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Pratiques funéraires complexes : réévaluation archéo-anthropologique des contextes ibéromaurusiens et capsiens (paléolithique supérieur et épipaléolithique, Afrique du Nord-Ouest) / Complex funeral practices : archaeo-anthropological reassessment of iberomaurusians and capsians contexts (paleolithic and epipaleolithic, Northwest Africa)

Aoudia-Chouakri, Louiza 11 February 2013 (has links)
L’ibéromaurusien (23 000 - 9500 Cal BC) et le Capsien (9600 - 5000 Cal BC) sont deux cultures de la fin du paléolithique supérieur et de l’épipaléolithique d’Afrique du nord ; elles ont été définies sur la base de la typologie de leur assemblage d’industrie lithique. L’Ibéromaurusien est caractérisé par une industrie lamellaire microlithique et la Capsien par une industrie microlithique riche en segments minuscules, en microburins et microlamelles. La discontinuité biologique prêtée à ces deux groupes, sur la base d’arguments anthropologiques discutables, a fortement influencé le débat sur leur mode de remplacement. Ainsi une origine Moyen-Orientale a été proposée à la culture capsienne. Nous avons souhaité vérifier cette théorie à partir de l’étude du traitement funéraire dans ces deux groupes. En appliquant les méthodes de l’anthropologie funéraire moderne, nous proposons une révision critique de l’ensemble du corpus aujourd’hui disponible. Il comprend une soixantaine de sépultures Ibéromaurusiennes, renfermant 126 individus découverts dans 10 sites, 48 sépultures Capsiennes contenant 55 individus, issues de 13 sites, et enfin 38 sépultures du site de Columnata, livrant 89 individus. Nous avons scrupuleusement analysé les contextes de découvertes de ces individus dans les publications et les carnets de fouilles. Nous avons révisé les dénombrements, la détermination du sexe et l’estimation de l’âge au décès. Nous avons également exploré la surface de l’os à la recherche de stigmates permettant de valider ce que l’analyse taphonomique des sépultures laissait présager. Nous avons d’abord caractérisé le système funéraire de chacun de ces deux groupes, puis nous avons comparé les composants de ces deux systèmes afin de rechercher une éventuelle transmission ou rupture de coutume entre les deux sociétés. Les normes funéraires telles que nous les avons établies, confirment la spécificité de chacun de ces deux groupes. Les gestes funéraires sont différents et l’absence de transmission directe entre ces deux groupes de chasseurs cueilleurs est d’abord envisagée. Toutefois, l’interprétation ostéo-archéologique des sépultures révèle la présence d’une coutume funéraire minoritaire (conditionnelle), longue dans sa durée d’exécution, et complexe par la technique qu’elle requiert, quasi identique dans les deux groupes. Ce traitement passe par une étape de découpe du cadavre (décollation, désarticulation, décarnisation et éviscération), la tête après dépouillement est décorée parfois surmodelée. Enfin, le corps ainsi partitionné est inhumé en blocs anatomiques disloqués. Ce traitement, par les degrés d’apprentissage qu’il nécessite et la complexité de sa conception, suggère un lien direct entre les deux traditions. Cet héritage culturel Ibéromaurusien chez les Capsiens nous conduit à privilégier l’hypothèse d’une relation ancêtre-descendant et une origine locale de la culture Capsienne. / The iberomaurusien (23,000 - 9500 cal BC) and the Capsian (9600-5000 cal BC) are two cultures dating from the end of the upper Palaeolithic and Epipalaeolithic in North Africa. They have been established on the basis of the characterisitics of their lithic industries. The Iberomaurusien is characterized by a lamellar microblade industry and Capsian by a microblade industry rich in tiny segments and microburins microbladelets. Biological discontinuity of these two groups has been assumed on the basis of questionable anthropological arguments which have strongly influenced debate on their origins. Thus a Middle-Eastern origin has been proposed for the Capsian. We wanted to test this theory using a study of the mortuary practices in these two groups. By applying the perspective of modern mortuary anthropology, we offer a critical review of the entire available corpus. This includes 60 Iberomaurian graves, containing 126 individuals discovered in 10 sites, 48 Capsian graves containing 55 individuals from 13 sites, and 38 burials from the Columnata site providing 89 individuals. We carefully