédents chez les peuples romain et grecs. Ils se firent tour à tour tribuns du peuple pour éduquer leurs concitoyens, orateurs patriotes pour les secouer alors que la liberté était en danger, et « fils de Brutus » pour juger et condamner le roi. Ce phénomène longtemps associé aux Révolutionnaires était aussi présent dans les journaux contre-révolutionnaires. Alors que ces premier s’en servirent pour se distancier de l’Ancien Régime, les royalistes l’utilisèrent plutôt pour démolir les arguments de leurs ennemis et pour glorifier la monarchie. Ainsi l’Antiquité servit à l’ensemble du spectre politique de la Révolution. Sa présence fut plus significative en 1789 alors que la liberté de presse était totale et plus générique et moins recherchée à mesure que la censure fut rétablie.
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Poétique de l'invective chez Louis-Ferdinand Céline et Réjean DucharmeLarochelle, Marie-Hélène January 2005 (has links)
Thèse numérisée par la Direction des bibliothèques de l'Université de Montréal.
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