analyzed the contexts of discovery of these individuals as described in publications and field notes. We have revised the counts, the sex-determination and estimation of the age at death. We also explored the surface of the bones looking for stigmata to validate what a taphonomic analysis of the graves might reveal. We first characterized the burial system of each of these two groups, and then the components of these two systems were compared to find a possible transmission or break in burial custom between the two societies. The funeral practices as we have established them, confirm the specificity of these two groups. Funeral rituals are different and the absence of direct transfer between these two groups of hunter-gatherers is first considered. However, the osteo-archaeological interpretation of the graves revealed the presence of a (conditional) minority funeral custom, which lasted a long time, and required a complex technique, that was almost identical in the two groups. This treatment goes through a stage of dismembering the cadaver (beheading, disarticulation, butchering and evisceration), and the skull after flaying is sometimes plastered. Finally, thus partitioned, the body is buried assembled in dislocated anatomical blocks. This treatment, by the levels of knowledge that it requires, and the complexity of its design, suggests a direct link between the two traditions. This endurance of Iberomaurusian cultural heritage in the Capsian leads us to confirm the hypothesis of an ancestor-descendant relationship and a local origin of the Capsian culture.
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Usages funéraires et mission de l'Eglise chez les Baoulés de Côte d'Ivoire : jalons pour une théologie thanatique africaine à la lumière de l'inculturation / Funerary practices and church's mission among the Baoulés in Ivory Coast : milestones for an african thanatic theology in the light of inculturation

M'bra, Jean-Claude 14 September 2018 (has links)
La problématique de la célébration des funérailles chrétiennes dans un contexte de double appartenance religieuse chez les Baoulés de Côte d’Ivoire permet d’axer la réflexion sur la théologie de l’inculturation de la foi. En reconsidérant par ailleurs le concept de la double appartenance, on peut soutenir que celui-ci devient une exigence de l’inculturation comprise comme une « dramadialogie ». Elle s’inscrit dans une logique de dialogue, entre le christianisme et les croyances religieuses baoulées, au cours duquel les éléments de la culture baoulée meurent à leurs non valeurs en vue d’une résurrection transfiguratrice. Mais en même temps, cette culture, en accueillant ce message, enrichit le patrimoine ecclésial. La réappropriation du discours théologique chrétien sur la mort et la ritualité funéraire, à partir d’un horizon de sens africain, est la particularité de cette construction théologique, qui est à situer également à l’intérieur de ce même champ sémantique du processus de l’inculturation vue comme une « dramadialogie ». On n’oubliera cependant pas de souligner que toute cette trajectoire de théologie thanatique inculturée, éclairée par l’actualité du mystère pascal doit s’ouvrir aussi à la catholicité pentecostale de l’Église. / The question of the celebration of Christian funerals in a context of dual religious affiliation among the Baoulés of Côte d'Ivoire obliges us to focus our reflection on the theology of the inculturation of faith. On reconsidering moreover the concept of dual affiliation, it can be argued that this notion becomes a requirement of inculturation understood as a "dramadialogy". It fits into a logic of dialogue between Christianity and Baoulé religious beliefs in the course of which the elements of the Baoulé culture die off to their non-values for a transfigurative resurrection. But at the same time, by welcoming this message, this culture enriches the heritage of the Church. The reappropriation of the Christian theological discourse on death and funeral rituals from a perspective of African sense is the peculiar feature of this theological construction which is also to be situated within the limits of this same semantic field of the process of inculturation seen as a "dramadialogy". We should not forget, however, to point out that this entire trajectory of inculturated thanatic theology, enlightened by the actuality of the paschal mystery, must also open up to the Pentecostal catholicity of the Church.
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Pratiques funéraires complexes : réévaluation archéo-anthropologique des contextes ibéromaurusiens et capsiens (paléolithique supérieur et épipaléolithique, Afrique du Nord-Ouest)

Aoudia-Chouakri, Louiza 11 February 2013 (has links) (PDF)
L'ibéromaurusien (23 000 - 9500 Cal BC) et le Capsien (9600 - 5000 Cal BC) sont deux cultures de la fin du paléolithique supérieur et de l'épipaléolithique d'Afrique du nord ; elles ont été définies sur la base de la typologie de leur assemblage d'industrie lithique. L'Ibéromaurusien est caractérisé par une industrie lamellaire microlithique et la Capsien par une industrie microlithique riche en segments minuscules, en microburins et microlamelles. La discontinuité biologique prêtée à ces deux groupes, sur la base d'arguments anthropologiques discutables, a fortement influencé le débat sur leur mode de remplacement. Ainsi une origine Moyen-Orientale a été proposée à la culture capsienne. Nous avons souhaité vérifier cette théorie à partir de l'étude du traitement funéraire dans ces deux groupes. En appliquant les méthodes de l'anthropologie funéraire moderne, nous proposons une révision critique de l'ensemble du corpus aujourd'hui disponible. Il comprend une soixantaine de sépultures Ibéromaurusiennes, renfermant 126 individus découverts dans 10 sites, 48 sépultures Capsiennes contenant 55 individus, issues de 13 sites, et enfin 38 sépultures du site de Columnata, livrant 89 individus. Nous avons scrupuleusement analysé les contextes de découvertes de ces individus dans les publications et les carnets de fouilles. Nous avons révisé les dénombrements, la détermination du sexe et l'estimation de l'âge au décès. Nous avons également exploré la surface de l'os à la recherche de stigmates permettant de valider ce que l'analyse taphonomique des sépultures laissait présager. Nous avons d'abord caractérisé le système funéraire de chacun de ces deux groupes, puis nous avons comparé les composants de ces deux systèmes afin de rechercher une éventuelle transmission ou rupture de coutume entre les deux sociétés. Les normes funéraires telles que nous les avons établies, confirment la spécificité de chacun de ces deux groupes. Les gestes funéraires sont différents et l'absence de transmission directe entre ces deux groupes de chasseurs cueilleurs est d'abord envisagée. Toutefois, l'interprétation ostéo-archéologique des sépultures révèle la présence d'une coutume funéraire minoritaire (conditionnelle), longue dans sa durée d'exécution, et complexe par la technique qu'elle requiert, quasi identique dans les deux groupes. Ce traitement passe par une étape de découpe du cadavre (décollation, désarticulation, décarnisation et éviscération), la tête après dépouillement est décorée parfois surmodelée. Enfin, le corps ainsi partitionné est inhumé en blocs anatomiques disloqués. Ce traitement, par les degrés d'apprentissage qu'il nécessite et la complexité de sa conception, suggère un lien direct entre les deux traditions. Cet héritage culturel Ibéromaurusien chez les Capsiens nous conduit à privilégier l'hypothèse d'une relation ancêtre-descendant et une origine locale de la culture Capsienne.
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Le roi et son image en Syrie au bronze moyen : étude iconographique d’après la glyptique et d’autres documents figurés et écrits / The king and his image in Syria during the Middle Bronze Age : iconographical study through glyptic as well as other written and figurative sources

Muhesen, Nibal 12 September 2009 (has links)
Cette thèse a pour objectif d’étudier la « figure du roi » au travers de documents iconographiques du Bronze Moyen provenant de Syrie et plus particulièrement de la zone du Moyen-Euphrate entre 2000 et 1600 avant J.-C. Notre approche méthodologique qui porte prioritairement sur la partie sigillaire a consisté à établir un corpus des plus exhaustifs possibles des sceaux publiés et inédits. Après l’établissement de celui-ci, nous opérons des comparaisons pour dégager les caractéristiques de la représentation royale. Dans un premier temps, le cadre spatio-temporel retenu pour cette étude est défini. Par la suite, nous effectuons une mise au point sur l’histoire de la question de la représentation royale dans la glyptique syrienne du Bronze Moyen. Le développement qui suit constitue la cible de cette thèse. Les objets qui servent de base à cette étude viennent de vingt cinq sites archéologiques différents. Les sites de Moyen-Euphrate syrien, divisés en deux ensembles : partie nord et partie sud couvrant la zone-clefs de cette thèse, ont été soigneusement étudiés. En suite et afin de mieux définir la « figure du roi » dans l’iconographie, des moyens d’identification ont été décrits. La suite comporte une analyse de toutes les représentations de la figure royale, que nous tentons de définir par type. Le paragraphe présentant chaque modèle est suivi d’un tableau montrant l’aire de diffusion au sein de l’aire géographique concernée. Suit un inventaire des multiples aspects de cette iconographie royale, au sein duquel on distingue des : 1. Modèles dominants: le roi à la masse d’arme, le roi vainqueur, le roi-orant et le roi de type « syrien » que nous tentons de définir.2. Modèles dérivés: le roi-porteur d’offrande, représentation royale avec une divinité féminine, le roi-pharaon de type «égyptien », les cas de la duplication de la figure royale.Par ailleurs, une étude des « personnages incertaines » que nous expliquons est également menée. La présence de multiples divinités aux côtés des rois nous a conduits à en effectuer l’inventaire et à en préciser dans la mesure du possible l’iconographie, le cas échéant à préciser la nature des cultes qui leur étaient rendus. Cependant, des questions importantes, comme la compréhension de certaines réalités telles que la question complexe de la« divinisation ou non du personnage royal », ou les « Dieux politiques » ont été posées. De plus, des problèmes tels que le rite de « kispûm » ou la question de « Dieu de roi » ont été abordés. Parmi nos conclusions les plus importants on souligne : l’aspect régional de l’image du roi en Syrie, le rapport particulier entre l’archéologie et la glyptique ainsi que le fond sacré de l’idéologie royale de l’époque amorrite. Au niveau de l’organisation de cette thèse, notre premier volume est accompagné d’un second volume représentant le catalogne des matériels étudiés (env. quatre cent objets). L’ensemble est complété par deux index et de références bibliographiques. / This doctorate (Ph.D.) research studies the representation of Syrian kingship during the Amorite period (ca. 2000-1600 B.C), essentially through glyptic evidence, supplemented by sculpture, wall paintings, and written sources from the same period.The methodology is anchored in defining a precise iconographic corpus. This step allows revising past conclusions and establishing new identifications for the king’s role in artistic as well as written expressions. A major accomplishment is the identification of objects that derive from clear, stratified archaeological and cultural contexts.After defining the spatial and chronological frame, this study offers a brief review of the twenty-five sites from which the material is assembled. They are located in the Middle-Euphrates valley and divide between those in the northern and southern segments. Characteristics for a “royal figure” are identified and then defended. Iconography permits to distinguish diverse models of the “royal for each of the Syrian regions.The models divide into:1. Main models: the warrior-king, the king-priest, the king of “Syrian” type2. Secondary models: royal officials or the “duplication” of the royal figureIn addition, “miscellaneous figures” are also classified.On the epigraphic level, in this study there is liberal use of information from the archive of Mari as well as of Terqa, discriminating between materials derived from epistolary, religious, political, and administrative documents, as the ruler acts as a priest, dispenser of justice, warrior, or family man. A special chapter is devoted the interrelationship among kings, personal, and state gods. There is also consideration of funerary rituals (kispum) as well as the issue of the deified king.The study takes into consideration the following issues: the royal image of Syrian kings as shown in regional perspective, the connection between glyptic arts and their archeology, and the religious basis of royal ideology during the Amorite period.The dissertation includes a second part in which is catalogued over four hundred iconographic objects or images. Bibliographic references and indexes complete the study.
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Recherches sur le système de représentations symboliques de l’art néolithique aux textes des pyramides- Origines et formation des éléments de la religion solaire de l’Egypte antique / Research on the symbolic representations system in Egypt from Neolithic art to the pyramid texts.- Origin and formation of solar religion elements in pharaonic Egypt

Sweydan, Francois 28 February 2011 (has links)
Dès les premières dynasties, le pictogramme fut dans l’écriture le prolongement des représentations figuratives naturalistes, logogrammes dans les palettes funéraires décorées protodynastiques. Ce constat nous porte à les mettre en correspondance avec l’art pariétal du néolithique nubien, le prédynastique égyptien, et celui des aires culturelles périphériques. La reconsidération des pétroglyphes en tant que symboles et idéogrammes, c’est-à-dire des mythogrammes autant que des logogrammes-phonogrammes polysémiques permet de dégager un système structurel de représentations symboliques universel dans la vallée du Nil. Essentiellement funéraire, il est organisé autour d’une nouvelle lecture en relation aux mythes fondateurs de l’Œil d’Horus/solaire, s’exprime dans des rites primitifs de revivification, de renaissance, néolithiques et prédynastiques, explicités ensuite durant les premières dynasties sur des tablettes, des sceaux-cylindres votifs, et l’onction du mort avec les sept huiles canoniques et, enfin, dans les Textes des Pyramides. Contrairement à l’idée commune d’opposition des notions de Nature-Culture, il est question de les conjuguer, de réconcilier la dualité non binaire et de voir, par exemple, les fonctions héliotrope et/ou héliophore des animaux du bestiaire soudanien, avec Sokar le faucon funéraire, les garants bienveillants des métamorphoses et de renaissance du soleil/des défunts, par ailleurs, félidés, canidés, antilopes…, investis du numineux des divinités tutélaires. À la lueur d’une nouvelle lecture du mythe “osirien” primitif de métamorphose, nous reconsidérons les conceptions sur le sacrifice animal sur des bases d’anthropologie religieuse. Loin d’une maîtrise et soumission de la nature, et d’un diffusionnisme, l’interculturalité de la pensée mythique archaïque première dans la vallée nubiano-égyptienne et des régions périphériques multiethniques implique, vis-à-vis du monde naturel et des forces spirituelles numineuses, la transculturalité des conceptions solaires et le partage pluriculturel, transhistorique des croyances résurrectionnelles polycycliques. Ainsi, les pétroglyphes d’animaux, les scènes de chasse animale, les représentations de barques, de sandales, etc., sont de nature funéraire votive, apotropaïque. / Since the beginning of the first dynasties, the pictogram in writing was the extension of naturalistic figurative representations, logograms in the decorated funerary protodynastic palettes. This statement carry us to link them with the parietal art of Neolithic Nubia, the egyptian Predynastic, and peripheral cultural areas. We have reconsidered the petroglyphs as polysemic symbols and ideograms, i.e. mythograms as well polysemic logograms-phonograms, allowing us to draw up a structural system of symbolic representations, universal in the Nile valley. Basically funerary, the system is organised around a new reading in connection with the founding of the ‘Eye of Horus’/solar myths, and express itself in primitive Neolithic and Predynastic rites of revivification, rebirth, more explicit afterwards during the first dynasties on labels, votive cylinder-seals, and anointing the deads with the seven holy canonical oils, finally in the Pyramid Texts. Contrary to the common idea which opposite the Nature-Culture notions, there is some question to combine them, to reconcile the non-binary duality and to see, for example, the heliotrope functions and/or heliophore animals of the sub-Saharan bestiary, with Sokar the funerary hawk, the benevolent guarantors for the rebirth and metamorphosis of the sun/deads; otherwise felids, canids, antelopes…, invested by the numinous of the protecting divinities. In consequence of a new reading of the primitive ‘osirian’ myth of metamorphosis, we have reconsidered the conceptions about animal sacrifice on the basis of religious anthropology. Far from bringing under control and submission of nature, and diffusionnism, the intercultural (cross-cultural) of the first archaic mythic thought in the multi-ethnic nubian-egyptian valley and associated neighbouring areas involves, towards the natural world and the numinous spiritual strengths, the cross-cultural of solar conceptions and multicultural, trans-historic sharing of the polycyclic resurrectional believes. Thus, the animal petroglyphs, cynegetic scenes, boats and sandals representations, etc., are of funerary votive, apotropaic nature.

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